23/2019… WE en Corrèze à MADRANGES

Que dire de ces 2 gîtes somptueux que nous a réservés notre Président pour ces 3 jours. Des moments très agréables et plus que conviviaux.

 

LE-SUC-AU-MAY (12 km) de 908 m à 560m

Le massif des Monédières culmine à 919 m et présente beaucoup d’attraits pour la pratique du vol libre.

Nous sommes 18 randonneurs regroupés devant le hangar du club de vols à voiles.

Empruntons tout d’abord sur quelques centaines de mètres l’asphalte.

Pour trouver rapidement un agréable chemin à travers les pinèdes.L’image contient peut-être : arbre, ciel, plein air et nature

Et on arpente d’un pas alerte…..

Une vue sur le cirque de Freysselines.

Laurence et non c’est de l’autre côté que çà se passe.

Jacques l’expert en la matière fait l’éloge de ce taureau. Certaines comparent.Un panneau indicateur mais plus de four à pain.

Une autre famille de ruminants au complet.

Arrivons à l’étang de Ganezande.Et rejoignons la route par une allée de sapins.Il est bien temps de se restaurer.

Après le repas, direction le sommet du Suc-au-May et sa table d’orientation.

Au sommet près de la table d’orientation.

MEYRIGNAC-L’EGLISE (9 km) 502 m à 649 m

Meyrignac-l’église est une des plus petites communes de Corrèze mais abrite quelques maisons classées du XVI et XVIIe. 

Le porche de l’église est un portail du XVe siècle dit « limousin », composé de plusieurs voussures en retraits successifs.

Sortons du bourg en direction de l’étang. A la Croix du Rameau prenons un chemin forestier qui contourne une butte.

Par une petite ruelle arrivons à l’étang de Meyrignac que nous longeons sur toute sa longueur.

Avons une vue sur le massif des Monédières

Continuons en longeant un petit ruisseau vers la ferme de L’Etang

Par un sous-bois accédons à l’Etang de Tourondel,

le Château du même nom et son four à pain

Les Mille Vaches ??

Traversons une plantation et arpentons plusieurs sentiers, franchissons un ruisseau et nous nous retrouvons à l’entrée de Meyrignac-l’Eglise.

Une agréable petite terrasse sur le chemin du retour.

LA PIERRE DES DRUIDES (9 kms) 539 m à 732 m

Nous quittons le clocher-tour de la petite église romane de Veix pour descendre vers la mairie et suivons la direction de Treignac. Belle vue sur Treignac, sur le Puy l’Orliac et la Monédière.

Franchissons un pont et montons sur un chemin empierré.

Au sommet du Puy d’Allogne empruntons une petite sente et ensuite retombons sur la route que nous suivons sur 1 km.

Traversons un pré puis un passage à gué pour remonter sur le hameau de Magnoux.

Suivons la route sur un petit km, avons une vue sur le Puy de la Monédière et retournons sur le hameau d’Allogne.

Lieu dit Mazubert. A l’entrée du Mazubert prenons un sentier ombragé jusqu’au Grand-Sérillac.

Lieu-dit Le Grand Sérillac.

Arrivons au hameau du Petit-Sérillac et prenons à gauche le sentier qui nous mène à la Pierre des Druides.

C’est dur…

On reprend alors quelques forces.

L’image contient peut-être : ciel, nuage, plante, plein air et nature

Une piste empierrée nous amène au hameau du Peuch que nous traversons.

Quelques bavardes nous accueillent.

Arrivons au moulin du Peuch.

C’est au plan d’eau du Peuch que nous prenons le pique-nique.

 

TREIGNAC (7 km) 427 m à 525 m

Dans ses ruelles comme dans ses alentours, Treignac a su nous charmer par ses vielles pierres et par sa cascade de toits surplombant les gorges de la Vézère, un site classé Natura 2000. La rivière et le bourg cohabitent si harmonieusement que l’on peut se demander si un jour l’un a existé sans l’autre.

Du centre de Treignac nous prenons la direction de Champeret.

Nous descendons une petite ruelle qui est le vestige d’une porte d’enceinte, avons une vue sur Treignac et la croix.

Très belle vue sur les ruines d’un châteauL’image contient peut-être : plante, arbre, ciel, montagne, herbe, plein air et nature

Prenons un sentier sur notre gauche et continuons vers le hameau de Coly puis descendons vers les gorges de la Vézère

Remontons vers le hameau de la Borie.

Passons à travers bois et avons une vue sur la cité médiévale de Treignac. Au lieu-dit le Pré-Palier nous descendons une petite route  pour regagner notre point de départ.

Sur le retour en cours de route une petite terrasse avec un serveur bien attentionné prenant la commande.

Reconnaissance : Serge

Photos : Fred, Denis, Marie-Claude, Laurence, Brigitte

Distance : 4 randonnées :

Suc-au-May: 12km – dénivelé positif 316 m – dénivelé négatif 317m – 3h45

Meyrignac-l’église : 9km – dénivelé positif 192m – dénivelé négatif 196m – 2h30

Pierre des druides : 9km – dénivelé positif 233m – dénivelé négatif 212m – 2h45

Treignac : 7km -dénivelé positif 210m – dénivelé négatif 206m – 2h30

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danièle et Bernard

Bouet Francine et Serge

Cantillac  Marie-Claude et Jacques

Couprie Marie-Claude

Croisille Françoise et Guy

Noureau Francette

Noël Françoise et Fred

Peere Laurence

Thomas Joëlle et Denis

Lien trace Suc au May: https://www.visugpx.com/DF12XeVTxE
Lien trace Pierre des Druides: https://www.visugpx.com/0RjI0uiayp
Lien trace Treignac:  https://www.visugpx.com/TwrP7iNlyv

 

Un arrêt à  COLLONGES LA ROUGE un des plus beaux village de France

Et pour conclure cet excellent WE, un Président heureux autour d’une bonne table.

Des convives toujours aussi joyeux

 

21/2019 ….NERIGEAN

Nérigean est un petit village qui s’étend sur 10 km2 et compte 830 habitants appelés les nérigeannais et nérigeannaises. Il fait partie de la communauté des communes du Libournais
Entouré par les communes de Génissac, Saint- Germain du Puch et Baron, Nérigean est situé à 3 km au nord-ouest de Saint Quentin de Baron la plus grande ville aux alentours.
Situé à 66 mètres d’altitude, les ruisseaux de la Brède et de Font Bilane sont les principaux cours d’eau qui traversent cette commune.

L’église Saint Martin est un édifice religieux de confession catholique édifiée au XIe siècle. En partie romane, il reste de cette époque sur la face nord, un contrefort plus étroit au pied et à travers lequel est pratiqué une fenêtre. La nef fut en grande partie refaite au 16e siècle, couverte de voûtes d’ogives.

C’est un groupe de 16 randonneurs qui démarre la randonnée sous la houlette de Jacques, qui salue le retour de Myriam et Bruno.

Le groupe passe tout d’abord à proximité du Gîte du château Perrotin.Résultat de recherche d'images pour "Perrotin à nérigean"

Puis vers les lieux-dits Bel air, les Mallets pour passer ensuite près du Gîte du Grand Canteloup.

Passage aux lieux-dit Plassiment, La Lande, Carreyre où se trouvent des écuries puis le Chalet, le Capin. Puis passage vers la Traille de Roland :  une légende dit que Roland s’amusait à sauter du clocher de Nérigean à celui de St-Germain-du-Puch. Le bourdon sur lequel il s’appuyait cassa et il tomba sur une grosse pierre sur laquelle sont restées ses empreintes …        * Traille = Trace

Les lieux-dits Le moulin à vent, Nourat où se situe le Château de Crain

Puis le lieu-dit Quantin en passant devant une belle demeure bourgeoise

Quelques autres photos de la randonnée:Certains n’ont pas résisté à la cueillette de figues 

La pause par la suite fût la bienvenue 

 

La façon originale à Nérigean pour réduire la vitesse:

La vendange manuelle dans le temps était bien plus sympathique 

Le groupe en mode poseDirection la cave viticole de Nérigean 

La boîte à livres 

 

Retour vers le point de départ 

Animateur : Cantillac Jacques

Reconnaissance : Jacques

Photos : Jacques Defaucheux

Distance : 10 km

Participants :

Barbirato Annie

Baron  Marc

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Michel

Desbordes Nadine

Defaucheux Françoise et Jacques

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noureau Francette

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Trace Nérijean

 

20/ 2019… Une journée au TEICH

 

Notre point de rendez-vous et de départ se trouve être au port du Teich, près de l’aire de pique-nique et à l’opposé de la réserve ornithologique. Le beau score de 22 randonneurs est atteint. Un peu frisquet et de la brume pour démarrer.

Francis et Fred vont mener le groupe.

Le port du Teich  se trouve sur un bras de l’Eyre, rivière qui se jette dans le Bassin. Longtemps port de pêche et ostréicole mais ces activités sont laissées de côté en 1982 pour faire place à un port de plaisance.

Nous prenons la direction du sentier du littoral et longeons la réserve ornithologique sur environ 5 kms.

A notre droite l’Eyre qui va se jeter dans le bassin d’Arcachon

et toujours sur notre gauche le parc ornithologique avec ses aménagements de points d’observation.

Arrivons à la digue en bordure du bassin d’Arcachon. Malheureusement  la brume tenace ne nous permet pas d’apprécier ce qui devait être  une très belle vue panoramique.

Continuons vers le port de Gujan- Mestras

Où la brume maintenant commence à se lever.

Traversons la voie ferrée et arpentons maintenant sur l’asphalte en direction de notre point de départ.

Passons devant l’église Saint-André et sur la place du marché.

Et retrouvons les voitures à notre point de départ pour ouvrir et déguster les huîtres qu’Edith a pris soin de nous amener. Naturellement le repas sera agréablement arrosé.

Discrètement à l’arrière Francette prépare l’apéritif.

UNE PARTIE DE LA FAUNE QUI RESTE A DEMEURE SUR LE SITE :

Le cygne blanc ou marron

La cigogne : Cet échassier s’observe facilement car il se déplace lentement au sol dans  les espaces découverts ou dans l’eau où il cherche sa nourriture.Résultat de recherche d'images pour "photos parc ornithologique du teich"

Le grand cormoran : il se dresse habituellement sur les piquets mis à sa disposition dans la réserve. Nous n’en verrons pas. Quand il plonge il est capable de rester plus d’une minute sous l’eau avant de remonter le poisson en surface.Image associée

La foulque macroule : elle nage lentement en hochant la tête et plonge régulièrement pour chercher sa nourriture. Son régime alimentaire est surtout végétarien.

L’aigrette garzette : elle niche en colonie dans les arbres ou se construit un nid fait de  roseaux et de brindilles ; sa technique de pêche est de marcher lentement ou de rester immobile dans l’eau peu profonde et d’attendre qu’une proie passe à proximité pour la harponner avec son bec effilé.

Résultat de recherche d'images pour "photos aigrette garzette"

 

L’après-midi

Nous longeons la baignade aménagée, puis passons le pont métallique au-dessus de L’Eyre. Longue de 135 km, elle est le fruit de la rencontre de deux eaux, celle de la petite Eyre, claire et plutôt calme et celle de la grande Eyre, foncée et impétueuse. De couleur rouille, elle est bordée d’une forêt galerie d’où son surnom de « petite amazone ».

Après avoir franchi le pont, nous arrivons à l’entrée du domaine de Fleury. Un panneau du Conservatoire du Littoral nous indique une chicane qui nous invite à entrer dans le domaine. Nous n’y passerons pas mais prendrons sur notre droite par la partie boisée.

Le domaine de Fleury : Considéré comme un espace naturel sensible à protéger, il sert de refuge à de nombreuses espèces animales et végétales. Dans cette optique, il est concerné par la convention de Ramsar relative aux zones humides d’importance internationale. Celle-ci recommande la préservation des habitats des espèces pour permettre leur sauvegarde.

Faisons un petit détour pour voir le nouveau pont construit au dessus de la grande Eyre et qui remplace celui qui avait souffert lors d’une tempête il y a quelques années.

Le « paradis des oiseaux » : Dans les prairies inondées, les cigognes, hérons et  aigrettes chassent à cet endroit. Les cygnes se reposent.

 Les écluses sont gérées et entretenues par le Conseil Général et le Conservatoire du littoral, elles permettent de réguler l’apport d’eau indispensable à la vie.

Le sentier est bordé de haies composé de différentes espèces de plantes. On retrouve notamment l’églantier avec ses cynorrhodons ou gratte cul, l’aubépine surnommé pain d’oiseau et le sureau avec ses petits fruits noirs comestibles qui font le bonheur des oiseaux.

Le Domaine des 4 paysans : Au 19éme siècle, quatre Téchois obtiennent une charte de Louis Philippe pour aménager cet espace (30 ha environ). Depuis 1834, rien n’a changé à part les vaches bazadaises et blondes d’Aquitaine qui ont pris la place des moutons de prés-salés. Quelques chevaux aussi en quête d’ombre.

Le chêne pédonculé : Ce grand arbre, qui borde le sentier, a un bois d’excellente qualité, durable et aux multiples usages. En automne, les glands tombent et servent de nourriture aux sangliers du domaine.

La cistude : Cette tortue aquatique d’eau douce est un animal craintif et discret. Par temps sec et chaud, elle prend des bains de soleil sur les berges des fossés mais au moindre bruit ou danger, elle plonge dans l’eau.

Après le domaine de Fleury, nous n’avons plus qu’à rejoindre le pont métallique et le port.  page3image3753632  page3image3709744 page3image3683120  page3image3743648  page3image3763616  page3image3685616 page3image3753008  page3image3755712

Nous retrouvons les voitures à notre point de départ et après les civilités d’usage le groupe se sépare.

Animateur : Fred Noël

Reconnaissance : Fred, Francis

Photos : Jean-Marc

Distances : 10 km le matin et 5,2 km l’après-midi

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Defaucheux Françoise et Jacques

Dubois Cyrille

Dury Edith

Lagorce Pierre

Martin Marie José

Noël Françoise et Jean

Noureau Francette

Page Francis

Peere Laurence

Priat Patricia

Soulie Jean-Marc

Thomas Joëlle et Denis

19 /2019 …LORMONT

 

Un groupe de 16 randonneurs s’est donné rendez-vous sous le pont d’Aquitaine et  salue particulièrement le retour de notre Francette (qui d’ailleurs en bonne routarde vérifie le bon laçage de ses chaussures avant le départ)

C’est Denis qui mènera la danse.

Tout d’abord quelques précisions sur le Pont d’Aquitaine :

Ce pont, le dernier sur la Garonne avant l’estuaire a une longueur de 1767m, une largeur de 20,90m, une hauteur de 58m et une portée de 394m. Il fut construit entre 1961 et 1967.

Départ : Nous attaquons le Vieux Lormont vers la rue de la Cité puis la rue Pimpin par une petite montée sur l’asphalte puis une autre plus sérieuse à travers le parc très arboré de l’Ermitage.

Dominons maintenant la Garonne avec de très beaux paysages.Un petit détour pour aller au Château des Iris situé aux abords du Parc de l’Ermitage. Sur le site de la ferme des Iris, un château du XIXème siècle de style Louis XIII. Construit en 1864 à la demande de Madame Blanc de Manville, le site offre un panorama remarquable sur la Garonne, les ponts du Port de la Lune et sur la Cité du Vin. Le parc du Château des Iris est le terrain de jeu des enfants du centre de loisirs.

Commentaire fut fait sur les couleurs bleu, blanc, rouge des différentes parties de la façade…. et qui semble-t-il serait une évocation et une reconnaissance des couleurs du drapeau national.

Chemin faisant nous trouvons un belvédère avec une très belle vue sur Bordeaux, le Pont d’aquitaine, la Cité des Vins et tous les édifices religieux.

Nous allons maintenant descendre vers le plan d’eau. Mais avant d’y descendre c’est là que Michel nous raconte sa virée nocturne avec des amis !

Ce lieu a toute une histoire :A l’époque sur le Haut-Lormont de nombreuses et très belles demeures avaient été construites. Parmi eux les Châteaux Raoul, Carriet et l’Hermitage qui furent détruits au milieu du 20ème siècle avant le début de l’exploitation de la carrière par une cimenterie.

A la fin de son exploitation la carrière fut aménagée en parc avec un plan d’eau, de la végétation et des sentiers de balades.

Par des escaliers métalliques nous arrivons maintenant sur le plan d’eau et apercevons le « nuage » un habitat aménagé au calme que tout un chacun peut louer.

Un peu plus loin une pause s’impose maintenant pour reprendre quelques forces.

Après le plan d’eau et la carrière une sérieuse montée à travers bois nous amènesur le chemin du retour vers le Vieux-Lormont que nous allons cette fois-ci descendre par une agréable petite route piétonnière pittoresque avec toujours de très belles vues sur le pont d’Aquitaine.

Passons devant l’église Saint-Martin, église catholique inscrite aux monuments historiques depuis 1925. Et retournons à notre point de départ.

Animateur : Denis Thomas

Reconnaissance : Denis, Marc, Fred

Photos : Jean-Marc

Distance : 8 kms

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre  Michel

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noël Françoise et Jean

Noureau Francette

Soulie Jean-Marc

Thomas Joëlle et Denis

 

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18/ 2019 CANEJAN Du Lac Vert au Lac Bleu

 

Canéjan : Le territoire communal est relativement modeste (1 200 hectares) et correspond à celui de l’ancienne paroisse Saint-Vincent, patron de Canéjan jusqu’à la Révolution. Malgré la construction récente de lotissements, les espaces boisés et viticoles ont été conservés, de part et d’autre du val de l’Eau Bourde.

Quelques mots d’histoire pour Canéjan… Des vestiges gallo-romains ont été découverts sur le territoire de la commune et attestent d’une présence humaine aux alentours de la fin du 1er siècle. Sous le parvis de l’église actuelle sont conservés des sarcophages mérovingiens. Le cimetière paroissial entourait l’église jusqu’à son déplacement dans les années 1890.

Au Moyen Âge, le site de Camparian, entre les bourgs de Cestas et de Canéjan, recèle un prieuré et un hôpital. Le dernier prieur meurt à Camparian peu avant la Révolution. Le prieuré de Camparian est vendu comme Bien National et devient une propriété agricole jusque dans les années 1960. Aujourd’hui, le site est communal. Une campagne de fouilles archéologiques a été conduite par la DRAC-Aquitaine. La chapelle et sa sacristie ont été découvertes. Un bâtiment, appelé monastère, a fait également l’objet de fouilles mais les vestiges de l’époque médiévale sont rares.

D’un pas alerte 13 randonneurs prennent la trace de Serge.

Le lac vert

Le lac vert est une ancienne carrière de graves désaffectée située sur le lieu-dit Le Camp. L’inauguration d’une base de loisir sur ce site par la commune de Canéjan a eu lieu en novembre 1996. Le lac se caractérise par des fonds assez accidentés, liés à son histoire, avec des profondeurs variables suivant les endroits. Les niveaux d’eau varient fortement en fonction des précipitations et des saisons.

Il est possible de pêcher sur ce plan d’eau de 7,5 hectares. De nombreuses espèces de poissons sont bien représentées au lac vert comme le brochet, le black-bass, la carpe ou le gardon. Régulièrement, des lâchers de truites sont organisés par l’association de pêche locale.

En ville, nous passons devant le château d’eau d’une forme bien particulière.

Allez une petite blague de Fred : tout le monde a sa réserve d’eau.

Le seul bâtiment que nous verrons : l’école de musique.

Jean-Marc en immortalise son beau cèdre.

Par un chemin bien agréable, nous longeons les lotissements à partir du lieu-dit Choisy et arrivons au Pujeau des Rugues, longeons le ruisseau de l’Hermitage  à travers vignes et arrivons au domaine forestier du Lac Bleu situé à Léognan.

Dans les vignes…. un chasse orage ???

Puis une petite pause réconfortante…

Arrivons en bordure du lac Bleu. Le groupe admiratif à la découverte de naïades.

Le Lac Bleu, bordé de pins, en plein coeur du parc forestier du même nom. En été, ce plan d’eau est très apprécié du public. Ancienne gravière reconvertie en zone de loisirs, ce lac est élégamment entourée de fougères, houx, ajoncs et arbousiers. Il doit sans doute sa couleur (qui n’est pas évidente à priori) à la constitution géologique de son sol calcaire.

Après un beau cèdre un beau pin…

Puis le ciel.

D’un pas toujours alerte le retour vers le lac Vert …

Là nous pouvons dire qu’il est vraiment vert.

Animateur : Serge Bouet

Reconnaissance : Serge , Jean-Marc

Photos : Jean-Marc

Distance : 10,5 km sur terrain plat

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Cayre Maria et Michel

Desbordes Nadine

Noël Françoise et Jean

Soulie Jean-Marc

Thomas Joëlle et Denis

Trace du Lac Vert à Canéjan au Lac Bleu à Léognan

17/2019 Les Lacs d’Hostens

Le domaine nature d’Hostens

Avec ses 5 lacs, ses sentiers de randonnées, ses parcours de VTT, sa voie verte et ses activités nautiques, cet espace naturel de 600 hectares offre une multitude d’activités nature.

Pour la petite histoire, le Domaine des lacs d’Hostens était à l’époque un site d’extraction de lignite et c’est à partir de 1970 que le site a progressivement été aménagé en domaine de loisirs avec de belles plages de sable blanc. Aujourd’hui, le Domaine d’Hostens est reconnu comme étant un Espace Naturel Sensible appartenant à la Zone Natura 2000.

Ce sont 15 randonneurs qui sont présents pour faire le tour des lacs sous la houlette de Patricia et Cyrille qui d’ailleurs agrémenteront la journée par un quiz d’une dizaine de thèmes ou questions. Quatre groupe sont formés. les questions seront posées soit en groupe soit en individuel.

Tout d’abord direction Le lac du Bousquey (63 Ha). Ce sera notre très agréable balade du matin avec une boucle de 6,4 km. Les paysages défilent, différents et tous sauvages, préservés. Stupéfaction de découvrir une forêt de séquoias géants en pleine forêt de pins !lac d'hostens Landes girondines - Camille In Bordeaux

Quelques panneaux indicatifs permettent de mieux comprendre la géologie de cette zone, ex-carrière de lignite qui alimentait une centrale électrique.

La vue sur le lac est superbe, on se balade au frais sous les pins en marchant dans le chemin de sable ou sur les tourbières. Enfin, une agréable promenade quasiment les pieds dans l’eau.

La première question du quiz qui sera posée concerne les arbres les plus courants rencontrés sur le domaine d’Hostens. L’ensemble des participants répond correctement.

Au milieu de la forêt de surprenants circuits faits à partir de branches d’arbres : Le Land ‘Art.

De curieuses silhouettes émergent de l’eau. Mais au fait qu’a-t-on exploité sur le lac du Bousquey ?? Tout le monde est encore OK (la lignite)

En bordure de lac il s’agit maintenant pour les 4 groupes de trouver le plus rapidement possible les feuilles de différents arbres, un caillou le plus noir possible, un gland, une pomme de pin et une feuille de houx. Ce sera l’équipe 1 qui sera la plus rapide. (Marie-Claude, Jacques , Laurence)

Puis viennent des explications très pointues de Patricia sur le papillon « Monarque ». Pas de question précise pour l’instant.

C’est Fred qui sera le plus précis pour calculer en cm2 à partir d’une carte la superficie du lac du Bousquey.

Et de retour à notre base de départ on passe à table pour le pique-nique sur de très belles nappes… standing oblige… (merci Brigitte et Annie)

Repas bien sûr arrosé raisonnablement.

Allez, avant de repartir jeu de boule de précision pour quelques points supplémentaires (A l’exercice…. Marie-Jo). il s’agit de placer la boule sur le fichu rouge. Bravo à Françoise, Pierre et Corinne.

Et c’est reparti maintenant vers les 4 autres lacs.

Le Lac du Bourg  tout d’abord (20 Ha) qui est avant tout réservé à la pêche en particulier de la carpe et des carnassiers.

A la question quel est le numéro du GR (6) qui traverse le domaine d’Hostens et quelles en sont les couleurs (blanc et rouge)?? ….l’ensemble des randonneurs obtient 5 points.

Puis le Lac de Lamothe (33 Ha) et ses plages de sable blanc bordées par la forêt de pins. Naturel et sauvage, ce lac bénéficie d’un certain cachet et propose  de nombreuses activités nautiques.

A la question comment s’appelle le cri de la grenouille (très présente sur le lac) et qui le pousse ? le mâle ou la femelle ?  Bonne réponse pour Annie et Françoise.

La question vient ensuite de positionner correctement sur la carte l’endroit exact où Patricia nous a fait un exposé très poussé sur le monarque … (peu de réponse correcte sur ce point)

Continuant notre chemin nous laissons sur notre gauche le petit Lac de Bernadas (9 ha).Tout le monde répond correctement à la question combien de lacs au domaine d’Hostens.

Nous passons ensuite entre le petit et le grand lac de Bernadas (12 Ha) à travers une très belle forêt d’arbres majestueux et variés. Le lac de Bernadas est lui aussi le domaine des pêcheurs.

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Qu’il est beau ce chêne…

Enfin la dernière question quiz porte sur la reconnaissance des feuilles de 7 arbres.

Corinne et Jacques seront les plus performants pour cette épreuve.

En fin de randonnée le temps étant très beau nous nous retrouvons pour ouvrir quelques bouteilles en l’honneur de Cyrille et récompenser le vainqueur de ce quiz. C’est donc Corinne qui a été la plus perspicace et qui remporte une bonne bouteille de vin.

Bravo et merci à Patricia et Cyrille pour leur organisation sans faille. Une très belle journée se termine.

Animateurs : Patricia et Cyrille

Reconnaissance : Patricia et Cyrille

Distance : 15,2 km sur terrain plat

Photos : Fred

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Dubois Cyrille

Dupin Monique

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Jean

Peere Laurence

Priat Patricia

Villar Corinne

HOSTENS – Carte Ign et topographique de la trace gps pour cette randonnée

 

16/2019 SAUTERNES

 

Sauternes, petite commune d’un peu plus de 700 habitants, nichée au cœur de l’appellation de Sauternes. Sa Mairie est la seule mairie à avoir une vierge sur son fronton au-dessus de la devise «Liberté, Égalité, Fraternité», le bâtiment ayant été autrefois une école religieuse.

L’église Saint-Pierre-ès- Liens

L’édifice construit au XIIème siècle a été augmenté d’un clocher carré et d’un presbytère vers la fin du XVIème  puis quasiment entièrement reconstruit au milieu du XIXème ; il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1925.

Qui dit que le chiffre 13 n’est pas un bon chiffre : c’est pourtant le nombre de marcheurs réunis sur le parking de l’église par un temps estival et pour une belle randonnée conviviale. C’est Annie et Fred qui mèneront la danse aujourd’hui.

De suite nous passons devant un ancien lavoir.Et apercevons au loin sur notre gauche le Château d’Arche

L’hôtel le Relais du Château d’Arche se trouve précisément en plein coeur du vignoble du Château d’Arche, et bénéficie ainsi d’un magnifique panorama. Très belle chartreuse du 17ème siècle, d’un bâti typiquement bordelais avec un beau perron et entourée de beaux jardins paysagés, l’ hôtel offre des prestations haut de gamme.

Prenons un chemin à travers vignes vers Vimeney ….. un petit pigeonnier

Puis direction CapLanne. Passons au Château Trillon : Restaurant, Chambres d’hôtes

Passons le ruisseau Piquey et apercevons au loin le Château Guiraud  domaine viticole de 128 hectares.

Et un groupe très attentif aux explications données ….Tout au long de son histoire, le Château Guiraud a fait preuve d’indépendance et tracé son propre chemin. Son esprit pionnier mène la propriété à créer son propre conservatoire de cépages. L’équipe amorce dès 1996 une profonde révolution culturelle en s’engageant dans l’étude de la biodiversité. En 2011, il devient le premier 1er Grand Cru Classé en 1855 à recevoir la certification Agriculture Biologique.

Le restaurant La Chapelle doit son nom à la chapelle protestante (dont acte Fred) accolée au Château qui clamait la confession de la famille.

Puis direction le remarquable Château Filhot

Fondé en 1709 par Romain de Filhot, conseiller au parlement de Bordeaux, le Château Filhot s’étend sur 350 hectares, dont 60 en appellation Sauternes. A l’origine le comte Henri de Vaucelles cultive à Sauternes un vin classé 2ème Grand Cru dans le registre officiel des vins de Bordeaux de 1855. Un remarquable parc à l’anglaise conçu en 1845 par le jardinier paysagiste Fisher est aménagé autour du château de style néoclassique.

Près de là…. le Pigeonnier Château FilhotLe pigeonnier, de la seconde moitié du XVIIe siècle, est bâti sur un coteau dominant la vallée du Ciron. Des lucarnes d’envol sont ouvertes aux 4 coins cardinaux. Deux bandeaux de pierre forment des obstacles pour les prédateurs. Cette tour pigeonnier est tout ce qui reste d’un ancien Château Pineau du Rey transformé au 19ème siècle en basse-cour de la Marquise de Lur-Saluces et devenu au 20ème siècle l’ensemble monumental des chais du Château Filhot.

La curiosité de ce pigeonnier est constitué par son échelle tournante intérieure qui permettait d’accéder aux nids  afin d’y prélever les pigeonneaux destinés à la consommation.

Passons sur le Ruisseau pineau

Et oui toute l’après-midi un défilé d’élégance : tout y était chapeaux, ombrelles, casquettes, visières et autres. Merci Mesdames.

Après la seule montée de l’après-midi nous arrivons au sommet d’une motte. Apercevons le Château Barjuneau 

 Le Château Lamothe-Despujols domine la vallée du Ciron et les Landes girondines depuis les hauteurs de la Motte, un fortin médiéval attenant à la propriété. Petit domaine de 8 hectares d’un seul tenant, dans ce cadre privilégié, c’est un des 26 Grands Crus Classés de Sauternes et Barsac.

Le sauternes est le caprice d’un curieux phénomène. Les brumes matinales s’élevant au-dessus du Ciron alliées à la douceur automnale encouragent le développement d’un champignon, le botrytis cinerea, qui vient sublimer le raisin déjà mûr. La récolte et le tri des raisins puis la vinification nécessitent beaucoup de doigté. C’est une délicate alchimie.

Merci Annie de nous avoir conduit toute l’après-midi ……. dans le droit chemin.

Animateur : Fred

Reconnaissance : Fred, Denis, Annie

Distance : 10 km ; 1 seule montée

Photos : Jean-Marc, Jacques

Participants :

Barbirato Annie

Bouilly Claire

Cantillac Marie-Claude

Defaucheux  Françoise et Jacques

Desbordes Nadine

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Jean

Soulie Jean-Marc

Thomas Joëlle et Denis

 

Trace Sauternes

15/2019 WE OLERON

Journée du Samedi : Par Le Chenal d’Ors … 14,5 km

Serge et Denis emmènent un groupe de 21 courageux randonneurs, et oui … sous la pluie.

Franchissons tout d’abord la porte d’Ors, marchons le long des remparts sur quelques centaines de mètres puis sortons de la ville par la porte Ouest et empruntons des petites routes pour gagner Grésillon. Il pleut….

Nous approchons des marais qui sont en fait d’anciennes salines et découvrons le hameau du Feu, continuons par le Chaudron vers le lieu-dit Trillou.

Nous trouverons plein de tamaris, arbuste emblématique de l’île.

Une petite pose pluvieuse … Un moment de perplexité pour certains.

Empruntons un chemin à travers les marais d’Oron

En cours de route les amis habituels de Denis

Longeons maintenant le chenal d’Ors en contemplant les nombreuses cabanes ostréicoles et enfin cherchons maintenant un lieu, si possible abrité, pour le repas tiré du sac.

Ce ne sera pas chez Yaya et Flo

Mais un peu plus loin avec une vue sur le pont qui nous relie au continent.

Et voilà, ce n’est pas abrité, c’est bien venteux et pluvieux, mais quelques bouteilles pour augmenter nos degrés corporels et un bon café en final pour nous réchauffer.

Empruntons maintenant le sentier piétonnier du littoral, franchissons le chenal d’Oulme puis le sentier jusqu’à l’entrée du port du Château d’Oléron.

Francine se rappelait d’un lieu avec banc qui aurait pu nous accueillir pour le repas mais nous ne le trouvions pas et maintenant enfin nous nous y approchons.

Et elle le retrouve pour une photo flash.

De ce lieu une autre vue à marée basse du pont d’Oléron.

Un peu plus loin une cabane de pêcheur où tout le monde s’agglutine, photo oblige. 

Nous sommes bientôt en fin de parcours et nous apercevons au loin la citadelle, notre point de départ.

Et une dernière vue sur l’océan

Par ce temps maussade naturellement le rythme de marche fût élevé et nous sommes donc de retour assez tôt. Certains, les moins fatigués et les moins humides iront faire le tour de la citadelle.

Quelques pitreries !!!

Au loin en zoom maxi le Château de Fort Boyard.

 

Journée du dimanche : Dolus d’Oléron par dunes et marais : 18 km

C’est Serge qui emmène aujourd’hui le même groupe de 21 randonneurs.

Empruntons le chemin de la Bihaudelle et prenons de suite la piste cyclable.

Passons à l’Ecopole et continuons tout droit vers la passe de Royan puis celle d’Avail et entrons dans la forêt domaniale.

Nous suivons le sentier de l’Océan. Ce bois de chênes verts courbés résiste aux embruns et protège la forêt.

Quelques photos souvenir

Les miracles de la nature

 

 

Une petite pose pour se désaltérer

Passons devant le camping des Chênes verts pour emprunter un autre chemin forestier avant le parking du Treuil.

Nous descendons jusqu’à la plage que nous longerons par la suite jusqu’à l’ancien prieuré de la Perroche.

Dos à l’océan la photo de groupe

Repartons à travers dunes et bois

Pour arriver de nouveau sur la plage et marchons sur le sable sur quelques kms

Sur la pointe au fond le prieuré de La Perrocche

Le prieuré de la Perroche fut le lieu de rassemblement d’une colonie de chrétiens. La chapelle, vestige du prieuré fondé sous le vocable de Saint-Médard au début du XIIe siècle est marquée de la croix de Malte. Ce prieuré fût saccagé en 1548 lors de la révolte des sauniers contre la gabelle, restauré puis à nouveau détérioré pendant les guerres de religions. Son prieur fût assassiné en 1561. Il fût définitivement abandonné au XVIIe siècle, aujourd’hui propriété privée, ne s’admire que de l’extérieur.

Puis la chapelle et sa porte d’entrée

A l’arrière du prieuré nous trouvons un endroit en bordure d’océan pour déjeuner

A partir du village (vue de l’arrière), nous empruntons la mauvaise route et donc une mauvaise direction pour en sortir.

C’est ce Boudha à l’entrée d’un camping qui souligne notre erreur.  La consultation d’un GPS nous indique que nous sommes sur un chemin parallèle qui doit toutefois nous permettre de rejoindre le chemin prévu. Hélas les marais gonflent par le flux de la marée et l’eau a envahi notre chemin ; sommes obligés de faire demi-tour et retourner vers notre Boudha.

Prenons maintenant la piste cyclable bordée de tamaris (le chemin prévu). Puis longeons le marais de la Perroche pour regagner Dolus à travers bois et prairies.

Une longue randonnée bien éprouvante.

Mais toujours avec le sourire …

Nous entrons dans le bourg et passons devant l’église Saint-André de Dolus d’Oléron. Bien que le groupe pressé n’y porte aucune attention, située au cœur du bourg, cette église de style à la fois classique et roman est reconstruite en 1600 sur les ruines d’un ancien édifice du XIe siècle en moellons calcaires et pierres de taille. Son clocher est de style saintongeais. La nef entrecoupée d’arches posées sur des colonnes à chapiteaux sculptés est éclairée par des fenêtres latérales ornées de vitraux.

Reconnaissance : Serge, Denis, Fred, Jacques, Marc

Distances : 14,5 + 4 km le samedi

18 km le dimanche

Photos : Laurence et Jacques

Les apéros : Chez Annie et Marie-Claude

Les Huîtres :  Par Françoise et Jacques

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Couprie Marie-Claude

Defaucheux Françoise et Jacques

Dubois Cyrille

Duthil Jean-Luc

Dupin Monique

Noël Françoise et Jean

Peere Laurence

Priat Patricia

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne et Jean-Pierre

1 bis oléron

2 bis Oléron

 

14 /2019 Saint Germain de Graves

Saint-Germain de Graves est un petit village de 150 habitants situé à 10 km de Langon et faisant partie du canton de Saint-Macaire. Il se situe sur une longue crête entre 99 m et 116 m située entre 2 vallons. L’origine du nom Graves évoque naturellement le sol graveleux du vignoble du lieu. Auparavant ce village s’appelait St-Germain de Graoux et fut rebaptisé en 1909.

Principal édifice, l’église paroissiale de style roman construite en 1869.

Juste à côté de l’église, le Lieu-dit Milange , bien que non vu mais avec une histoire.IMG_0651.jpg

Le château des Mille Anges  doit son nom au lieu-dit «Milange» où se trouvait le couvent des sœurs de l’Assomption à côté de la nouvelle église de Saint-Germain de Graves. Les religieuses cultivaient la vigne pour subvenir aux besoins de vin de messe et de vin table. Jusqu’à la seconde guerre mondiale, le couvent accueillit des enfants abandonnés ou dans le besoin. Le nom de «Château des Mille Anges» a été donné en souvenir des orphelins du début du siècle, tout en gardant la prononciation du lieu-dit.

C’est un groupe de 16 randonneurs qui s’élance à partir de l’église.

Passage auLieu-dit Jean Barbot…….Vignoble Barbot-Gallet

Premières Côtes de Bordeaux Rouge, d’une superficie de 15 hectares, son terroir est Graves argilo-calcaire. Le mode de taille est Guyot simple ou double. Le cépage est composé de 60% de Merlot,  20% de Cabernet Franc et 20% de Cabernet Sauvignon. Pour la vinification, le temps de cuvaison est de 20 à 25 jours, la température de fermentation est de 25 à 30° avec maîtrise des températures. Les cuves sont en ciment et inox. Le temps de l’élevage est de 6 à 12 mois en barriques.

Au Lieu-dit Vimeney le groupe enjambe le ruisseau Saint-Martial

Ensuite le Lieu-Dit Le Grand Ousteau et passage sur le Ruisseau Saint-Germain

Non loin de là Le Château Gillardeau

On se ressource et on reprend quelques forces pour la suite….
Le Moulin du Bric

Château Tour de Bric

Exploitation familiale de 21 Hectares, implantée sur Saint-André du Bois.

Au départ, un système de vente plutôt atypique et très convivial est mis au point :  livraison avec des barriques et un petit matériel d’embouteillage afin d’effectuer la mise en bouteille chez les clients. Avec un démarrage d’une dizaine de barriques en 1973 sur 4 à 7 points de vente, le principe fonctionne encore aujourd’hui et compte 120 points de vente pour 350 barriques. Ce qui n’empêche pas un circuit de vente en bouteilles avec des cuvées spéciales.
Le Château Tour du Moulin du Bric sous appellation Côtes-de-Bordeaux-Saint-Macaire est un vin blanc liquoreux 100% Sémillon (Cuvée L’Or du Bric) et un vin blanc sec 100% Sauvignon.

Château Malromé (Saint-André du Bois)Les premières traces du domaine datent du XVIe siècle, lorsqu’Etienne de Rostéguy de Lancre, membre du parlement de Bordeaux, Seigneur de Saint-Macaire et de Rauzan, construit la «Maison noble de Taste». La famille de Lancre reste propriétaire du domaine durant deux cents ans.

Catherine de Forcade, veuve du Baron de Malromé, en fait l’acquisition en 1780, elle marque de sa personnalité le domaine qui porte depuis lors son nom.

En 1847, le château est transmis à Jean de Forcade, président du Conseil d’Etat sous Napoléon III, et à son demi-frère, le Maréchal de Saint-Arnaud, gouverneur de Paris et ministre de la Guerre. Ils font restaurer Malromé «d’après Viollet-le-Duc».

La Comtesse Adèle de Toulouse-Lautrec achète Malromé en 1883, attirée par la proximité du lieu de pèlerinage de Verdelais ainsi que la présence de sa cousine Madame Pascale au Château de Respide.

Passionnés d’art et de patrimoine, les propriétaires actuels depuis 2013 décident d’y proposer une lecture différente de la vie et de l’oeuvre de Toulouse-Lautrec, de valoriser la scène artistique contemporaine et d’y associer la dégustation des mets et vins de la région. Durant trois années, Malromé est rénové selon les codes et matériaux de l’époque avant de réouvrir en août 2017.

Au coeur de cinquante hectares d’un parc planté au XIVe siècle et de ses vignobles, le château offre un corps de logis doté d’une grande tour centrale et rectangulaire, de deux tours rondes aux extrémités et de trois ailes qui entourent une large cour intérieure.

Fruit d’une rénovation réalisée dans les codes et matériaux de la région et de l’époque, Malromé offre un cadre esthétique à la fois patrimonial et contemporain.

La cour octogonale caractéristique de Malromé a nécessité de long travaux de rénovation et d’aménagement. Dotée d’une terrasse surélevée qui encadre toute l’aile Est du Château, elle possède aussi une scène centrale qui accueille des concerts valorisés par son acoustique de haut niveau.

Exploité depuis cinq siècles, le vignoble de Malromé repose sur un terroir d’exception, fait d’alluvions argilo-graveleuses apportées par la formation du fossé pyrénéen qui a vu naître la Garonne. Le domaine regroupe sept variétés de cépages sur 42 hectares.

Lieu-dit La Grange

Passage au lieu-dit Le Galouchey, puis le Chaigneau et sur le retour vers Saint-Germain on enjambe le Ruisseau de la Gravette.

Arrivons au Lieu-dit Gravelines… Nos tchtis immortalisés devant la plaque du village …..A savoir que Gravelines se situe également près de Dunkerque.

Le Château de Gravelines

Animateur : Thomas Denis

Reconnaissance : Denis, Marc

Photos : Jean-Marc

Le groupe:

A noter sur la droite pour une fois en photo Jean-Marc notre émérite photographe.

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Serge

Cantillac  Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Dupin Monique

Garcia Norbert

Noël Françoise

Quérité Marie

Richez Bernard

Soulie Jean-Marc

Thomas Denis

Villar Corinne

 

Trace du circuit

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13/2019 TARGON

La commune de Targon s’étend sur 25,9 km² et compte 2063 habitants depuis le dernier recensement de la population datant de 2005 : ses habitants, les Targonnais et les Targonnaises.
Située à 8 km au sud-est de Créon, à 66 mètres d’altitude.

La commune est traversée par le grand Estey (ou Ruisseau de Patrouilleau) et l’Exile tous deux affluents de la Garonne ainsi que par les ruisseaux d’Audigey,  Lavergne et de la Forêt.

Un peu d’histoire :
En 1562, lors des guerres de religion, Blaise de Monluc pendra 70 protestants dans les halles.

A la Révolution, la paroisse Saint-Romain de Targon forme la commune de Targon, son annexe, Saint-Genès de Toutigeac, forme la commune de Toutigeac et la paroisse Saint-Jean de Montarouch forme la commune de Montarouch. En  1795, les communes de Toutigeac et de Montarouch sont rattachées à celle de Targon.

L’église St-Romain se trouve sur la place centrale de la ville. Construite au XIIème siècle, en style roman, par les templiers de Montarouch, l’église Saint-Romain dépendait de l’abbaye de La Sauve Majeure.Résultat de recherche d'images pour "photos église de targon"

Aux XVIème et XVIIème siècles  l’église a été agrandie par l’ajout d’un bas-côté de style gothique, d’un clocher-tour vers 1623 et d’une sacristie vers 1640. Le clocher carré accueille trois cloches, dont la plus ancienne est fondue en 1505 ou 1517.

Au XIXème siècle, en 1877-1888, la nef a été entièrement refaite et voûtée en style néogothique. Les chapiteaux, notamment ceux du portail, ont été refaits.

L’édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en totalité par arrêté du 21 décembre 1925.

Nous sommes 18 marcheurs dont notre animateur Bernard et nous quittons le parking de l’église, passons la halle du village et longeons la route sur environ 1 km jusqu’au lieu-dit Roustaing. Nous prenons un chemin en descente jusqu’au ruisseau de la Forêt pour arpenter ensuite à travers une jolie forêt.

Passons à quelques encablures du Château Vermont. 

C’est un ravissant château du XIXème siècle, entouré de 40 hectares de vignes, propriété viticole familiale reprise en 2010 par Elisabeth et David Labat . Grâce aux efforts qualitatifs et aux investissements apportés, le Château est en passe de reconquérir son rang de 1er cru de l’Entre-deux-Mers de 1874.

Puis arrivons au Château de Toutigeac. Des recherches généalogiques  mettent en évidence la présence continue de viticulteurs, depuis le 15ème siècle, dans la famille MAZEAU à travers ses ascendants directs. Chargé d’histoire, le Château Toutigeac est situé sur une colline, un site authentique au coeur de l’Entre-Deux-Mers dans sa partie la plus vallonnée et la plus pittoresque.

Il domine un magnifique panorama d’étendues de vignes, forêts, prairies et villages.

Le site de Toutigeac est très ancien, les vestiges que l’on peut y voir datent du 12ème siècle. A cette époque, des moines de Saint Gérard qui venaient de l’abbaye voisine – La Sauve Majeure – fondèrent une petite communauté. Ils y plantèrent de la vigne et bâtirent une église. Toutigeac était alors un village qui comptait plus de 200 habitants. De ces temps très anciens subsiste encore la croix avec une sculpture naïve du Christ.

Nous descendons maintenant sur une petite route à travers vignes vers les lieux-dits Grand Ousteau et Mauvin.

A proximité sur une butte le Château de Bruffaneau du XVIème siècle.

Passons près d’un parcours de pêche à la truite.

Puis nous nous arrêtons pour prendre quelques forces.

Château La Chataigneraie – Vignobles Maulin

La même propriété vue de l’arrière.

Par la suite les spéculations vont bon train pour déterminer l’âge de cet immense chêne. Un regard aussi sur cette très belle demeure.

Puis un oeil tout d’abord  sur un beau pigeonnier côté du lieu-dit Le Roc.

Puis un autre sur un four à pain communal, très bien restauré.

Que d’admiration devant cette race de poules originales.

Nous ne pouvions nous quitter sans accompagner Jacques pour son anniversaire. Merci à Marie-Claude pour l’organisation de ce très agréable moment.

Animateur : Richez Bernard

Reconnaissance : Bernard, Marc

Photos : Jean-Marc

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Cantillac  Marie-Claude et Jacques

Dupin Monique

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noël Françoise et Fred

Richez Bernard

Soulie Jean-Marc

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

Trace du circuit