Mois : septembre 2022

20/2022 MONTIGNAC

Proche de Targon et de Frontenac, Montignac est un village viticole de Gironde qui comporte plusieurs bourgs (Le Palem, Le Cas, Le Laurenceau …) et est relativement étendu compte-tenu du nombre d’habitants : 147 habitants sur 6,5 km2.

Le ruisseau Machique et le ruisseau de la Moulinasse sont les principaux cours d’eau qui traversent la commune de Montignac.

L’église Saint-Médard, construite au 12e siècle et réaménagée au 16e, est inscrite aux monuments historiques depuis 1925.

Le Château Lamothe est l’un des plus réputés de Montignac. La famille Vincent exploite depuis 4 générations. Le vignoble épouse les vignobles des Côtes de Bordeaux à 121 m d’altitude. 100 ha en exploitation dont 84,5 ha en rouge. Age moyen des vignes 22 ans. De nombreux travaux en vert qui nécessitent l’apport d’une dizaine de saisonniers en été. Vignoble totalement enherbé, dans une volonté de respect de l’environnement.

Le rendez vous est sur le parking de l’église : c’est Corinne qui va nous guider.

Un accueil et une présentation d’Olivier (Assémat) notre nouvel abonné.

Nous serons 16 au départ et 15 au retour. C’est parti sous une petite pluie et l’on commence à sortir les protections.

Sommes de suite obligés de nous mettre à l’abri des arbres car la pluie est beaucoup plus forte. Joël quant à lui avait prévu le soleil pour l’après-midi.Francine elle, a changé de coiffure.
C’est l’endroit où Soeur Géraldine (qui avait oublié sa bure de protection) va nous quitter et faire demi-tour.
Nous passons dans la forêt près d’une palombière.Et si l’on faisait la première pose boisson ; la pluie s’est temporairement arrêtée.En milieu de parcours, au loin l’église qui va marquer le départ de la 2ème boucle.Passons sur le ruisseau Machique qui traverse la commune sur 2,6 km.
Passons près du lieu-dit « La citadelle » puis Talusson.
Au passage une demeure de vigneron.Il fait meilleur maintenant les protections sont tombées et on en profite pour la pause casse-croûte.
On passe au lieu-dit Grands Champs et retour sur Montignac.
Trace de la randonnée:

La randonnée  :  12,5 km prévus. Un peu moins en réalité

Dénivelé 68m

Animateur : Villar Corrine

Indice d’effort : niveau 1 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 ++ assez facile (configuration terrain, passages boueux, racines)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Les Participants :

Assemat Olivier

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Bonneau Olivier

Estebe Joël

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Vacellier Géraldine

Villar Corinne

 

19/2022 LE TOURNE

 

Le village du Tourne : A l’origine implanté sur les hauteurs, sur la route qui mène à Tabanac, autour d’une église romane aujourd’hui détruite et dont il ne reste que le cimetière l’ayant ceint, le village s’est déplacé vers le 17e siècle vers le fleuve, un certain nombre d’habitants ayant une activité liée au transport fluvial dont la construction navale.

A la Révolution, la paroisse de Saint-Étienne du Tourne forme la commune du Tourne. Au cours du 19e siècle, la reconstruction de l’église Saint-Etienne dans le bas du village acte le déplacement du bourg vers le port.

Notre rendez se trouve près de L’Eglise Saint-Etienne du Tourne.

26 randonneurs se retrouvent.Et c’est parti. Serge drive le groupe.

Le groupe passe sur le Pont de la Rose qui enjambe le Grand Estey qui est à son niveau minimum et longe l’estey sur quelques longueurs.
Puis le stade Alain Giresse, on longe la route en passant devant l’Intermarché et le Bricomarché de Langoiran et on se retrouve dans la nature.

Tout d’abord en abordant une sérieuse montée.En haut de la montée une pause pour se ressourcer.Et comme toujours ça discute lors de la pause.Après la montée une descente plus scabreuse.Au loin Le Château La PeyrucheUne autre pause se profile.

Serge en profite pour compter ses troupes.

Quand Olivier fait des recherches sur ce champignon : le stéréum insignitium !!! tout frais

Le groupe arrive sur le Haut-Langoiran, passe devant un monument historique « La Maison Rateau »Puis l’église St-Pierre-Es-Liens.

L’édifice, construit au moyen âge en style roman, porte le vocable de Saint-Pierre depuis 1326. Le mur nord de la nef, le coeur et son portail, datent du XIème siècle. Le bas-côté a été construit au sud en 1541. Le clocher, en forme de tour carrée surmontée d’un toit en pavillon est recouvert de tuiles plates.

Puis une petite descente vers le Château de Langoiran.
Le Château de Langoiran.C’est aujourd’hui la journée du Patrimoine, mais pas le temps de visiter.Un beau lavoir.Lieu-dit … Le Gardera

Le groupe longe la route de Cadillac puis la Garonne sur un agréable chemin en bois et en sous-bois. Que c’est agréable !Passage sous le pont de Langoiran enjambant la Garonne.

Langoiran est une commune de 2255 habitants  en bordure de Garonne. Ses habitants, les Langoirannais. Sa surface de 10 km2 se répartit entre le centre bourg et son port, le Pied du Chateau et le Haut Langoiran. Le quartier du port est constitué de jolies maisons, d’un ancien relais « le Saint Martin », de maisons de pêcheurs construites au XVIe siècle.

Dans le centre bourg, l’Église Saint-Léonce  fut construite au XIXème siècle.

Le Grand Estey totalement à sec.Puis les

chantiers navals depuis 1877, pour la construction de bateaux en bois (yoles, gabarres, etc…), 40 ouvriers dans les années 30, puis laissé à l’abandon en 1885 ; bâtiments rachetés par la mairie en 1997 pour la restauration de bateaux en bois du patrimoine.

Une belle cabane pour la pêche au carrelet.

Puis retour au point de départ.

Trace de la randonnée du Tourne

La randonnée  : 10 km

Animateur : Bouet Serge

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 2 assez facile (configuration terrain, passages boueux, racines)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Les Participants :

Afergan Elie + BM

Barbirato Annie

Baron Brigitte

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Bonneau Olivier

Bouvier Francine

Breil Myriam et Bruno

Champarnaud Valérie

Dupin Monique

Estebe Joël

Laffargue Patricia

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Martin Marie-Jo

Mlynaski Marie-Line

Noël Françoise 

Pons Monique

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Vacellier Géraldine

Sylvia (en essai)

 

18/2022. SADIRAC

 

Sadirac est une ville moyenne de plus de 4300 habitants (les Sadiracaises et Sadiracais). Une superficie de 19,2 km2 éclatée dans de nombreux lieux-dits. Elle possède la plus grande superficie des communes du Créonnais.

L’église Saint-Martin : Jadis fortifiée, elle présente encore aujourd’hui une charpente gothique et un clocher datant de 1863. Cette charpente est inscrite aux Monuments Historiques par arrêté du 24 décembre 1925.

Sadirac est reconnu depuis l’antiquité pour son savoir ancestral de la poterie grâce à l’argile du terroir. Ce savoir-faire fût sa renommée et sa puissance au-delà de nos frontières. Au 18e siècle, l’industrie potière atteignait son apogée ; on peut dire qu’à l’époque dans chaque famille il y avait un potier. On comptait également plus de 150 fours dans la commune.

Plusieurs entreprises de poterie prospèrent jusque dans les années 60 et ferment dans les années 80.

La Poterie Fouragan construite dans le bourg vers 1830 produisait, dans une quarantaine d’ateliers occupant une centaine d’ouvriers, des moules destinés aux raffineries de sucre, puis la fabrication de pots destinés aux résiniers landais et à la poterie d’usage domestique.

Aujourd’hui, les vestiges restaurés de l’établissement industriel et du four désaffectés accueillent le Musée de la poterie et de la céramique de Sadirac. Celui-ci raconte l’histoire avec une collection d’objets issues de fouilles archéologiques.

Chaque année une manifestation d’envergure internationale a lieu au mois de juin.

La ligne de chemin de fer devenue piste cyclable

Au 19e siècle, Sadirac se trouvait sur une ligne de chemin de fer reliant Bordeaux à Espiet pour alimenter les usines en matériaux. Chacune des villes desservies possédait une gare qui servait de halte pour les marchandises. Cette ligne était aussi empruntée par les voyageurs qui pouvaient se déplacer de ville en ville, ce qui était un privilège pour l’époque. La ligne fut fermée en juin 1940 au moment de l’occupation allemande.

En 1979 cette ligne a été arrêtée après la fermeture de la cimenterie d’Espiet. Elle fut transformée en piste cyclable appelée Roger Lapébie, du nom d’un cycliste renommé de la région.

L’ancienne gare de Sadirac abrite la maison du patrimoine naturel du Créonnais.
Des activités culturelles, pédagogiques et scientifiques pour tout public y sont proposées à travers les dimanches « découverte de l’environnement » (tous les dimanches entre 14h30 et 18h, entrée libre et gratuite) avec balades, ateliers, films et expositions. Chaque semaine, un nouveau thème est à découvrir. Les jeudis soirs culturels (diaporamas, conférences, sorties nocturnes, …) ont lieu à 18h30 .

C’est le moment des retrouvailles mais aussi celui de faire de nouvelles connaissances : 26 randonneurs dont 4 nouveaux sont au rendez-vous.C’est Fred qui va mener le groupe.Quelques mots sur Sadirac, sur le club et sur la randonnée (face à 4 nouveaux arrivants).

C’est parti … le groupe démarre en arpentant une centaine de mètres de trottoir.

Et passe de suite au bassin aux salamandres.

Pour prendre à travers bois direction la Pimpine. Des chemins relativement secs mais des racines et des souches nous y attendent.

La première petite pose. La famille se retrouve …Quelques commentaires de Fred.Puis on longe une prairie avec des petits chevaux.Et on rentre de nouveau dans la forêt.Un passage délicat !Une petite pose près d’un pont. Attention Céline ça glisse …Puis on va longer la Pimpine sur quelques km.

La Pimpine prend sa source à Créon, possède 2 affluents sur la commune Le Gouchebouc et Le Ruzat et se jette après 16,9 km dans la  Garonne au niveau de l’île d’Arcins.Un passage délicat.

Mais tout le monde est passé sans encombre.

Nous attaquons une petite montée tranquille vers le lieu-dit Calamiac. Au sommet une belle maison.Puis on descend un peu sur le bitûme vers la barrière 74.

La Barrière 74 :  Gare intermédiaire entre Sadirac et Créon au lieu-dit Calamiac, à l’origine pour les habitants de Madirac et Saint-Genès de Lombaud.

Prenons un chemin de traverse empierré puis attaquons dans les sous-bois une petite montée en direction du lieu-dit Chazelle. Redescendons vers la Maison d’hôtes « le Vélo Vert ». 

C’est maintenant plus facile car nous sommes en hauteur en surplomb de la piste cyclable dans un chemin très agréable en descente vers notre point de départ.

En fin de parcours une photo de groupe sur le joli pont au dessus de la Pimpine.En définitive, nous avons fait 10,5 km au lieu des 9 prévus sur des chemins secs et bien ombragés ; satisfait le groupe se disloque vers 17 h.

Notre randonnée  : 10,5 km

Animateur : Fred

Indice d’effort : niveau 1 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 ++ assez facile (configuration terrain, passages boueux, racines)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Les Participants :

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Serge

Bouvier Francine

Breil Myriam et Bruno

Cayre Maria et Michel

Cerdan Coraline

Champarnaud Valérie

Dupin Monique

Estebe Joël

Laffargue Patricia 

Laffargue Evelyne et Michel

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Métreau Céline

Mlynaski Marie-Line

Noël Françoise et Fred

Sopéna Emmanuelle

Vacellier Géraldine

Sylvia (en essai)

 

Trace du circuit au 1/25000

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