Sadirac est une ville moyenne de plus de 4300 habitants (les Sadiracaises et Sadiracais). Une superficie de 19,2 km2 éclatée dans de nombreux lieux-dits. Elle possède la plus grande superficie des communes du Créonnais.

L’église Saint-Martin : Jadis fortifiée, elle présente encore aujourd’hui une charpente gothique et un clocher datant de 1863. Cette charpente est inscrite aux Monuments Historiques par arrêté du 24 décembre 1925.

Sadirac est reconnu depuis l’antiquité pour son savoir ancestral de la poterie grâce à l’argile du terroir. Ce savoir-faire fût sa renommée et sa puissance au-delà de nos frontières. Au 18e siècle, l’industrie potière atteignait son apogée ; on peut dire qu’à l’époque dans chaque famille il y avait un potier. On comptait également plus de 150 fours dans la commune.

Plusieurs entreprises de poterie prospèrent jusque dans les années 60 et ferment dans les années 80.

La Poterie Fouragan construite dans le bourg vers 1830 produisait, dans une quarantaine d’ateliers occupant une centaine d’ouvriers, des moules destinés aux raffineries de sucre, puis la fabrication de pots destinés aux résiniers landais et à la poterie d’usage domestique.

Aujourd’hui, les vestiges restaurés de l’établissement industriel et du four désaffectés accueillent le Musée de la poterie et de la céramique de Sadirac. Celui-ci raconte l’histoire avec une collection d’objets issues de fouilles archéologiques.

Chaque année une manifestation d’envergure internationale a lieu au mois de juin.

La ligne de chemin de fer devenue piste cyclable

Au 19e siècle, Sadirac se trouvait sur une ligne de chemin de fer reliant Bordeaux à Espiet pour alimenter les usines en matériaux. Chacune des villes desservies possédait une gare qui servait de halte pour les marchandises. Cette ligne était aussi empruntée par les voyageurs qui pouvaient se déplacer de ville en ville, ce qui était un privilège pour l’époque. La ligne fut fermée en juin 1940 au moment de l’occupation allemande.

En 1979 cette ligne a été arrêtée après la fermeture de la cimenterie d’Espiet. Elle fut transformée en piste cyclable appelée Roger Lapébie, du nom d’un cycliste renommé de la région.

L’ancienne gare de Sadirac abrite la maison du patrimoine naturel du Créonnais.
Des activités culturelles, pédagogiques et scientifiques pour tout public y sont proposées à travers les dimanches « découverte de l’environnement » (tous les dimanches entre 14h30 et 18h, entrée libre et gratuite) avec balades, ateliers, films et expositions. Chaque semaine, un nouveau thème est à découvrir. Les jeudis soirs culturels (diaporamas, conférences, sorties nocturnes, …) ont lieu à 18h30 .

C’est le moment des retrouvailles mais aussi celui de faire de nouvelles connaissances : 26 randonneurs dont 4 nouveaux sont au rendez-vous.C’est Fred qui va mener le groupe.Quelques mots sur Sadirac, sur le club et sur la randonnée (face à 4 nouveaux arrivants).

C’est parti … le groupe démarre en arpentant une centaine de mètres de trottoir.

Et passe de suite au bassin aux salamandres.

Pour prendre à travers bois direction la Pimpine. Des chemins relativement secs mais des racines et des souches nous y attendent.

La première petite pose. La famille se retrouve …Quelques commentaires de Fred.Puis on longe une prairie avec des petits chevaux.Et on rentre de nouveau dans la forêt.Un passage délicat !Une petite pose près d’un pont. Attention Céline ça glisse …Puis on va longer la Pimpine sur quelques km.

La Pimpine prend sa source à Créon, possède 2 affluents sur la commune Le Gouchebouc et Le Ruzat et se jette après 16,9 km dans la  Garonne au niveau de l’île d’Arcins.Un passage délicat.

Mais tout le monde est passé sans encombre.

Nous attaquons une petite montée tranquille vers le lieu-dit Calamiac. Au sommet une belle maison.Puis on descend un peu sur le bitûme vers la barrière 74.

La Barrière 74 :  Gare intermédiaire entre Sadirac et Créon au lieu-dit Calamiac, à l’origine pour les habitants de Madirac et Saint-Genès de Lombaud.

Prenons un chemin de traverse empierré puis attaquons dans les sous-bois une petite montée en direction du lieu-dit Chazelle. Redescendons vers la Maison d’hôtes « le Vélo Vert ». 

C’est maintenant plus facile car nous sommes en hauteur en surplomb de la piste cyclable dans un chemin très agréable en descente vers notre point de départ.

En fin de parcours une photo de groupe sur le joli pont au dessus de la Pimpine.En définitive, nous avons fait 10,5 km au lieu des 9 prévus sur des chemins secs et bien ombragés ; satisfait le groupe se disloque vers 17 h.

Notre randonnée  : 10,5 km

Animateur : Fred

Indice d’effort : niveau 1 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 ++ assez facile (configuration terrain, passages boueux, racines)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Les Participants :

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Serge

Bouvier Francine

Breil Myriam et Bruno

Cayre Maria et Michel

Cerdan Coraline

Champarnaud Valérie

Dupin Monique

Estebe Joël

Laffargue Patricia 

Laffargue Evelyne et Michel

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Métreau Céline

Mlynaski Marie-Line

Noël Françoise et Fred

Sopéna Emmanuelle

Vacellier Géraldine

Sylvia (en essai)

 

Trace du circuit au 1/25000

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