16/2022 UN WE DANS LE LOT

RANDONNEE KARSTIQE DE CREGOLS  (04/06/2022)

Karstique : Karst (du slave Kras) désigne un relief particulier associé à des plateaux calcaires.

CREGOLS est un village de moins de 100 habitants (les crégolais et crégolaises)  d’une superficie de 1835 hectares.

La commune est partagée entre une vallée et le Causse. Elle fait partie du parc national des Causses du Quercy. Son nom semble venir du mot « escargol ». Son patrimoine est particulièrement riche.

L’église (1875-1885) bâtie sur une ancienne chapelle des Templiers du 12e siècle, domine le Lot sur une falaise rocheuse et fait face au château qui était habité au 14e siècle par des religieux. Le chevalier Hector de Crégols fut nommé évêque de Coumba au Portugal. L’eau fut source de richesse pour la commune. Presque toutes les maisons possédaient un four à pain. Réservée aux plongeurs expérimentés, la principale source au bourg de Crégols est un lieu de plongée souterraine de renommée internationale. Les falaises offrent également des lieux d’escalade de haut niveau.

Tout le monde se retrouve sur la place du village pour le premier pique-nique du WE.

Et l’on s’affaire dans les préparatifs.

La centaine de cannelés fabriqués par Bernard pour le dessert.Départ en bordure du LotEn parcourant de nombreux chemins bordés de murets en pierres sèches, nous contemplons les maisons quercinoises, les pigeonniers de formes différentes, des casuelles.

Un chemin bien ombragé et bien apprécié.Une petite pose.

En surplomb de la phosphatière.L’eau sur le Causse. La récupération ingénieuse de l’eau de pluie.La réserve d’une ancienne ferme.

Les gariottes, petites pépites en pierre pour s’abriter du soleil ou de la pluie.Les casuelles en pierres sèches.On se ressource bien à l’ombre ; il fait chaud.Une autre casuelle, cabane en pierres sèches servant d’abri pour les humains et les animaux.Une ancienne ferme en ruines.

Son puits.

L’igue de Crégols est un gouffre large de 80m et profond entre 20 et 40m. il s’agit d’une salle souterraine qui a été formée par remontée d’eau lors des crues depuis un drain principal. L’agrandissement du vide souterrain combiné à l’érosion de la surface a produit l’effondrement du plafond fragilisé. L’eau a aujourd’hui disparu.

 

En fin de randonnée une pose boisson sur une agréable terrasse.

Distance 6,1 km. Dénivelé : 182 m

 

SAINT CIRCQ LAPOPIE au départ de Bouzies. (05/06/2022)

Bouzies : petit village de 88 habitants sur une superficie de 8 km2. C’est un haut lieu de navigation sur le Lot.

Le Lot, 2ème rivière de France après la Marne traverse 5 départements. Il prend sa source en Lozère et se jette dans la Garonne. Il se distingue par ses longs méandres et ses boucles. Avant l’établissement des chemins de fer, le Lot était une très importante voie navigable.

Nous nous retrouvons sur le parking en bordure du Lot à Bouzies.

Et c’est parti pour une journée de randonnée.Avec de très belles vues sur les falaises.L’église de Bouzies.Les oeuvres d’un ferronnier d’art.A la croix nous obliquons vers notre droite.
Nous sommes sur le Causse, en bas le village de Bouzies.
Un arrêt récupération.
La photo symbolique dans les bois. A droite Olivier émoussé…. enmoussé.Une végétation très particulière.On se ressource une nouvelle fois.Et c’est reparti.Et d’un bon pas.Serge jubile…Nous surplombons maintenant Saint Circq Lapopie.  Que de belles vues.La vallée du Lot et ses champs bien alignés.Une vue sur Lapopie….Et en attente de visiter le centre de Lapopie.

Lapopie et ses magnifiques maisons.

Son église
Dans les rues.

Un ancien moulin transformé en gîte.

L’ arrêt repas en bordure du Lot.

Un sérieux approvisionnement assuré par Françoise et Guy.

En fin de repas

L’église de Bouzies

Le chemin de halage construit en 1845 était utilisé par des chevaux afin de permettre aux gabares de remonter les courants en direction de Bordeaux. Les produits transportés étaient des vins, des prunes séchées, mais également les produits des tourneurs sur bois dont surtout les robinets des tonneaux à vin. Le Lot fut déclassé en 1926 comme voie navigable et aménagé pour le tourisme en 1990.

Le long du chemin de halage … les touristes passent une écluse.Le sculpteur Daniel Monnier a réalisé un bas relief dans le flanc creusé du chemin de halage qui représente à sa manière l’environnement de la rivière, de sa faune, de sa flore et de ses fossiles.On trouve même les yeux de « Pierre ».

 

Les herculéennes de Bouzies

Durée : 5h10.   Distance : 14,4 km    Dénivelé : 335 m

Trace de stcirq

 

VERS SAINT- GERY

Randonnée VERCINGETORIX.   VERS-SAINT-GE-(to)RYx (05/06/2022)

La commune de Vers-Saint-Gery est née d’une fusion récente de 2 communes Vers et Saint-Gery.

On y trouve entre autre, des vestiges préhistoriques, un castrum, un aqueduc Gallo-romain,qui alimentait en eau la ville de Cahors du 1er au Ve siècles. Ce dernier trouve sa source dans la vallée du Vers et serpente en conduites souterraines ou à flanc de falaise, en surplomb des vallées sur une trentaine de kilomètres.

Certains descendent de la montagne mais le rendez-vous est près de La Chapelle de Velles près de Vers. Le groupe maintenant est au complet.

Quelques précisions de Serge sur le déroulement de la journée.Départ de la chapelle de Velles.
Les Rives du Lot
Les premières vues en bordure du Lot.
Les Rives du Vers
De belles chutes en dégradé.
Le bâtiment des Chartreux.

Les jardins familiaux

L’église de Vers

La tour des Chartreux. Partie d’un logis du XIVe siècle, avec 2 tours qui conservent des archers cruciforme à double croisillon (actuellement occupée par l’hôtel de la Truite dorée)

Hôtel Restaurant Spa La Truite Dorée (Saint Géry-Vers) | Tourisme Lot

Notre direction…..Le moulin de ….Un chemin ombragé très agréable.Les ruines de maisons troglodytes.

Brigitte en visite en cours de chemin dans une troglodyte.Un abri de Saint-Jacques de Compostelle.Un autre ancien moulin transformé en gîtes.Que c’est beau.Une belle brochette sur un piédestal.

Et quelques cadors aussi.

Sur le Causse

On se retrouve après une sérieuse grimpette pour le pique-nique du midi. 

Merci de nouveau à Françoise et Guy pour la logistique.

La table d’honneur.

D’autres ont prévu les sièges, la classe moyenne quoi.

Mais d’autres aussi au ras des pâquerettes.

On mange même debout.

Ont elles bu elles aussi ??

Et c’est reparti en descente pour l’après- midi.

De suite un ancien enclos pour ferrer les vaches. Jacques n’a pas vu cela depuis longtemps.

Une borie à travers champs.La seule difficulté de l’après-midi, arriver à passer sous la branche.

Un groupe de choc.

Très sérieux les panneaux indicateurs de la région.Le retour est maintenant proche.

Le surplomb des méandres du Lot

Dans les bois, Olivier récidive. A quand la moumoute ??Retour vers Vers et l’on passe aussi de nouveau au-dessus du Vers.

Distance : 21 km – Dénivelé positif : 411 m

Le réconfort de fin de séjour

     Trace de Verss

CAHORS  (06/06/2022)

Marc pose devant le pont Valentré. Où est donc le diable ?

Il fait chaud sur le Lot, nous prenons le bateau pour une visite fluviale de Cahors.

Cà bronze…. Guy semble toutefois inquiet.

On passe une écluse dans le sens aller.

Plusieurs ponts de styles différents se succèdent.Quelques vues sur la ville de Cahors.

Nous allons maintenant repasser l’écluse dans l’autre sens.Un visiteur accompagnateur.Pour finir un demi-tour devant le pont Valentré. Qui a réussi à voir le petit diable ??

Seules quelques personnes ont pu voir de près le diable du pont Valentré mais pas du bateau. Les voici les voilà.Et l’on passe au repas en terrasse en bordure du Lot.

Quelques photos insolites

Un couple d’enfer.A quoi jouent-ils ??

Qu’ils sont gros tes escargots !!!

Sur les hauteurs de Lapopie.

Les UBBistes sont fidèles au rendez-vous. Ah là là quelle déculottée …Fred plus que sceptique sur le résultat …
Bernard heureux devant le cassoulet du dernier soir.Denis se masque. Elle te va bien la moustache.

On est sur le départ, photo souvenir devant le bungalow apéro.

Un temps exceptionnel, de très belle randonnées empierrées, une très bonne ambiance conviviale. Félicitations à Marc et à Serge pour cette excellente organisation.

LES PARTICIPANTS

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danièle Bernard

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Buisseret Sylvie et Pierre

Caillaud Christine 

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Croisille Françoise et Guy

Imbert Pascal

Lataste Martine

Noël Françoise et Fred

Thomas Joëlle et Denis

15/ 2022 CARIGNAN DE BORDEAUX

CARIGNAN de BORDEAUX
Commune de 3881 habitants et 878 hectares. Le château de Carignan est sans aucun doute le plus beau monument de la commune et aussi le plus emblématique, puisque, grâce à son excellent vin, le nom de « Carignan » fait le tour du monde.

Par un très beau soleil, les mordus de randonnées se réunissent sur le parking des écoles de Carignan de Bordeaux. Aux commandes, Marc va piloter la randonnée du jour : 13 randonneurs sont au rendez-vous.

Et oui Marie-Claude est bien des nôtres !Un peu de bitume au départ en direction de Bouliac, puis un beau chemin boisé et un premier arrêt boisson.On passe près d’un plan d’eau bien envahi par les algues.Un peu plus loin une autre petite pose : allez on boit …

Arrivons sur Bouliac et ses très belles vues sur Bordeaux.

BOULIAC : 750 Hectares – 84m de hauteur ce qui lui a valu d’être réputée comme le balcon de Bordeaux – 3400 Bouliacais. C’était un lieu reconnu au VIe siècle par Grégoire de Tours comme lieu de miracles. Au XIIe siècle une nouvelle église fut construite ; c’est l’actuelle qui a été dédiée à Saint-Siméon de Stylite. C’est un véritable joyau de l’art roman, elle se compose d’un clocher, d’une nef et d’un cœur.  Elle est classée monument historique.

Bouliac et ses très belles maisons.Et ça cause derrière les lunettes de soleil. Norbert, tu sembles transpirer !De nouveau des passages très ombragés.On se ressource un peu.Toujours des chemins bien ombragés, merci Marc. Une très belle maison en pierres.Un beau domaine bien protégé par de beaux chiens.Et toujours de l’ombre, que c’est bon.Très heureuse Maie-Jo …. Joël dans son ombre.Et Norbert toujours impérial.Un pont sur un ruisseau à sec.Arrivons près du domaine de Baritault.

Au loin le Château de Carignan se dévoile. Nous n’en ferons pas le détour.

LE CHATEAU CARIGNAN : L’histoire de ce château remonte au 13e siècle.
Au 16e siècle, après plusieurs changements de propriétaires, d’importants travaux furent entrepris.
En 1814, le château fut acheté par le marquis de Casapalacio. C’est à cette époque que les armoiries du marquis furent ajoutées au-dessus de la porte d’entrée de la tour de la cour intérieure.
En 1892, le château fut acheté par Honoré Picon, fils de Gaëtan Picon, fondateur de la marque « Amer Picon ».
Le château fut entièrement rénové et agrandi par l’addition d’une orangerie, d’un nouveau cuvier et des chais.
C’est à cette époque que le château prit définitivement le nom de CHÂTEAU DE CARIGNAN.

Et la touche finale de l’après- midi, Brigitte a emmené la nappe pour le pot de l’amitié. Quelle organisation !!! Bravo les Baron !!! Danièle nous a emmené des petits gâteaux de sa fabrication et aussi quelques bouteilles.

Annie une spécialiste du Proséco.

Elle partage avec Norbert. De vrais connaisseurs …

Et enfin après avoir bu et papoté, il faut bien ramener les vides.

Un après-midi très réussi, bien ombragé avec beaucoup de convivialité.

Animateur organisateur : Marc BARON

Distance :  11,6 km – 281 m

Indice d’effort : niveau 2-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

 

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Cantillac Marie-Claude

Champarnaud Valérie

Estebe Joël

Garcia Norbert

Gaudière Danielle

Martin Marie-Jo

Métreau Céline et Eric

Noël Françoise et Fred

14/ 2022 Sauternes

Sauternes, petite commune d’un peu plus de 800 habitants, nichée au cœur de l’appellation de Sauternes. Sa Mairie est la seule mairie à avoir une vierge sur son fronton au-dessus de la devise « Liberté, Égalité, Fraternité », le bâtiment ayant été autrefois une école religieuse.

C’est un petit groupe sympathique de 11 marcheurs qui se retrouve sur l’aire de pique-nique en bordure du Ciron au Pont de la Madeleine, par un temps estival et pour une belle randonnée conviviale. C’est Elie dans le cadre de la préparation de son diplôme d’animateur qui mènera la danse aujourd’hui.

Les couleurs flashies sont de sortie ainsi que les couvre-chefs.Une belle masure en cours de réhabilitation.
A partir du lieu-dit « La Michelle » longeons le ruisseau du Piquant.

Sur la hauteur le château Lamothe au milieu des vignes.Nous prenons vers l’église et le centre du village.Une première petite pose pour se désaltérer.Arrivée au lavoir qui peut être alimenté par le ruisseau du Piquant.Au loin le Château de l’Arche.L’hôtel le Relais du Château d’Arche bénéficie ainsi d’un magnifique panorama. Très belle chartreuse du 17ème siècle, d’un bâti typiquement bordelais avec un beau perron et entourée de beaux jardins paysagés, l’ hôtel offre des prestations haut de gamme.

L’église Saint-Pierre-es-Liens

L’édifice construit au XIIème siècle a été agrémenté d’un clocher carré et d’un presbytère vers la fin du XVIème puis quasiment entièrement reconstruit au milieu du XIXème ; il est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1925.

Longeons quelque peu la route pour aller au centre du village vers la mairie et la maison des vins de Sauternes.

Apercevons au loin le Château Guiraud, domaine viticole de 128 hectares.

Tout au long de son histoire, le Château Guiraud a fait preuve d’indépendance et tracé son propre chemin. Son esprit pionnier mène la propriété à créer son propre conservatoire de cépages. L’équipe amorce dès 1996 une profonde révolution culturelle en s’engageant dans l’étude de la biodiversité. En 2011, il devient le premier 1er Grand Cru Classé en 1855 à recevoir la certification Agriculture Biologique.

A travers vignes, arrivons au Château Filhot

Fondé en 1709 par Romain de Filhot, conseiller au parlement de Bordeaux, le Château Filhot s’étend sur 350 hectares, dont 60 en appellation Sauternes. A l’origine le comte Henri de Vaucelles cultive à Sauternes un vin classé 2ème Grand Cru dans le registre officiel des vins de Bordeaux de 1855. Un remarquable parc à l’anglaise conçu en 1845 par le jardinier paysagiste Fisher est aménagé autour du château de style néoclassique.

Puis au pigeonnier du Château

Le pigeonnier, de la seconde moitié du XVIIe siècle, est bâti sur un coteau dominant la vallée du Ciron. Des lucarnes d’envol sont ouvertes aux 4 coins cardinaux. Deux bandeaux de pierre forment des obstacles pour les prédateurs. Cette tour pigeonnier est tout ce qui reste d’un ancien Château Pineau du Rey transformé au 19ème siècle en basse-cour de la Marquise de Lur-Saluces et devenu au XXe siècle l’ensemble monumental des chais du Château Filhot.

La curiosité de ce pigeonnier est constitué par son échelle tournante intérieure qui permettait d’accéder aux nids  afin d’y prélever les pigeonneaux destinés à la consommation.

Un passage au soleil sur l’asphalte et on se retrouve maintenant dans les bois bien à l’ombre. La fin de parcours s’annonce être bien agréable.

 Il faut toutefois se ressourcer.Plus loin, Elie nous conte « Le Ciron ».

Long de 97 km, Le Ciron traverse le plateau des Landes de Gascogne, le plateau du Bazadais et les coteaux du Sauternais. Un petit cours d’eau certes, mais qui offre de nombreuses activités : balades, pêche, canoë, dégustation de Sauternes, visites culturelles … Il est bordé d’arbres qui composent une Forêt Galerie.

Zone naturelle très sauvage, les arbres protègent la rivière du soleil et permettent à l’eau de rester fraîche, même pendant l’été. Ainsi, les brumes matinales se forment et favorisent l’apparition du champignon botrytis cinerea, indispensable à la production du Sauternes.

On passe au-dessus de cette rivière.Il nous reste environ 3 km à faire en la longeant … à l’ombre et … dans le sable.Après près de 13 km … ils semblent un peu fatigués.Un dernier passage délicatEt enfin nous retrouvons notre point de départ, le pont de la Madeleine.

Le sauternes est le caprice d’un curieux phénomène. Les brumes matinales s’élevant au-dessus du Ciron alliées à la douceur automnale encouragent le développement d’un champignon, le botrytis cinerea, qui vient sublimer le raisin déjà mûr. La récolte et le tri des raisins puis la vinification nécessitent beaucoup de doigté. C’est une délicate alchimie.

Sauterne Stage 2

Animateur organisateur : Elie

Distance : 12,230 km –    Dénivelé: 50m

Indice d’effort : niveau 2facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 2 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Bouet Serge

Cerdan Coraline

Deblois Béatrice et Olivier

Ducrocq Nathalie

Noël Françoise et Fred

Peere Laurence

Perthuis Fred

Sopéna Emmanuelle

13/ 2022 SAINT ETIENNE DE LISSE

Saint-Étienne-de-Lisse, commune située dans le Canton des coteaux de Dordogne, fait partie des 8 communes de la Juridiction de Saint-Émilion. Sa superficie est de 710 ha, elle se situe à 5 km de Saint-Émilion. La commune compte aujourd’hui 249 habitants, appelés les Stéphanois.

L’église Saint-Etienne : l’une des très rares églises de Gironde à chevet trèflé. Les bras du transept portent des absidioles. La voûte de la partie centrale du transept est sur pendentif. L’escalier du clocher est à vis à noyau évidé. L’abside et les deux bras du transept sont voûtés en cul de four. La nef est voûtée en berceau avec arcs doubleaux.

C’est un groupe de 21 randonneurs qui se présente au départ. Marie-Claude mènera la danse pour l’après-midi.

Quelques instructions avant le départ.

Et c’est parti comme toujours d’un bon pas.Un groupe très appliqué.En rose qui flashe c’est Dominique.Puis le Château de Pressac qui se dresse au-dessus du bourg et de l’église et domine la vallée de la Dordogne. Après la bataille de Castillon, la reddition des Anglais de la guerre de Cent Ans a lieu au château de Pressac. Le corps du logis date du XVIIe siècle, mais a été reconstruit dans le style néo-gothique au XIXe siècle, et selon les traditions locales, ce château aurait eu la particularité de posséder 27 tours dont plusieurs laisseraient encore apparaître leurs ruines. Ce château, à l’architecture fortifiée, a été remanié à plusieurs époques : la porte d’entrée, partie la plus ancienne, s’ouvre sur une muraille de deux tours et est surmontée de mâchicoulis devant lesquelles étaient anciennement creusées des douves. Les propriétaires actuels ont aujourd’hui commencé la restauration du chai.

La Tour du Château.

Il faut bien de temps à autre s’arrêter pour se désaltérer. Patrick hume ???…Michel le contemple. Brigitte interrogative??

Une belle croix au lieu-dit Rocher.

Marie-Claude heureuse de son bon groupe. Encore une petite pose soif et on y retourne.

Le Château Petit Mangot

Depuis 1934, 4 générations se succèdent pour exploiter les terres de Petit Mangot. A l’origine de 6 hectares de vignobles et de bâtiments, cette exploitation s’est agrandie à 12 hectares en 1984.

Et lors d’une pose une séance de yoga à l’initiative de Michel.

Vers le Château CantinLe Château Cantin est la propriété de Jean Leprince depuis 1999. C’est un des beaux terroirs de Saint-Émilion, réuni sur 33 ha de vignes d’un seul tenant, sur des sols argilo-calcaires et argilo-siliceux avec présence de crasse de fer dans le sous-sol. Le petit ruisseau situé au bas de la colline, le « Cantin »» qui jamais ne se tarit, a donné son nom au domaine.

Pour vinifier ses raisins, le domaine applique la méthode de vinification traditionnelle. Les raisins sont alors vinifiés dans des cuves inox thermo-régulées et des cuves ciment thermo-régulées en fonction des cuvées. Pour tout ou partie de ses cuvées, le domaine a recours à la vinification sous-bois en utilisant des barriques de chêne selon l’aptitude des moûts à tenir le bois.

L’ancien  Château Haut-Bresson ?? En désuétude malheureusement.

Cet olivier a été offert au Château Haut-Bresson par sa Majesté le Roi Juan Carlos d’Espagne. 

 

Le bois de la Croix de Tourans. A savoir que depuis la croix de Tourans, il y a un magnifique point de vue sur toute la vallée de la Dordogne. Le lieu-dit de la Croix de Touran est situé dans un petit bois et accessible uniquement à pied ; il permet d’admirer l’ensemble du paysage viticole.

Un public intéressé par les explications.Une belle vue.

Tout le monde s’y plait.

Et pour finir cette randonnée ensoleillée c’est Dominique qui arrose son récent départ à la retraite. (Dominique en rose étant cachée par le verre de Serge !!!)

Un bon après-midi, une randonnée hors bitume … c’est parfait.

Animateur organisateur : COUPRIE Marie-Claude

Distance :  12 km –

Indice d’effort : niveau 2 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 2 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude

Couprie Marie-Claude

Cayre Maria et Michel

Cerdan Coraline

Champarnaud Valérie

Delignette Dominique

Dufour Marie

Gaudière Danielle

Maison Nicole et Patrick

Noël Françoise

Peere Laurence

Sopéna Emmanuelle

Villar Corinne

12/2022 LE POUT

Le Pout environ 650 habitants, les Poutois et les Poutoises.

Outre l’église paroissiale St-Martin et la croix de son cimetière, une dizaine d’édifices de la commune sont versés à l’inventaire général du patrimoine du Créonnais.

C’est Elie qui aujourd’hui sera notre chef de file : 23 personnes sont réunies près de l’église.

C’est par un temps agréable que nous partons de l’église St-Martin qui fut construite au 15ème siècle et remodelée aux 16ème et 19ème siècles. Son originalité se trouve être dans son volume intérieur mais qui n’est toutefois pas accessible. Par contre ses 2 belles cloches extérieures sont bien visibles.

Départ de la mairie. Et c’est parti … On longe tout d’abord sur quelques centaines de mètres la route.

Le Château RIVALAN

Le château était dédié à l’origine à l’élevage laitier puis à l’élevage de vaches à viande. A ce jour, c’est un domaine viticole de 52 hectares qui fait l’objet d’un traitement raisonné permettant de réduire les produits phytosanitaires. Sa particularité est de disposer d’un chai d’élevage dans les fondations du château avec un élevage en barrique entre 12 et 18 mois.

Au lieu-dit Marches, nous obliquons sur notre gauche pour partir à travers bois.

Passons le ruisseau La Rivière.

Dans les bois…Puis Le château de Camarsac, bâti sur un promontoire au 14ème siècle, appartient à la famille Lurton. L’oenotourisme y est pratiqué à travers son fameux     « Clos du Prince Noir « .
Pas très beau, le nouveau chai couvert de panneaux photovoltaïques.

C’est mieux comme cela.Et encore ainsi.En cours de route les oies nous accueillent avec leurs petits.

Prenons le chemin ….

Une petite pose boissons toujours en futée.Puis le chemin de …

Dans les bois, des passages délicats.

Les poules et le coq sont aussi là pour nous accueillir.Que c’est bon à l’ombre des arbres. Elie aide pour les passages délicats.Et on continue…

Une maison de pierres appelée la Ruine ???
Ruisseau de la Hutte. Annie hésite à y passer.

Traversée du Grand Bois. Puis arrivée au lieu-dit …Arrivons sur le village de…Dans les arbres une palombière.Arrivons au lieu-dit…Amorçons une belle descente dans un chemin bien agréable.

Passons de nouveau sur La rivière, puis encore.Prenons la route de…

Longeons maintenant le ruisseau La rivièreQue nous allons une nouvelle fois passer.

En fin de randonnée un Elie bien radieux.

C’est vers 17h que nous retrouvons le parking. Jacques nous y attend la bouteille à la main pour nous servir le pot de l’amitié. Félicitations à Mamy-Claude et Papy Jacques qui arrose la naissance de leur petit-fils Lenny.

randonnee-388701-2-2

1ibp stage 1

Animateur organisateur : AFERGAN Elie

Reconnaissance: Elie, Denis

Distance :  11,2 km –  Dénivelé: 118 m

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 2 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude

Champarnaud Valérie

Cerdan Coraline

Desmond Alexandra

Gaudière Danielle

Laffargue Patricia

Noël Françoise et Fred

Rischard Sylvie et Philippe

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

 Nathalie en essai

 

11/ 2022 FARGUES SAINT-HILAIRE

25 randonneurs se retrouvent parking des écoles à Fargues Saint-Hilaire dont Patricia venue faire un galop d’essai.C’est Corinne qui a en charge le groupe et Marc fera les commentaires adéquats.Ce grand circuit de 12,8 km nous fera faire le tour de Fargues Saint-Hilaire en passant par Cénac et Carignan-de-Bordeaux, la plupart du temps sur de beaux chemins ombragés. Nous y découvrirons entre autres : le vieux bourg de Fargues, des arbres remarquables, des lavoirs, des châteaux, une ancienne voie ferrée, des grottes et bien d’autres surprises !

Tout d’abord l’ancienne mairie-école.

La situation globale de l’enseignement primaire en France apparaît médiocre à la chute de l’Empire (abdication de Napoléon 1er en 1815), qui ne s’en est guère préoccupé. Beaucoup de ces bâtiments utilisés pour la classe sont inadaptés et dépourvus de cour, de préau ou encore de toilettes.

Après la défaite de 1870 (guerre contre la Prusse) que l’opinion générale attribue à la supériorité de l’éducation primaire prussienne, l’École fait l’objet d’efforts particuliers afin d’être en mesure de préparer les futurs citoyens. La grande loi en matière de construction scolaire est promulguée le 1er juin 1878 et oblige les communes à construire des maisons d’écoles.

L’école type de la 3ème République est constituée de la mairie au centre, en légère avancée de façade surmontée de la devise républicaine, des écoles de garçons et de filles de part et d’autre et du logement du maître à l’étage.

C’est ainsi que la commune de Fargues Saint-Hilaire se dote en 1874 d’un ensemble mairie-école.

Il existait trois moulins sur la commune de Fargues Saint-Hilaire, un à eau sur le ruisseau de la Canterane, et deux à vent. Ces moulins permettaient à la population essentiellement rurale de moudre leur production locale de blé pour produire de la farine.

Le moulin des écoles ou moulin rouge est le seul des deux moulins à vent à être visible et encore en élévation, bien qu’il soit difficile pour celui qui n’est pas au courant de se rendre compte que cette tour est bien un ancien moulin à vent.

Situé en hauteur, sur une ligne de crête, pour profiter au maximum des vents, ce moulin est un moulin tour : constitué d’une tour maçonnée en moellons, il était surmonté d’une toiture orientable dans le sens du vent, qui supportait des ailes fixées à un axe horizontal.

En 1865, Jean Richet, charpentier de moulins, vend le moulin et un lopin de terre à Jean Cassignard, tailleur de pierre. C’est certainement à cette époque que le moulin cessa son activité et que le nouveau propriétaire transforma le moulin en tour à créneaux et y accola une maison construite en pierres de tailles.

L’église Saint-Hilaire

L’église actuelle n’a été construite qu’en 1846 à quelques centaines de mètres de l’ancienne église romane, sur un terrain donné par les propriétaires du Château Beauséjour. Cette première église qui présentait fissures et lézardes suite au tremblement de terre de 1759 fut rasée et remplacée par le nouvel édifice.

Malgré sa date de construction relativement récente, la nouvelle église a subi plusieurs rénovations nécessaires suite aux nombreuses lézardes apparues sur les murs des bas-côtés et au plafond. En 1985, 60 micro-pieux sont enfoncés à 10 mètres de profondeur pour renforcer les fondations.

L’ancien presbytère

Nous sommes ici au coeur de l’ancien village de Fargues Saint-Hilaire. En effet l’ancienne église romane se situait au milieu du cimetière actuel au bout de la rue, à quelques dizaines de mètres de là.

C’est une belle bâtisse construite au 18e siècle en moellons comprenant plusieurs parties formant un “L” autour d’un jardin et d’une petite cour. Vu son emplacement et sa fonction, c’est surement l’un des plus vieux bâtiments de la commune encore debout.

Et oui, prudence, on respecte les consignes.Direction le…Passons devant un surprenant mur réalisé en de plusieurs centaines de tuiles canal empilées les unes sur les autres ; c’est le dernier témoin de l’ancienne tuilerie de Fargues.Le lavoir de la tuilerie

Le lavoir de la tuilerie est un des deux lavoirs publics encore visibles à Fargues Saint-Hilaire. Il a été construit en 1927 près d’une source en bordure du chemin de Musset. Les habitants alentours, principalement ceux de la Tuilière et de Marron, venaient rincer leur linge au lavoir. C’était un lieu éminemment social dans chaque village. Les femmes s’y retrouvaient une fois par semaine ou plus, et échangeaient les toutes dernières nouvelles du village et des parages.

Le nom “de la tuilerie” vient du fait qu’il existait ici une ancienne tuilerie qui a perduré jusqu’en 1920. En exploitant un gisement d’argile, elle fournissait les matériaux indispensables aux constructions locales : tuiles creuses qui recouvrent la majorité des toits alentours, ainsi que briques et carreaux utilisés pour les souches de cheminées et les sols.

Une petite montée par un chemin bien agréable.

Une bien belle glycine et
Un arbre portail.En arrivant sur Escorgeboeuf, Corinne joue du sécateur pour nous faciliter le passage.La vallée de la Canterane

Au fond du vallon, le cours du ruisseau de Canterane vient se jeter dans la Pimpine un peu plus en aval. L’endroit est bucolique avec ses pentes couvertes de prairies.

Le nom du lieu “Escorgeboeuf” est pour le moins surprenant et reste un mystère encore aujourd’hui. L’explication la plus logique serait de penser à un endroit où on égorgeait les boeufs, une sorte d’abattoir … ou bien un incident où un boeuf aurait été égorgé par une bête sauvage et qui aurait marqué les esprits ? 

Maison du garde-barrière.

La garde de la barrière était souvent confiée à une femme, épouse ou veuve d’un cheminot de la voie. Le confort de ces maisonnettes était réduit à leur plus simple expression : quatre petite pièces, pas de sanitaire ni d’eau courante ou d’électricité (parfois jusqu’en dans les années 60). Seul un petit poêle à charbon assurait le chauffage de l’ensemble. Souvent ces maisons “jouet” possédaient un jardinet pour améliorer l’ordinaire par quelques légumes, et en élevant poules et lapins…

Nous suivons pendant quelques kilomètres la piste cyclable encombrée de chutes d’arbres.Et Marc de faire des commentaires sur l’origine de cette piste cyclable.

Ancienne voie ferrée. Cette longue piste cyclable qui serpente en fond de vallée est en fait un ancien chemin de fer.

Après la première guerre mondiale, et face au développement du trafic routier, la ligne amorce un déclin inexorable. En 1951, l’unique train de voyageur disparaît définitivement, et en 1979 la ligne cesse complètement son activité. En 1996 le Conseil Général de la Gironde rachète l’emprise ferroviaire entre Latresne et Sauveterre et crée la piste cyclable Roger Lapébie sur un tracé de 54km.

Les Anciennes carrières.Et Denis fait le pitre.

Les nombreuses carrières que l’on peut voir ici le long de la piste cyclable étaient, à partir de 1873, desservies par la voie ferrée Bordeaux-La Sauve qui passait à l’emplacement de la voie verte. On peut encore voir ça et là, le long de cet ancien chemin de fer, les restes de quais aménagés pour faciliter le chargement des pierres, aujourd’hui en partie envahis par la végétation.

A partir du 20e siècle, l’activité a fortement ralenti. Si certaines carrières ont été réutilisées comme champignonnières, la plupart ont été abandonnées.

La bambouseraie.

Coraline et Elie en pause photo.

Le Château Léon.Une petite pose et quelques commentaires.

Ce domaine, dont le nom à l’origine était Camelon, faisait partie intégrante du château Carignan et s’en est détaché à la suite de deux ventes successives peu avant la Révolution.

Le domaine d’origine, appelé communément « la ferme du château Léon », est composé de plusieurs bâtiments édifiés à diverses périodes du 18e siècle, organisés autour du logis du fermier : logement de domestiques, chai, cuvier, écurie, cour, puits …

Le vin produit grâce à l’exposition et à son terroir était de grande qualité. En 1874, le vignoble était au maximum de sa production et on y récoltait 300 hectolitres de vin majorité de vin rouge. Les propriétaires, trop à l’étroit dans leur demeure campagnarde, firent construire tout à côté, un château dans le style de l’époque. Terminé en 1890, il est maintenant appelé « château Léon ».

Après plusieurs années d’abandon, il a été réhabilité en résidence composée de plusieurs appartements.

Le Château Carignan.

Situé pratiquement en face de l’église, de l’autre côté du petit vallon creusé par un affluent de la Pimpine, ce château dont l’histoire remonte au moins au 13e siècle est sans doute à l’origine de la paroisse de Carignan. La situation du vieux bourg de Carignan et plus particulièrement de l’église est intimement liée à l’histoire du premier château de Carignan.

Au 16e siècle, après plusieurs changements de propriétaires, d’importants travaux furent entrepris sur le château actuel, notamment pour agrandir le côté est. En 1814, le château fut acheté par le marquis de Casapalacio et subit une réfection complète car il était en piteux état. C’est à cette époque que les armoiries du marquis furent ajoutées au dessus de la porte d’entrée de la tour de la cour intérieure.

En 1892 le château fut acheté par Honoré Picon, fils de Gaëtan Picon, fondateur de la marque « Amer Picon ». Le château fut entièrement rénové et agrandi par l’addition d’une orangerie, un nouveau cuvier et des chais. A cette époque, le château prit définitivement le nom de Château Carignan. Depuis plusieurs propriétaires se sont succédés.

Le château est sans aucun doute le plus beau monument de Carignan-de-Bordeaux et aussi le plus emblématique, puisque que grâce à son excellent vin, le nom « Carignan » fait le tour du monde.

On descend maintenant vers le fond d’un vallon.

Et c’est là que le magnanime « Bruno » porte secours à un vététiste en perdition.

L’éolienne Bollée.

A la fin du 19e siècle, Honoré Picon, fils du fondateur de la marque « Amer Picon », fait édifier une éolienne dans le bas de son domaine Baritault pour exploiter une source toute proche.

Cette curieuse et magnifique éolienne était donc utilisée pour pomper l’eau du ruisseau et la remonter jusqu’au château d’eau du domaine Baritaud situé dans la tour « donjon », en contre-haut de la colline.

Construite en 1896 par Ernest-Sylvain Bollée, industriel au Mans, elle demeure une des seules éoliennes Bollée encore en élévation dans notre région. Formidable témoin du patrimoine industriel de cette époque, elle mériterait d’être sauvegardée et restaurée comme par exemple celle du château de Beauval à Bassens.

Une ancienne cressonnière en désuétude.

Nous nous retrouvons au parking où Joelle nous offre le « pot de l’amitié » en ce jour d’anniversaire.

Animateur organisateur : VILLAR Corinne

Reconnaissance : Corinne , Marc et Brigitte

Distance :  12,8 km – dénivelé 129 m

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Trace.    Randonnée de Fargues St.Hilaire

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Marc

Bouet Francine

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude

Cerdan Coraline

Champarnaud Valérie

Garcia Norbert

Gaudière Danielle

Lagorce Pierre

Maison Nicole et Patrick

Marcandella Jean-Christophe

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred

Rischard Sylvie et Philippe

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Patricia (en essai)

10/2022 AUDENGE Le domaine de Certes

L’Histoire : Le domaine de Certes et Graveyron, propriété du Conservatoire du littoral, est un espace naturel unique de 530 hectares au cœur du Bassin d’Arcachon, sur les communes d’Audenge et de Lanton.

Ce domaine, façonné par la main de l’homme, a connu des vocations agricoles, salicoles, piscicoles et forestières. Il offre un paysage exceptionnel de domaines endigués, des bassins piscicoles et de prairies humides.

Cet espace abrite de nombreuses populations d’oiseaux tout au long de l’année, dont certaines espèces rares et protégées.

 Ce n’est qu’un petit groupe de 12 randonneurs qui se retrouve sous la houlette de Serge par un temps bien frisqué et avec beaucoup de vent. Nous allons longer le domaine de Certes sur plus de 13 km.

C’est parti et voilà ce qui nous attend.On passe devant le château de la propriété.

Ce château a été construit au XVIIIe siècle par le marquis de Civrac. Il fut reconstruit vers 1840 par Ernest Valeton de Boissière et partiellement restauré en 2004.

Puis les dépendances construites pour l’exploitation du sel.En début de rencontre les biches nous saluent au loin dans la prairie.Sous de beaux pins parasols.Les différents plans d’eau du domaine sont régulés par des écluses.

Les eaux peu profondes des bassins sont favorables au développement d’algues et de plantes aquatiques. Une flore mixte, adaptée soit à l’eau salée du Bassin d’Arcachon, soit à l’eau douce amenée par les pluies, favorise une belle biodiversité. Les plantes aquatiques, vers, petits coquillages, crustacés forment le début d’une chaîne alimentaire où s’insèrent les poissons, proies à leur tour des hérons, cormorans, aigrettes… Certaines espèces comme la gorge bleue à miroir blanc y nichent. Milieu tranquille situé sur une des voies principales de migration, Certes et Graveyron forment aussi un site d’hivernage très apprécié des oiseaux migrateurs, comme la spatule blanche.Au dérivé, au loin la dune du Pyla.Hormis les aigrettes et les cygnes, les hérons cendrés, les cormorans, les spatules ne sont pas ce jour au rendez-vous. Toutefois un beau cygne : le cygne tête levée.Le cygne tête baissée et envasée.Une cabane de saunier ??Les huttes des chasseurs de canards. Au fond on aperçoit Arcachon.Plus loin le Cap Ferret.La pause photo devant le bassin. Tout le monde est bien couvert.Des plans d’eau à perte de vue.Quelques passages boueux. Attention.Un couple d’heureux ils sont passés.Le beau chapeau de Myriam.Quelqu’un va t’il chuter ??Une petite pose boisson.Un autre passage délicat pour la famille Page.

La très belle église d’Audenge.

Quelques kilomètres difficiles pour finir sur la piste cyclable, mais le réconfort arrive.

Les professionnels ouvrent tout d’abord les huîtres pendant que Marc prépare l’apéro.Et on lève le verre à l’attention de Brigitte…

En fin de repas les très bons cannelés faits maison par Bernard. A découvrir  plus loin sa recette. Au début du café il y en avait 103 sur le plateau.

En fin de café … Pour qui le dernier ??  Au fait qui l’a pris ??

La recette de Bernard : Cannelés (108 petits)

Plan de la randonnée

Animateur organisateur : BOUET Serge

Distance : 13 km –  Pas de dénivellé

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Baron Marc

Berkesse Bernard

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Dury Edith

Lataste Martine

Noël Françoise et Fred

Page Francis

09/2022 MONTUSSAN

Montussan est un village de l’Entre-deux-Mers, d’une superficie de 8,3 km2 pour 3042 habitants. Un environnement de 850 ha pour une dizaine de châteaux viticoles. A noter un tissu artisanal très développé. Montussan est traversé par la rivière La Laurence.

Tout d’abord le point de rendez-vous : L’église Saint-Martin, édifice religieux de confession catholique.

Une nouvelle fois 31 randonneurs se sont donnés rendez-vous place de l’église. C’est Bernard qui guidera le groupe pour ce circuit champêtre à travers vignes, prairies et sous-bois.Et c’est parti comme toujours d’un pas décidé.De temps en temps quelques passages délicats entre buissons. Mais on s’y fait.C’est passé pour Françoise.Allez Marie-Claude tu y arriveras.Danièle à l’aise..Michel bloques-tu ??A l’aise aussi pour Norbert.Passement de jambes pour Marie.Françoise est passée, Joëlle assure.Facile avec les bâtons pour Maria.Et le président hésite ??Marie courbée peine ??  Véronique la nouvelle essaie de lancer la jambe droite.De belles vues sur la campagne environnante.Une prairie pleine de fleurs. On est vraiment au printemps.Allez on va se reposer quelque peu. On peut aussi se désaltérer.

Mais à qui sont ces mollets???

Sur le retour un très beau chêne envahit la route. Qu’il est beau !Passons sur le…

Sur la colline, le Château Puymiran

C’est une belle demeure du XVIIe siècle située sur un promontoire délimité par le vallon de Courneau au sud, les plaines de Saint-Loubès et de la Dordogne au nord. Le site rural qui l’entoure se compose de vignobles, d’une garenne, de prairies et de bosquets.
Le château, maison noble remaniée à différentes époques, se compose d’un corps de logis surmonté d’un belvédère, précédé d’un perron à double escalier. L’une des façades est flanquée d’une tourelle encapuchonnée et de longues rangées de servitudes entourent une vaste cour.
Actuellement c’est une écurie pour chevaux de compétition (pension, entraînement, valorisation des chevaux de sport).

Avant la fin de notre périple, passons devant la très belle mairie.

Et avant de se disperser une haie d’honneur est faite en l’honneur de Marie-Jo pour son anniversaire, plein de bises à toi.

Trace randonnée Montussan

Montussan carte IGN 10 km

Cotation IBP = 28 HKG niveau 2

Animateur organisateur : RICHEZ Bernard

Distance : 10 km –   28 m

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Blanco Françoise et Michel

Bouet Serge

Bonneau Olivier

Breil Bruno

Cantillac Marie-Claude

Couprie Marie-Claude

Cayre Maria et Michel

Deblois Béatrice et Olivier

Dufour Marie

Garcia Norbert

Gaudière Danielle

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie-Jo

Michel Jean-Marie

Noël Françoise et Fred

Pons Monique

Quérité Marie

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Véronique (en essai)

08/2022 FRONSAC

Au IVe siècle, Fronsac connut les vicissitudes des pillages des vikings qui remontaient la Dordogne. Les différents occupants du château développèrent l’édifice qui devint conséquent au cours des années.

Partagés entre le royaume de France et le royaume d’Angleterre, Fronsac fut soumis à diverses fortunes suivant les allégeances de ses seigneurs jusqu’en 1453 où le roi de France devint maître de l’Aquitaine. Fronsac devint comté en 1551, marquisat en 1555 et duché pairie en 1608. Un chef de garnison trop zélé provoqua par ses actions la destruction du château en 1623.

Le duché devint propriété de la famille Richelieu en 1634. Une demeure extravagante, une folie à l’italienne, fut bâtie à l’emplacement du château-fort. Elle fut le théâtre de fêtes galantes dont le renom propagea la connaissance des vins de Fronsac à la cour de Versailles. C’est ici qu’apparut pour la première fois en Libournais la notion de « cru ».

La Révolution Française passant par là, la seigneurie cessa d’exister en 1795.

Puis Fronsac connut le déroulement de l’histoire  de toutes les communes françaises. Son école publique fut bâtie à partir de 1890. Actuellement sa population est de moins de 1200 habitants.

Le Tertre de Fronsac.

Le tertre de Fronsac était déjà utilisé par les Gaulois, qui y ont installé un oppidum, car surplomblant stratégiquement la plaine de lʼIsle et de la Dordogne. Les Romains y construisirent un puissant camp fortifié et implantèrent la vigne sur les coteaux, mais lʼensemble fut rasé par les invasions barbares. Des carrières dʼargiles locales servirent à lʻélaboration dʼamphores. Charlemagne y élèvera une forteresse en 769 qui sera anéantie par les Normands. Un autre château se dressera sur le tertre pendant toute la période anglaise. Louis XIII le fera raser. Richelieu, possesseur du domaine, le transmettra à ses héritiers avec le titre de Duc de Fronsac.

31 randonneurs se retrouvent à l’arrière de la maison des vins de Fronsac.

Ce sont Denis et Elie qui vont nous guider à travers vignes avec des vues sur de nombreux châteaux……De suite nous passons devant le Château Richelieu.

Château Richelieu : Au pied du Tertre, Richelieu se dessine en vallons et coteaux autour de la bâtisse historique du XVIIe siècle. Fronsac fut le berceau gallo-romain de la vigne en bordelais. Au XVIIIe siècle ses vins rayonnent à la cour du Roi, une reconnaissance qui participe à sa notoriété. Mais aussi aujourd’hui maison d’hôtes. Le nouveau chai fut installé au cœur du vignoble pour ne pas «déranger» la chartreuse du Maréchal.Au loin un autre château sur un tertre : Le Château Laguë, domaine au nom inspiré par l’empereur Charlemagne, qui serait passé par Fronsac où il aurait fait construire une forteresse. Maison de vacances actuellement.

D’un pas assuré à travers vignes…De temps en temps, il faut savoir s’arrêter pour boire et regarder le paysage. Pour papoter aussi …

Arrivons au lieu-dit :Sur la colline le Château du Fort-Pontus.

Dernière demeure du peintre animalier français René Princeteau, qui fut le maître du non moins célèbre Henri de Toulouse-Lautrec, le Château du Fort-Pontus dresse son imposante silhouette sur les collines du vignoble de Fronsac.

Puis le lieu-dit :

Les vignobles DORNEAU se composent de plusieurs petites propriétés acquises au fil du temps par plusieurs générations de la même famille.

Aujourd’hui ce domaine de 45 ha s’est développé en diversifiant ses activités, notamment dans la production trufficole, l’oenotourisme et le consulting.

Le Château Coustolle

A mi-chemin entre Fronsac et Saillans, la propriété occupe une combe aux terrains de molasse et grès profonds entourés de côteaux à dominante calcaire.

Le petit manoir du XIXe siècle est couvert d’ardoises, signe de prospérité bourgeoise au siècle dernier. De nombreux aménagements successifs ont été pratiqués pour une meilleure exploitation vinicole et un plus grand confort du vin dont la production représente, bon an mal an, une centaine de tonneaux.

Un plan d’eau bien agréable.

Un autre château non identifié ?????

Le Chateau Franc Capet. Une très petite propriété de 2 hectares.

Photo of Franc Capet - Fronsac, Gironde, France

Un autre plan d’eau près du lieu-dit Malganit

Et arrivons en bordure de l’Isle et ses filets de pêcheEn profitons pour faire la pose casse-croûte.Et arrivons au …2 gîtes et 4 chambres d’hôtesPuis au lieu-dit…Et le «Château» Vieux-Mouleyre qui est un petit bâtiment de l’époque du célèbre Maréchal Duc de Richelieu et de Fronsac, au XVIIIe siècle. L’ensemble du domaine, comportant des vignes de plus de trente ans, fait deux hectares et demi.

Toujours à travers vignes….Lieu-dit :Et son château.

De bien belles vues …Le Château Gaby

Niché à flanc de coteau, Château Gaby se révèle comme un bijou dans un écrin.
Un véritable tableau impressionniste  !

Perchée sur le haut du coteau, l’élégante bâtisse du 18ème siècle, autrefois relais de poste de Fronsac, jouit d’une position dominante et d’une vue exceptionnelle. A ses pieds, les vignes déroulent leurs lignes en suivant les moindres variations du relief.

Nous venons de passer le château Barrabaque pour une petite grimpette.Avec de très belles vues sur La Dordogne.En contre bas Le Château Dauphine

Le château est construit entre les années 1744 et 1750. Peu de temps après la construction du château, Marie-Josèphe DE SAXE, la Dauphine de France mère des derniers rois de France dont Louis XVI, y séjourne quelques jours. Cet événement contribuera au développement de la notoriété de la propriété qui fut nommée ainsi en souvenir du séjour de cette princesse.

Retrouvons le parking de départ. Le groupe éclate… toutefois quelques apprentis oenologues vont aller faire une dégustation de vins au Château Pey-Labrie. Ce château tient son nom d’un vieux moulin élevé sur le lieu-dit où se situe le vignoble, « Pey » signifiant  « le haut du coteau ». Ce petit vignoble de 6,75 ha bénéficie d’une bonne exposition et d’un terroir implanté sur des côtes argilo-calcaires.En cours de dégustation.

Trace Fronsac:   IGN FRONSAC 11km D+110

Cotation Fronsac: IBP = 34 HKG Hqvd57groIUfACzh8d3-Xw.gpx

 

Animateur organisateur : THOMAS Denis

Reconnaissance : Denis, Elie

Distance : 11 km –   118 m de dénivelé

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danièle et Bernard

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Cayre Maria et Michel

Cerdan Coraline

Couprie Marie-Claude

Deblois Béatrice et Olivier

Delignette Dominique

Dufour Marie

Dupin Monique

Lagorce Pierre

Lenouy Karine

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred

Peere Laurence

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

07/2022 LUGAIGNAC

Branne… Notre point de départ. Petite commune de 254 ha et de 1133 habitants, blottie sur les bords de la Dordogne à deux pas de Saint-Emilion, Branne fait partie de l’arrondissement de Libourne. C’est aussi le chef lieu de canton.

« La Dordogne » était un axe important pour le commerce (vins, bois, céréales).
Le commerce fluvial de Branne s’est développé au XVIIIe siècle, les marchands et artisans y étaient en grande majorité avec des bateliers, pêcheurs, commerçants, charpentiers……
Autrefois les gabares chargées de fûts, de céréales, de bois ou de pierres naviguaient sur la Dordogne ; de cette activité il ne reste aujourd’hui que les quais.

« L’église Saint-Etienne »  fut construite de 1859 à 1878. L’intérieur est composé d’une nef à quatre travées couvertes de voûtes et de deux bas-côtés.

« La Halle » qui se trouve au coeur de la ville était à l’époque le centre vital de Branne où les habitants des communes voisines venaient vendre et acheter nourriture, objets et marchandises diverses. Elle figure au cadastre depuis 1672.

25 randonneurs sont au rendez-vous. Une randonnée d’un peu plus de 10 km est prévue avec 2 boucles en forme de 8.

On attend quelque peu. Il faut toujours un dernier.Et c’est parti… C’est Fred qui pilote aujourd’hui.

Passage au lieu-dit le Maine.Cà monte… une vue sur Branne et son église.Une montée délicate et boueuse.
Bien vu… les bâtons.Un homme heureux dans la boue.C’est toujours dur ???Au loin l’église de Lugaignac que nous reverrons plus tard.Un beau jasmin non odorant déjà fleuri.Sur St-Aubin de Branne le moulin Lescours.
Arrivons au lieu-dit…Puis au joli hameau de la Hâge Julianet ses belles maisons en pierres.Une petite pause boisson au point le plus haut de la randonnée.
Passons près du moulin de Lagut.

Une sérieuse descente sur enrobé nous ramène sur Branne.

Nous attaquons maintenant notre 2ème boucle et arrivons près du village de Lugaignac.

Lugaignac est une petite commune rurale de 3,7 km2 peuplée de 485 Lugaignacais.Nous sommes dans une descente avant la dernière sérieuse montée vers l’église.Personne ne souffre.
Près de l’église.La voici…

L église Saint-Martin de Lugaignac que nous n’avons malheureusement pas pu visiter.

La construction de cette petite église (20 m sur 6 m) date de la fin du XIIe siècle. Elle se compose d’une nef unique de trois travées, couverte d’une voûte en berceau brisé. L’édifice est terminé par un chœur carré et une abside à pans, couverte d’une voûte.

Les murs de la nef ont été renforcés par des contreforts au XVIIe siècle et deux chapelles sur le flanc nord et un porche ont été construits. L’église a un clocher-mur. Le portail aligne douze colonnes avec chapiteaux.

Après l’église, nous amorçons notre descente sur le chemin boueux que nous avions emprunté au départ. Heureusement nous n’avons pas de chute à enregistrer !!!

Nous entrons de nouveau dans Branne pour passer place de la mairie qui  dans la tradition du XIXe siècle « Justice de Paix » est flanquée de l’École Communale des Filles et des Garçons. Un monument aux morts commémore les guerres de 1870-71, 1914-18, 1939-45 et Indochine.

Passons sur la passerelle enjambant le ruisseau Lyssandre et vers 16h45 nous sommes de retour à notre point de départ.

Samedi prochain on se retrouve à Fronsac.

Lugaignac carte IGN CC10km42 D+ 142

IBP = 33 HKG cI0Hy1pzBg0fACzh8d3-Xw.gpx

 

Animateur organisateur : NOEL Fred

Reconnaissance: Fred, Denis

Distance : 10,4 km –  187 m de dénivellé

Indice d’effort : niveau 2-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Lagorce Pierre

Maison Nicole et Patrick

Marcandella Jean-Christophe

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred

Quérité Marie

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Vacellier Géraldine

Villar Corinne