12/2022 LE POUT

Le Pout environ 650 habitants, les Poutois et les Poutoises.

Outre l’église paroissiale St-Martin et la croix de son cimetière, une dizaine d’édifices de la commune sont versés à l’inventaire général du patrimoine du Créonnais.

C’est Elie qui aujourd’hui sera notre chef de file : 23 personnes sont réunies près de l’église.

C’est par un temps agréable que nous partons de l’église St-Martin qui fut construite au 15ème siècle et remodelée aux 16ème et 19ème siècles. Son originalité se trouve être dans son volume intérieur mais qui n’est toutefois pas accessible. Par contre ses 2 belles cloches extérieures sont bien visibles.

Départ de la mairie. Et c’est parti … On longe tout d’abord sur quelques centaines de mètres la route.

Le Château RIVALAN

Le château était dédié à l’origine à l’élevage laitier puis à l’élevage de vaches à viande. A ce jour, c’est un domaine viticole de 52 hectares qui fait l’objet d’un traitement raisonné permettant de réduire les produits phytosanitaires. Sa particularité est de disposer d’un chai d’élevage dans les fondations du château avec un élevage en barrique entre 12 et 18 mois.

Au lieu-dit Marches, nous obliquons sur notre gauche pour partir à travers bois.

Passons le ruisseau La Rivière.

Dans les bois…Puis Le château de Camarsac, bâti sur un promontoire au 14ème siècle, appartient à la famille Lurton. L’oenotourisme y est pratiqué à travers son fameux     « Clos du Prince Noir « .
Pas très beau, le nouveau chai couvert de panneaux photovoltaïques.

C’est mieux comme cela.Et encore ainsi.En cours de route les oies nous accueillent avec leurs petits.

Prenons le chemin ….

Une petite pose boissons toujours en futée.Puis le chemin de …

Dans les bois, des passages délicats.

Les poules et le coq sont aussi là pour nous accueillir.Que c’est bon à l’ombre des arbres. Elie aide pour les passages délicats.Et on continue…

Une maison de pierres appelée la Ruine ???
Ruisseau de la Hutte. Annie hésite à y passer.

Traversée du Grand Bois. Puis arrivée au lieu-dit …Arrivons sur le village de…Dans les arbres une palombière.Arrivons au lieu-dit…Amorçons une belle descente dans un chemin bien agréable.

Passons de nouveau sur La rivière, puis encore.Prenons la route de…

Longeons maintenant le ruisseau La rivièreQue nous allons une nouvelle fois passer.

En fin de randonnée un Elie bien radieux.

C’est vers 17h que nous retrouvons le parking. Jacques nous y attend la bouteille à la main pour nous servir le pot de l’amitié. Félicitations à Mamy-Claude et Papy Jacques qui arrose la naissance de leur petit-fils Lenny.

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Animateur organisateur : AFERGAN Elie

Reconnaissance: Elie, Denis

Distance :  11,2 km –  Dénivelé: 118 m

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 2 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude

Champarnaud Valérie

Cerdan Coraline

Desmond Alexandra

Gaudière Danielle

Laffargue Patricia

Noël Françoise et Fred

Rischard Sylvie et Philippe

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

 Nathalie en essai

 

11/ 2022 FARGUES SAINT-HILAIRE

25 randonneurs se retrouvent parking des écoles à Fargues Saint-Hilaire dont Patricia venue faire un galop d’essai.C’est Corinne qui a en charge le groupe et Marc fera les commentaires adéquats.Ce grand circuit de 12,8 km nous fera faire le tour de Fargues Saint-Hilaire en passant par Cénac et Carignan-de-Bordeaux, la plupart du temps sur de beaux chemins ombragés. Nous y découvrirons entre autres : le vieux bourg de Fargues, des arbres remarquables, des lavoirs, des châteaux, une ancienne voie ferrée, des grottes et bien d’autres surprises !

Tout d’abord l’ancienne mairie-école.

La situation globale de l’enseignement primaire en France apparaît médiocre à la chute de l’Empire (abdication de Napoléon 1er en 1815), qui ne s’en est guère préoccupé. Beaucoup de ces bâtiments utilisés pour la classe sont inadaptés et dépourvus de cour, de préau ou encore de toilettes.

Après la défaite de 1870 (guerre contre la Prusse) que l’opinion générale attribue à la supériorité de l’éducation primaire prussienne, l’École fait l’objet d’efforts particuliers afin d’être en mesure de préparer les futurs citoyens. La grande loi en matière de construction scolaire est promulguée le 1er juin 1878 et oblige les communes à construire des maisons d’écoles.

L’école type de la 3ème République est constituée de la mairie au centre, en légère avancée de façade surmontée de la devise républicaine, des écoles de garçons et de filles de part et d’autre et du logement du maître à l’étage.

C’est ainsi que la commune de Fargues Saint-Hilaire se dote en 1874 d’un ensemble mairie-école.

Il existait trois moulins sur la commune de Fargues Saint-Hilaire, un à eau sur le ruisseau de la Canterane, et deux à vent. Ces moulins permettaient à la population essentiellement rurale de moudre leur production locale de blé pour produire de la farine.

Le moulin des écoles ou moulin rouge est le seul des deux moulins à vent à être visible et encore en élévation, bien qu’il soit difficile pour celui qui n’est pas au courant de se rendre compte que cette tour est bien un ancien moulin à vent.

Situé en hauteur, sur une ligne de crête, pour profiter au maximum des vents, ce moulin est un moulin tour : constitué d’une tour maçonnée en moellons, il était surmonté d’une toiture orientable dans le sens du vent, qui supportait des ailes fixées à un axe horizontal.

En 1865, Jean Richet, charpentier de moulins, vend le moulin et un lopin de terre à Jean Cassignard, tailleur de pierre. C’est certainement à cette époque que le moulin cessa son activité et que le nouveau propriétaire transforma le moulin en tour à créneaux et y accola une maison construite en pierres de tailles.

L’église Saint-Hilaire

L’église actuelle n’a été construite qu’en 1846 à quelques centaines de mètres de l’ancienne église romane, sur un terrain donné par les propriétaires du Château Beauséjour. Cette première église qui présentait fissures et lézardes suite au tremblement de terre de 1759 fut rasée et remplacée par le nouvel édifice.

Malgré sa date de construction relativement récente, la nouvelle église a subi plusieurs rénovations nécessaires suite aux nombreuses lézardes apparues sur les murs des bas-côtés et au plafond. En 1985, 60 micro-pieux sont enfoncés à 10 mètres de profondeur pour renforcer les fondations.

L’ancien presbytère

Nous sommes ici au coeur de l’ancien village de Fargues Saint-Hilaire. En effet l’ancienne église romane se situait au milieu du cimetière actuel au bout de la rue, à quelques dizaines de mètres de là.

C’est une belle bâtisse construite au 18e siècle en moellons comprenant plusieurs parties formant un “L” autour d’un jardin et d’une petite cour. Vu son emplacement et sa fonction, c’est surement l’un des plus vieux bâtiments de la commune encore debout.

Et oui, prudence, on respecte les consignes.Direction le…Passons devant un surprenant mur réalisé en de plusieurs centaines de tuiles canal empilées les unes sur les autres ; c’est le dernier témoin de l’ancienne tuilerie de Fargues.Le lavoir de la tuilerie

Le lavoir de la tuilerie est un des deux lavoirs publics encore visibles à Fargues Saint-Hilaire. Il a été construit en 1927 près d’une source en bordure du chemin de Musset. Les habitants alentours, principalement ceux de la Tuilière et de Marron, venaient rincer leur linge au lavoir. C’était un lieu éminemment social dans chaque village. Les femmes s’y retrouvaient une fois par semaine ou plus, et échangeaient les toutes dernières nouvelles du village et des parages.

Le nom “de la tuilerie” vient du fait qu’il existait ici une ancienne tuilerie qui a perduré jusqu’en 1920. En exploitant un gisement d’argile, elle fournissait les matériaux indispensables aux constructions locales : tuiles creuses qui recouvrent la majorité des toits alentours, ainsi que briques et carreaux utilisés pour les souches de cheminées et les sols.

Une petite montée par un chemin bien agréable.

Une bien belle glycine et
Un arbre portail.En arrivant sur Escorgeboeuf, Corinne joue du sécateur pour nous faciliter le passage.La vallée de la Canterane

Au fond du vallon, le cours du ruisseau de Canterane vient se jeter dans la Pimpine un peu plus en aval. L’endroit est bucolique avec ses pentes couvertes de prairies.

Le nom du lieu “Escorgeboeuf” est pour le moins surprenant et reste un mystère encore aujourd’hui. L’explication la plus logique serait de penser à un endroit où on égorgeait les boeufs, une sorte d’abattoir … ou bien un incident où un boeuf aurait été égorgé par une bête sauvage et qui aurait marqué les esprits ? 

Maison du garde-barrière.

La garde de la barrière était souvent confiée à une femme, épouse ou veuve d’un cheminot de la voie. Le confort de ces maisonnettes était réduit à leur plus simple expression : quatre petite pièces, pas de sanitaire ni d’eau courante ou d’électricité (parfois jusqu’en dans les années 60). Seul un petit poêle à charbon assurait le chauffage de l’ensemble. Souvent ces maisons “jouet” possédaient un jardinet pour améliorer l’ordinaire par quelques légumes, et en élevant poules et lapins…

Nous suivons pendant quelques kilomètres la piste cyclable encombrée de chutes d’arbres.Et Marc de faire des commentaires sur l’origine de cette piste cyclable.

Ancienne voie ferrée. Cette longue piste cyclable qui serpente en fond de vallée est en fait un ancien chemin de fer.

Après la première guerre mondiale, et face au développement du trafic routier, la ligne amorce un déclin inexorable. En 1951, l’unique train de voyageur disparaît définitivement, et en 1979 la ligne cesse complètement son activité. En 1996 le Conseil Général de la Gironde rachète l’emprise ferroviaire entre Latresne et Sauveterre et crée la piste cyclable Roger Lapébie sur un tracé de 54km.

Les Anciennes carrières.Et Denis fait le pitre.

Les nombreuses carrières que l’on peut voir ici le long de la piste cyclable étaient, à partir de 1873, desservies par la voie ferrée Bordeaux-La Sauve qui passait à l’emplacement de la voie verte. On peut encore voir ça et là, le long de cet ancien chemin de fer, les restes de quais aménagés pour faciliter le chargement des pierres, aujourd’hui en partie envahis par la végétation.

A partir du 20e siècle, l’activité a fortement ralenti. Si certaines carrières ont été réutilisées comme champignonnières, la plupart ont été abandonnées.

La bambouseraie.

Coraline et Elie en pause photo.

Le Château Léon.Une petite pose et quelques commentaires.

Ce domaine, dont le nom à l’origine était Camelon, faisait partie intégrante du château Carignan et s’en est détaché à la suite de deux ventes successives peu avant la Révolution.

Le domaine d’origine, appelé communément « la ferme du château Léon », est composé de plusieurs bâtiments édifiés à diverses périodes du 18e siècle, organisés autour du logis du fermier : logement de domestiques, chai, cuvier, écurie, cour, puits …

Le vin produit grâce à l’exposition et à son terroir était de grande qualité. En 1874, le vignoble était au maximum de sa production et on y récoltait 300 hectolitres de vin majorité de vin rouge. Les propriétaires, trop à l’étroit dans leur demeure campagnarde, firent construire tout à côté, un château dans le style de l’époque. Terminé en 1890, il est maintenant appelé « château Léon ».

Après plusieurs années d’abandon, il a été réhabilité en résidence composée de plusieurs appartements.

Le Château Carignan.

Situé pratiquement en face de l’église, de l’autre côté du petit vallon creusé par un affluent de la Pimpine, ce château dont l’histoire remonte au moins au 13e siècle est sans doute à l’origine de la paroisse de Carignan. La situation du vieux bourg de Carignan et plus particulièrement de l’église est intimement liée à l’histoire du premier château de Carignan.

Au 16e siècle, après plusieurs changements de propriétaires, d’importants travaux furent entrepris sur le château actuel, notamment pour agrandir le côté est. En 1814, le château fut acheté par le marquis de Casapalacio et subit une réfection complète car il était en piteux état. C’est à cette époque que les armoiries du marquis furent ajoutées au dessus de la porte d’entrée de la tour de la cour intérieure.

En 1892 le château fut acheté par Honoré Picon, fils de Gaëtan Picon, fondateur de la marque « Amer Picon ». Le château fut entièrement rénové et agrandi par l’addition d’une orangerie, un nouveau cuvier et des chais. A cette époque, le château prit définitivement le nom de Château Carignan. Depuis plusieurs propriétaires se sont succédés.

Le château est sans aucun doute le plus beau monument de Carignan-de-Bordeaux et aussi le plus emblématique, puisque que grâce à son excellent vin, le nom « Carignan » fait le tour du monde.

On descend maintenant vers le fond d’un vallon.

Et c’est là que le magnanime « Bruno » porte secours à un vététiste en perdition.

L’éolienne Bollée.

A la fin du 19e siècle, Honoré Picon, fils du fondateur de la marque « Amer Picon », fait édifier une éolienne dans le bas de son domaine Baritault pour exploiter une source toute proche.

Cette curieuse et magnifique éolienne était donc utilisée pour pomper l’eau du ruisseau et la remonter jusqu’au château d’eau du domaine Baritaud situé dans la tour « donjon », en contre-haut de la colline.

Construite en 1896 par Ernest-Sylvain Bollée, industriel au Mans, elle demeure une des seules éoliennes Bollée encore en élévation dans notre région. Formidable témoin du patrimoine industriel de cette époque, elle mériterait d’être sauvegardée et restaurée comme par exemple celle du château de Beauval à Bassens.

Une ancienne cressonnière en désuétude.

Nous nous retrouvons au parking où Joelle nous offre le « pot de l’amitié » en ce jour d’anniversaire.

Animateur organisateur : VILLAR Corinne

Reconnaissance : Corinne , Marc et Brigitte

Distance :  12,8 km – dénivelé 129 m

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Trace.    Randonnée de Fargues St.Hilaire

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Marc

Bouet Francine

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude

Cerdan Coraline

Champarnaud Valérie

Garcia Norbert

Gaudière Danielle

Lagorce Pierre

Maison Nicole et Patrick

Marcandella Jean-Christophe

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred

Rischard Sylvie et Philippe

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Patricia (en essai)

10/2022 AUDENGE Le domaine de Certes

L’Histoire : Le domaine de Certes et Graveyron, propriété du Conservatoire du littoral, est un espace naturel unique de 530 hectares au cœur du Bassin d’Arcachon, sur les communes d’Audenge et de Lanton.

Ce domaine, façonné par la main de l’homme, a connu des vocations agricoles, salicoles, piscicoles et forestières. Il offre un paysage exceptionnel de domaines endigués, des bassins piscicoles et de prairies humides.

Cet espace abrite de nombreuses populations d’oiseaux tout au long de l’année, dont certaines espèces rares et protégées.

 Ce n’est qu’un petit groupe de 12 randonneurs qui se retrouve sous la houlette de Serge par un temps bien frisqué et avec beaucoup de vent. Nous allons longer le domaine de Certes sur plus de 13 km.

C’est parti et voilà ce qui nous attend.On passe devant le château de la propriété.

Ce château a été construit au XVIIIe siècle par le marquis de Civrac. Il fut reconstruit vers 1840 par Ernest Valeton de Boissière et partiellement restauré en 2004.

Puis les dépendances construites pour l’exploitation du sel.En début de rencontre les biches nous saluent au loin dans la prairie.Sous de beaux pins parasols.Les différents plans d’eau du domaine sont régulés par des écluses.

Les eaux peu profondes des bassins sont favorables au développement d’algues et de plantes aquatiques. Une flore mixte, adaptée soit à l’eau salée du Bassin d’Arcachon, soit à l’eau douce amenée par les pluies, favorise une belle biodiversité. Les plantes aquatiques, vers, petits coquillages, crustacés forment le début d’une chaîne alimentaire où s’insèrent les poissons, proies à leur tour des hérons, cormorans, aigrettes… Certaines espèces comme la gorge bleue à miroir blanc y nichent. Milieu tranquille situé sur une des voies principales de migration, Certes et Graveyron forment aussi un site d’hivernage très apprécié des oiseaux migrateurs, comme la spatule blanche.Au dérivé, au loin la dune du Pyla.Hormis les aigrettes et les cygnes, les hérons cendrés, les cormorans, les spatules ne sont pas ce jour au rendez-vous. Toutefois un beau cygne : le cygne tête levée.Le cygne tête baissée et envasée.Une cabane de saunier ??Les huttes des chasseurs de canards. Au fond on aperçoit Arcachon.Plus loin le Cap Ferret.La pause photo devant le bassin. Tout le monde est bien couvert.Des plans d’eau à perte de vue.Quelques passages boueux. Attention.Un couple d’heureux ils sont passés.Le beau chapeau de Myriam.Quelqu’un va t’il chuter ??Une petite pose boisson.Un autre passage délicat pour la famille Page.

La très belle église d’Audenge.

Quelques kilomètres difficiles pour finir sur la piste cyclable, mais le réconfort arrive.

Les professionnels ouvrent tout d’abord les huîtres pendant que Marc prépare l’apéro.Et on lève le verre à l’attention de Brigitte…

En fin de repas les très bons cannelés faits maison par Bernard. A découvrir  plus loin sa recette. Au début du café il y en avait 103 sur le plateau.

En fin de café … Pour qui le dernier ??  Au fait qui l’a pris ??

La recette de Bernard : Cannelés (108 petits)

Plan de la randonnée

Animateur organisateur : BOUET Serge

Distance : 13 km –  Pas de dénivellé

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Baron Marc

Berkesse Bernard

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Dury Edith

Lataste Martine

Noël Françoise et Fred

Page Francis