25/2023. LATRESNE

LATRESNE : A l’origine comme beaucoup de communes du bord de la Garonne, l’histoire de Latresne et de ses 3700 habitants (les Tresnais et Tresnaises) se confond avec celle du fleuve. Elle tiendrait d’ailleurs son nom d’une interprétation étymologique de « tréna » qui pourrait signifier « bord » ou « rivage ».
Nous sommes 30 randonneurs à nous retrouver par ce bel après-midi.
Nous partons de l’arrière de l’ancienne gare, aujourd’hui occupée par un bar à vin et une brocante, mais totalement dans la configuration de l’ancienne gare pour longer l’ancienne voie ferrée reliant Bordeaux à la Sauve Majeure.

En 1873 fut inaugurée la première ligne de chemin de fer traversant Latresne et reliant Bordeaux à La Sauve, 27 km empruntant en grande partie la vallée de la Pimpine. Une autre ligne passait à Latresne, celle vers Cadillac. En plus des 5 trains quotidiens, une navette « le train des théâtres » partait le dimanche soir de Bordeaux à 00h30 pour ramener les spectateurs de la rive droite en pleine nuit.

Passons de suite à proximité de L’aéro-campus.  A savoir que des ruines d’une villa gallo-romaine ont été retrouvées  sous les bâtiments. A deux reprises (1954 et 1987) des petites fouilles de sauvetage ont permis de mettre en évidence plusieurs salles rectangulaires et un hypocauste semi circulaire.

La Pimpine est une petite rivière qui prend sa source à Créon et vient se jeter dans la Garonne sur le territoire de Latresne. Avec un bassin versant d’une superficie de 51 km2 dans l’Entre–Deux-Mers, la Pimpine parcourt 18 km au fond de sa petite vallée, traversant le territoire des communes de Créon, Sadirac, Lignan, Cénac, Carignan-de-Bordeaux et Latresne.

Une vue de Latresne à partir de la piste cyclable en direction de l’ Etang des sources. Véritable havre de nature et de paix, ce long plan d’eau (près de 400 m) fait le bonheur des pêcheurs et des promeneurs. Créé artificiellement dans les années 80, il s’étire de tout son long entre le ruisseau de la Pimpine et l’ancienne voie ferrée.

Direction le hameau de Pardaillan.

 Le Lavoir de Pardaillan

Les habitants des alentours, principalement ceux de Pardaillan, venaient laver leur linge au lavoir. Son utilisation a perduré jusqu’au 20e siècle, l’eau courante n’apparaissant à Latresne que dans le courant des années 1950.

Le Lavoir était un lieu éminemment social dans chaque village. C’était l’endroit où les femmes se retrouvaient une fois par semaine ou plus et où l’on échangeait toutes les dernières nouvelles du village, voire de la région.

On passe …. devant Le Vieux puits

Ce vieux puits en pierre situé dans le hameau de Pardaillan nous évoque le temps, pas si lointain, où l’eau courante n’existait pas. Il fallait aller chercher l’eau au puits ou à la source la plus proche avec des seaux.

Puis la …. Maison noble de Pardaillan

Pardaillan est l’un des plus vieux hameaux de Latresne. Isolé sur un petit plateau surplombant le ruisseau de la Pimpine, ce lieu est habité au moins depuis le XIIe siècle. De par son isolement, le hameau de Pardaillan a su garder tout son charme d’antan. Avec son lavoir, son puits et ses vieilles maisons en pierre il représente sans doute l’endroit le plus authentique et préservé de Latresne.

Ensuite… Le Domaine de Rambal

Rambal est un beau domaine édifié au XVIIe siècle par un riche parlementaire. Les bâtiments adoptent une disposition en U très commode pour l’époque, les ailes servant de logement pour les cultivateurs, de bâtiment d’exploitation, d’écuries et même de remises, tandis que la partie centrale est réservée au propriétaire.

Nous attaquons une descente boueuse et il faut surveiller où l’on met les pieds.

Serge t’inquiètes pas c’est presque la fin.

Le Château MalherbesCréé à la fin du XIVe siècle par Guilhem de Malherbes, chevalier revenant des  croisades. La présence d’une maison noble est attestée depuis le XVIe. Le logis a été reconstruit au XIXe. Les communs sont antérieurs avec des parties du XIVe et la majorité construite au XVIIIe. L’ensemble est entouré d’un beau parc. Actuellement c’est un domaine viticole de  20 hectares, dont 12 hectares de vignes. Le château Malherbes a des origines qui remontent au XIVe siècle. Guilhem de Malherbes revient alors des croisades et possède déjà des terres à Latresne. Au XVIe siècle, la maison noble de Malherbes est citée dans les textes.

 Le domaine a aussi une activité de tourisme avec gites et salles pour séminaires et réceptions. Ses extérieurs sont actuellement en pleine restructuration.

 Jolie vue sur une belle maison en pierres blondes.

Et on attaque un autre chemin avec une descente bien raide. Coraline ouvre la descente.Elie la contrôle.
Olivier semble s’endormir ou fatigue t’il ??La fin de la descente pour Patrick et Marie.Merci à nos 3 serre-files qui ont garanti notre sécurité arrière pendant tout le trajet.Nous sommes sur le chemin du retour en longeant la piste cyclable, cette fois-ci non asphaltée.

Nous voilà de retour à notre point de départ. Vers 16h30, le groupe se disloque.

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Animateur organisateur : Fred NOEL

Distance : 9  km – 110m de dénivellé

Indice d’effort : niveau 2-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Barrandon Sylvain

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Bernard

Blanco Françoise et Michel

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Bouvier Francine

Breil Myriam et Bruno

Cayre Maria et Michel

Cerdan Coraline

Dignac Françoise

Dupin Monique

Estebe Joël

Laffargue Patricia

Laffargue Evelyne

Lagorce Pierre

Maison  Patrick

Martin Marie Jo

Mlynarski Marie-Line

Noël Françoise et Fred

Quérité Marie

Vacellier Géraldine

 

 

24/2023. Le Pout

Le Pout environ 650 habitants, les Poutois et les Poutoises.

Outre l’église paroissiale St-Martin et la croix de son cimetière, une dizaine d’édifices de la commune sont versés à l’inventaire général du patrimoine du Créonnais.

C’est par un temps raisonnable que nous nous retrouvons près de l’église St-Martin qui fut construite au 15ème siècle et remodelée aux 16ème et 19ème siècles. Son originalité se trouve être dans son volume intérieur mais qui n’est toutefois pas accessible. Par contre ses 2 belles cloches extérieures sont bien visibles.

C’est parti … Marie-Claudeemmène ce groupe de 16 randonneurs. On part directement sur un chemin herbeux et légèrement en montée puis entrons dans les bosquets.Pour l’instant le temps est calme et sans pluie.Mais un incident lié à un fil de fer mal placé nous arrête.De main de maître Françoise apporte quelques soins à une autre Françoise.Puis on continue bien en forme.Qu’elles sont joyeuses.On passe sur le ruisseau du Gestas.Une belle demeure en pierres blondes.Une petite pose ; Françoise est toujours bandée.Nous repartons toujours dans les bois.Passons le chemin de Virelli.Et passons une nouvelle fois sur le Gestas.Le point de ravitaillement.Et oui il faut passer ce passage délicat.La pluie vient de s’inviter.Arrivée dans les vignes.Une belle propriété.Dans la brume l’église de Camarsac.Puis Le Château du Prince Noir bâti sur un promontoire au 14ème siècle, appartient à la famille Lurton. L’oenotourisme y est pratiqué à travers son fameux  « Clos du Prince Noir »et son beau pigeonnier.Belle maison de campagne.
Le Château RivalanLe château était dédié à l’origine à l’élevage laitier puis à l’élevage de vaches à viande. A ce jour, c’est un domaine viticole de 52 hectares qui fait l’objet d’un traitement raisonné permettant de réduire les produits phytosanitaires. Sa particularité est de disposer d’un chai d’élevage dans les fondations du château avec un élevage en barrique entre 12 et 18 mois.

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Les Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Couprie Marie-Claude

Dignac Françoise

Dupin Monique

Gaudière Danielle

Noël  Françoise et  Fred 

Quérité Marie

23/2023. Carignan

CARIGNAN de BORDEAUX
Commune d’environ 4500 habitants et 878 hectares. Le château de Carignan est sans aucun doute le plus beau monument de la commune et aussi le plus emblématique, puisque, grâce à son excellent vin, le nom de « Carignan » fait le tour du monde.

Par un temps clément idéal pour la randonnée, nous sommes 18 à nous retrouver sur le parking de la mairie.

C’est Marc qui prend en charge le groupe. Quelques informations sur Carignan.

Un petit peu d’asphalte pour traverser le village et passer à proximité …..

Ce hameau très ancien était composé dès son origine de plusieurs domaines.
Il s’appela successivement « Puyau de Maderolles », « Codat » puis « Peyvideau » pour Pierre Videau.
Les bâtiments datent du 18e siècle.Nous entrons en sous-bois et allons maintenant faire une longue marche arborée.Une première petite pose de regroupement et de boisson.Nous sommes dans les bois, marchant sur un lit de feuilles et de glands sur un sentier tortueux et accidenté.Un passage délicat. Danièle dirige Marie-Claude.Et ça tourne parfois à droite, parfois sur la gauche.Et des virages, on monte et on descend.Certains sont illuminés dès qu’il faut rechercher notre chemin.

Où sommes-nous ?? On se pose des questions ?Marie biberonne !On longe le ruisseau des Vergnes.
Une nouvelle pose avant une bonne montée.Heureusement elle sera courte. Quelle santé cette Françoise.

Facile pour Elie avec bâtons.

Quittons les bois pour rentrer sur Carignan. Une belle demeure moderne au passage.Qu’il est beau et original ce gingko biloba.Quelques centaines de mètres sur l’asphalte pour traverser Carignan.
Passons devant l’église d’origine romane du 11e siècle.
Le portail et la corniche de façade sont du 12e siècle, mais considérablement restaurés au 16e siècle. La nef, les chapelles latérales et une abside polygonale ont été refaites au 15e siècle en style gothique. Les meurtrières datent de l’époque des guerres de religion, de la seconde moitié du 16e siècle.
Un tremblement de terre endommage l’édifice en 1759. Des contreforts sont placés le long des murs. Un clocher est construit. En 1791, la foudre le détruit en partie.
Une nouvelle restauration de l’église a lieu entre 1885 et 1886.

Prenons le …Passons au ….Direction le Jardin Zen.Très agréable cette allée bordée de bananiers.Il y a même des régimes de bananes en formation.Non ce n’est pas un ancien lavoir mais bien une ancienne cressonnière.L’éolienne Bollée qui alimente en eau le château Baritault CHÂTEAU BARITAULT : Ce vieux domaine s’appelait à l’origine « Michet » avant d’être racheté par Jean Baritault, garde du Palais de l’Ombrière à Bordeaux, en 1717.

En 1904, une tour carrée de 20 m de hauteur fut construite avec un bassin à son sommet qui se remplissait d’eau et qui permettait ainsi d’obtenir de l’eau sous pression pour tout le domaine.

C’est par la piste cyclable que nous retournons vers notre point de départ.

Les Participants :

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Bouvier Francine

Cerdan Coraline

Couprie Marie-Claude

Dignac Françoise

Dupin Monique

Gaudière Danielle

Gourlaouen Marie

Murat Pascale et Sylvain

Noël Françoise et Fred

Quérité Marie

22/2023. Salleboeuf

Sallebœuf, commune d’une superficie de 1480 hectares située au cœur du territoire de la communauté de communes Les Coteaux Bordelais. 2500 salleboeuvois(es) vivent dans un écrin de verdure entourée de vignobles, bois et forêts.

« Salleboeuf  » est un composé formé du mot salle, qui, autrefois, désignait un château.  Généralement, le mot Salle, en composition toponymique est suivi d’un nom de personne, qui est celui du fondateur ou ancien possesseur du lieu . On pense que c’est le nom qu’il faut reconnaître dans (buovo)bœuf de Salleboeuf.

La commune comptait quatre forteresses ou ”Mottes Féodales“, bien antérieures à l’occupation anglaise : ce sont les châteaux de “RETORET”, des “MANDINS”, des “MOUSSES” et “de la TOUR”.

L’une d’elles était un château du XIe siècle, situé sur un des points culminants de la commune. Ce château a été abattu puis reconstruit en 1313. Il fut, au Moyen Age, le manoir des Seigneurs de SALLEBOEUF. En 1336, il  fut ruiné de fond en combles. Un autre château, celui de la SALLE, beaucoup plus modeste, s’élevait alors sur un éperon rocheux au nord du village actuel. Ce manoir était la propriété d’un sire BUOVO, mais n’avait vraiment rien d’une forteresse. C’était plutôt une belle maison de campagne. Néanmoins, son influence fut importante pour le village, puisque le nom du propriétaire, associé au nom du lieu, devint SALABOVE, puis SALLEBOEUF.

L’église est récente, elle a été construite à la fin du XIXe siècle pour remplacer l’ancienne église qui était située au coeur du village; elle est dédiée à Notre-Dame et date de 1860. Elle est de style néo-gothique à voûte sur croisée d’ogives.

On peut y admirer aujourd’hui les 4 lustres dont 2 offerts par Gustave Eiffel à l’occasion du mariage de son fils Edouard. L’église est actuellement en plein nettoyage extérieur et non accessible.

Nous sommes 17 à nous retrouver près de cette église.
C’est Joël qui aujourd’hui d’un pas décidé va donner le tempo.Et çà suit inexorablement.En cours de chemin un endroit un peu particulier.
On va longer une route. Quelques consignes de Joël avant de l’aborder.
Passons devant le domaine du Roupic.Longeons les vignes pour arriver au château….

Château Milon : Le Château Milon se trouve à proximité  du château Vaquey. Gustave Eiffel, en grand amateur de vin, ne s’était pas trompé sur le terroir exceptionnel de cette propriété, une qualité qui classe le Château Milon à part dans les exploitations de son appellation. Cette exploitation possède un vignoble de 13 hectares de vignes.

En face le Château Vaquey et une belle fontaine.

Cette propriété de 200 ha située sur le point culminant fut l’ancienne demeure de Gustave Eiffel (surnommé le « Magicien du fer »). Il y resta de nombreuses années pendant la construction des ponts métalliques de la région. A l’origine, une belle chartreuse  à laquelle il a ajouté un étage supplémentaire sur la partie centrale surmonté d’un belvédère où il a installé ses bureaux de dessin.

La résidence est entourée d’un parc constitué de pelouses et d’allées ombragées. Le Château Vaquey est maintenant une résidence pour personnes agées à taille humaine (50 places) qui propose des espaces de vie spacieux et lumineux à la décoration élégante et soignée.

Un peu plus loin dans un chemin une guitare abandonnée. Marc donne le « la ».De beaux compagnons de route.A travers la frondaison le plan d’eau de Salleboeuf sous le Château La Tour.

Passons à l’arrière et en bas du Château La Tour qui date du XIIIe siècle, la culture de la vigne du XVIIIe. Devenu Château Pey La Tour, il fut acheté par la famille Dourthe en 1990.

Les Secrets du Château Pey La Tour accueillent dans un environnement privilégié, préservé et authentique :  30 chambres confortables sont à disposition ainsi que 8 salles de réceptions, pour des évènements jusqu’à 100 personnes. Les Secrets Château Pey La Tour, c’est aussi un restaurant de caractère où il fait bon déguster es produits frais de saison d’une cuisine fine et raffinée.

En fin de parcours la motte féodale.

Après 11 km, toujours aussi vaillants.Et il faut bien un dernier, c’est Marc notre « serre-file ».Et pour finir une belle vue de campagne.

Une belle randonnée de 11 km avec une température bien agréable.

Les Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouet Serge

Breil Myriam et Bruno

Dignac Françoise

Estebe Joël

Laffargue Patricia

Laffargue Evelyne et Michel

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred

Richez Bernard

21/2023. Tabanac

Tabanac, petite ville de plus de 1000 habitants, se situe en bordure de Garonne et se trouve dans le vignoble de l’Entre-deux-Mers. La commune est parsemée de maisons nobles des 17e et 18e siècles.

Nous sommes 25 à nous retrouver place de la mairie sous la houlette de Serge notre Président. Il fait un temps radieux. Nous allons avoir bien chaud.

Et avant de démarrer on cherche déjà un peu d’ombre.

Nous partons de l’église Notre-Dame de Tabanac, église romane construite vers 1850. Transformée en église gothique en 1870.  La construction du clocher date de 1877 ; 6 ans après, détruit par un ouragan, le clocher est de suite reconstruit.

Tout d’abord Le Château Renon : Construit en 1802 sur des douves du 17ème. Acheté en 2002 par un chinois importateur de vins. C’est le 100ème château bordelais acheté par un importateur de vins chinois. Il a été réhabilité récemment. Un très beau parc de 5 ha et 8 ha de vignoble. Il est également tourné vers l’oenotourisme.

C’est parti d’un pas bien dynamique.Un groupe bien déterminé.Catherine vient de nous rejoindre, elle est bien dans le tempo.Une famille bien groupée, mais il manque Pierre !Un petit détour pour admirer le magnifique Château Lagarosse flanqué de ses 4 tours symétriques avec une architecture de l’époque napoléonienne.Au lieu-dit Douleys, le petit Château Camail, de style anglais et datant du 14 ème siècle.La pose boisson s’impose, mais toujours à l’ombre.
Quel beau parterre !!!Arrivons au Château Sentout : Magnifique château du 17e aménagé pour les mariages, séminaires, anniversaires, possède 23 chambres disposées dans tous les bâtiments du domaine et de différents styles (à voir leur site, ça vaut le coup).Allez, c’est l’heure du casse-croûte bien mérité et toujours on cherche l’ombre.Les débats vont bon train.

Arrivons au Château Lacaussade : Date de la fin du 16e sur des vestiges du 13e siècle. Il possède une tour ronde, 2 pavillons carrés et une aile pour les communs. Vignoble de 60 ha.

Puis … le Château Nénine
 Le Château Nénine :  Bâtisse datant de 1812, au plus haut point de Tabanac, vestiges romains trouvés sur place. Vignoble de 13 ha.

Arrivée sur Tabanac-Bourg et une fontaine bien rafraichissante. Tout le monde en profite.

Empruntons le chemin des Noisettes. Attention ça glisse !Et vu les mains sur les hanches c’est aussi un bon raidillon.

Une belle randonnée : 9 km, dénivelé 100m, difficulté 2. Animateur Serge

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Les Participants :

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bonneau Olivier 

Bouet Francine et Serge

Bouvier Francine

Couprie Marie-Claude

Gourlaouen Marie

Irhir Catherine

Laffargue Patricia

Laffargue Evelyne 

Lataste Martine

Laurent Myriam

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred 

Sopéna Emmanuelle

Sylvain

Tognoloni Silvia et son ami Philippe

Vacellier Géraldine 

20/2023 Villegouge

Villegouge est une petite commune rurale du centre du Fronsadais. Environ 1300 habitants (les villegougeois ..es) sur 14 km2
L’église Saint-Pierre est d’origine romane, dépendant de l’abbaye de Saint Sauveur de Blaye, puis du couvent des pères minimes de Bordeaux.  Elle a été remaniée au 18ème et 19ème. La nef voûtée en berceau comporte quatre travées. Les bras du transept sont formés par deux chapelles. L’abside forme un demi cylindre surmonté d’un toit en demi cône. Le clocher est placé sur la façade nord de la nef. Le portail, encadré de deux contreforts, datant du 15e siècle, présente cinq voussures en arc brisé qui retombent sur de courtes colonnes surmontées de chapiteaux. 
Nous sommes 15 à nous retrouver. Accueillons Axelle venue faire un galop familial avec Coraline et Elie. C’est Marc qui nous emmène.
C’est parti…
Descendons le chemin le long du cimetière
Prenons à gauche la route des Genévriers puis attaquons à travers vignes.Le temps est clément.
Passons dans un bois puis longeons un bosquet.D’un pas franc.Un peu plus mesuré.De loin ce qui est un gîte de haut niveau.Le voilà côté pile.Et oui….. 5 étoiles.Une pose pour se ressourcer.Près d’une très belle lignée de peupliers.
Et oui Axelle cette petite montée sera la difficulté de l’après-midi.Au loin une ruine domine dans les vignes.C’est en fait la ruine de l’église de Queynac sur la commune de Galgon.Plusieurs autres vues.Marc, où allons-nous ??? à droite ou à gauche.
Allez c’est l’heure de la pose casse- croûte sauf pour Marie-Claude qui reste à jeun.En cours de route une belle demeure..
Prenons la direction du hameau de Chiquet, suivons le chemin des Perdrix puis le chemin de Labattut et continuons sur le chemin qui va nous ramener au centre de  Villegouge.
Une randonnée bien agréable de 9,6 km, sans difficultés et par un temps idéal.

Les Participants :

Afergan Elie et Coraline et Axelle

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Couprie Marie-Claude

Maison Patrick

Michel Jean-Marie

Noël Françoise et Fred

Sopéna Emmanuelle

 

Au nord de Villegouge – Randonnée

19/2023. Lignan de Bordeaux

Lignan de Bordeaux petit village de 9 km2 et d’un peu moins de 900 habitants.

Un peu d’histoire….

Dés les temps préhistoriques : le village est occupé par les Hommes, comme en témoigne la découverte d’outils du paléolithique dans le bourg, dans la grotte de Carle et sur les lieux-dits de Nadau, Mondet et Avensay. De cette époque, on a mis au jour les vestiges d’un site potier à Cavaillac et trois fours dans le bourg prouvant l’existence d’une production céramique artisanale sur le lieu.

Au Moyen Age des monastères apparaissent : celui du Clos Saint-Jean puis celui de La Ligne. Ce sont les moines qui construisent l’église Sainte-Eulalie aux XIIème et XIIIème siècles. A noter la présence des tombes monolithes et de nombreux sarcophages autour de l’église.

Le  27 décembre 1792  la paroisse Sainte-Eulalie va devenir Lignan-de-Créon lors de la première séance du conseil municipal qui a lieu dans l’église.

En 1847 sont fondés les établissements Saignes : 6 usines de cinquante ouvriers qui fabriquent jusqu’en 1934 des pulvérisateurs, des soufreuses à traction animale.

En 1873 est inauguré le premier tronçon de la ligne de chemin de fer Bordeaux -Eymet pour emmener les pierres des carrières de l’Entre-deux-mers dont celle de Lignan. A Lignan ces carrières deviendront par la suite des champignonières.

Vers 1900, la crise de phylloxéra va ruiner les propriétaires des grands domaines viticoles. La ligne de chemin de fer devient alors un atout pour un homme d’affaire nommé Bertrin qui va bouleverser en quelques années la vie de Lignan. Il rachète le Château Seguin, crée un élevage porcin de 300 têtes, un cheptel de 100 vaches laitières, un haras de chevaux et entretient un vignoble de 110 ha.

Dans les années 1930 à Lignan-de-Bordeaux : 9 forgerons, plusieurs charrons, un maréchal ferrant, une scierie, 3 bars-restaurants, une auberge, 3 épiceries et le moulin de Zuera qui emploie 20 ouvriers. L’école fût construite en 1877 et plusieurs fois agrandie.

Outre l’église Sainte-Eulalie et le Château Isle-fort qui bénéficient d’une protection au titre des monuments historiques une vingtaine de lieux et édifices sont recensés à l’inventaire général du patrimoine.

Pendant la randonnée de ce jour le club a en charge de vérifier le balisage mis en place par la communauté de communes  dans le cadre du circuit des 11 clochers et de repérer les anomalies éventuelles.

L’affluence est conséquente aujourd’hui car nous sommes 38 randonneurs. C’est Elie qui prend en charge le groupe.

Nous contournons de suite l’église Sainte-Eulalie, prenons un chemin pentu un peu boueux pour nous diriger vers le plateau. Passons les lieux dits « Clos Nadau » « Fazillau » « Bidon » « le Rousseau » pour arriver « Au Basque »  la terre de prédilection de Jacques l’un de nos animateurs.

Notre randonnée se passe en priorité à travers sous- bois. Les arbres commencent à perdre leur feuillage. Quelques zones boueuses. Mais on apprécie une très belle nature.

Notre première balise  … anomalie ou pas ????

Une petite pose pour s’ hydrater.

Et c’est reparti direction Cénac.Regroupement avant de traverser la route.

Agréable sous bois.

Par un petit pont nous passons le ruisseau le Rauzé, puis  le groupe très prudent arrive sur le centre de Cénac.

L’église de Cénac est une église de confession catholique se situant au coeur du bourg. Elle fût édifiée au XIème siècle et fortifiée lors de la guerre de religion du XVIIème siècle.

C’est maintenant la pose casse-croûte ….

Et toujours bon enfant nous continuons notre chemin avant de descendre vers la piste cyclable ; quelques centaines de mètres sur cette piste pour aborder ensuite sur notre droite la contre-allée qui cette fois-ci est en montée.

Passons près de la bambouseraie.Un peu de pub pour la champignonnière.

En fin de randonnée nous nous réunissons à notre point de départ pour un moment convivial et prendre le pot de l’amitié offert Francine et Serge.

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Les Participants :

Afergan Elie et Coraline

Assémat Olivier

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danielle et Bernard

Blanco Françoise et Michel

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Bouvier Francine

Caillaud Christine et Alice

Cayre Maria et Michel

Couprie Marie-Claude

Ducrocq Nathalie

Estebe Joël

Gaudière Danielle

Laffargue Patricia

Laffargue Evelyne et Michel

Lagorce Pierre

Martin Marie Jo

Maison Patrick

Mlynarsky Marie-Line

Noël  Marie Françoise, Fred et Thomas

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Vacellier Géraldine

Pascale et Sylvain

Marie G

Ariane

17/2023 SAINTE FLORENCE

 

 

 

Sainte-Florence, petit village en bordure de la rive gauche de la Garonne se trouve à 7 km de Castillon la Bataille. Au nord la vallée de la Dordogne et à gauche du ruisseau la Gamage.

Un circuit vallonné tout au long de la vallée de la Dordogne. Des vignes, des moulins, des lavoirs, 2 petites églises romanes et de très beaux points de vue défileront pendant cette randonnée
L’église du village de Sainte-Florence.
se situe près d’une source, objet d’un pèlerinage. Elle a conservé sa structure romane La nef unique rectangulaire terminée à l’est par une abside en hémicycle plus étroite est prolongée par une courte travée droite. La nef n’est pas voûtée. Elle termine à l’ouest par un clocher-mur. Un portail roman percé dans un avant corps présente quelques restes de sculpture.  Elle est sculptée de deux anges présentant un écu. Le portail est protégé par un porche qui a conservé sa charpente d’origine. L’édifice a été inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 16 avril 2002.
C’est Joël  qui emmène le petit groupe de 5 randonneurs.
Et c’est parti tout d’abord par une petite côte
Très au loin l’église de Saint-Pey de Castets
Une belle vue sur la Dordogne. De l’autre côté Saint-Magne de Castillon
Arrivée au très joli Moulin de Tuscat réaménagé en gîte de luxe.
Puis on le quitte direction un chemin ombragé.
Saint Pey des Castet et son église
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Une beau panorama.Oh les beaux hortensias.Maintenant au lieu-dit Cablanc  le Château Cablanc.
Et enfin une sérieuse montée sur le chemin de retour.
Au retour l’arrière de l église de Saint-Florence…

La fontaine à côté de la mairie.

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Carte IGN au 1/25000

La randonnée  : 9,7 km ; 110 m de dénivelé

Animateur : Estèbe Joël

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 ++ assez facile (configuration terrain, passages boueux, racines)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Les Participants :

Baron Brigitte et Marc

Estebe Joël

Laffargue Patricia

Maison Patrick