05/2019 CURSAN


Cursan est un petit village de 6 km2 et de 620 habitants (les Cursanais et Cursanaises)

L’église de style roman du 19ème siècle est en forme de croix latine. Entre deux contreforts obliques, sa façade à trois étages était à l’origine éclairée par des baies.  23 personnes sont au rendez-vous sur le parking face à la mairie et après quelques mots d’accueil c’est Fred qui emmène le groupe .

Direction tout d’abord le lieu-dit Virelli ; quelques commentaires en avant première sur l’immense station d’épuration de Cursan qui à priori n’a pas lieu d’être.   A suivre…..

 Par un agréable chemin entre prairies et sous bois nous nous dirigeons vers le village de Croignon.

Passons devant la mairie, l’église de ce village et devant le renommé restaurant « le Petit Nice »Puis direction sur le bitume vers les lieux-dits Perdrigal, la Vidane, Landrin et Le Petit Jean.

Au lieu-dit Guyonnet sur notre droite une bâtisse en cours de rénovation

Très belle aussi la résidence Bel Air

En cours de chemin un petit point de regroupement

Du côté de la Faucille. 

A travers un agréable bois nous passons entre 2 palombières et nous nous arrêtons pour le petit quatre heure.

Continuons sur un chemin en descente et bien gras vers le Ferroy.

Un petit détour tout d’abord avec l’intention d’aller au château Barrault, superbe château avec 5 tours mais une interdiction en cours de route nous oblige à faire demi-tour. Le Château Barrault. Quelques mots sur son histoire.

Le château est à l’origine une petite forteresse datant de 1336. Il est agrandi au début du XVème siècle. Le comte de Fumel le fit restaurer au XIXème siècle.

Depuis 26 ans une société d’investissement tente d’y implanter un projet immobilier de 750 logements, d’un hôtel de luxe (explication de la démesure de la station d’épuration) et de 2 golfs auxquels les maires successifs de Cursan s’opposent. Plusieurs procès sont encore en cours entre les 2 parties.

Arrivée au Ferroy, traversée de la départementale N° 20, descente à travers sous bois vers Saint Aubin puis vers notre point de départ où un petit pot sorti d’un coffre est offert par Françoise et Fred.

Animateur : Fred NOEL

Reconnaissance : Fred, Denis 

Photos : Jacques Defaucheux

Distance : 10,5 km sans dénivelé

Participants :

Audoin Gérard

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouilly Claire

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Defaucheux Françoise et Jacques

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noël Françoise et Jean

Rizzotti Maribel

Soulie Jean-Marc 

Thomas Joëlle et Denis

et Nathalie (essai)

 

Carte IGN au 1/25000

04/2019 ISLE SAINT GEORGES

« L’Isle Saint-Georges est peuplée depuis au moins 2800 ans. Les fouilles archéologiques révèlent en effet une occupation à peu près continue depuis la fin de l’âge de bronze jusqu’à nos jours.
ISLE ST GEORGES 005

Le village doit sa création à sa situation privilégiée sur une ancienne île, qui avec une autre plus petite, permettait le passage de la Garonne par une voie celtique reliant l’Entre-deux-mers au bassin d’Arcachon.

C’était le carrefour d’un marché où le vin importé se vendait en amphores. De nombreuses monnaies gauloises, des outils, des traces d’artisanat ont été trouvés. Puis le village devint gallo romain, des vestiges divers l’attestent.

Le XIe siècle voit s’établir un prieuré de l’Abbaye de Ste Croix de Bordeaux. Les moines créent la paroisse et son église assainissent les marais en gagnant ainsi des terres à la culture et à la viticulture ; ils creusent aussi le canal qui traverse le bourg.

Aujourd’hui Isle Saint-Georges est une des plus petites communes du canton de la Brède ; 531 habitants (les Lilais) sur une superficie de 4,3 km2. Ce village se trouve à une centaine de mètres des rives de la Garonne ; c’est un joli et pittoresque petit port en bordure du Saucats. Ce village aux rues étroites est composé en grande partie de maisons anciennes dont certaines ne manquent pas d’allure.

L’église Saint-Georges de style néo-gothique a été restaurée. Elle fut construite sur l’emplacement d’une ancienne église de style roman dont subsiste un bas relief qui représente Saint-Georges terrassant un dragon. Elle en a gardé l’orientation et le jour de la Saint-Georges, le soleil se lève encore dans l’axe de l’église, devant le maître autel. Le bas-relief apposé sur la façade de l’église provient de l’église primitive.  Le mythe du cavalier terrassant le dragon est très ancien. L’église abrite un ex-voto et une statue de la Vierge à l’Enfant classés.

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Au milieu de la nef principale, la maquette de la frégate La Fantaisie. Ce navire appartenait à un corsaire nommé Cornic.

isle st georges

Isle Saint-Georges, c’est aussi un vignoble de 441 ha qui produit un excellent vin rouge en AOC. Il est cultivé sur des terres d’alluvions ou d’anciens marais asséchés. L’élevage bovin quant à lui a disparu mais la pêche fluviale se maintient avec succès.(aloses, anguilles, pibales très recherchées par la gastronomie locale ).

Le port avec son quai, son écluse et ses maisons de pêcheurs.

Après quelques consignes, quelques mots et explications sur le village…

…..C’est un groupe de 20 randonneurs que Cristel emmène en prenant tout d’abord la direction de la Garonne où nous nous retrouvons bientôt en face du village de Cambes.

Pour le groupe …. en face ???? église de Cambes ou Baurech ???

Nous longeons la Garonne sur quelques centaines de mètres puis la quittons pour, après avoir passé la « Rouille de Cape » , arriver au lieu-dit Boutric ; nous suivons ensuite « la Rouille de Boutric » en longeant de nombreux prés où une foultitude de chevaux  s’ébattent .

En cours de route passons devant l’église Saint-Clément d’Ayguemorte les Graves remarquable par son clocher mur.

Longeons par la suite « l’Estey Mort » passons le Saucats , suivons la « Rouille de Verderal » qui nous conduit de nouveau vers le Saucats et vers notre point de retour. Un petit détour nous permettra de voir quelques maisons typiques du village.

La villa verdelet qui date du 19ème siècle. Elle est composée de 2 tours, une octogonale et une carrée. De nombreuses sculptures ornent sa façade.

Construite à la fin du siècle dernier par une famille bourgeoise bordelaise (notaire, négociant en vin) les « Verdelet », la villa composée de plusieurs corps de bâtiment est un ensemble curieux, dont le style est très représentatif de son époque.

En ce temps là, la mode était de redécouvrir le moyen âge et son symbolisme, de célébrer les héros nationaux comme Vercingétorix ou Jeanne d’Arc. On avait du penchant pour l’ésotérisme, les sciences secrètes… La villa reflète assez bien cette mode. Sur un pignon un haut-relief représente Jeanne d’Arc l’épée à la main, (elle n’a été canonisée qu’en 1909),

Sur un autre pignon , Saint-Georges terrassant le dragon, héros mythique. D’autres sculptures plus prosaïques figurent des grappes de raisin et des barriques. Une petite tour octogonale avec créneaux et mâchicoulis de fantaisie ainsi qu’une autre petite tour carrée au toit pointu, achèvent de donner à cette architecture un aspect bien particulier.

Au retour une vue sur l’église et l’écluse sur le Saucats

Une autre maison digne d’intérêt

Animatrice : Dubergey Cristel

Assistante : Villar Corinne

Distance : 9,2 km sans dénivelé

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise

Bouet Francine

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Dubergey Cristel

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noël Françoise et Jean

Peere Laurence

Quérité Marie

Rizzotti Maribel

Soulie Jean-Marc

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Carte IGN au 1/25000

03/2019 TABANAC 9,3 km et 17 km

Notre point de rendez-vous se situe au parking de la salle du moulin de Carreyre. Nous sommes 38 randonneurs dont 16 de Rando Lignan et 22 des clubs de Tabanac et de Tresses. Le but de la journée est de faire la reconnaissance des 2 boucles qui serviront de support pour la fête de la randonnée du Comité Départemental de Randonnée Pédestre qui aura lieu le 17 mars 2019.

L’ensemble du groupe part sur environ 6 km. Il se séparera ensuite en 2 parties, l’une pour la reconnaissance des 9,3 km, l’autre pour celle des 17 km.

Nous traversons tous le village du Tourne en passant devant l’église Saint-Etienne.Résultat de recherche d'images pour "église saint etienne du tourne"

À l’origine implanté sur les hauteurs, sur la route qui mène à Tabanac, autour d’une église romane aujourd’hui détruite dont il ne reste que le cimetière l’ayant ceint, le village s’est déplacé vers le 17e siècle vers le fleuve, un certain nombre d’habitants ayant une activité liée au transport fluvial dont la construction navale. 

A la Révolution, la paroisse de Saint-Étienne du Tourne forme la commune du Tourne. Au cours du 19e siècle, la reconstruction de l’église dans le bas du village acte le déplacement du bourg vers le port.

Passons le Grand Estey qui est à son niveau maximum avec un important courant, longeons la Garonne en passant sous le pont de Langoiran et attaquons une sérieuse montée à travers bois.

Au sommet une petite pose pour récupérer auprès d’un calvaire.

Le groupe en phase récupération.Une des super vues sur la GaronneContinuons vers le village du Haut-LangoiranApercevons dans la brume le Château du Pied du ChâteauPassons devant un lieu historique : la maison RateauArrivons devant l’église Saint-Pierre-ès-liens du Haut-Langoiran

Attaquons une descente prononcée à travers vignes. Au lieu-dit Malbiche le groupe se scinde en deux : 12 courageux continuent pour les 17 km, les autres sur le circuit de 9,3 km. 

Pour le groupe 9,3 km  (et par la suite les 17 km): Arrivée au Moulin SauvageUne partie du groupe des 9,3 km en approche du moulin

Pour le groupe 17 km : Passage pendant leur parcours aux lieux-dits Le Gourdin, Beauchamp, la Grava et pas très loin de son Château

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Arrivée au plan d’eau de Bareyre, passage par German et ensuite sur le ruisseau de Gaverdon, puis à quelques encablures du château de Haux où bientôt le repas sera tiré du sac.

Au hasard du circuit une entrée de grotte ??

Après le repas, passage vers le Moulin Barbot, nouveau franchissement du Gaverdon, lieu-dit Fauberne et retour sur la boucle des 9,3 km.

Par la suite les 2 groupes arriveront séparément sur la route de Créon, enjamberont le Pont de la Rose au-dessus du Grand Estey et attaqueront une sérieuse montée vers le point de départ.

Après quelques civilités au moulin de Carreyre, c’est là que les 2 groupes des 3 clubs se quitteront. RV est pris pour le 17/03/2019 pour la fête de la randonnée.

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Buisseret Sylvie

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Copit Corinne

Couprie Marie-Claude

Dubois Cyrille

Noël Jean

Priat Patricia

Soulie Jean -Marc

Thomas Joëlle et Denis

22 personnes des clubs de Tabanac et Tresses

Carte IGN au 1/25000

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