19/2022 LE TOURNE

 

Le village du Tourne : A l’origine implanté sur les hauteurs, sur la route qui mène à Tabanac, autour d’une église romane aujourd’hui détruite et dont il ne reste que le cimetière l’ayant ceint, le village s’est déplacé vers le 17e siècle vers le fleuve, un certain nombre d’habitants ayant une activité liée au transport fluvial dont la construction navale.

A la Révolution, la paroisse de Saint-Étienne du Tourne forme la commune du Tourne. Au cours du 19e siècle, la reconstruction de l’église Saint-Etienne dans le bas du village acte le déplacement du bourg vers le port.

Notre rendez se trouve près de L’Eglise Saint-Etienne du Tourne.

26 randonneurs se retrouvent.Et c’est parti. Serge drive le groupe.

Le groupe passe sur le Pont de la Rose qui enjambe le Grand Estey qui est à son niveau minimum et longe l’estey sur quelques longueurs.
Puis le stade Alain Giresse, on longe la route en passant devant l’Intermarché et le Bricomarché de Langoiran et on se retrouve dans la nature.

Tout d’abord en abordant une sérieuse montée.En haut de la montée une pause pour se ressourcer.Et comme toujours ça discute lors de la pause.Après la montée une descente plus scabreuse.Au loin Le Château La PeyrucheUne autre pause se profile.

Serge en profite pour compter ses troupes.

Quand Olivier fait des recherches sur ce champignon : le stéréum insignitium !!! tout frais

Le groupe arrive sur le Haut-Langoiran, passe devant un monument historique « La Maison Rateau »Puis l’église St-Pierre-Es-Liens.

L’édifice, construit au moyen âge en style roman, porte le vocable de Saint-Pierre depuis 1326. Le mur nord de la nef, le coeur et son portail, datent du XIème siècle. Le bas-côté a été construit au sud en 1541. Le clocher, en forme de tour carrée surmontée d’un toit en pavillon est recouvert de tuiles plates.

Puis une petite descente vers le Château de Langoiran.
Le Château de Langoiran.C’est aujourd’hui la journée du Patrimoine, mais pas le temps de visiter.Un beau lavoir.Lieu-dit … Le Gardera

Le groupe longe la route de Cadillac puis la Garonne sur un agréable chemin en bois et en sous-bois. Que c’est agréable !Passage sous le pont de Langoiran enjambant la Garonne.

Langoiran est une commune de 2255 habitants  en bordure de Garonne. Ses habitants, les Langoirannais. Sa surface de 10 km2 se répartit entre le centre bourg et son port, le Pied du Chateau et le Haut Langoiran. Le quartier du port est constitué de jolies maisons, d’un ancien relais « le Saint Martin », de maisons de pêcheurs construites au XVIe siècle.

Dans le centre bourg, l’Église Saint-Léonce  fut construite au XIXème siècle.

Le Grand Estey totalement à sec.Puis les

chantiers navals depuis 1877, pour la construction de bateaux en bois (yoles, gabarres, etc…), 40 ouvriers dans les années 30, puis laissé à l’abandon en 1885 ; bâtiments rachetés par la mairie en 1997 pour la restauration de bateaux en bois du patrimoine.

Une belle cabane pour la pêche au carrelet.

Puis retour au point de départ.

Trace de la randonnée du Tourne

La randonnée  : 10 km

Animateur : Bouet Serge

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 2 assez facile (configuration terrain, passages boueux, racines)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Les Participants :

Afergan Elie + BM

Barbirato Annie

Baron Brigitte

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Bonneau Olivier

Bouvier Francine

Breil Myriam et Bruno

Champarnaud Valérie

Dupin Monique

Estebe Joël

Laffargue Patricia

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Martin Marie-Jo

Mlynaski Marie-Line

Noël Françoise 

Pons Monique

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Vacellier Géraldine

Sylvia (en essai)

 

18/2022. SADIRAC

 

Sadirac est une ville moyenne de plus de 4300 habitants (les Sadiracaises et Sadiracais). Une superficie de 19,2 km2 éclatée dans de nombreux lieux-dits. Elle possède la plus grande superficie des communes du Créonnais.

L’église Saint-Martin : Jadis fortifiée, elle présente encore aujourd’hui une charpente gothique et un clocher datant de 1863. Cette charpente est inscrite aux Monuments Historiques par arrêté du 24 décembre 1925.

Sadirac est reconnu depuis l’antiquité pour son savoir ancestral de la poterie grâce à l’argile du terroir. Ce savoir-faire fût sa renommée et sa puissance au-delà de nos frontières. Au 18e siècle, l’industrie potière atteignait son apogée ; on peut dire qu’à l’époque dans chaque famille il y avait un potier. On comptait également plus de 150 fours dans la commune.

Plusieurs entreprises de poterie prospèrent jusque dans les années 60 et ferment dans les années 80.

La Poterie Fouragan construite dans le bourg vers 1830 produisait, dans une quarantaine d’ateliers occupant une centaine d’ouvriers, des moules destinés aux raffineries de sucre, puis la fabrication de pots destinés aux résiniers landais et à la poterie d’usage domestique.

Aujourd’hui, les vestiges restaurés de l’établissement industriel et du four désaffectés accueillent le Musée de la poterie et de la céramique de Sadirac. Celui-ci raconte l’histoire avec une collection d’objets issues de fouilles archéologiques.

Chaque année une manifestation d’envergure internationale a lieu au mois de juin.

La ligne de chemin de fer devenue piste cyclable

Au 19e siècle, Sadirac se trouvait sur une ligne de chemin de fer reliant Bordeaux à Espiet pour alimenter les usines en matériaux. Chacune des villes desservies possédait une gare qui servait de halte pour les marchandises. Cette ligne était aussi empruntée par les voyageurs qui pouvaient se déplacer de ville en ville, ce qui était un privilège pour l’époque. La ligne fut fermée en juin 1940 au moment de l’occupation allemande.

En 1979 cette ligne a été arrêtée après la fermeture de la cimenterie d’Espiet. Elle fut transformée en piste cyclable appelée Roger Lapébie, du nom d’un cycliste renommé de la région.

L’ancienne gare de Sadirac abrite la maison du patrimoine naturel du Créonnais.
Des activités culturelles, pédagogiques et scientifiques pour tout public y sont proposées à travers les dimanches « découverte de l’environnement » (tous les dimanches entre 14h30 et 18h, entrée libre et gratuite) avec balades, ateliers, films et expositions. Chaque semaine, un nouveau thème est à découvrir. Les jeudis soirs culturels (diaporamas, conférences, sorties nocturnes, …) ont lieu à 18h30 .

C’est le moment des retrouvailles mais aussi celui de faire de nouvelles connaissances : 26 randonneurs dont 4 nouveaux sont au rendez-vous.C’est Fred qui va mener le groupe.Quelques mots sur Sadirac, sur le club et sur la randonnée (face à 4 nouveaux arrivants).

C’est parti … le groupe démarre en arpentant une centaine de mètres de trottoir.

Et passe de suite au bassin aux salamandres.

Pour prendre à travers bois direction la Pimpine. Des chemins relativement secs mais des racines et des souches nous y attendent.

La première petite pose. La famille se retrouve …Quelques commentaires de Fred.Puis on longe une prairie avec des petits chevaux.Et on rentre de nouveau dans la forêt.Un passage délicat !Une petite pose près d’un pont. Attention Céline ça glisse …Puis on va longer la Pimpine sur quelques km.

La Pimpine prend sa source à Créon, possède 2 affluents sur la commune Le Gouchebouc et Le Ruzat et se jette après 16,9 km dans la  Garonne au niveau de l’île d’Arcins.Un passage délicat.

Mais tout le monde est passé sans encombre.

Nous attaquons une petite montée tranquille vers le lieu-dit Calamiac. Au sommet une belle maison.Puis on descend un peu sur le bitûme vers la barrière 74.

La Barrière 74 :  Gare intermédiaire entre Sadirac et Créon au lieu-dit Calamiac, à l’origine pour les habitants de Madirac et Saint-Genès de Lombaud.

Prenons un chemin de traverse empierré puis attaquons dans les sous-bois une petite montée en direction du lieu-dit Chazelle. Redescendons vers la Maison d’hôtes « le Vélo Vert ». 

C’est maintenant plus facile car nous sommes en hauteur en surplomb de la piste cyclable dans un chemin très agréable en descente vers notre point de départ.

En fin de parcours une photo de groupe sur le joli pont au dessus de la Pimpine.En définitive, nous avons fait 10,5 km au lieu des 9 prévus sur des chemins secs et bien ombragés ; satisfait le groupe se disloque vers 17 h.

Notre randonnée  : 10,5 km

Animateur : Fred

Indice d’effort : niveau 1 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 ++ assez facile (configuration terrain, passages boueux, racines)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Les Participants :

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Serge

Bouvier Francine

Breil Myriam et Bruno

Cayre Maria et Michel

Cerdan Coraline

Champarnaud Valérie

Dupin Monique

Estebe Joël

Laffargue Patricia 

Laffargue Evelyne et Michel

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Métreau Céline

Mlynaski Marie-Line

Noël Françoise et Fred

Sopéna Emmanuelle

Vacellier Géraldine

Sylvia (en essai)

 

Trace du circuit au 1/25000

randonnee-25099239-2

17/ 2022 NEAC


Néac
est une commune de Gironde dont la proximité avec Pomerol a encouragé la vocation viticole. L’origine des noms de certains lieux-dits de la commune de Néac, tels Sauriac ou Sivrac, dérivés de Sivriacus témoigne de l’existence d’une civilisation gallo-romaine même si peu de traces subsistent de cette époque en raison des pillages des invasions germaniques. Au Moyen-Age, la paroisse de Néac est rattachée à la châtellenie de Puynormand, qui regroupait 22 paroisses.

Néac est également marqué par son passé viticole et par l’énergie dont ont fait preuve ses viticulteurs pour obtenir des AOC dont l’histoire fut mouvementée : les vins ont porté les noms de Pomerol ou de Néac-Pomerol, puis de Néac.

L’église Saint-Brice de Néac est un édifice spacieux du XIXe siècle qui surplombe la Barbanne. Elle se dresse à l’emplacement d’un premier édifice du XIe siècle. Cette église primitive apparaissant peu à peu trop petite, elle fait l’objet de remaniements et d’agrandissements. L’édifice est alors connu pour ses statues de Saint-Côme et de Saint-Damien qu’elle abrite et auxquelles les habitants de la région vouent une dévotion particulière. L’ancienne église a été rasée et un édifice est reconstruit en 1866 car elle se dégradait au fil du temps et menaçait de s’effondrer. L’église présente aujourd’hui une architecture traditionnelle du 19e siècle et est dédiée à Saint-Brice, diacre de Saint-Martin devenu évêque par la suite.L’ancien presbytère

Au fond du parking nous sommes 16 randonneurs qui prennent la direction du lieu-dit la Forêt, longeont le stade sur route. Rencontrons une première maison isolée, prenons à travers vigne.
Longeons une haie et continuons sur le chemin suivant.

Contournons un bosquet puis un autre, puis un autre, puis un autre.

La mairie de NéacNotre parcours se fera essentiellement à travers vignesD’un pas aguerri
Si vous regardez leurs jambes et leurs bras on a l’impression qu’elles courentA noter le jeu de main de Bruno et de bras de SergePareil courent-elles ?Plus loin une exploitation viticole
Au lieu-dit la Veille des LandesPassons sur un ruisseauLe Château Saint-Paul

Au loin un autre Château se dévoile.

Traversons la départementale D12 et prenons  le chemin direction le Château Chaigneau.

Château Maine Chaigneau est un vignoble à Néac créé en 1985 pour l’exploitation et la vente de vin. Ce domaine familial propose des produits issus de la viticulture depuis 4 générations. Le vignoble possède une superficie totale de 7,80 hectares répartie en Lalande de Pomerol, en Montagne Saint-Émilion et en Bordeaux.

Rejoignons la route et traversons le hameau Chatain.

Le Château Chatain existe depuis quatre générations. Cinq hectares de vignes y sont choyés dans le respect des traditions et de la nature. Tourné vers l’oenotourisme, le Château n’est pas en reste côté idées. Des visites œnologiques donnent à découvrir terroir, savoir-faire et histoire. Des jeux d’assemblage permettent aux visiteurs de recevoir quelques secrets de cette « cuisine des dieux ». L’été, on y organise des barbecues champêtres où savourer produits du terroir mais aussi des apéritifs fluviaux à Libourne. le domaine propose des visites en calèche, en tuk-tuk, en vélo ou en side-car.

Nous arrivons au Château de Sauriac. Avant de pénétrer dans cette propriété Denis fait l’historique des différents Châteaux que nous avons vus.

Prenons l’allée du Château Siaurac, rentrons et admirons le majestueux château et ses dépendances…

Le Château Siaurac est un exemple des importants domaines viticoles de la commune de Néac. Ce château d’architecture classique reprend les grandes lignes du précédent château du 18e siècle, et présente une façade symétrique à deux niveaux. Le côté sud donne sur un parc boisé, tandis que la façade opposée ouvre sur une cour entourée de deux ailes qui abritent bureaux, chais et diverses salles indispensables à un tel domaine viticole.

La propriété est classée monument historique. On remarque le charme champêtre de ses pierres et le romantisme luxuriant de son parc. Bâti par L.B. Fischer, paysagiste rendu célèbre pour son travail dans le jardin public de Bordeaux, le jardin composé de petits lacs, de vastes pelouses et de bois percés privilégie rhododendrons, séquoias et tulipiers, là où le pied de vigne a valeur d’or rouge.

Enfin nous retrouvons la magnifique église et le parking de départ.

La matinée se termine pour certains par un pique-nique convivial sous un arbre bien ombragé.

Animateur organisateur : THOMAS Denis

Distance :  10 km –

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Bonneau Olivier

Breil Myriam et Bruno

Champarnaud Valérie

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

16/2022 UN WE DANS LE LOT

RANDONNEE KARSTIQE DE CREGOLS  (04/06/2022)

Karstique : Karst (du slave Kras) désigne un relief particulier associé à des plateaux calcaires.

CREGOLS est un village de moins de 100 habitants (les crégolais et crégolaises)  d’une superficie de 1835 hectares.

La commune est partagée entre une vallée et le Causse. Elle fait partie du parc national des Causses du Quercy. Son nom semble venir du mot « escargol ». Son patrimoine est particulièrement riche.

L’église (1875-1885) bâtie sur une ancienne chapelle des Templiers du 12e siècle, domine le Lot sur une falaise rocheuse et fait face au château qui était habité au 14e siècle par des religieux. Le chevalier Hector de Crégols fut nommé évêque de Coumba au Portugal. L’eau fut source de richesse pour la commune. Presque toutes les maisons possédaient un four à pain. Réservée aux plongeurs expérimentés, la principale source au bourg de Crégols est un lieu de plongée souterraine de renommée internationale. Les falaises offrent également des lieux d’escalade de haut niveau.

Tout le monde se retrouve sur la place du village pour le premier pique-nique du WE.

Et l’on s’affaire dans les préparatifs.

La centaine de cannelés fabriqués par Bernard pour le dessert.Départ en bordure du LotEn parcourant de nombreux chemins bordés de murets en pierres sèches, nous contemplons les maisons quercinoises, les pigeonniers de formes différentes, des casuelles.

Un chemin bien ombragé et bien apprécié.Une petite pose.

En surplomb de la phosphatière.L’eau sur le Causse. La récupération ingénieuse de l’eau de pluie.La réserve d’une ancienne ferme.

Les gariottes, petites pépites en pierre pour s’abriter du soleil ou de la pluie.Les casuelles en pierres sèches.On se ressource bien à l’ombre ; il fait chaud.Une autre casuelle, cabane en pierres sèches servant d’abri pour les humains et les animaux.Une ancienne ferme en ruines.

Son puits.

L’igue de Crégols est un gouffre large de 80m et profond entre 20 et 40m. il s’agit d’une salle souterraine qui a été formée par remontée d’eau lors des crues depuis un drain principal. L’agrandissement du vide souterrain combiné à l’érosion de la surface a produit l’effondrement du plafond fragilisé. L’eau a aujourd’hui disparu.

 

En fin de randonnée une pose boisson sur une agréable terrasse.

Distance 6,1 km. Dénivelé : 182 m

 

SAINT CIRCQ LAPOPIE au départ de Bouzies. (05/06/2022)

Bouzies : petit village de 88 habitants sur une superficie de 8 km2. C’est un haut lieu de navigation sur le Lot.

Le Lot, 2ème rivière de France après la Marne traverse 5 départements. Il prend sa source en Lozère et se jette dans la Garonne. Il se distingue par ses longs méandres et ses boucles. Avant l’établissement des chemins de fer, le Lot était une très importante voie navigable.

Nous nous retrouvons sur le parking en bordure du Lot à Bouzies.

Et c’est parti pour une journée de randonnée.Avec de très belles vues sur les falaises.L’église de Bouzies.Les oeuvres d’un ferronnier d’art.A la croix nous obliquons vers notre droite.
Nous sommes sur le Causse, en bas le village de Bouzies.
Un arrêt récupération.
La photo symbolique dans les bois. A droite Olivier émoussé…. enmoussé.Une végétation très particulière.On se ressource une nouvelle fois.Et c’est reparti.Et d’un bon pas.Serge jubile…Nous surplombons maintenant Saint Circq Lapopie.  Que de belles vues.La vallée du Lot et ses champs bien alignés.Une vue sur Lapopie….Et en attente de visiter le centre de Lapopie.

Lapopie et ses magnifiques maisons.

Son église
Dans les rues.

Un ancien moulin transformé en gîte.

L’ arrêt repas en bordure du Lot.

Un sérieux approvisionnement assuré par Françoise et Guy.

En fin de repas

L’église de Bouzies

Le chemin de halage construit en 1845 était utilisé par des chevaux afin de permettre aux gabares de remonter les courants en direction de Bordeaux. Les produits transportés étaient des vins, des prunes séchées, mais également les produits des tourneurs sur bois dont surtout les robinets des tonneaux à vin. Le Lot fut déclassé en 1926 comme voie navigable et aménagé pour le tourisme en 1990.

Le long du chemin de halage … les touristes passent une écluse.Le sculpteur Daniel Monnier a réalisé un bas relief dans le flanc creusé du chemin de halage qui représente à sa manière l’environnement de la rivière, de sa faune, de sa flore et de ses fossiles.On trouve même les yeux de « Pierre ».

 

Les herculéennes de Bouzies

Durée : 5h10.   Distance : 14,4 km    Dénivelé : 335 m

Trace de stcirq

 

VERS SAINT- GERY

Randonnée VERCINGETORIX.   VERS-SAINT-GE-(to)RYx (05/06/2022)

La commune de Vers-Saint-Gery est née d’une fusion récente de 2 communes Vers et Saint-Gery.

On y trouve entre autre, des vestiges préhistoriques, un castrum, un aqueduc Gallo-romain,qui alimentait en eau la ville de Cahors du 1er au Ve siècles. Ce dernier trouve sa source dans la vallée du Vers et serpente en conduites souterraines ou à flanc de falaise, en surplomb des vallées sur une trentaine de kilomètres.

Certains descendent de la montagne mais le rendez-vous est près de La Chapelle de Velles près de Vers. Le groupe maintenant est au complet.

Quelques précisions de Serge sur le déroulement de la journée.Départ de la chapelle de Velles.
Les Rives du Lot
Les premières vues en bordure du Lot.
Les Rives du Vers
De belles chutes en dégradé.
Le bâtiment des Chartreux.

Les jardins familiaux

L’église de Vers

La tour des Chartreux. Partie d’un logis du XIVe siècle, avec 2 tours qui conservent des archers cruciforme à double croisillon (actuellement occupée par l’hôtel de la Truite dorée)

Hôtel Restaurant Spa La Truite Dorée (Saint Géry-Vers) | Tourisme Lot

Notre direction…..Le moulin de ….Un chemin ombragé très agréable.Les ruines de maisons troglodytes.

Brigitte en visite en cours de chemin dans une troglodyte.Un abri de Saint-Jacques de Compostelle.Un autre ancien moulin transformé en gîtes.Que c’est beau.Une belle brochette sur un piédestal.

Et quelques cadors aussi.

Sur le Causse

On se retrouve après une sérieuse grimpette pour le pique-nique du midi. 

Merci de nouveau à Françoise et Guy pour la logistique.

La table d’honneur.

D’autres ont prévu les sièges, la classe moyenne quoi.

Mais d’autres aussi au ras des pâquerettes.

On mange même debout.

Ont elles bu elles aussi ??

Et c’est reparti en descente pour l’après- midi.

De suite un ancien enclos pour ferrer les vaches. Jacques n’a pas vu cela depuis longtemps.

Une borie à travers champs.La seule difficulté de l’après-midi, arriver à passer sous la branche.

Un groupe de choc.

Très sérieux les panneaux indicateurs de la région.Le retour est maintenant proche.

Le surplomb des méandres du Lot

Dans les bois, Olivier récidive. A quand la moumoute ??Retour vers Vers et l’on passe aussi de nouveau au-dessus du Vers.

Distance : 21 km – Dénivelé positif : 411 m

Le réconfort de fin de séjour

     Trace de Verss

CAHORS  (06/06/2022)

Marc pose devant le pont Valentré. Où est donc le diable ?

Il fait chaud sur le Lot, nous prenons le bateau pour une visite fluviale de Cahors.

Cà bronze…. Guy semble toutefois inquiet.

On passe une écluse dans le sens aller.

Plusieurs ponts de styles différents se succèdent.Quelques vues sur la ville de Cahors.

Nous allons maintenant repasser l’écluse dans l’autre sens.Un visiteur accompagnateur.Pour finir un demi-tour devant le pont Valentré. Qui a réussi à voir le petit diable ??

Seules quelques personnes ont pu voir de près le diable du pont Valentré mais pas du bateau. Les voici les voilà.Et l’on passe au repas en terrasse en bordure du Lot.

Quelques photos insolites

Un couple d’enfer.A quoi jouent-ils ??

Qu’ils sont gros tes escargots !!!

Sur les hauteurs de Lapopie.

Les UBBistes sont fidèles au rendez-vous. Ah là là quelle déculottée …Fred plus que sceptique sur le résultat …
Bernard heureux devant le cassoulet du dernier soir.Denis se masque. Elle te va bien la moustache.

On est sur le départ, photo souvenir devant le bungalow apéro.

Un temps exceptionnel, de très belle randonnées empierrées, une très bonne ambiance conviviale. Félicitations à Marc et à Serge pour cette excellente organisation.

LES PARTICIPANTS

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danièle Bernard

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Buisseret Sylvie et Pierre

Caillaud Christine 

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Croisille Françoise et Guy

Imbert Pascal

Lataste Martine

Noël Françoise et Fred

Thomas Joëlle et Denis

15/ 2022 CARIGNAN DE BORDEAUX

CARIGNAN de BORDEAUX
Commune de 3881 habitants et 878 hectares. Le château de Carignan est sans aucun doute le plus beau monument de la commune et aussi le plus emblématique, puisque, grâce à son excellent vin, le nom de « Carignan » fait le tour du monde.

Par un très beau soleil, les mordus de randonnées se réunissent sur le parking des écoles de Carignan de Bordeaux. Aux commandes, Marc va piloter la randonnée du jour : 13 randonneurs sont au rendez-vous.

Et oui Marie-Claude est bien des nôtres !Un peu de bitume au départ en direction de Bouliac, puis un beau chemin boisé et un premier arrêt boisson.On passe près d’un plan d’eau bien envahi par les algues.Un peu plus loin une autre petite pose : allez on boit …

Arrivons sur Bouliac et ses très belles vues sur Bordeaux.

BOULIAC : 750 Hectares – 84m de hauteur ce qui lui a valu d’être réputée comme le balcon de Bordeaux – 3400 Bouliacais. C’était un lieu reconnu au VIe siècle par Grégoire de Tours comme lieu de miracles. Au XIIe siècle une nouvelle église fut construite ; c’est l’actuelle qui a été dédiée à Saint-Siméon de Stylite. C’est un véritable joyau de l’art roman, elle se compose d’un clocher, d’une nef et d’un cœur.  Elle est classée monument historique.

Bouliac et ses très belles maisons.Et ça cause derrière les lunettes de soleil. Norbert, tu sembles transpirer !De nouveau des passages très ombragés.On se ressource un peu.Toujours des chemins bien ombragés, merci Marc. Une très belle maison en pierres.Un beau domaine bien protégé par de beaux chiens.Et toujours de l’ombre, que c’est bon.Très heureuse Maie-Jo …. Joël dans son ombre.Et Norbert toujours impérial.Un pont sur un ruisseau à sec.Arrivons près du domaine de Baritault.

Au loin le Château de Carignan se dévoile. Nous n’en ferons pas le détour.

LE CHATEAU CARIGNAN : L’histoire de ce château remonte au 13e siècle.
Au 16e siècle, après plusieurs changements de propriétaires, d’importants travaux furent entrepris.
En 1814, le château fut acheté par le marquis de Casapalacio. C’est à cette époque que les armoiries du marquis furent ajoutées au-dessus de la porte d’entrée de la tour de la cour intérieure.
En 1892, le château fut acheté par Honoré Picon, fils de Gaëtan Picon, fondateur de la marque « Amer Picon ».
Le château fut entièrement rénové et agrandi par l’addition d’une orangerie, d’un nouveau cuvier et des chais.
C’est à cette époque que le château prit définitivement le nom de CHÂTEAU DE CARIGNAN.

Et la touche finale de l’après- midi, Brigitte a emmené la nappe pour le pot de l’amitié. Quelle organisation !!! Bravo les Baron !!! Danièle nous a emmené des petits gâteaux de sa fabrication et aussi quelques bouteilles.

Annie une spécialiste du Proséco.

Elle partage avec Norbert. De vrais connaisseurs …

Et enfin après avoir bu et papoté, il faut bien ramener les vides.

Un après-midi très réussi, bien ombragé avec beaucoup de convivialité.

Animateur organisateur : Marc BARON

Distance :  11,6 km – 281 m

Indice d’effort : niveau 2-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

 

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Cantillac Marie-Claude

Champarnaud Valérie

Estebe Joël

Garcia Norbert

Gaudière Danielle

Martin Marie-Jo

Métreau Céline et Eric

Noël Françoise et Fred

14/ 2022 Sauternes

Sauternes, petite commune d’un peu plus de 800 habitants, nichée au cœur de l’appellation de Sauternes. Sa Mairie est la seule mairie à avoir une vierge sur son fronton au-dessus de la devise « Liberté, Égalité, Fraternité », le bâtiment ayant été autrefois une école religieuse.

C’est un petit groupe sympathique de 11 marcheurs qui se retrouve sur l’aire de pique-nique en bordure du Ciron au Pont de la Madeleine, par un temps estival et pour une belle randonnée conviviale. C’est Elie dans le cadre de la préparation de son diplôme d’animateur qui mènera la danse aujourd’hui.

Les couleurs flashies sont de sortie ainsi que les couvre-chefs.Une belle masure en cours de réhabilitation.
A partir du lieu-dit « La Michelle » longeons le ruisseau du Piquant.

Sur la hauteur le château Lamothe au milieu des vignes.Nous prenons vers l’église et le centre du village.Une première petite pose pour se désaltérer.Arrivée au lavoir qui peut être alimenté par le ruisseau du Piquant.Au loin le Château de l’Arche.L’hôtel le Relais du Château d’Arche bénéficie ainsi d’un magnifique panorama. Très belle chartreuse du 17ème siècle, d’un bâti typiquement bordelais avec un beau perron et entourée de beaux jardins paysagés, l’ hôtel offre des prestations haut de gamme.

L’église Saint-Pierre-es-Liens

L’édifice construit au XIIème siècle a été agrémenté d’un clocher carré et d’un presbytère vers la fin du XVIème puis quasiment entièrement reconstruit au milieu du XIXème ; il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1925.

Longeons quelque peu la route pour aller au centre du village vers la mairie et la maison des vins de Sauternes.

Apercevons au loin le Château Guiraud, domaine viticole de 128 hectares.

Tout au long de son histoire, le Château Guiraud a fait preuve d’indépendance et tracé son propre chemin. Son esprit pionnier mène la propriété à créer son propre conservatoire de cépages. L’équipe amorce dès 1996 une profonde révolution culturelle en s’engageant dans l’étude de la biodiversité. En 2011, il devient le premier 1er Grand Cru Classé en 1855 à recevoir la certification Agriculture Biologique.

A travers vignes, arrivons au Château Filhot

Fondé en 1709 par Romain de Filhot, conseiller au parlement de Bordeaux, le Château Filhot s’étend sur 350 hectares, dont 60 en appellation Sauternes. A l’origine le comte Henri de Vaucelles cultive à Sauternes un vin classé 2ème Grand Cru dans le registre officiel des vins de Bordeaux de 1855. Un remarquable parc à l’anglaise conçu en 1845 par le jardinier paysagiste Fisher est aménagé autour du château de style néoclassique.

Puis au pigeonnier du Château

Le pigeonnier, de la seconde moitié du XVIIe siècle, est bâti sur un coteau dominant la vallée du Ciron. Des lucarnes d’envol sont ouvertes aux 4 coins cardinaux. Deux bandeaux de pierre forment des obstacles pour les prédateurs. Cette tour pigeonnier est tout ce qui reste d’un ancien Château Pineau du Rey transformé au 19ème siècle en basse-cour de la Marquise de Lur-Saluces et devenu au XXe siècle l’ensemble monumental des chais du Château Filhot.

La curiosité de ce pigeonnier est constitué par son échelle tournante intérieure qui permettait d’accéder aux nids  afin d’y prélever les pigeonneaux destinés à la consommation.

Un passage au soleil sur l’asphalte et on se retrouve maintenant dans les bois bien à l’ombre. La fin de parcours s’annonce être bien agréable.

 Il faut toutefois se ressourcer.Plus loin, Elie nous conte « Le Ciron ».

Long de 97 km, Le Ciron traverse le plateau des Landes de Gascogne, le plateau du Bazadais et les coteaux du Sauternais. Un petit cours d’eau certes, mais qui offre de nombreuses activités : balades, pêche, canoë, dégustation de Sauternes, visites culturelles … Il est bordé d’arbres qui composent une Forêt Galerie.

Zone naturelle très sauvage, les arbres protègent la rivière du soleil et permettent à l’eau de rester fraîche, même pendant l’été. Ainsi, les brumes matinales se forment et favorisent l’apparition du champignon botrytis cinerea, indispensable à la production du Sauternes.

On passe au-dessus de cette rivière.Il nous reste environ 3 km à faire en la longeant … à l’ombre et … dans le sable.Après près de 13 km … ils semblent un peu fatigués.Un dernier passage délicatEt enfin nous retrouvons notre point de départ, le pont de la Madeleine.

Le sauternes est le caprice d’un curieux phénomène. Les brumes matinales s’élevant au-dessus du Ciron alliées à la douceur automnale encouragent le développement d’un champignon, le botrytis cinerea, qui vient sublimer le raisin déjà mûr. La récolte et le tri des raisins puis la vinification nécessitent beaucoup de doigté. C’est une délicate alchimie.

Sauterne Stage 2

Animateur organisateur : Elie

Distance : 12,230 km –    Dénivelé: 50m

Indice d’effort : niveau 2facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 2 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Bouet Serge

Cerdan Coraline

Deblois Béatrice et Olivier

Ducrocq Nathalie

Noël Françoise et Fred

Peere Laurence

Perthuis Fred

Sopéna Emmanuelle

13/ 2022 SAINT ETIENNE DE LISSE

Saint-Étienne-de-Lisse, commune située dans le Canton des coteaux de Dordogne, fait partie des 8 communes de la Juridiction de Saint-Émilion. Sa superficie est de 710 ha, elle se situe à 5 km de Saint-Émilion. La commune compte aujourd’hui 249 habitants, appelés les Stéphanois.

L’église Saint-Etienne : l’une des très rares églises de Gironde à chevet trèflé. Les bras du transept portent des absidioles. La voûte de la partie centrale du transept est sur pendentif. L’escalier du clocher est à vis à noyau évidé. L’abside et les deux bras du transept sont voûtés en cul de four. La nef est voûtée en berceau avec arcs doubleaux.

C’est un groupe de 21 randonneurs qui se présente au départ. Marie-Claude mènera la danse pour l’après-midi.

Quelques instructions avant le départ.

Et c’est parti comme toujours d’un bon pas.Un groupe très appliqué.En rose qui flashe c’est Dominique.Puis le Château de Pressac qui se dresse au-dessus du bourg et de l’église et domine la vallée de la Dordogne. Après la bataille de Castillon, la reddition des Anglais de la guerre de Cent Ans a lieu au château de Pressac. Le corps du logis date du XVIIe siècle, mais a été reconstruit dans le style néo-gothique au XIXe siècle, et selon les traditions locales, ce château aurait eu la particularité de posséder 27 tours dont plusieurs laisseraient encore apparaître leurs ruines. Ce château, à l’architecture fortifiée, a été remanié à plusieurs époques : la porte d’entrée, partie la plus ancienne, s’ouvre sur une muraille de deux tours et est surmontée de mâchicoulis devant lesquelles étaient anciennement creusées des douves. Les propriétaires actuels ont aujourd’hui commencé la restauration du chai.

La Tour du Château.

Il faut bien de temps à autre s’arrêter pour se désaltérer. Patrick hume ???…Michel le contemple. Brigitte interrogative??

Une belle croix au lieu-dit Rocher.

Marie-Claude heureuse de son bon groupe. Encore une petite pose soif et on y retourne.

Le Château Petit Mangot

Depuis 1934, 4 générations se succèdent pour exploiter les terres de Petit Mangot. A l’origine de 6 hectares de vignobles et de bâtiments, cette exploitation s’est agrandie à 12 hectares en 1984.

Et lors d’une pose une séance de yoga à l’initiative de Michel.

Vers le Château CantinLe Château Cantin est la propriété de Jean Leprince depuis 1999. C’est un des beaux terroirs de Saint-Émilion, réuni sur 33 ha de vignes d’un seul tenant, sur des sols argilo-calcaires et argilo-siliceux avec présence de crasse de fer dans le sous-sol. Le petit ruisseau situé au bas de la colline, le « Cantin »» qui jamais ne se tarit, a donné son nom au domaine.

Pour vinifier ses raisins, le domaine applique la méthode de vinification traditionnelle. Les raisins sont alors vinifiés dans des cuves inox thermo-régulées et des cuves ciment thermo-régulées en fonction des cuvées. Pour tout ou partie de ses cuvées, le domaine a recours à la vinification sous-bois en utilisant des barriques de chêne selon l’aptitude des moûts à tenir le bois.

L’ancien  Château Haut-Bresson ?? En désuétude malheureusement.

Cet olivier a été offert au Château Haut-Bresson par sa Majesté le Roi Juan Carlos d’Espagne. 

 

Le bois de la Croix de Tourans. A savoir que depuis la croix de Tourans, il y a un magnifique point de vue sur toute la vallée de la Dordogne. Le lieu-dit de la Croix de Touran est situé dans un petit bois et accessible uniquement à pied ; il permet d’admirer l’ensemble du paysage viticole.

Un public intéressé par les explications.Une belle vue.

Tout le monde s’y plait.

Et pour finir cette randonnée ensoleillée c’est Dominique qui arrose son récent départ à la retraite. (Dominique en rose étant cachée par le verre de Serge !!!)

Un bon après-midi, une randonnée hors bitume … c’est parfait.

Animateur organisateur : COUPRIE Marie-Claude

Distance :  12 km –

Indice d’effort : niveau 2 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 2 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude

Couprie Marie-Claude

Cayre Maria et Michel

Cerdan Coraline

Champarnaud Valérie

Delignette Dominique

Dufour Marie

Gaudière Danielle

Maison Nicole et Patrick

Noël Françoise

Peere Laurence

Sopéna Emmanuelle

Villar Corinne

12/2022 LE POUT

Le Pout environ 650 habitants, les Poutois et les Poutoises.

Outre l’église paroissiale St-Martin et la croix de son cimetière, une dizaine d’édifices de la commune sont versés à l’inventaire général du patrimoine du Créonnais.

C’est Elie qui aujourd’hui sera notre chef de file : 23 personnes sont réunies près de l’église.

C’est par un temps agréable que nous partons de l’église St-Martin qui fut construite au 15ème siècle et remodelée aux 16ème et 19ème siècles. Son originalité se trouve être dans son volume intérieur mais qui n’est toutefois pas accessible. Par contre ses 2 belles cloches extérieures sont bien visibles.

Départ de la mairie. Et c’est parti … On longe tout d’abord sur quelques centaines de mètres la route.

Le Château RIVALAN

Le château était dédié à l’origine à l’élevage laitier puis à l’élevage de vaches à viande. A ce jour, c’est un domaine viticole de 52 hectares qui fait l’objet d’un traitement raisonné permettant de réduire les produits phytosanitaires. Sa particularité est de disposer d’un chai d’élevage dans les fondations du château avec un élevage en barrique entre 12 et 18 mois.

Au lieu-dit Marches, nous obliquons sur notre gauche pour partir à travers bois.

Passons le ruisseau La Rivière.

Dans les bois…Puis Le château de Camarsac, bâti sur un promontoire au 14ème siècle, appartient à la famille Lurton. L’oenotourisme y est pratiqué à travers son fameux     « Clos du Prince Noir « .
Pas très beau, le nouveau chai couvert de panneaux photovoltaïques.

C’est mieux comme cela.Et encore ainsi.En cours de route les oies nous accueillent avec leurs petits.

Prenons le chemin ….

Une petite pose boissons toujours en futée.Puis le chemin de …

Dans les bois, des passages délicats.

Les poules et le coq sont aussi là pour nous accueillir.Que c’est bon à l’ombre des arbres. Elie aide pour les passages délicats.Et on continue…

Une maison de pierres appelée la Ruine ???
Ruisseau de la Hutte. Annie hésite à y passer.

Traversée du Grand Bois. Puis arrivée au lieu-dit …Arrivons sur le village de…Dans les arbres une palombière.Arrivons au lieu-dit…Amorçons une belle descente dans un chemin bien agréable.

Passons de nouveau sur La rivière, puis encore.Prenons la route de…

Longeons maintenant le ruisseau La rivièreQue nous allons une nouvelle fois passer.

En fin de randonnée un Elie bien radieux.

C’est vers 17h que nous retrouvons le parking. Jacques nous y attend la bouteille à la main pour nous servir le pot de l’amitié. Félicitations à Mamy-Claude et Papy Jacques qui arrose la naissance de leur petit-fils Lenny.

randonnee-388701-2-2

1ibp stage 1

Animateur organisateur : AFERGAN Elie

Reconnaissance: Elie, Denis

Distance :  11,2 km –  Dénivelé: 118 m

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 2 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude

Champarnaud Valérie

Cerdan Coraline

Desmond Alexandra

Gaudière Danielle

Laffargue Patricia

Noël Françoise et Fred

Rischard Sylvie et Philippe

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

 Nathalie en essai

 

11/ 2022 FARGUES SAINT-HILAIRE

25 randonneurs se retrouvent parking des écoles à Fargues Saint-Hilaire dont Patricia venue faire un galop d’essai.C’est Corinne qui a en charge le groupe et Marc fera les commentaires adéquats.Ce grand circuit de 12,8 km nous fera faire le tour de Fargues Saint-Hilaire en passant par Cénac et Carignan-de-Bordeaux, la plupart du temps sur de beaux chemins ombragés. Nous y découvrirons entre autres : le vieux bourg de Fargues, des arbres remarquables, des lavoirs, des châteaux, une ancienne voie ferrée, des grottes et bien d’autres surprises !

Tout d’abord l’ancienne mairie-école.

La situation globale de l’enseignement primaire en France apparaît médiocre à la chute de l’Empire (abdication de Napoléon 1er en 1815), qui ne s’en est guère préoccupé. Beaucoup de ces bâtiments utilisés pour la classe sont inadaptés et dépourvus de cour, de préau ou encore de toilettes.

Après la défaite de 1870 (guerre contre la Prusse) que l’opinion générale attribue à la supériorité de l’éducation primaire prussienne, l’École fait l’objet d’efforts particuliers afin d’être en mesure de préparer les futurs citoyens. La grande loi en matière de construction scolaire est promulguée le 1er juin 1878 et oblige les communes à construire des maisons d’écoles.

L’école type de la 3ème République est constituée de la mairie au centre, en légère avancée de façade surmontée de la devise républicaine, des écoles de garçons et de filles de part et d’autre et du logement du maître à l’étage.

C’est ainsi que la commune de Fargues Saint-Hilaire se dote en 1874 d’un ensemble mairie-école.

Il existait trois moulins sur la commune de Fargues Saint-Hilaire, un à eau sur le ruisseau de la Canterane, et deux à vent. Ces moulins permettaient à la population essentiellement rurale de moudre leur production locale de blé pour produire de la farine.

Le moulin des écoles ou moulin rouge est le seul des deux moulins à vent à être visible et encore en élévation, bien qu’il soit difficile pour celui qui n’est pas au courant de se rendre compte que cette tour est bien un ancien moulin à vent.

Situé en hauteur, sur une ligne de crête, pour profiter au maximum des vents, ce moulin est un moulin tour : constitué d’une tour maçonnée en moellons, il était surmonté d’une toiture orientable dans le sens du vent, qui supportait des ailes fixées à un axe horizontal.

En 1865, Jean Richet, charpentier de moulins, vend le moulin et un lopin de terre à Jean Cassignard, tailleur de pierre. C’est certainement à cette époque que le moulin cessa son activité et que le nouveau propriétaire transforma le moulin en tour à créneaux et y accola une maison construite en pierres de tailles.

L’église Saint-Hilaire

L’église actuelle n’a été construite qu’en 1846 à quelques centaines de mètres de l’ancienne église romane, sur un terrain donné par les propriétaires du Château Beauséjour. Cette première église qui présentait fissures et lézardes suite au tremblement de terre de 1759 fut rasée et remplacée par le nouvel édifice.

Malgré sa date de construction relativement récente, la nouvelle église a subi plusieurs rénovations nécessaires suite aux nombreuses lézardes apparues sur les murs des bas-côtés et au plafond. En 1985, 60 micro-pieux sont enfoncés à 10 mètres de profondeur pour renforcer les fondations.

L’ancien presbytère

Nous sommes ici au coeur de l’ancien village de Fargues Saint-Hilaire. En effet l’ancienne église romane se situait au milieu du cimetière actuel au bout de la rue, à quelques dizaines de mètres de là.

C’est une belle bâtisse construite au 18e siècle en moellons comprenant plusieurs parties formant un “L” autour d’un jardin et d’une petite cour. Vu son emplacement et sa fonction, c’est surement l’un des plus vieux bâtiments de la commune encore debout.

Et oui, prudence, on respecte les consignes.Direction le…Passons devant un surprenant mur réalisé en de plusieurs centaines de tuiles canal empilées les unes sur les autres ; c’est le dernier témoin de l’ancienne tuilerie de Fargues.Le lavoir de la tuilerie

Le lavoir de la tuilerie est un des deux lavoirs publics encore visibles à Fargues Saint-Hilaire. Il a été construit en 1927 près d’une source en bordure du chemin de Musset. Les habitants alentours, principalement ceux de la Tuilière et de Marron, venaient rincer leur linge au lavoir. C’était un lieu éminemment social dans chaque village. Les femmes s’y retrouvaient une fois par semaine ou plus, et échangeaient les toutes dernières nouvelles du village et des parages.

Le nom “de la tuilerie” vient du fait qu’il existait ici une ancienne tuilerie qui a perduré jusqu’en 1920. En exploitant un gisement d’argile, elle fournissait les matériaux indispensables aux constructions locales : tuiles creuses qui recouvrent la majorité des toits alentours, ainsi que briques et carreaux utilisés pour les souches de cheminées et les sols.

Une petite montée par un chemin bien agréable.

Une bien belle glycine et
Un arbre portail.En arrivant sur Escorgeboeuf, Corinne joue du sécateur pour nous faciliter le passage.La vallée de la Canterane

Au fond du vallon, le cours du ruisseau de Canterane vient se jeter dans la Pimpine un peu plus en aval. L’endroit est bucolique avec ses pentes couvertes de prairies.

Le nom du lieu “Escorgeboeuf” est pour le moins surprenant et reste un mystère encore aujourd’hui. L’explication la plus logique serait de penser à un endroit où on égorgeait les boeufs, une sorte d’abattoir … ou bien un incident où un boeuf aurait été égorgé par une bête sauvage et qui aurait marqué les esprits ? 

Maison du garde-barrière.

La garde de la barrière était souvent confiée à une femme, épouse ou veuve d’un cheminot de la voie. Le confort de ces maisonnettes était réduit à leur plus simple expression : quatre petite pièces, pas de sanitaire ni d’eau courante ou d’électricité (parfois jusqu’en dans les années 60). Seul un petit poêle à charbon assurait le chauffage de l’ensemble. Souvent ces maisons “jouet” possédaient un jardinet pour améliorer l’ordinaire par quelques légumes, et en élevant poules et lapins…

Nous suivons pendant quelques kilomètres la piste cyclable encombrée de chutes d’arbres.Et Marc de faire des commentaires sur l’origine de cette piste cyclable.

Ancienne voie ferrée. Cette longue piste cyclable qui serpente en fond de vallée est en fait un ancien chemin de fer.

Après la première guerre mondiale, et face au développement du trafic routier, la ligne amorce un déclin inexorable. En 1951, l’unique train de voyageur disparaît définitivement, et en 1979 la ligne cesse complètement son activité. En 1996 le Conseil Général de la Gironde rachète l’emprise ferroviaire entre Latresne et Sauveterre et crée la piste cyclable Roger Lapébie sur un tracé de 54km.

Les Anciennes carrières.Et Denis fait le pitre.

Les nombreuses carrières que l’on peut voir ici le long de la piste cyclable étaient, à partir de 1873, desservies par la voie ferrée Bordeaux-La Sauve qui passait à l’emplacement de la voie verte. On peut encore voir ça et là, le long de cet ancien chemin de fer, les restes de quais aménagés pour faciliter le chargement des pierres, aujourd’hui en partie envahis par la végétation.

A partir du 20e siècle, l’activité a fortement ralenti. Si certaines carrières ont été réutilisées comme champignonnières, la plupart ont été abandonnées.

La bambouseraie.

Coraline et Elie en pause photo.

Le Château Léon.Une petite pose et quelques commentaires.

Ce domaine, dont le nom à l’origine était Camelon, faisait partie intégrante du château Carignan et s’en est détaché à la suite de deux ventes successives peu avant la Révolution.

Le domaine d’origine, appelé communément « la ferme du château Léon », est composé de plusieurs bâtiments édifiés à diverses périodes du 18e siècle, organisés autour du logis du fermier : logement de domestiques, chai, cuvier, écurie, cour, puits …

Le vin produit grâce à l’exposition et à son terroir était de grande qualité. En 1874, le vignoble était au maximum de sa production et on y récoltait 300 hectolitres de vin majorité de vin rouge. Les propriétaires, trop à l’étroit dans leur demeure campagnarde, firent construire tout à côté, un château dans le style de l’époque. Terminé en 1890, il est maintenant appelé « château Léon ».

Après plusieurs années d’abandon, il a été réhabilité en résidence composée de plusieurs appartements.

Le Château Carignan.

Situé pratiquement en face de l’église, de l’autre côté du petit vallon creusé par un affluent de la Pimpine, ce château dont l’histoire remonte au moins au 13e siècle est sans doute à l’origine de la paroisse de Carignan. La situation du vieux bourg de Carignan et plus particulièrement de l’église est intimement liée à l’histoire du premier château de Carignan.

Au 16e siècle, après plusieurs changements de propriétaires, d’importants travaux furent entrepris sur le château actuel, notamment pour agrandir le côté est. En 1814, le château fut acheté par le marquis de Casapalacio et subit une réfection complète car il était en piteux état. C’est à cette époque que les armoiries du marquis furent ajoutées au dessus de la porte d’entrée de la tour de la cour intérieure.

En 1892 le château fut acheté par Honoré Picon, fils de Gaëtan Picon, fondateur de la marque « Amer Picon ». Le château fut entièrement rénové et agrandi par l’addition d’une orangerie, un nouveau cuvier et des chais. A cette époque, le château prit définitivement le nom de Château Carignan. Depuis plusieurs propriétaires se sont succédés.

Le château est sans aucun doute le plus beau monument de Carignan-de-Bordeaux et aussi le plus emblématique, puisque que grâce à son excellent vin, le nom « Carignan » fait le tour du monde.

On descend maintenant vers le fond d’un vallon.

Et c’est là que le magnanime « Bruno » porte secours à un vététiste en perdition.

L’éolienne Bollée.

A la fin du 19e siècle, Honoré Picon, fils du fondateur de la marque « Amer Picon », fait édifier une éolienne dans le bas de son domaine Baritault pour exploiter une source toute proche.

Cette curieuse et magnifique éolienne était donc utilisée pour pomper l’eau du ruisseau et la remonter jusqu’au château d’eau du domaine Baritaud situé dans la tour « donjon », en contre-haut de la colline.

Construite en 1896 par Ernest-Sylvain Bollée, industriel au Mans, elle demeure une des seules éoliennes Bollée encore en élévation dans notre région. Formidable témoin du patrimoine industriel de cette époque, elle mériterait d’être sauvegardée et restaurée comme par exemple celle du château de Beauval à Bassens.

Une ancienne cressonnière en désuétude.

Nous nous retrouvons au parking où Joelle nous offre le « pot de l’amitié » en ce jour d’anniversaire.

Animateur organisateur : VILLAR Corinne

Reconnaissance : Corinne , Marc et Brigitte

Distance :  12,8 km – dénivelé 129 m

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Trace.    Randonnée de Fargues St.Hilaire

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Marc

Bouet Francine

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude

Cerdan Coraline

Champarnaud Valérie

Garcia Norbert

Gaudière Danielle

Lagorce Pierre

Maison Nicole et Patrick

Marcandella Jean-Christophe

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred

Rischard Sylvie et Philippe

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Patricia (en essai)

10/2022 AUDENGE Le domaine de Certes

L’Histoire : Le domaine de Certes et Graveyron, propriété du Conservatoire du littoral, est un espace naturel unique de 530 hectares au cœur du Bassin d’Arcachon, sur les communes d’Audenge et de Lanton.

Ce domaine, façonné par la main de l’homme, a connu des vocations agricoles, salicoles, piscicoles et forestières. Il offre un paysage exceptionnel de domaines endigués, des bassins piscicoles et de prairies humides.

Cet espace abrite de nombreuses populations d’oiseaux tout au long de l’année, dont certaines espèces rares et protégées.

 Ce n’est qu’un petit groupe de 12 randonneurs qui se retrouve sous la houlette de Serge par un temps bien frisqué et avec beaucoup de vent. Nous allons longer le domaine de Certes sur plus de 13 km.

C’est parti et voilà ce qui nous attend.On passe devant le château de la propriété.

Ce château a été construit au XVIIIe siècle par le marquis de Civrac. Il fut reconstruit vers 1840 par Ernest Valeton de Boissière et partiellement restauré en 2004.

Puis les dépendances construites pour l’exploitation du sel.En début de rencontre les biches nous saluent au loin dans la prairie.Sous de beaux pins parasols.Les différents plans d’eau du domaine sont régulés par des écluses.

Les eaux peu profondes des bassins sont favorables au développement d’algues et de plantes aquatiques. Une flore mixte, adaptée soit à l’eau salée du Bassin d’Arcachon, soit à l’eau douce amenée par les pluies, favorise une belle biodiversité. Les plantes aquatiques, vers, petits coquillages, crustacés forment le début d’une chaîne alimentaire où s’insèrent les poissons, proies à leur tour des hérons, cormorans, aigrettes… Certaines espèces comme la gorge bleue à miroir blanc y nichent. Milieu tranquille situé sur une des voies principales de migration, Certes et Graveyron forment aussi un site d’hivernage très apprécié des oiseaux migrateurs, comme la spatule blanche.Au dérivé, au loin la dune du Pyla.Hormis les aigrettes et les cygnes, les hérons cendrés, les cormorans, les spatules ne sont pas ce jour au rendez-vous. Toutefois un beau cygne : le cygne tête levée.Le cygne tête baissée et envasée.Une cabane de saunier ??Les huttes des chasseurs de canards. Au fond on aperçoit Arcachon.Plus loin le Cap Ferret.La pause photo devant le bassin. Tout le monde est bien couvert.Des plans d’eau à perte de vue.Quelques passages boueux. Attention.Un couple d’heureux ils sont passés.Le beau chapeau de Myriam.Quelqu’un va t’il chuter ??Une petite pose boisson.Un autre passage délicat pour la famille Page.

La très belle église d’Audenge.

Quelques kilomètres difficiles pour finir sur la piste cyclable, mais le réconfort arrive.

Les professionnels ouvrent tout d’abord les huîtres pendant que Marc prépare l’apéro.Et on lève le verre à l’attention de Brigitte…

En fin de repas les très bons cannelés faits maison par Bernard. A découvrir  plus loin sa recette. Au début du café il y en avait 103 sur le plateau.

En fin de café … Pour qui le dernier ??  Au fait qui l’a pris ??

La recette de Bernard : Cannelés (108 petits)

Plan de la randonnée

Animateur organisateur : BOUET Serge

Distance : 13 km –  Pas de dénivellé

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Baron Marc

Berkesse Bernard

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Dury Edith

Lataste Martine

Noël Françoise et Fred

Page Francis