05/2019 CURSAN


Cursan est un petit village de 6 km2 et de 620 habitants (les Cursanais et Cursanaises)

L’église de style roman du 19ème siècle est en forme de croix latine. Entre deux contreforts obliques, sa façade à trois étages était à l’origine éclairée par des baies.  23 personnes sont au rendez-vous sur le parking face à la mairie et après quelques mots d’accueil c’est Fred qui emmène le groupe .

Direction tout d’abord le lieu-dit Virelli ; quelques commentaires en avant première sur l’immense station d’épuration de Cursan qui à priori n’a pas lieu d’être.   A suivre…..

 Par un agréable chemin entre prairies et sous bois nous nous dirigeons vers le village de Croignon.

Passons devant la mairie, l’église de ce village et devant le renommé restaurant « le Petit Nice »Puis direction sur le bitume vers les lieux-dits Perdrigal, la Vidane, Landrin et Le Petit Jean.

Au lieu-dit Guyonnet sur notre droite une bâtisse en cours de rénovation

Très belle aussi la résidence Bel Air

En cours de chemin un petit point de regroupement

Du côté de la Faucille. 

A travers un agréable bois nous passons entre 2 palombières et nous nous arrêtons pour le petit quatre heure.

Continuons sur un chemin en descente et bien gras vers le Ferroy.

Un petit détour tout d’abord avec l’intention d’aller au château Barrault, superbe château avec 5 tours mais une interdiction en cours de route nous oblige à faire demi-tour. Le Château Barrault. Quelques mots sur son histoire.

Le château est à l’origine une petite forteresse datant de 1336. Il est agrandi au début du XVème siècle. Le comte de Fumel le fit restaurer au XIXème siècle.

Depuis 26 ans une société d’investissement tente d’y implanter un projet immobilier de 750 logements, d’un hôtel de luxe (explication de la démesure de la station d’épuration) et de 2 golfs auxquels les maires successifs de Cursan s’opposent. Plusieurs procès sont encore en cours entre les 2 parties.

Arrivée au Ferroy, traversée de la départementale N° 20, descente à travers sous bois vers Saint Aubin puis vers notre point de départ où un petit pot sorti d’un coffre est offert par Françoise et Fred.

Animateur : Fred NOEL

Reconnaissance : Fred, Denis 

Photos : Jacques Defaucheux

Distance : 10,5 km sans dénivelé

Participants :

Audoin Gérard

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouilly Claire

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Defaucheux Françoise et Jacques

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noël Françoise et Jean

Rizzotti Maribel

Soulie Jean-Marc 

Thomas Joëlle et Denis

et Nathalie (essai)

 

Carte IGN au 1/25000

04/2019 ISLE SAINT GEORGES

« L’Isle Saint-Georges est peuplée depuis au moins 2800 ans. Les fouilles archéologiques révèlent en effet une occupation à peu près continue depuis la fin de l’âge de bronze jusqu’à nos jours.
ISLE ST GEORGES 005

Le village doit sa création à sa situation privilégiée sur une ancienne île, qui avec une autre plus petite, permettait le passage de la Garonne par une voie celtique reliant l’Entre-deux-mers au bassin d’Arcachon.

C’était le carrefour d’un marché où le vin importé se vendait en amphores. De nombreuses monnaies gauloises, des outils, des traces d’artisanat ont été trouvés. Puis le village devint gallo romain, des vestiges divers l’attestent.

Le XIe siècle voit s’établir un prieuré de l’Abbaye de Ste Croix de Bordeaux. Les moines créent la paroisse et son église assainissent les marais en gagnant ainsi des terres à la culture et à la viticulture ; ils creusent aussi le canal qui traverse le bourg.

Aujourd’hui Isle Saint-Georges est une des plus petites communes du canton de la Brède ; 531 habitants (les Lilais) sur une superficie de 4,3 km2. Ce village se trouve à une centaine de mètres des rives de la Garonne ; c’est un joli et pittoresque petit port en bordure du Saucats. Ce village aux rues étroites est composé en grande partie de maisons anciennes dont certaines ne manquent pas d’allure.

L’église Saint-Georges de style néo-gothique a été restaurée. Elle fut construite sur l’emplacement d’une ancienne église de style roman dont subsiste un bas relief qui représente Saint-Georges terrassant un dragon. Elle en a gardé l’orientation et le jour de la Saint-Georges, le soleil se lève encore dans l’axe de l’église, devant le maître autel. Le bas-relief apposé sur la façade de l’église provient de l’église primitive.  Le mythe du cavalier terrassant le dragon est très ancien. L’église abrite un ex-voto et une statue de la Vierge à l’Enfant classés.

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Au milieu de la nef principale, la maquette de la frégate La Fantaisie. Ce navire appartenait à un corsaire nommé Cornic.

isle st georges

Isle Saint-Georges, c’est aussi un vignoble de 441 ha qui produit un excellent vin rouge en AOC. Il est cultivé sur des terres d’alluvions ou d’anciens marais asséchés. L’élevage bovin quant à lui a disparu mais la pêche fluviale se maintient avec succès.(aloses, anguilles, pibales très recherchées par la gastronomie locale ).

Le port avec son quai, son écluse et ses maisons de pêcheurs.

Après quelques consignes, quelques mots et explications sur le village…

…..C’est un groupe de 20 randonneurs que Cristel emmène en prenant tout d’abord la direction de la Garonne où nous nous retrouvons bientôt en face du village de Cambes.

Pour le groupe …. en face ???? église de Cambes ou Baurech ???

Nous longeons la Garonne sur quelques centaines de mètres puis la quittons pour, après avoir passé la « Rouille de Cape » , arriver au lieu-dit Boutric ; nous suivons ensuite « la Rouille de Boutric » en longeant de nombreux prés où une foultitude de chevaux  s’ébattent .

En cours de route passons devant l’église Saint-Clément d’Ayguemorte les Graves remarquable par son clocher mur.

Longeons par la suite « l’Estey Mort » passons le Saucats , suivons la « Rouille de Verderal » qui nous conduit de nouveau vers le Saucats et vers notre point de retour. Un petit détour nous permettra de voir quelques maisons typiques du village.

La villa verdelet qui date du 19ème siècle. Elle est composée de 2 tours, une octogonale et une carrée. De nombreuses sculptures ornent sa façade.

Construite à la fin du siècle dernier par une famille bourgeoise bordelaise (notaire, négociant en vin) les « Verdelet », la villa composée de plusieurs corps de bâtiment est un ensemble curieux, dont le style est très représentatif de son époque.

En ce temps là, la mode était de redécouvrir le moyen âge et son symbolisme, de célébrer les héros nationaux comme Vercingétorix ou Jeanne d’Arc. On avait du penchant pour l’ésotérisme, les sciences secrètes… La villa reflète assez bien cette mode. Sur un pignon un haut-relief représente Jeanne d’Arc l’épée à la main, (elle n’a été canonisée qu’en 1909),

Sur un autre pignon , Saint-Georges terrassant le dragon, héros mythique. D’autres sculptures plus prosaïques figurent des grappes de raisin et des barriques. Une petite tour octogonale avec créneaux et mâchicoulis de fantaisie ainsi qu’une autre petite tour carrée au toit pointu, achèvent de donner à cette architecture un aspect bien particulier.

Au retour une vue sur l’église et l’écluse sur le Saucats

Une autre maison digne d’intérêt

Animatrice : Dubergey Cristel

Assistante : Villar Corinne

Distance : 9,2 km sans dénivelé

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise

Bouet Francine

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Dubergey Cristel

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noël Françoise et Jean

Peere Laurence

Quérité Marie

Rizzotti Maribel

Soulie Jean-Marc

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Carte IGN au 1/25000

03/2019 TABANAC 9,3 km et 17 km

Notre point de rendez-vous se situe au parking de la salle du moulin de Carreyre. Nous sommes 38 randonneurs dont 16 de Rando Lignan et 22 des clubs de Tabanac et de Tresses. Le but de la journée est de faire la reconnaissance des 2 boucles qui serviront de support pour la fête de la randonnée du Comité Départemental de Randonnée Pédestre qui aura lieu le 17 mars 2019.

L’ensemble du groupe part sur environ 6 km. Il se séparera ensuite en 2 parties, l’une pour la reconnaissance des 9,3 km, l’autre pour celle des 17 km.

Nous traversons tous le village du Tourne en passant devant l’église Saint-Etienne.Résultat de recherche d'images pour "église saint etienne du tourne"

À l’origine implanté sur les hauteurs, sur la route qui mène à Tabanac, autour d’une église romane aujourd’hui détruite dont il ne reste que le cimetière l’ayant ceint, le village s’est déplacé vers le 17e siècle vers le fleuve, un certain nombre d’habitants ayant une activité liée au transport fluvial dont la construction navale. 

A la Révolution, la paroisse de Saint-Étienne du Tourne forme la commune du Tourne. Au cours du 19e siècle, la reconstruction de l’église dans le bas du village acte le déplacement du bourg vers le port.

Passons le Grand Estey qui est à son niveau maximum avec un important courant, longeons la Garonne en passant sous le pont de Langoiran et attaquons une sérieuse montée à travers bois.

Au sommet une petite pose pour récupérer auprès d’un calvaire.

Le groupe en phase récupération.Une des super vues sur la GaronneContinuons vers le village du Haut-LangoiranApercevons dans la brume le Château du Pied du ChâteauPassons devant un lieu historique : la maison RateauArrivons devant l’église Saint-Pierre-ès-liens du Haut-Langoiran

Attaquons une descente prononcée à travers vignes. Au lieu-dit Malbiche le groupe se scinde en deux : 12 courageux continuent pour les 17 km, les autres sur le circuit de 9,3 km. 

Pour le groupe 9,3 km  (et par la suite les 17 km): Arrivée au Moulin SauvageUne partie du groupe des 9,3 km en approche du moulin

Pour le groupe 17 km : Passage pendant leur parcours aux lieux-dits Le Gourdin, Beauchamp, la Grava et pas très loin de son Château

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Arrivée au plan d’eau de Bareyre, passage par German et ensuite sur le ruisseau de Gaverdon, puis à quelques encablures du château de Haux où bientôt le repas sera tiré du sac.

Au hasard du circuit une entrée de grotte ??

Après le repas, passage vers le Moulin Barbot, nouveau franchissement du Gaverdon, lieu-dit Fauberne et retour sur la boucle des 9,3 km.

Par la suite les 2 groupes arriveront séparément sur la route de Créon, enjamberont le Pont de la Rose au-dessus du Grand Estey et attaqueront une sérieuse montée vers le point de départ.

Après quelques civilités au moulin de Carreyre, c’est là que les 2 groupes des 3 clubs se quitteront. RV est pris pour le 17/03/2019 pour la fête de la randonnée.

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Buisseret Sylvie

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Copit Corinne

Couprie Marie-Claude

Dubois Cyrille

Noël Jean

Priat Patricia

Soulie Jean -Marc

Thomas Joëlle et Denis

22 personnes des clubs de Tabanac et Tresses

Carte IGN au 1/25000

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02/2019 BARON

                      Baron c’est aussi…………. un petit village de 10,3 km2 appartenant à l’arrondissement de Libourne et au canton de Branne. Il se situe à 7 km de Créon. Les 1100 habitants s’appellent les Baronnais et les Baronnaises.

Le rendez-vous se situant sur le parking de l’église, quelques mots tout d’abord sur cette dernière. L’église romane  Saint-Christophe de Baron est de confession catholique; elle date du 11ème siècle, fût transformée au 12ème et restaurée de nombreuses fois au 16ème et 20ème. Résultat de recherche d'images pour "église saint christophe de baron 33"

Sa crypte mesure 8,3m sur 7m et a une hauteur de 2,6m. C’était un lieu de pèlerinage consacré à une statue en bois aux yeux rouges nommée Notre-Dame de la Peur,  elle était censée guérir les enfants de la peur. Le pèlerinage avait lieu tout les 25 juillet à la St-Christophe.

C’est Bernard qui emmène le groupe de 20 randonneurs qui passe tout d’abord par les lieux-dits Biron, Biraut, Mateau. 

Pour réduire la distance constatée lors de la reconnaissance le groupe évite de  faire le détour et de passer devant le superbe château à 5 tours : Le Château Barrault situé sur la commune de Cursan. Quelques mots sur son histoire.Le château est à l’origine une petite forteresse datant de 1336. Il est agrandi au début du XVème siècle. Le comte de Fumel le fit restaurer au XIXème siècle.

Depuis 26 ans une société d’investissement tente d’y implanter un projet immobilier et un golf auxquels les maires successifs de Cursan s’opposent.

Enfin il se retrouve à travers vignes au hameau de Signoret et passe ensuite par Lapouyade et Grangeneuve.

Sur le parcours quelques oies hargneuses accompagnent les marcheurs.

Passage devant le Château Raymond.

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Ce Château anciennement appelé Ramonet appartient à la famille Montesquieu depuis 1653. Construit au XVI ème siècle pour le chanoine Dubernet dont un des fils Montesquieu épousa la fille. Le petit fils Charles Segondat Baron de Montesquieu célèbre philosophe et écrivain aimait venir dans sa propriété de Baron

En face du Château Raymond très au loin le Château Paimpois Lafitte.border=0

Ce château fût bâti au XVème siècle. Le premier seigneur connu est Jean de Paimpois. Il passa ensuite aux mains de la famille Bonneau puis appartient maintenant à la famille Laffite.

En fin de parcours retour vers l’église le point de départ.

Et visite de la très belle crypte.

Animateur : Bernard RICHEZ

En reconnaissance: Bernard, Marc, Denis, Fred

Distance : 11,2 km

Participants :

Audoin Gérard

Barbirato Annie

Baron Brigitte 

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Michel

Couprie Marie-Claude

Dubois Cyrille

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noël Françoise 

Priat Patricia

Richez Bernard

Thomas Joëlle 

Villar Corinne

Carte IGN au 1/25000

32 Beychac et Caillau

Beychac et Caillau est une commune du nord de l’Entre 2 mers, faisant partie de l’aire urbaine de Bordeaux, elle est située sur la RN 89 (Beychac d’un côté et Caillau de l’autre) entre Bordeaux et Libourne. La commune est bordée à l’ouest par le ruisseau La Laurence qui se jette dans la Dordogne. Il existe d’anciennes ruines gallo-romaines sur les territoires de Beychac-et-Caillau.

À la Révolution française, la paroisse Saint-Marcel de Beychac forme la commune de Beychac et la paroisse Saint-Pierre de Caillau la commune de Caillau. En 1800, la commune de Caillau est rattachée à celle de Beychac qui devient Beychac et Caillau.

C’est sous la houlette de Denis que 14 personnes se sont données rendez vous sur le parking de la Maison du Vin.

A partir de notre point de rendez-vous nous partons sur un peu d’asphalte sur quelques centaines de mètres. Passons devant la plus grande entreprise de construction régionnale de maisons « IGC » et enfin nous obliquons à droite dans les sous-bois pour plusieurs km.

Quittons les sous-bois pour passer à travers vignes et apercevoir au loin le Châteaux Villepreux.

Ce château s’élève au fond d’une longue allée, il est construit dans un style néo-classique typique du XIXe siècle. L’édifice actuel est construit sur l’ancien château Sacolle. Il se compose d’un corps de logis rectangulaire encadré par deux pavillons coiffés d’ardoise. Le château était agrémenté autrefois d’un jardin et d’un bassin d’eau. L’un des pavillons est décoré de pilastres superposés portant un fronton triangulaire dans un style XVIe siècle. Peut-être appartenait-il au château Sacolle. L’édifice constitue aujourd’hui une marque, parmi de nombreuses autres dans la région, de l’importance et de la diffusion du néo-classicisme architectural du XIXe siècle.

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Au niveau du lieu-dit l’Orme découvrons chez un particulier un ensemble très remarquable de cages à oiseaux dont certains nous causent.

Arrivons du côté du Golf de Teynac

Et certains (mais pas nous) cherchent un endroit où se retrouver et s’affairer.

En continuant et en contemplant l’ environnement nous sommes obligés simplement de constater que nous sommes encore tous bien vaillants alors que d’autres sont obligés de s’appuyer sur un chariot pour se déplacer.

Et l’ami Denis comme souvent retrouve un « con génère ».

Allez, nous arrivons au Château Lafite Monteil

Acquis en 1894 par Edouard Eiffel, fils du célèbre architecte de la tour Eiffel, ce vignoble est l’une des plus belles propriétés de l’appellation Bordeaux Supérieur. La parcelle Lafite datant de 1812 a donné son nom au Château Lafite Monteil. La qualité exceptionnelle de son terroir confère à ce vin son caractère unique.

Nous obliquons sur notre droite le long des vignes et des sous-bois.

UN PETIT RETOUR SUR NOTRE RECONNAISSANCE DU 29/11/2018  où un arbre au travers du chemin risquait d’entraver la progression de ce jour. Fred casque rouge (sécurité oblige) en train de dégager le chemin. Il fallait le faire.

Passons devant une autre propriété viticole.

Et arrivons devant lDomaine La Grave  

C’est une chartreuse du XVIIIème siècle dans la famille Roche depuis 1876. Héritiers d’une longue tradition familiale, les propriétaires profitent de ce cadre pour vous faire visiter leur musée et déguster leurs vins dans leur ancienne tonnellerie.

Et enfin quelques centaines de mètres de bitume pour retrouver notre point de départ

Animation : Thomas Denis

Assistant : Noël Fred

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Couprie Marie-Claude

Delignette Dominique

Noël  Jean

Soulie Jean-Marc

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Carte IGN au 1/25000

Trace Denis

31 PARSAC

 

Quoi de plus réjouissant pour Corinne et Cristel que de voir en cet après midi pluvieux 20 personnes au rendez-vous de Parsac, petit village niché au creux du vignoble, dont l’Eglise perchée sur son promontoire domine un vaste paysage qui est maintenant hivernal.

Notre point de rendez-vous se trouve au Château Farguet où nous sommes accueillis par le très sympathique propriétaire qui d’ailleurs est aussi vice-président du club de randonnée de Libourne.

Le Château Farguet est un petit domaine viticole de 6,27 Ha sur des sols argilo-calcaire (75% merlot, 15% cabernet sauvignon et 10% cabernet franc). Les vignes ont entre 25 et 30 ans d’âge. L’élevage du vin se fait 12 mois en barrique.

En bordure de Barbanne, ce Château se trouve aussi près d’un très grand et magnifique plan d’eau.

Les civilités accomplies, nous partons pour nous diriger à travers vignes vers le lieu-dit Villetout et en direction du Château des Laurets.

Le Château des Laurets Le superbe château du XIXe siècle à l’architecture atypique avec sa tour centrale octogonale, ses vieilles écuries, sa bergerie, son lac, ou encore ses coteaux exposés plein sud qui s’étalent d’un seul tenant autour du parc, autant d’atouts que le Baron de Rothschild entend mettre en valeur.

Au départ, le vignoble ne faisait que 40 ha. Il fut agrandi en 1842 avec l’acquisition des terres entourant les ruines du Château Malengin. Aujourd’hui il fait 90 ha exposés plein sud et à cheval sur les appellations Puisseguin-Saint-Emilion et Montagne-Saint-Emilion.
Continuons à travers vignes pour apercevoir très au loin le Château Rigaud

Le Château Rigaud est orienté vers le tourisme de luxe pour les réceptions. Il dispose de 13 chambres et de toutes les infrastructures d’un hôtel de classe.

Passons vers le lieu-dit le Chais et en contrebas du Tertre de Morcu.

Arrivons dans la zone des « Châteaux de la bande à Bonneau » : 3 Châteaux : Le Château Bonneau, Le Vieux Bonneau et le Haut Bonneau.

Passons au Lieu-dit La Rue pour arriver au Château Langlade.

En face du château Langlade nous apercevons le Château Piron.

Ce Château date de 1695, 20 ha de vignes dont 16 ha d’un seul tenant : 85% merlot et 15% cabernet. Appellation Montage-Saint- Emilion.

En fin de parcours vers Maison-Neuve nous allons modifier quelque peu notre itinéraire pour pouvoir passer devant l’église de Parsac. Cette église se situe au sommet d’un rocher, elle domine le hameau, avec de très belles vues sur le vallon de la Barbanne qui est un affluent de l’Isle donc un sous-affluent de la Dordogne.

La petite église romane Notre-Dame a été édifiée en trois phases de la fin du XIe à la fin du XIIe siècle et fut aussi remaniée aux siècles suivants. L’église possède un clocher voûté , une coupole et des éléments sculptés de l’époque romane sont encore en place à l’extérieur comme à l’intérieur de l’édifice. Elle fut désaffectée à la suite de la Révolution Française puis réouverte au culte ultérieurement.

L’église a été classée au titre des monuments historiques en 2002. La joie de beaucoup d’entre nous de voir cette église ouverte. 

Il ne nous reste plus qu’à redescendre du tertre par un chemin en pente et bien caillouteux pour retourner vers notre point de parking au château Farguet.

Nous y admirons un très ancestral four à pain qui devait certainement servir aux pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, le château Farguet étant autrefois un relais du chemin de Saint-Jacques. Ce four dit « à gueulard » possède des pièces de fonte ouvragées entourées de briques réfractaires.

Et enfin…Oh! … surprise notre hôte nous offre un coffret de 3 bouteilles de sa propriété que nous dégusterons ultérieurement.

 

Animation rando : Le binôme Corinne, Cristel
Photos : Jacques
Distance :10 Km
Dénivellé positif : 82m
Dénivellé négatif : 88m
Les participants :

Audoin Gérard

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Defaucheux Françoise et Jacques

Dubergey Cristel

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noël Françoise et Fred

Picat Marie-Josée

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

30 Lignan Cénac ……Marche du Téléthon

 

C’est autour d’un café et dans une ambiance conviviale qu’une quarantaine de personnes se sont rassemblées pour notre randonnée annuelle du Téléthon.

Café mais aussi petits gâteaux. Merci Marie-Claude.

C’est Jacques le globe-trotter du club qui, comme chaque année, emmènera un groupe de 37 personnes (20 personnes du club et 17 extérieurs) pour la randonnée du Téléthon mais cette fois-ci ce sera sur un circuit entre Lignan et Cénac puis retour vers Lignan.

A noter un train très dynamique dès notre départ et parmi nous 2 jeunes enfants nous accompagnent.

Chacun se retrouvera au sein de ces quelques photos.

Un groupe plein de convivialités …

Notre randonnée se passe en priorité à travers des sous- bois. La majorité des arbres ont perdu leur feuillage et c’est sur un lit de feuilles que nous arpentons.

Au hasard, nous admirons un énorme robinier.

Le groupe est très prudent en arrivant sur le centre de Cénac.

L’église de Cénac est une église de confession catholique se situant au coeur du bourg. Elle fût édifiée au XIème siècle et fortifiée lors de la guerre de religion du XVIIème siècle.

Et toujours bon enfant nous continuons avant de descendre vers la piste cyclable aux environs de Latresne ; quelques centaines de mètres sur cette piste pour aborder ensuite sur notre droite la contre-allée qui cette fois-ci est en montée sérieuse.

Jolie cette bambouseraie le long de la piste cyclable !

Nous sommes maintenant sur les hauteurs de Lignan « le plateau » et allons descendre vers notre point de retour en passant à travers la propriété de Jacques (notre guide) et de Marie-Claude son épouse.

Et pour finir, pour le « fun », un rassemblement des gilets jaunes ont encadré notre randonnée mais toutefois sans blocage de la circulation.

Merci à tous de nous avoir accompagné pour cette randonnée du Téléthon qui n’était en somme pas très facile au regard des dénivelés et du sol assez +++gras.

Merci à Jacques pour l’organisation et le pilotage et surtout aux non-adhérents (pour l’instant au club) pour leur participation et en particulier pour les 2 jeunes enfants présents.

Animateur : Cantillac Jacques

Distance : environ 12 km

Circuit : très vallonné

LES PARTICIPANTS

Audoin Gérard

Baron Brigitte et Marc

Bouilly Claire

Bouet Francine et Serge

Buisseret Sylvie

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Couprie Marie-Claude

Garcia Norbert

Mark Alain

Noël Françoise et Jean

Picat Marie-Josée

Richez Bernard

Soulie Jean-Marc et Copit Corinne

Thomas Joëlle et Denis

+ 17 non adhérents

Trace Lignan Cénac

29 MONTUSSAN

Montussan est un village de l’Entre-deux-Mers, d’une superficie de 8,3 km2 pour 3042 habitants. Un environnement de 850 ha pour une dizaine de châteaux viticoles. A noter un tissu artisanal très développé. Montussan est traversé par la rivière La Laurence.

20 randonneurs se sont donnés rendez-vous place de l’église. C’est Jacques qui guidera le groupe pour ce circuit champêtre à travers vignes, prairies et sous-bois.

Tout d’abord le point de rendez-vous : L’église Saint-Martin, édifice religieux de confession catholique.

Le groupe prend la direction des lieux-dits Gournau (on passe sur le ruisseau du même nom) et Chapel puis vers le Château Fonchereau qui auparavant était accessible par les randonneurs …mais ce n’est plus le cas.. … Dommage.. Le groupe passera donc à quelques encablures.

Quelques mots toutefois de ce Château FonchereauRésultat de recherche d'images pour "photos chateau fonchereau"

Celui-ci repose sur un domaine de 50 hectares (30 hectares de vignes d’un seul tenant, 20 de bois et de prés) daterait d’avant le XVe siècle.
Véritablement tenu comme un jardin, le vignoble fait l’objet d’une conduite extrêmement minutieuse dont les maîtres mots, d’inspiration profondément écologique, sont la lutte raisonnée et le respect du terroir. Autrefois le château Fonchereau dépendait en tant que maison noble du Château Lamothe, au même titre que l’étaient les châteaux environnants de la Moune, Puymiran et Taillefer. Il possède une tour du XVIème siècle, remaniée au XVIIème ainsi qu’une chapelle et un joli colombier. Le seigneur avait droit de ban et de sépulture dans l’église de Montussan.

Le groupe passe sur le ruisseau de Font Coulon.

Un peu plus loin notre photographe arrive à zoomer sur un château lointain, lui aussi était accessible autrefois par les randonneurs… ce n’est plus le cas..

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C’est le Château Puymiran qui est une belle demeure du XVIIe siècle située sur un promontoire délimité par le vallon de Courneau au sud, les plaines de Saint-Loubès et de la Dordogne au nord. Le site rural qui l’entoure se compose de vignobles, d’une garenne, de prairies et de bosquets. L’ensemble a un charme indiscutable et permet de découvrir une vue remarquable sur la vallée de la Dordogne.
Le château, maison noble remaniée à différentes époques a lui-même un intérêt architectural fort intéressant : il se compose d’un corps de logis surmonté d’un belvédère, précédé d’un perron à double escalier. L’une des façades est flanquée d’une tourelle encapuchonnée et de longues rangées de servitudes entourent une vaste cour. L’inscription de cet ensemble permettra de sauvegarder son caractère pittoresque et de veiller à ce que des constructions nouvelles ne viennent pas éventuellement altérer ce patrimoine spécifique girondin. 
Actuellement c’est une écurie pour chevaux de compétition (pension, entraînement, valorisation des chevaux de sport).

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Une petite pause …. pour se rafraîchir

Et on repart…

Le groupe continue direction la Font Thomas (encore eux), Sérail, Clauset, l’Estrille, le Sablon, et arrive au hameau du Truch.

Après être passé de nouveau sur le ruisseau du Courneau, très loin, très loin sur la gauche le château Fresneau-Tuilerie impossible à voir et on continue vers la grande Métairie avant de retrouver le point de départ.

Plus personne ne semble avoir de problème de genoux….

Bernard  (gilet jaune) fidèle à lui-même continue à assurer avec sérieux son rôle de serre-file …..et veille aux possibles embouteillages. No problème

Et enfin.. notre photographe (Jacques) … en admiration devant les prodiges de la nature.

 

Animateur : Jacques CANTILLAC

Participants :

Audoin Gérard

Barbirato Annie

Baron Brigitte

Bouet Francine

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Couprie Marie-Claude

Defaucheux Françoise et Jacques

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noël Françoise

Peere Laurence

Picat Marie-Josée

Richez Bernard

Rizzotti Maribel

Soulie Jean-Marc

Thomas Joëlle

Villar Corinne

Carte IGN au 1/25000

Distance: 10 kms

Carte IGN au 1/25000

 

 

28 Saint Germain du Puch

Saint-Germain-du-Puch est une commune de 2200 habitants (les Saints Germanais) sur une superficie de 11,7 km2. Elle fait partie de la communauté de communes du Libournais et est rattachée au  canton de Branne. Ce fut le siège d’une seigneurie fondée sous Edouard III, en 1330.

L’église Saint-Germain élevée sur un site gallo-romain est citée pour la première fois au XIIIème siècle. Il ne reste de l’église romane qu’une partie du mur sud de la nef; celle-ci est terminée à l’est par une travée droite et une abside (voûte en arcades)  Elle fût reconstruite en 1862.Résultat de recherche d'images pour "photos église saint germain du puch"

Sur la partie sud du mur se trouve une série de huit cadrans solaires canoniaux. Ces cadrans étaient utilisés du XIIème au XIVème siècle pour indiquer aux membres de la  communauté religieuse le début des actes liturgiques.Résultat de recherche d'images pour "photos église saint germain du puch"

Bernard n’étant pas disponible c’est Marc qui accueille  les 28 randonneurs. C’est une première pour lui qui a d’ailleurs su attirer la meilleure affluence de l’année 2018.

Nous nous dirigeons tout d’abord à travers vignes vers le très agréable Bois de la Ferme que nous traversons et ensuite toujours à travers vignes vers le lieu-dit Pique-Tuile. Nous traversons la départementale pour aller vers le lieu-dit Cailbot et nous partons en direction du  Château Lamothe.

A noter dans notre groupe un certain nombre de nouveaux adhérents qui semblent déjà très accrocs.

Et déjà une petite pause pour la soif.

Juste avant le pont de La Gourgue se trouve sur notre droite une ancienne briquetterie rénovée et transformée à ce jour en fabrique de panneaux de signalisation.

Nous obliquons vers notre gauche et prenons une petite montée à travers les prés. Un peu plus loin alors que nous regardions au loin le fameux coq situé au Château La France sur Beychac et Caillau et visible à des km…..

…..intervient le Président du Rando club de Saint-Germain  qui connaissait notre présence et qui sort de son coffre quelques bouteilles d’agrément que nous ne pouvions refuser.

Bravo Marie-Claude pour le service

Et les 2 présidents trinquent.

Le Coq du Château La France

Le coq a été inauguré en 2010 au Château La France. Créé par le sculpteur Georges SAULTERRE, il pèse 6 tonnes et fait une hauteur de 12m. C’est un véritable travail d’orfèvre qui a duré une année. Le coq est recouvert de plus de 5000 plumes réalisées une à une en tôle miroir, sans aucune soudure ou rivet visible.

Chemin faisant nous nous dirigeons vers le Château du Grand PuchLe Château du Grand Puch fût construit entre 1330 et 1348. Il est en forme de quadrilatère entouré d’un fossé taillé dans le calcaire. Deux tours octogonales flanquent les angles N/E et S/E. Les 2 autres angles sont couronnés d’échauguettes en encorbellement comportant des canonnières. Les parties hautes sont décorées de balustrades ajourées de quadrilobes sur mâchicoulis qui courent autour des 2 combles à double pignon.

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Domaine de 190 hectares dont 90 ha de vignes. C’est un véritable village comprenant  le château, les chais, l’orangerie, la ferme, le moulin, les maisons, les dépendances, les vignes , les champs, la garenne, les bois et forêts. La viticulture est l’activité principale mais il y a aussi l’élevage de bovins « les Blondes d’Aquitaine »

Le Château du Petit Puch :  Maison noble datant d’avant la construction du Grand Puch. Traditionnellement résidence du seigneur elle deviendra par la suite un édifice purement militaire qui abritera une garnison.

Une tradition viticole très ancienne car la présence des vignes est attestée dans les documents depuis le 16ème.

Nous passons en pleine vignes devant une étrange statue dont nous ne trouvons pas la raison d’être ???

Et en fin de parcours un groupe très satisfait de cette randonnée bucolique à travers vignes et bois  avec des paysages magnifiques et plein de couleurs.

 

Animateur : Marc BARON

Distance : 12 km

Quelques légères montées/descentes

Participants :

Audoin Gérard

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouilly Claire

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Michel

Couprie Marie-Claude

Delignette Dominique

Dubergey Cristel

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noël Françoise et Jean

Peere Laurence

Picat Marie-Josée

Priat Patricia

Soulie Jean-Marc et Mme

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Carte IGN au 1/25000

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27 Boucle Créon – Le Pout – Sadirac – Créon

Créon (environ 4500 habitants) est une bastide créée en 1312 par Amaury de Craon à l’origine au milieu des forêts couvrant la région et au carrefour des principales voies carrossables. Sa surface est réduite mais c’est une véritable ville de campagne créée pour attirer artisans, juristes, paysans. Créon deviendra le siège de la Grande Prévôté royale de l’entre 2 mers. C’est une bastide au plan orthogonal à mailles carrées voir rectangulaires mais une case est vide qui est celle de la place centrale. La place fait 70m sur 70m avec des arcades sur 3 côtés et une halle qui disparaitra par la suite pour devenir la mairie.

L’église gothique Notre-Dame proche de la prévôté sera autonome en 1342. L’édifice sera modifié au gré des modes, des  incendies, de l’histoire.

24 randonneurs sont présents au rendez-vous près de la cave coopérative de Créon.

Le groupe prend tout d’abord la direction du Pout par quelques centaines de mètres sur route goudronnée. (Marie-Jo et Pierre en profite au passage pour signaler la maison où ils habitent) . Le groupe emprunte un très agréable chemin en bordure de prés, de bois et de vignes.

A l’horizon apparaît au milieu des vignes un ancien moulin reconverti en maison d’habitation.

Un passage tout aussi agréable en forêt pour découvrir un petit plan d’eau attaché à une propriété ; un cadre très sympathique.

Toujours dans la forêt le groupe arrive à l’arrière de la zone artisanale de Bel Air vers Lorient avant de traverser la route qui mène de Lorient à Créon.

Au lieu-dit  Audet, passage devant un transformateur électrique qui alimente beaucoup de nos communes riveraines ainsi qu’à proximité d’anciennes tuileries en ruines.

Un passage vers Calamiac où, à travers la végétation, on peut apercevoir la centrale photovoltaïque de Sadirac (8,5 hectares de panneaux et une puissance de 4,6 Mw, en activité depuis 2016)

Une petite descente pour arriver sur la piste Lapébie que le groupe emprunte sur quelques centaines de mètres avant de pénétrer dans une très belle forêt direction le lieu-dit la Barde.

Un nouveau passage à travers vignes où se trouve le Centre Agréa et il arrive dans le faubourg de Créon. Ce centre est un institut de rééducation, service social et classé institut thérapeutique et pédagogique.

Les joyeux lurons en cours de chemin (photographe Denis)

Animateur : Thomas Denis

Assistant : Cantillac Jacques

Distance : 10 km

Quelques montées/descentes

Participants :

Audoin Gérard

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouilly Claire

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Garcia Norbert et Josiane

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Picat Marie-Josée

Richez Bernard

Rizzoti Maria Isabel

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Jean-Marc S

Carte IGN au 1/25000