24/2024. LORMONT

Un groupe de 29 randonneurs s’est donné rendez-vous sous le pont d’Aquitaine. C’est Serge qui va assurer.

Ancien chef-lieu de canton, forte d’ environ 24 000 habitants, Lormont est l’une des vingt-huit communes de la métropole bordelaise. Cette cité s’est développée sur une crête rive droite de la Garonne. Elle doit au caractère stratégique de son site d’être choisie comme lieu de résidence, d’abord par les archevêques de Bordeaux, puis par les rois-ducs et princes d’Aquitaine, pendant la période anglo-gasconne. Le bourg développe dès cette époque un port, d’où des passeurs font la navette avec Bordeaux. Au 18e siècle sont aménagés des chantiers navals. Célébré par Stendhal, le bourg abrite de nombreuses guinguettes au 19e siècle où les Bordelais viennent se divertir.

Lormont est aujourd’hui une commune de la première couronne périurbaine de Bordeaux, dont elle constitue une des banlieues nord. Elle compte sur une parure monumentale discrète, parfois classée (église Saint-Martin, ermitage Sainte-Catherine …) et sur la présence du Pont d’Aquitaine « monument emblématique » de la cité.

Serge rappelle les dates de réalisation, l’historique et les caractéristiques des différents ponts qui surplombent la Garonne sur Bordeaux.

 Quelques précisions sur le Pont d’Aquitaine :

Ce pont, le dernier sur la Garonne avant l’estuaire a une longueur de 1767m, une largeur de 20,90m, une hauteur de 58m et une portée de 394m. Il fut construit entre 1961 et 1967.

Départ : Nous attaquons le Vieux Lormont vers la rue de la Cité puis la rue Pimpin par une petite montée sur l’asphalte vers l’église Saint-Martin.

L’église Saint-Martin, église catholique est inscrite aux monuments historiques depuis 1925.

Passons devant le Lavoir Gelot

Abordons le parc de l’ermitage dans un environnement arboré très agréable à travers sous-bois par une autre sérieuse montée.

De la gaité dans nos rangs.Dominons maintenant la Garonne avec de très beaux paysages.

Une petite pose pour se regrouper en bordure du plan d’eau avant d’en faire le tour.

Le «nuage» est un habitat aménagé au calme que tout un chacun peut louer.

Les bords de la carrière se reflètent dans l’eau.

Par des escaliers métalliques nous accédons à un belvédère pour de très belles vues sur Bordeaux, le Pont d’aquitaine, la Cité des Vins et tous les édifices religieux.

Un petit détour pour aller au Château des Iris situé aux abords du Parc de l’Ermitage. Sur le site de la ferme des Iris, un château du XIXème siècle de style Louis XIII. Construit en 1864 à la demande de Madame Blanc de Manville, le site offre un panorama remarquable sur la Garonne, les ponts du Port de la Lune et sur la Cité du Vin. Le parc du Château des Iris est le terrain de jeu des enfants du centre de loisirs.

Les couleurs bleu, blanc, rouge des différentes parties de la façade….  semble-t-il serait une évocation et une reconnaissance des couleurs du drapeau national.

Passons par la ferme pédagogique.

Puis devant le lavoir de Lissandre. Les sources d’eau multiples qui traversent la commune ont contribué au développement de lavoirs et de fontaines. Lormont a possédé jusqu’à huit lavoirs au début du 20e siècle. Aujourd’hui il en reste cinq. Les lavoirs Gélotde Lissandre et Banchereau sont les plus emblématiques de ce patrimoine hydraulique local.

Une petite montée entre tram et voie ferrée pour nous diriger vers le lieu-dit « la Buttinière » et arpenter quelque peu la ville sur le dur.

Retournons vers le Parc de l’ermitage pour le refaire à contre sens.

Ce lieu a toute une histoire :A l’époque sur le Haut-Lormont de nombreuses et très belles demeures avaient été construites. Parmi eux les Châteaux Raoul, Carriet et l’Hermitage qui furent détruits au milieu du 20ème siècle avant le début de l’exploitation de la carrière par une cimenterie.

A la fin de son exploitation la carrière fut aménagée en parc avec un plan d’eau, de la végétation et les sentiers de balades que nous venons de parcourir.

Une sérieuse montée à travers bois nous amène sur le chemin du retour vers le Vieux-Lormont que nous allons cette fois-ci descendre par une agréable petite route piétonnière pittoresque avec toujours de très belles vues sur le pont d’Aquitaine.Nous remontons pour passer à  travers le cimetière et devant le stade de football Christophe Dugarry. Au sol une signalétique particulière trace un circuit de visite dans le Vieux-Lormont.

Arrivons à l’arrière du Château « Le Prince-Noir »

Le Château du Prince Noir : Situé en belvédère sur la Garonne et sur l’entrée de Bordeaux, le château surplombe le bourg. Les premières traces de constructions sur le lieu datent de la fin du 11e siècle, cependant le château fut détruit et reconstruit de nombreuses fois. Il tient son nom d’Edward de Woodstock, prince de Galles et d’Aquitaine, qui y a séjourné au 14e siècle, avant qu’il ne devienne la résidence de campagne des archevêques de Bordeaux. En 1453, le château a été le théâtre des négociations de la fin de la guerre de Cent ans. Inscrit sur la liste supplémentaire des Monuments historiques en 1991, il a été entièrement rénové à partir de 2007.

Un restaurant gastronomique s’est depuis installé dans ses dépendances.

Le cours Florent y a ouvert en 2017 une école de théâtre et de cinéma. Des stages adultes et enfants y sont dispensés tout au long de l’année.

Certains y parcoureront le très beau parc.Un arbre mis en lumière….Le cours Florent.Et quelques flash en direction du pont pour  faire ralentir la circulation.Un agréable petit escalier permet de rejoindre la route principale. Nous redescendons vers la Garonne et sommes attirés par les réalisations d’un sculpteur de pierres.

Le lavoir Banchereau est le plus ancien. Ses origines remontent au 14e ou 15e siècle. Situé en contrebas de la rue du Général de Gaulle, il a été en activité jusqu’en 1975. 

Très belle randonnée… c’est fini… le groupe se disloque… RDV samedi prochain à Croignon

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Animateur : Serge Bouet

Distance : 10 kms

Participants :

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Boisumeau Sylvie et Philippe

Bouet Serge

Bonneau Olivier

Bouvier Francine

Caillaud Christine et Eric

Devaux Chantal

Cayre Maria et Michel

Guille Nathalie

Laffargue Patricia et Hervé

Laffargue Evelyne et Michel

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie-José

Michel Jean-Marie

Noël Françoise et Jean

Perrin Christine

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23/2024 GRADIGNAN- MANDAVIT

 

Notre rendez-vous est au parc de Mandavit. Sur 24 ha de prairies et 33 ha de bois plantés de pins maritimes, de pins parasols, de chênes et de châtaigniers, ce parc très réputé se distingue par le nombre et la qualité de ses équipements sportifs de plein air (terrains de football, parcours vitalité, pistes cyclables de loisir…)

25 randonneurs se retrouvent sur le parking. C’est un peu humide mais le beau temps persistera toute la randonnée.

C’est un Bernard décontracté qui prend en charge le groupe … c’est parti….

Contournons la bibliothèque Jean Vautrin puis le Théâtre des 4 saisons; arrivons en bordure du ruisseau L’eau Bourde que nous franchissons par un petit pont.

Passons par le parc animalier et devant le moulin Monjous..

Longeons l’eau bourde que nous franchirons encore 2 fois.

Passons devant un ancien orphelinat.

Arrivons au parc de Pelissey et à ses installations sportives. Passons à proximité du collège Alfred Mougin et Franchissons encore 2 fois l’ estey.

Un arrêt pour se regrouper;

Un kilomètre le long d’une route; passons le long des habitations.

Longeons les chemins de Verdun et de Chambery.

Bifurquons en bordure de forêt et  vignes; puis petite pose casse-croûte.

Passons les lieux-dits l’Oustalot, le Bahut, puis retour vers notre point de départ.

Trace Gradignan-Mandavit.

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Animateur : Bernard Berkesse

Distance : 9,7 km

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Bernard

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Bonneau Olivier

Bouvier Francine

Breil Myriam et Bruno

Cayre Maria et Michel

 Cluzeau Anaïs

Deveaux Chantal

Ducrocq Nathalie

Laffargue Evelyne et Michel

Lagorce Pierre

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Jean

 

21/2024 LIGNAN DE BORDEAUX (boucle de la Communauté de Communes)

Lignan de Bordeaux, petit village de 9 km2 et d’un peu moins de 900 habitants.

Un peu d’histoire….

Dès les temps préhistoriques : le village est occupé par les Hommes, comme en témoigne la découverte d’outils du paléolithique dans le bourg, dans la grotte de Carle et sur les lieux-dits de Nadau, Mondet et Avensay. De cette époque, on a mis au jour les vestiges d’un site potier à Cavaillac et trois fours dans le bourg prouvant l’existence d’une production céramique artisanale sur le lieu.

Au Moyen Age des monastères apparaissent : celui du Clos Saint-Jean puis celui de La Ligne. Ce sont les moines qui construisent l’église Sainte-Eulalie aux XIIème et XIIIème siècles. A noter la présence des tombes monolithes et de nombreux sarcophages autour de l’église.

Le  27 décembre 1792  la paroisse Sainte-Eulalie va devenir Lignan-de-Créon lors de la première séance du conseil municipal qui a lieu dans l’église.

En 1847 sont fondés les établissements Saignes : 6 usines de cinquante ouvriers qui fabriquent jusqu’en 1934 des pulvérisateurs, des soufreuses à traction animale.

En 1873 est inauguré le premier tronçon de la ligne de chemin de fer Bordeaux -Eymet pour emmener les pierres des carrières de l’Entre-deux-mers dont celles de Lignan. A Lignan, ces carrières deviendront par la suite des champignonières.

Vers 1900, la crise de phylloxéra va ruiner les propriétaires des grands domaines viticoles. La ligne de chemin de fer devient alors un atout pour un homme d’affaire nommé Bertrin qui va bouleverser en quelques années la vie de Lignan. Il rachète le Château Seguin, crée un élevage porcin de 300 têtes, un cheptel de 100 vaches laitières, un haras de chevaux et entretient un vignoble de 110 ha.

Dans les années 1930 à Lignan-de-Bordeaux : 9 forgerons, plusieurs charrons, un maréchal ferrant, une scierie, 3 bars-restaurants, une auberge, 3 épiceries et le moulin de Zuera qui emploie 20 ouvriers. L’école fût construite en 1877 et plusieurs fois agrandie.

Outre l’église Sainte-Eulalie et le Château Isle-fort qui bénéficient d’une protection au titre des monuments historiques une vingtaine de lieux et édifices sont recensés à l’inventaire général du patrimoine.

Pendant la randonnée de ce jour le club a en charge de vérifier le balisage mis en place par la communauté de communes  dans le cadre du circuit des 11 clochers et de repérer les anomalies éventuelles.

C’est Marc qui prend en charge un groupe de 16 randonneurs. Elie quant à lui propose une randonnée-douce de 6 kms pour 5  d’adhérents.

On va bientôt partir et on brique les lunettes de soleil avant faire quelques commentaires.Puis direction les lieux-dits Laflosque, Bidon, le Basque et Mons.

Passage sur un petit pont au-dessus du ruisseau le Rauzé. Puis une petite pause.Arrivée au centre du village de  Cénac et on admire la rénovation de son église.

L’église de Cénac est une église de confession catholique se situant au coeur du bourg. Elle fût édifiée au XIème siècle et fortifiée lors de la guerre de religion du XVIIème siècle.

Le groupe arrive maintenant en bordure de la piste cyclable Roger Lapébie qu’il va suivre jusqu’au point de départ.L’ancienne gare de Citon transformée en gîte de passage.

Le groupe passe devant la bambouseraie et à proximité d’une champignonnière.

Puis se dirige vers le point de départ pour la pose de fin de randonnée.

Une balise avant le passage de Marc

Marc sécateur à la main

Une balise de nouveau visible

Trace de la randonnée.

LES PARTICIPANTS

Baron Brigitte et Marc

Boissumeau Sylvie et Philippe

Bonneau Olivier

Bouvier Francine

Caillaud Christine et Pascal Imbert

M…..   Bernadette (et 2 amies en essai)

Maison Nicole et Patrick

Noël Françoise

Perrin Christine et Eric (en essai)

15/2024 CABARA

La commune de Cabara est située dans l’Entre-2-Mers, en rive gauche de la Dordogne. Elle est limitrophe de Branne à l’ouest et de Saint-Aubin de Branne au sud. Ses 350 habitants … (les Cabos)… vivent sur une superficie totale de 3 km2.

Le Port de Cabara, avec ses vieux entrepôts, rappelle que le village était tourné vers le commerce fluvial au XIXe siècle. Son port était très actif. Témoins de ces temps fleurissants, les maisons et les commerces des nombreux artisans et pêcheurs se dressent encore sur la rive du fleuve.

Le village est né sur les hauteurs, comme en témoigne le cimetière, à proximité duquel se trouvait l’ancienne église romane. Celle-ci ayant été détruite par un incendie, il a fallu faire appel à des dons afin de la rebâtir.

L’économie favorisait donc les riverains de la rivière qui prospéraient grâce au commerce engendré par les gabares. Ces bateaux rendus célèbres par la « Rivière espérance » descendaient du bois depuis l’Auvergne et le département de la Dordogne, pour remonter du sel et du vin.L’église Notre-Dame de Cabara, de style néogothique, a été achevée en 1882 dans le bas du village. Elle possède une remarquable flèche élancée qui surplombe un beffroi.

Le rendez-vous a été fixé sur le parking de l’église ; nous sommes 15 à nous retrouver. Et c’est parti…

Un très beau point de vue sur la Dordogne au lieu-dit Chicourin.

Lieu-dit Baillard. A l’horizon le très beau château de Blagnac. Le château est mentionné dès le XIIIe siècle, il a appartenu aux seigneurs de Blaignac et de Rauzan au Moyen-Âge.Une pose de récupération après une  bonne montée bien boueuse.Certains en profitent pour marauder quelques prunes.

Lieu-dit :
Une belle masure.Sous un autre angle.

Lieu-dit L’hérisson … autre pose.

Arrivons à St-Aubin de Branne.

Cette église de style roman est orientée est-ouest. le clocher est soutenu par d’imposants contreforts. A noter à l’extérieur des sarcophages de pierre reste du cimetière primitif. Elle a été classée aux monuments historiques en 1925.

Lieu-dit Labroue puis Lieu-dit Les Faures

Quelques biquettes pas farouches en bordure de chemin.Lieu-dit Pérey.

Traversons le pittoresque village de La Hage.

Passons devant Le moulin Lescours

Il a fière allure sur la colline de Lescours. Il aurait été construit vers 1810. Il porterait aussi le nom de Moulin de Thomas.

Antenne relai. A l’antenne nous décidons de modifier notre parcours afin de nous affranchir d’une portion de route sur bitume. En définitive, après un parcours tout d’abord agréable à travers vignes nous n’arrivons pas à rejoindre notre trace de base et faisons quelques kilomètres en plus en passant par Branne (et naturellement sur bitume). Bravo Fred

Le Mont Tremblant

Branne

Retour au point de départ

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Les Participants

Baron Brigitte et Marc

Breil Myriam et Bruno

Couprie Marie-Claude

Estebe Joël

Laffargue Patricia

Laffargue Evelyne et Michel

Lagorce Pierre

Maison Patrick

Martin Marie- Josée

Michel Jean-Marie

Noël Françoise et Fred

 

 

14/2024. SAINT-EMILION

Saint-Emilion, village d’une superficie de 27 km2 et de 1878 habitants, est avant tout une cité médiévale inscrite au patrimoine de l’humanité depuis 1999.

Un patrimoine architectural très riche à visiter, 12 monuments recommandés, en particulier l’église monolithe souterraine . Un site touristique de premier plan qui draine chaque année plus d’un million de visiteurs, renommé pour son patrimoine monuments mais aussi pour son patrimoine oenologique et gastronomique.

C’est temps plus qu’hasardeux qu’un groupe de 9 randonneurs prend le pas de Danièle  à travers les vignes dans de magnifiques paysages et pour apercevoir de beaux châteaux viticoles.

En voici quelques photosLes participants

Baron Brigitte et Marc

Bonneau Olivier

Breil Bruno

Couprie Marie-Claude

Gaudière Danièle

Laffargue Patricia

Sylvie et Philippe

12/2024 RIONS

Rions
Bâti sur une terrasse dominant la Garonne, Rions, petite commune de moins de 300 habitants, remonte à l’époque gallo-romaine. Son développement date surtout du Moyen Age dont elle conserve de nombreux monuments et qui en font sa fierté. Les puissants remparts, la porte du Lhyan, les tours Despujols et du Guet, puis la citadelle, dont le donjon domine l’ancien port et la plaine de la Garonne, sont les principaux vestiges. A l’intérieur de ce périmètre, on découvre l’église Saint-Seurin, avec son chevet roman, l’ancienne maison des marchands, la halle aux pois du XVIIIe siècle. De vieilles maisons bordent les rues comme la maison Bruhat ou le clos des Remparts.
L’église Saint-Seurin

L’édifice, construit à l’origine au XIIe siècle en style roman, a été agrandi par des bas-côtés et a vu sa nef rebâtie au XIVe siècle en style gothique ; au XIXe il a été agrandi sur le flanc nord et un clocher de néo-classique lui a été ajouté ; il est classé au titre des monuments historiques par arrêté du 1er

La randonnée : c’est Joël qui a concocté ce tracé qu’il va maintenant piloter. Seulement 10 randonneurs  au départ …. et oui le temps est ce jour plus que maussade. C’est parti ….. en contournant le village…. Quelques photos de tours.

Une ronde 

Une carrée 

Et des remparts.

 

Direction le lieu-dit BOUIT et ses moulins.

Le Château CAYLAchâteau Cayla Rions

Cayla est construit au milieu du XIXe siècle à l’emplacement d’une ancienne maison noble connue au XVIIIe siècle. Les historiens de Rions assurent que c’est le baron de Cayla qui donna son nom à une propriété nommée Fadia sur le Haut Rions. Le savant archéologue et collectionneur y mourut en 1831, Cayla passa à la famille de Galard. Un dessin montrant le château dans le même état qu’actuellement, et les armes de Galard figurant au-dessus de la porte d’entrée, on peut penser que la construction ou l’aménagement de la demeure telle qu’elle nous est parvenue se situe entre 1831 et 1873.

Lieu-dit Larchey

Le Château JOURDAN  Celui-ci s’élève sur les ruines d’un ancien prieuré bénédictin au sommet d’une colline.

Arrivée au monastère de Broussey. Le monastère de Broussey abrite une communauté religieuse appartenant à la branche masculine du Carmel Thérésien. L’ordre du Carmel a ses origines en Terre Sainte au temps des Croisades. Il s’est répandu en Occident quand la Palestine fut reconquise par les Musulmans. Ordre tout d’abord masculin, il vît naître en Europe une branche féminine, les Carmélites, actuellement bien plus nombreuses et plus connues du grand public, au moins de nom.Fichier:Rions Monastère du Broussey 02.jpg — Wikipédia

Le couvent du Broussey demeure la maison-mère du Carmel masculin français. Les communautés de Carmes ne sont jamais composées de nombreux membres, à la différence des grandes abbayes bénédictines ou cisterciennes.

Le Carme a pour mission apostolique la promotion, chez les fidèles, d’une relation personnelle avec Dieu. A la bonne distance des agglomérations bruyantes, le Broussey offre un espace de verdure et de silence apprécié de ceux qui y passent. En outre, il dispose de quelques hectares de vignes confiés en fermage à un viticulteur compétent fournissant un blanc moelleux et un vin rouge, détenteurs, l’un et l’autre, d’une honorable appellation contrôlée.

Le Château Boyer

Lieu-dit Laroque

Lieu-dit Basse-Roque

Passage à proximité du Château Reynon.

Puis du Château Pascaud.  Le domaine Pascaud est avant tout un lieu de réception. L’ancien chai a été aménagé en salle de réception, avec une vue sur le vignoble ; la terrasse couverte se prête idéalement à l’organisation d’un cocktail, mais ce n’est pas pour aujourd’hui. Un superbe parc à l’arrière. Un gîte est proposé au sein de cette maison de maître avec 6 couchages.

 

Lieux-dits La Mouliasse, et ensuite Baquey.

Au lieu-dit La Grange le groupe passe sur le ruisseau « le Nau »

Le groupe progresse maintenant à travers des bosquets et sur des chemins boueux …

 

En fin de parcours dans Rions par l’arrière du village… le Château Salins.

LES PARTICIPANTS

Baron Brigitte et Marc

Bonneau Olivier

Breil Bruno

Estèbe Joël

Laffargue Patricia

Laffargue Evelyne et Michel

Lataste Martine

 

13/2024 VERDELAIS

Verdelais, sanctuaire dédié à la Vierge Marie est l’un des grands centres de pèlerinage en Nouvelle-Aquitaine. L’ensemble du bourg, de grande qualité architecturale, comporte la basilique Notre-Dame, élément central du village, modifiée par de nombreux travaux aux XVIIe et XIXe siècles. La façade et son imposant clocher surmontés de la statue de la Vierge domine le parvis réaménagé. A côté, se trouve le couvent des Célestins et ses deux cloîtres. L’un abrite le presbytère, l’autre, construit par les Célestins aujourd’hui est le siège de la mairie, de l’école et du musée d’art sacré. Les allées conçues pour accueillir les fidèles lors des pèlerinages sont bordées de beaux immeubles et d’alignements de tilleuls. Un large escalier mène au cimetière où repose le peintre Toulouse-Lautrec et permet de gravir le mont Cussol par le chemin de croix pour atteindre le calvaire.

C’est Marc qui prend en charge le groupe de 13 randonneurs. Quelques informations sur Verdelais, sur la randonnée et c’est parti.

La basilique Notre-Dame de Verdelais
Edifiée en tant que chapelle au XIIe siècle, pour abriter une statue de la Vierge Marie rapportée de terre sainte, fût ravagée en 1357 et a été restaurée au début du XVIIe siècle. Un transept y a été ensuite ajouté puis, au début du XVIIIe siècle la façade occidentale a été remaniée. Enfin, de 1842 à 1875, l’église a été agrandie avant d’être élevée au rang de basilique en 1924. Elle fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 2010.

A Verdelais, en 1185, le premier malade guéri est un jeune aveugle. Ce miracle est suivi de beaucoup d’autres.
Un ex-voto en témoigne : en 1635, la fille du Procureur de Virelade, après trois visites à Notre-Dame, recouvre la vue dont elle était privée, dans l’église de Verdelais, au moment où le prêtre lit l’Evangile de la Messe célébrée à son intention.

Au XIXe siècle, 133 cas sont recensés entre 1819 et 1883.

La Vierge guérit des paralytiques, des sourds, des muets, des aveugles, protège des épidémies, sauve des marins en détresse, suscite des conversions …

La Tombe de Henri de Toulouse-Lautrec, né Henri Marie Raymond de Toulouse-Lautrec-Monfa le 24 novembre 1864 à Albi et mort le 9 septembre 1901 au château Malromé à Saint-André-du-Bois est un peintre et lithographe français.

Et Olivier de trouver dans les dédales du cimetière un champignon particulier.

Le chemin de croix : À l’entrée du chemin de croix, se trouve la chapelle dite de la Sainte-Agonie construite sur la base d’une chapelle pré-existante. Le chemin s’élève en sinuant dans un sous-bois et est jalonné, de part et d’autre, de quatorze chapelles de style néogothique, toutes identiques quant à leur forme et leur taille, soit environ deux mètres de largeur en façade sur trois mètres de profondeur, chapelles qui représentent les quatorze stations du chemin de croix. Les dites stations font l’objet, dans chaque chapelle, d’un bas-relief sculpté présentant la scène de la station : condamnation, charge de la croix, première chute, rencontre de la mère du Christ… Le parcours se termine par la chapelle du Saint-Sépulcre.

Le Calvaire : Au sommet de la colline, un calvaire monumental présente les  croix portant l’une le Christ, et de part et d’autres les 2 larrons (le Bon et le Mauvais)

Le moulin de Cussol : Moulin tour datant du XVIIIe siècle construit par les moines de l’ordre des Célestins. La commune l’acquiert en 1997, une « Association du Moulin de Cussol » est créée et s’occupe de sa restauration (tour, toit, ailes et mécanisme intérieur) possible grâce à des subventions municipales, départementales, régionales et européennes, ainsi que la participation de tous les membres de l’association à titre bénévole.

Juste à côté une autre tour qui est aussi vestige d’un autre moulin.

Le domaine de Malagar est une propriété située à Saint-Maixant. L’histoire de Malagar est intimement liée à l’écrivain François Mauriac pour qui Malagar fut une demeure familiale. Donné à la région Nouvelle-Aquitaine en 1985, le domaine accueille depuis 1986 l’association du Centre François-Mauriac de Malagar. Le jardin et son allée de cyprès ont été inscrits au titre des monuments historiques. La vue journalière sur la campagne qu’avait  François Mauriac
Mais qu’est-ce que cet arbre ?? On s’interroge encore.Nous arrivons dans le village de Saint-Maixant et nous nous dirigeons vers la Garonne.Garonne que nous suivons sur quelques kilomètres.Lieu-dit la Garonelle : Le port de la Garonelle a connu l’affluence des pèlerins qui arrivaient par bateau durant tout le XIXe siècle et qui montaient ensuite au chemin de croix.

La Chapelle Aubiac :  La paroisse d’Aubiac existait déjà avant la venue des Grands Montains qui vinrent s’installer dans le bois du Luc. En 1606 naît la confrérie de Notre-Dame qui s’établit dans l’église Saint-Maurice d’Aubiac. L’église dépend de l’abbaye bénédictine Sainte-Croix de Bordeaux qui exerce sur elle un droit de patronage, repris en 1655 par le couvent de Verdelais. En 1790, les officiers municipaux demandent à ce que le service paroissial soit transféré à Verdelais, l’église était régulièrement inondée et le culte y était impossible quatre mois dans l’année. La requête est acceptée en 1792 et l’utilisation des pierres de l’église pour paver le chemin est envisagée. Mais l’église n’est définitivement abandonnée qu’en 1820 et transformée en étable. L’édifice roman fut en grande partie construit avec les pierres provenant d’une ancienne villa gallo-romaine, détruite lors des invasions barbares. L’abside est voûtée en cul de four.

Cette église est maintenant transformée en maison d’habitation.

Un passage bien agréable.

En fin de randonnée le pot de l’amitié est offert par Brigitte et Marc et cela clôture cette belle randonnée.

 

Les  participants

Baron Brigitte et Marc

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Laffargue Patricia

Lataste Martine

Noël Françoise et Fred

Sylvie et Philippe

11/2024. CANEJAN. L’eau Bourde

CANEJAN est une commune de 12 km2, 6000 habitants, village de 500 habitants en 1949. Canéjan est délimitée par Pessac au nord, Gradignan à l’est, Léognan au sud et Cestas à l’ouest.

En 1971, l’implantation d’IBM va favoriser le développement économique de la commune.

Canéjan fait partie de la communauté de communes « Jalle Eau Bourde » avec Cestas et Saint-Jean d’Illac.
C’est Bernard qui va diriger le groupe de 21 randonneurs.Nous allons longer l’Eau Bourde (22,5 km) qui est un affluent de la Garonne et qui s’y jette au niveau de Bègles.Nous arrivons à proximité du Moulin de Rouillac :

Connu dès le Moyen-âge, ce moulin a appartenu au Baron Haussmann au 19ème siècle.

Racheté par la commune de Canéjan en 1991 et réhabilité selon les plans d’origine. Les écluses ont été reconstituées et remises en service.

Le moulin est devenu une maison pédagogique des énergies renouvelables.

Avec le concours de bénévoles et d’étudiants de l’Université, sa roue hydraulique qui servait à moudre du grain et alimenter en eau les châteaux du Baron Haussmann est dorénavant source d’électricité.C’est l’occasion de faire une petite pose boisson.Empruntons le :Passons devant le Château Seguin
Et continuons en particulier en sous-bois mais toujours à proximité de l’eau.
Arrivons en bordure de l’étang d’Ornon et d’impressionnants déversoirs.

Puis au Moulin d’Ornon qui se trouve sur la commune de Gradignan. Ce fut un moulin à farine jusqu’au début du 19e siècle ; puis il fut utilisé à partir de 1860 pour la pulvérisation du silex.

En 1878, la maison bordelaise Jacquemet en fit l’acquisition et y créa une fabrique de tapis et de couvertures en y installant des métiers à tisser.

De 1900 à 1920, on y trouvait un élevage de truites.

Acheté par la commune en 1978, le moulin servit de 1981 à 1997 au CNRS afin d’expérimenter l’élevage d’écrevisses.

Actuellement, des associations y proposent des activités culturelles.

Une maison bien tranquille au bord de l’eau.

En cours de chemin découvrons un paradis particulier

et aussi beaucoup de bambous dans les environs.Arrivons au Prieuré de Cayac toujours sur Gradignan.
Construit au début du 13e siècle pour être un hôpital avant de devenir un prieuré. Il est aussi un refuge pour les pèlerins en route pour Saint-Jacques de Compostelle.Aujourd’hui les bâtiments rénovés abritent des lieux de vie culturelle et associative, un gîte pour les pèlerins (dix lits), renouant ainsi avec la tradition, et aussi le musée de Sonneville.L’ensemble du site est inscrit aux Monuments Historiques en 2022.Devant le prieuré la très belle statue d’un pèlerin.Arrivons sur le site de Montgaillard, au Moulin de Tenet et son imposante roue à aubes.Survivance d’une fortification médiévale du 13e siècle, le moulin fut entièrement reconstruit au 18e.

Moulin à farine, il cessa son activité fin du 18e siècle pour la reprendre en 1844. Mais faute d’entretien, l’activité fut abandonnée à la fin du 19e siècle.

De 1920 à 1928, il fut utilisé pour broyer les fèves de cacao, puis entre 1930 et 1939 pour la fabrication de pain de glace.

En 1983, la mairie acquit le moulin et le parc. A noter que la roue à aube fonctionne toujours.
Et la fin de la randonnée se termine par un très bel apéritif offert par Danielle et Bernard.Suivi du pique-nique.Au dessert, les excellents canelés confectionnés par Bernard.

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Les participants

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danielle et Bernard

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Croisille Françoise et Guy

Dignac Françoise

Laffargue Evelyne et Michel

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Martin Marie-Jo

Noël Françoise, Fred, Thomas

Peere Laurence

10/2024 LE BROUSSEY à RIONS

 

Saint Joseph de Broussey, lieu spirituel et historique est situé sur la commune de Rions. C’est là que l’ordre masculin des Carmes a été restauré en France après la révolution. Les premiers frères s’y installèrent en 1841. La communauté du Broussey est composée de 10 frères, de 42 à 85 ans. Le P. Moïse est le Père Prieur de la communauté.

Dans la cour du monastère le groupe de 17 randonneurs.Nous accueillons Catherine et en essai son amie Maïté.

De magnifiques arums pour saluer notre départ.

C’est un parcours bien boueux avec des passages difficiles.Maïté et Catherine tiennent la route.Olivier lève la jambe. Passons à proximité du château Jourdan. Ce château fût construit sur les ruines d’un ancien prieuré bénédictin. Son nom fut donné en 1675 par les seigneurs qui y vivaient et l’édifice fut remanié vers 1850.

Puis vient l’arbre qui cache la vieille tour.Que l’on visite. C’est reparti sous le soleil sur des chemins plus secs.Arrivons au Château de Birot qui se trouve sur la commune de Beguey pour une petite pose ombragée et quelques commentaires de notre guide. Ce château se trouve au coeur du domaine viticole dans un parc arboré et fleuri. Il dispose de 6 chambres d’hôtes de très haute qualité. Le Château de Birot est une très ancienne propriété qui fut construite au début du XVIIIe siècle. Situé sur un promontoire qui domine la vallée de la Garonne, tout est mis en œuvre pour favoriser la culture de la vigne.

Direction Basse Roque et sa cascade.

Longeons le Lac de Laromet : Ce lac, situé à 4 km de Cadillac sur la route de Targon, a été aménagé en 1981 sur le ruisseau de l’Oeuille. Il sert de limite naturelle entre les communes de Laroque et Omet, d’où son nom « Laromet ».

Le Château du Broustaret :  La bâtisse du Château du Broustaret est édifiée en deux temps. Tout d’abord, au cours du XIXe siècle puis terminée au début du XXe siècle. Son architecture s’inspire des constructions du XVIIIe siècle. Ainsi, son toit masqué par une colonnade est plat.

Continuons en bordure de vignes pour retour au Broussey.

Un petit pot amical et toujours quelque chose à se raconter.

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LES PARTICIPANTS

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Bernard

Bouet Francine et Serge

Bonneau Olivier

Bouvier Francine

Irhir Catherine

Laffargue Patricia

Lataste Martine

Laffargue Evelyne et Michel

Maison Patrick

Noël Françoise et Fred

Quérité Marie

Maïté (en essai)

 

 

09/2024 Séjour en Dordogne

Un groupe de 23 randonneurs se retrrouve pour un séjour de 3 journées de randonnées du côté de la Dordogne.

Samedi 11 mai : L’histoire de Cadouin et de son abbaye

Cadouin est une abbaye fondée en 1115 par Géraud de Salles. Située dans le vallon du Bélingou, près de la Dordogne, à l’écart de toute habitation, l’abbaye est protégée du monde par l’épaisse forêt de la Bessède qui l’entoure.
En 1119, elle est la première abbaye à être affiliée à l’ordre cistercien.
Dotée de terres, de moulins, de rentes… par les puissants seigneurs du voisinage, l’abbaye s’enrichit et les travaux de construction des bâtiments commencent rapidement.
Jusqu’au départ des derniers moines en 1791, l’abbaye de Cadouin va connaître un destin exceptionnel.

L’église abbatiale de Cadouin est une église romane de trois nefs avec quatre travées voûtées en berceau brisé. Elle est consacrée en 1154 par l »évêque de Périgueux.
L’église possède la particularité d’être percée de trois oculi (petite fenêtre ronde) alignés, une sur la façace et deux sur la coupole. A chaque équinoxe, ces oculi sont traversés par un rayon de soleil, matérialisant l’orientation symbolique de l’église vers l’Orient.

Le cloître, de fonds roman, est décoré du XVe au XVIe siècle. Aux angles se trouvent de belles portes flamboyantes du XVe et portes Renaissance du XVIe siècle. Autour du cloître se trouvent des bâtiments abbatiaux restaurés au XVIIe siècle.

Randonnée et visite de Cadouin : 4,6 kmUn passage délicat.En bordure d’un plan d’eau.On arrive à l’abbaye.
On étudie mais on s’y repose aussi.

En haut à gauche, peut-être la fenêtre de la chambre de Joël, notre récent diplômé.On prend la pose.Pour le midi, direction le Bugue pour le repas tiré du sac. Puis randonnée de 9,4 km

Randonnée du 04:03:2024 à 19:44 – Randonnée

Et on s’installe confortablement.

Puis c’est parti pour la découverte du Bugue.Après la randonnée, on se ressource avant d’aller découvrir le gîte.

Dimanche 12 mai : 9 h Départ sur Beynac. Randonnée 8 km

Randonnée du 22:12:2023 à 19:26 – Randonnée

Les gilets jaunes sont de sortie.D’accord ou pas d’accord ??Le Château de Beynac.

Une borie bien fleurie.

Lundi 13 mai : 9 h – Randonnée vers le Buisson – 9,6 km. Au départ du gîte.

Randonnée du 02:02:2024 à 12:31 – Randonnée

Le repas tiré du sac près du pont de Vic

C’est fini, on repart.

Randonnée à Urval – 5,5 km du lundi après-midi

Urval est un petit village discret en marge de la route Bergerac/ Sarlat  avec plusieurs chemins de promenades très intéressants. Cette courte promenade propose une montée assez rapide au début, mais ombragée avec un magnifique petit hameau au final, ensuite superbe descente avec une très belle vue et enfin un léger faux plat pour le retour vers Urval.

 

 

Une terrasse bien méritée, la propriétaire sympa nous a servis avant de partir faire ses courses mais il fallait débarrasser les tables avant de partir.

Le dernier apéro du lundi soir sur la terrasse extérieureAvec « Dieu » en animateur de la soiréePuis le quizz organisé par Francine et Brigitte

On planche dur…  C’est du sérieux !

Le verdict tombe … la remise des prix, la première c’est Danielle

Puis Bernard 2ème et Françoise 3ème

Le repas d’adieu du mardi midi au restaurant

 

LA CONVIVIALITE AU GITE PENDANT CE SEJOUR

Olivier en maître cuistot …« Dieu » s’amuse..

LES PHOTOS INSOLITES
Un passage « vachement « délicat » !

La renarde au gîte « apprivoisée » qui mangeait nos restes de repas !!!

Qu’il est beau ce petit âne

Belle chute sur le chemin des meuniers

Le sphinx du liseron

Le crapaud solitaire nocturne.

Marie-Jo et Pierre

Les Participants

Afergan Elie

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danielle et Bernard

Bonneau olivier

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Cerdan Coraline

Dignac Françoise

Laffargue Patricia et Jean-Hervé

Laffargue Evelyne et Michel

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Martin Marie-Jo

Michel Jean-Marie et Catherine

Noël Françoise et Fred