00/2020 La rando de certains confinés

2 randonneurs comme chaque jour se retrouvent sur le parking du Plantier de Cursol à Loupes.

Il y a bien un animateur et un serre-fil, la règle est donc bien respectée. La randonnée n’a pas été reconnue et l’animateur n’a ni carte ni boussole. Heureusement que le Président ne le voit pas. Départ de la route de Camarsac en plein travaux mais arrêtés par maître « CORONA ».

Tout d’abord la route du Pout à travers une forêt inondée de soleil.

En chemin les violettes sont de sortie.

Et les orties montrent leur belle parure.

Direction maintenant Camarsac en passant par la commune de « Feuillade » que personne ne connaissait jusqu’à ce jour.

Une belle petite côte qui rappelle que notre région est bien vallonnée.

Retour ensuite par la route de Camarsac bordée d’une forêt de châtaigniers,  de vignes et un très beau point de vue sur la vallée où l’on devine un talweg dans le bas.

Après contrôle du temps passé et vérification de l’attestation de sortie, force est de constater qu’il ne reste qu’un bon 1/4 h pour finir la boucle en respectant l’heure convenue.

Décision est prise de traverser les vignes vers la route de Brochard. Ils ont de la chance dans ce quartier les travaux sont terminés !

Par contre, route de Camarsac les travaux n’ont pas évolué depuis le départ de la randonnée.

Randonnée de 5,5 km en une heure ; c’est pas mal. Pas de risques ni de difficultés.

Il ne reste plus qu’à se ressourcer en terrasse avec vue sur le jardin, une boisson bien fraîche et bien méritée ; il n’y a toutefois pas de bière « CORONA » dans le frigo.

A suivre

08/2020….. ST-GENES DE LOMBAUD – HAUX – ST-GENES DE LOMBAUD

Les conditions climatiques étant, 12 personnes seulement se rejoignent sur le parking près de l’église de Saint-Genès de Lombaud. C’est Jacques qui pilotera cette randonnée.

Saint-Genès de Lombaud est un petit village de l’Entre-deux-Mers. Au dernier recensement, il compte 370 habitants :  les Lombaussiens. Pour une petite commune, il est toutefois difficile de trouver sa très belle église. La commune est traversée par 3 ruisseaux.

L’église Notre-Dame de Tout Espoir fut construite au 12e siècle. A l’origine siège d’un pèlerinage à la Vierge Noire.

Située à mi-pente d’un vallon et à l ‘emplacement d’une ancienne villa romaine. Sa façade est à clocher pignon. Cette église est ouverte tous les jours et un office religieux y est célébré à 18 h.

 

Le groupe quitte le point de rendez-vous, passe à proximité d’un haras et une première montée asphaltée vers le lieu-dit La Guenille pour passer sur le ruisseau qui porte ce même nom.

Il se dirige vers Lalande où à proximité un ancien moulin est enseveli de lierres.

Le Château du Juge. Ce Château du XVIIIe siècle s’appuie sur un superbe domaine de 50 hectares dont 20 sont plantés en vignes. Après quelques recherches il apparaît qu’il appartient à une famille Thomas ???

Au loin le Château Grava

Le château Grava posséde un domaine de 73 hectares d’excellentes terres s’étendant sur les communes de Haux et Tabanac dans l’aire d’appellation « 1ères côtes de Bordeaux ».

Le groupe continue vers Bergueil, le Grand Chemin et arrive ensuite au village de Haux . Territoire de 1056 hectares sur les côteaux surplombant la Garonne, avec un point culminant à 97 m d’altitude. Petit village de 740 habitants qui vivent essentiellement de l’agriculture.

Au niveau de la poste quelques mots de Jacques sur Haux.Puis passage à proximité du château d’eau ainsi que d’un autre ancien moulin.

Direction Bernadon, Bel air et après avoir arpenté les vignes arrivée au Château de Haux.

Celui-ci est la propriété d’une famille de négociants danois. Une partie importante de la production est exportée vers les pays scandinaves. Une autre partie est réservée aux propriétaires actionnaires étrangers pour qui 7 chambres ou appartements d’hôtes sont réservés. Ce château a été construit en 3 étapes aux 16e, 17e et 18e siècle.

Photo prise avant l’incendie de fin 2018

Et maintenant la protection centrale permettant les réparations (photo du jour)

Ses dépendances n’ont pas souffert.

Château Lagorce 

Château Lagorce est une location Château, dans 29 hectares de bois et de prairies. Il peut accueillir jusqu’à 52 personnes dans 21 chambres climatisées.

En cours de route.

Une vue sur la Garonne à 97m d’altitude… point hau…t ….de Hau…x

Lieu-dit Le Roudey

En montant vers la motte Haute Sage

La motte dite Haute SageLa bâtisse de la propriété est classée Monument Historique. Celle-ci fût construite en 1515 par l’écuyer de François 1er. Elle porte le nom de Haute Sage, qui a donné son nom à l’un des vins produits à la propriété.

Après une longue partie d’asphalte le groupe s’arrête pour faire une petite pause et emprunte ensuite une très agréable descente herbeuse en sous-bois.

Eglise Saint-Martin de Haux

Dédiée à Saint-Martin, cette église possède une nef dont les murs sont du XIe siècle. Au XIIe siècle, le chevet est reconstruit. Un clocher-mur de la fin du XVe siècle ou du début du XVIe siècle s’appuie sur deux contreforts qui masquent en partie la façade romane dont le portail sculpté est un des plus beaux du département.

Sur le plateau calcaire le Château Lamothe

Le Château Lamothe est une demeure dont les fondations remontent au XVI° siècle. Sa rénovation au XIX° siècle en a fait une habitation pleine de charme dont la façade est reproduite sur l’étiquette des bouteilles.
Cette propriété dévolue dès l’origine à la culture de la vigne appartient, depuis 1956, à la même famille depuis 4 générations. Actuellement le vignoble de 80 hectares, comprend également les vignes du Château Manos et ceci depuis 1991.

Toujours sur la commune de Haux, passage à proximité du Château Greleau caché par une immense végétation et de nouveau un peu d’asphalte. Une autre descente herbeuse dans les bois permet de rejoindre le très joli haras de la Chicodière situé près du point de départ.

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Et pour finir, une petite visite de l’intérieur de l’église de Saint-Genès de Lombaud.

Animateur : Cantillac Jacques

Reconnaissance : Jacques,Denis

Photos : Jean-Marc

Distance : 12,6 km – Dénivelé positif 306m

Indice d’effort : niveau 2 – assez difficile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 ++ assez facile (configuration terrain, passages boueux)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Carte IGN au 1/25000

HAUX cotation IBP visorando

Participants :

Barbirato Annie

Bessot Lo Papa Nicole

Buisseret Sylvie

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Champarnaud Valérie

Couprie Marie-Claude

Lubert Rose

Soulie Jean -Marc

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

07/2020 Au Sud de Vayres

 

Nous sommes 27 à nous retrouver Place du Gestas en centre ville de Vayres. Nous accueillons Conchita et Patrick venu faire un galop d’essai. Rose, quant à elle, a été conquise par le dynamisme du club et revient pour la 2ème fois.

D’une superficie de 1446 hectares, le village compte 3859 Vayrais/Vayraises. Le village de  Saint-Pardon est aussi rattaché à cette commune.

L’église, d’abord de style roman, puis rebâtie en style gothique vers le XIVe siècle, fut agrandie par deux fois au XIXe, pour trouver sa forme actuelle. On retrouve encore aujourd’hui des vitraux aux armes des différents propriétaires du château de Vayres au fil des siècles.

L’activité viticole de la commune s’est perpétuée depuis l’antiquité, pour atteindre une certaine reconnaissance dès le XIXème siècle. La cave coopérative voit le jour en 1933, pour valoriser l’appellation « Graves de Vayres ». Le vignoble couvre à présent 700 hectares et produit des vins rouge et blanc sec. 

Après les indications de Fred sur le parcours et quelques recommandations ….
nous partons…. sur un étroit trottoir pendant quelques centaines de mètres.

 

passons sous le pont SNCF et obliquons sur la droite dans un agréable chemin à travers bois. Au passage un ancien lavoir
pour arriver aux centres équestres.
Continuons en longeant le bois et en bordure de vignes.
Nous apercevons un émetteur en face de nous, longeons une vigne. Un passage délicat ensuite pour traverser les deux voies et passer au-dessus de l’A89. Direction Saint- Germain du Puch.
Arrivons à l’observatoire astronomique du Club VEGA de la LYRE.
Des membres du club nous accueillent et nous détaillent leurs activités.
Par un chemin à travers vignes nous arrivons au  Clos Castelot Bussac

Le vignoble Château Bussac s’étend sur plus de 20 hectares dont 16 sont dédiés à la production de vin rouge et les 4 autres à celle du vin blanc. 

Le Château Clos Castelot vient s’ajouter au vignoble avec ses 10 hectares. 

En cours de route… bien dynamique.
Des arbres des deux côtés de la route, puis un bois et enfin de beaux chênes nous guident vers une grande vigne que nous suivons en passant à l’arrière du Clos Bussac.
Continuons jusqu’à la route direction le Château Goudichaud.
Domaine de la fin du XVIIIe siècle (1780) dont l’architecte n’était autre que Gabriel, un élève de Victor Louis (architecte du Grand Théâtre de Bordeaux). l fut construit par Mr de Melet, membre du parlement de Guyenne. Ce manoir fut pendant des décennies la résidence d’été des archevêques de Bordeaux. Un corps central et deux ailes parallèles et symétriques composent un ensemble très « Français » dans sa conception. L’aile « Ouest » abrite intégralement le Chai (cuves et barriques) alors que dans l’aile « Est » se trouvent des logements et des remises. Des Bergeries, un Moulin, des bâtiments agricoles et divers logements forment un ensemble architectural homogène. 
Prenons un très beau chemin en calcaire le long du ruisseau du Gestas qui alimentait à une époque le moulin Massip que nous cherchons vainement (en fait il n’existe plus… hormis sur la carte).
 
Au loin dans les arbres le Château La Caussade.
C’est l’heure maintenant de la pause casse-croûte que tout le monde attendait.
Direction l’A89 que nous sommes obligés de longer sur quelques centaines de mètres. Puis une petite montée vers le lieu-dit Montifaut et son château.
 
Quelques dizaines de mètres encore en bordure de l’A89 sous laquelle nous passerons après avoir descendu un escalier bien raide. 
Au prochain carrefour, nous tournons à droite et au bout du chemin contournons une autre vigne. Puis direction le lycée agricole.
Nous sommes maintenant dans la partie.. Koh Lantha… de notre randonnée
 
Le Château Juncarret
Une famille dont la tradition viticole remonte au XIXème siècle, propriétaire du domaine depuis plus de 50 ans. Propriété de 28,5 ha (2/3 rouge, 1/3 blanc). Sols constitués de graves et de sable.
Un petit plan d’eau suit….
 Et enfin nous passons devant la luxueuse gendarmerie.
Suivons un petit chemin, empruntons une passerelle et rejoignons le parking.
De retour au parking et avant que le groupe se sépare, Fred interpelle la foule pour parler de la fête de la randonnée du 29 mars à Bassens, en souhaitant le maximum de participants du club au Rando-Challenge découverte.
 

Distance : 10,2 km – Dénivelé  57 m

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

Animateur : Noël Fred

Reconnaissance : Denis, Fred

Photos : Jean-Marc

Participants :

xxxxxxxxxx xxxxxxxxx

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bergeroo Cathy

Bessot Lo Papa Nicole

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude

Champarnaud Valérie

Cayre Maria

Couprie Marie-Claude

Defaucheux Françoise et Jacques

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Lubert Rose

Noël Françoise et Jean

Noureau Francette

Peere Laurence

Soulie Jean -Marc

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

+ Mr et Mme Brotet

 

Carte IGN au 1/25000

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IBP Vayres

06/2020 Fargues Saint-Hilaire – Carignan de Bordeaux – Fargues Saint-Hilaire

Par un très beau soleil, un groupe de 21 personnes se réunit au domaine de la Frayse à Fargues Saint-Hilaire. Bienvenue à Rose venue faire avec nous un galop d’essai. Aux commandes Brigitte et Joëlle vont piloter la randonnée du jour.

FARGUES SAINT-HILAIRE
2890 habitants – 702 hectares – Successivement dénommé « Fargues entre 2 mers », « Fargues » puis « Fargues de Créon ». Il est devenu finalement « Fargues Saint-Hilaire » le 14 février 1886.

Direction Carignan de Bordeaux par un chemin très boueux à travers bois, prairies et vignes.

CARIGNAN de BORDEAUX
3881 habitants – 878 hectares

LE CHATEAU CARIGNAN : L’histoire de ce château remonte au 13e siècle.
Au 16e siècle, après plusieurs changements de propriétaires, d’importants travaux furent entrepris.
En 1814, le château fut acheté par le marquis de Casapalacio. C’est à cette époque que les armoiries du marquis furent ajoutées au-dessus de la porte d’entrée de la tour de la cour intérieure.
En 1892, le château fut acheté par Honoré Picon, fils de Gaëtan Picon, fondateur de la marque « Amer Picon ».
Le château fut entièrement rénové et agrandi par l’addition d’une orangerie, d’un nouveau cuvier et des chais.
C’est à cette époque que le château prit définitivement le nom de CHÂTEAU DE CARIGNAN.
Depuis, plusieurs propriétaires se sont succédés.
A noter que le château possédait un moulin à eau sur le ruisseau de la Bouteronde (en ruine) et un pigeonnier toujours en excellent état.
Le château est sans aucun doute le plus beau monument de la commune et aussi le plus emblématique, puisque, grâce à son excellent vin, le nom de « Carignan » fait le tour du monde.

Le domaine possède une superficie de 150 hectares avec un vignoble composé de 30% de vignes de 40 ans d’âge et de 70% entre 8 et 25 ans d’âge. Les vendanges sont manuelles pour les vieilles parcelles et mécaniques pour les plus jeunes.

CHÂTEAU BARITAULT

Ce vieux domaine s’appelait à l’origine « Michet » avant d’être racheté par Jean Baritault, garde du Palais de l’Ombrière à Bordeaux, en 1717.

En 1904, une tour carrée de 20 m de hauteur fut construite avec un bassin à son sommet qui se remplissait d’eau et qui permettait ainsi d’obtenir de l’eau sous pression pour tout le domaine.

L’ÉGLISE SAINT-MARTINOrigine romane du 11e siècle.
Le portail et la corniche de façade sont du 12e siècle, mais considérablement restaurés au 16e siècle. La nef, les chapelles latérales et une abside polygonale ont été refaites au 15e siècle en style gothique. Les meurtrières datent de l’époque des guerres de religion, de la seconde moitié du 16e siècle.
Un tremblement de terre endommage l’édifice en 1759. Des contreforts sont placés le long des murs. Un clocher est construit. En 1791, la foudre le détruit en partie.
Une nouvelle restauration de l’église a lieu entre 1885 et 1886.

En cours de route, un clin d’oeil à certains absents du jour.

LE LAVOIR DE GRAVAT

 Joli petit lavoir et sa source au fond des bois, tout proche de la route de Lignan. Le nom « Gravat » pourrait venir des nombreux cailloux et graviers charriés par le ruisseau qui a creusé un mini ravin en amont.

Les habitants des hameaux alentours venaient rincer leur linge à cet endroit et chercher de l’eau potable.

Un peu plus loin …  Tout en rimes : la petite pause s’impose pour Rose …

LE DOMAINE PEYVIDEAU

 Ce hameau très ancien était composé dès son origine de plusieurs domaines.
Il s’appela successivement « Puyau de Maderolles », « Codat » puis « Peyvideau » pour Pierre Videau.
Les bâtiments datent du 18e siècle.portail du domaine de Peyvideau, à Carignan-de-Bordeaux

Françoise, Jacques ….dur, dur la reprise 2020

Le groupe passe sur le ruisseau des Vergnes et le longe.

Aperçu de loin LE  CHATEAU LE PIAN (Bouliac)Résultat de recherche d'images pour "photos chateau le pian bouliac"

Construit en 1873, ce château serait bâti sur l’emplacement d’une ancienne maison forte du XIVe siècle. C’est une demeure fortifiée par d’épais murs en pierre et équipée de créneaux. 
Le domaine a longtemps possédé un vignoble de 30 hectares qui produisait un vin rouge de grande qualité. Le parc du château est composé de différentes essences d’arbres dont certains sont tricentenaires.

SOURCE ET LAVOIR DE LA MARMETTE

Ce joli petit lavoir en pierre et sa source se trouvent au fond d’un vallon. La source donne naissance au ruisseau de la Bouteronde qui au fil des siècles a su creuser sa petite vallée pour aller se jeter dans la Pimpine.

L’ÉOLIENNE BOLLÉ
Cette curieuse éolienne était utilisée pour pomper l’eau du ruisseau et la remonter jusqu’au château d’eau du domaine Baritault, situé en haut de la colline. 

A la fin du 19e siècle, Honoré Picon, fit édifier une éolienne dans le bas de son domaine pour exploiter une source toute proche. Inventée par Ernest Sylvain Bollée elle demeure une des seules de cette marque encore en élévation dans notre région. 

JARDIN DOURNEAU

Un nouveau couple se forme….. Rose juste arrivée prise en charge par Marie-Jo.

Animatrices : Brigitte Baron, Joëlle Thomas 

Reconnaissance : Brigitte, Joëlle, Marc, Denis

Photos : Brigitte, Françoise

Des risques inconsidérés de la photographe du jour..

Distance : 12,6 km/ Dénivelé positif 160m /Dénivelé négatif 163

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 2 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 2 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Participants :

xxxxxxx xxxxxxxxx

Barbirato Annie

Baron Brigitte 

Bessot Lo Papa Nicole

Bouet Francine 

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Champarnaud Valérie

Cayre Maria et Michel

Defaucheux Françoise et Jacques

Dupin Monique

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Noël Françoise 

Noureau Francette

Rizzotti Maribel

Quérité Marie

Thomas Joëlle 

+ Rose (en essai)

 
 
 
 

 

 

05/2020 Artigues

Artigues-près-Bordeaux, commune de l’Entre-Deux-Mers, intégrée à la CUB depuis le milieu des années 1960.

Le rendez vous est fixé sur le parking de l’hôtel de Ville où un groupe de 19 personnes se forme quelques instants plus tard …

A priori nous allons avoir un temps grisâtre tout l’après-midi ; dommage pour Jean-Marc pour réaliser de superbes photos.

Fred propose un circuit urbain de 12 km qui passera à travers bois, lotissements, parcs, prairies, et souvent au bord de l’eau. Pas de difficultés particulières.

Le château de La Prairie : Construit en 1849, ce château était au XIXème siècle un domaine viticole où l’on récoltait chaque année 15 à 20 tonneaux de vin rouge et blanc. Le château fut vendu en 1970 à la Communauté Urbaine de Bordeaux qui le rétrocéda à la commune. Depuis 1972, le château abrite l’Hôtel de Ville. Son parc, sillonné par un sentier de promenade et bordé par l’étang des pêcheurs, est particulièrement prisé pour la balade ou le jogging.

Passons à l’arrière des terrains de tennis, puis près des écoles ; descendons un chemin à travers prairie pour arriver à la rivière Desclaux ; nous la suivrons pendant quelques centaines de mètres ainsi que l’étang de pêche. 

Arrivons à l’église appelée « Eglise Romane »; l’église Saint-Seurin fut édifiée au XIIème siècle, donnant naissance à la paroisse d’Artigues de Bordeaux. Restaurée à plusieurs reprises, notamment au XIVe et au XVIe siècles, cet édifice constitue un bel exemple d’art roman dans la région.

Installée dans un grand parc verdoyant loin de la frénésie de la ville, l’église St-Seurin dégage une impression de calme et de sérénité. Deux magnifiques fenêtres romanes avec des chapiteaux sculptés représentant des animaux ainsi qu’une corniche finement décorée de modillons font de ce chevet un véritable chef d’oeuvre.

Le château Bétailhe, voisin de l’église est une belle demeure du XIIème siècle entièrement rénovée et depuis 1984 propriété de la commune. Il est entouré d’un parc d’une superficie de 31 000 m2, en accès libre permanent.Le château Bétailhe est le plus ancien de la commune. Il a été profondément modifié au 19ème siècle. Aujourd’hui, il accueille des expositions ou d’autres événements dans ses salons. Les anciens chais et cuviers abritent l’espace jeune et la Police Municipale.

Nous traversons le parc, et passons près de l’antenne relais de télécommunication.

Direction le Château Saint-Leu: maison labellisée Gîte de France sur un parc de 5 ha.

Environ 2 km à travers  lotissements et parcs pour atteindre de nouveau le Desclaux. Un petit coup d’oeil au loin sur ces habitations colorées …

… nous atteignons une vaste retenue de déversement des eaux pluviales que nous contournons. Arrivons sur Tresses, son église, ses écoles, sa gendarmerie. Profitons du calme pour faire notre arrêt casse-croûte.

Par la suite, pour éviter la route, nous suivons un sentier en surplomb dans les vignes. Nous passons entre le château Sénailhac et le château d’eau.

Le Château Sénailhac, situé sur une colline, surplombe la région et la commune de Tresses. Cette hauteur est occupée depuis le Moyen-Age. A l’époque, le château qui s’y trouvait portait le nom de « Motte de Tresses« . Par sa position dominante, il servait de poste de guet pour la ville de Bordeaux. « La Motte » était le nom donné aux châteaux défensifs de l’époque féodale. Le Château gardera ce nom jusqu’au 18e siècle, où il prend le nom de son propriétaire, le Seigneur de Sénailhac.
Au 19e siècle, le château est revendu à de nombreuses reprises, jusqu’en 1918, où le Château est acheté par une famille marseillaise de négociants en vin. En 2000, Grands Vins de Gironde, société de négoce de vins bordelaise, en devient propriétaire. Le Château est intégralement restauré et décoré de 2001 à 2006. Les chambres d’hôtes sont ouvertes en 2009.
Plus loin nous entrons dans le bois Margnat ; très agréable à arpenter (Idéal  pour les randonnées cyclistes et pédestres, ce bois de 16 hectares offre également une piste de VTT en accès libre) …

… nous suivons toujours les balises

… entre ruisseau le Moulinat et espace vert à Tout-y-Faut

… et grimpons par un agréable chemin vers les aménagements sportifs d’Artigues

… jusqu’au château de La Prairie pour retrouver notre point de départ.

Avant de se quitter Marc propose le pot de l’amitié pour son anniversaire « Bon anniversaire Marc ».

Animateur : Fred Noël

Reconnaissance : Fred, Denis

Photos : Jean-Marc

Distance : 12 km/ Dénivelé positif 108m Dénivelé Négatif

Indice d’effort: niveau 2- assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque: niveau 2-assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique: niveau 2- assez facile (hauteur d’obstacles)

cotation IBP Artigues

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Besso Lo Papa Nicole

Blanco Françoise et Michel

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Champarnaud Valérie

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noël Françoise et Jean

Peere Laurence

Soulie Jean-Marc

Thomas Joëlle

Villar Corinne

04/2020 Latresne

C’est un groupe de 20 randonneurs heureux qui se retrouve sur le parking près de l’étang des Sources.

Et l’on s’embrasse..

C’est Corinne qui pilotera cette randonnée.

Tout d’abord : L’ Etang des sources

Véritable havre de nature et de paix, ce long plan d’eau (près de 400m) fait le bonheur des pêcheurs et des promeneurs. Créé artificiellement dans les années 1980, il s’étire de tout son long entre le ruisseau de la Pimpine et l’ancienne voie ferrée Bordeaux-Sauveterre, maintenant réhabilitée en voie verte.

Un petit raidillon pour arriver au hameau de Pardaillan.

Le Lavoir de PardaillanLes habitants des alentours, principalement ceux de Pardaillan, venaient laver leur linge au lavoir. Son utilisation a perduré jusqu’au 20e siècle, l’eau courante n’apparaissant à Latresne que dans le courant des années 1950.

Le lavoir était un lieu éminemment social dans chaque village. C’était l’endroit où les femmes se retrouvaient une fois par semaine ou plus et où l’on échangeait toutes les dernières nouvelles du village, voire de la région.

On s’arrête ensuite devant devant le vieux puits pour quelques commentaires.

Ce vieux puits en pierre situé dans le hameau de Pardaillan nous évoque le temps, pas si lointain, où l’eau courante n’existait pas. Il fallait aller chercher l’eau au puits ou à la source la plus proche avec des seaux.

Puis la …. Maison noble de Pardaillan

Pardaillan est l’un des plus vieux hameaux de Latresne. Isolé sur un petit plateau surplombant le ruisseau de la Pimpine, ce lieu est habité au moins depuis le XIIe siècle.

De par son isolement, le hameau de Pardaillan a su garder tout son charme d’antan. Avec son lavoir, son puits et ses vieilles maisons en pierre il représente sans doute l’endroit le plus authentique et préservé de Latresne.

Ensuite… Le Domaine de Rambal

Rambal est un beau domaine édifié au XVIIe siècle par un riche parlementaire. Les bâtiments adoptent une disposition en U très commode pour l’époque, les ailes servant de logement pour les cultivateurs, de bâtiment d’exploitation, d’écuries et même de remises, tandis que la partie centrale est réservée au propriétaire.

Des passages délicats :

Difficile mais malgré tout des sourires…Autre passage …

Inquiétude de Marie-Jo : Cette branche va t’elle tomber ??

Puis …. le Lavoir Bonnefont. Joli petit lavoir et sa source au creux d’un vallon séparant la commune de Carignan-de-Bordeaux et Latresne.

Le nom « Bonnefont » vient de « Bonne Fontaine », indiquant que l’eau était de bonne qualité ou que le débit de la source était abondant. (photo: archives 04/2019)

Le Château Malherbes

Le château Malherbes a des origines qui remontent au XIVe siècle. Guilhem de Malherbes revient alors des croisades et possède déjà des terres à Latresne. Au XVIe siècle, la maison noble de Malherbes est citée dans les textes.

Actuellement c’est une propriété viticole entourée de son parc aux diverses essences d’arbres et de 13 hectares situés dans le vignoble des Premières-côtes-de-bordeaux. Le domaine a aussi une activité de tourisme avec gites et salles pour séminaires et réceptions. Ses extérieurs sont actuellement en pleine restructuration. 13 hectares de vignes.

La Maison du gardien

Cette curieuse bâtisse est en fait l’ancienne maison du gardien du château Malherbes. Le gardien était chargé de surveiller le château et de s’occuper de certaines tâches quand le propriétaire était absent.

Sans doute édifiée au XIXe siècle, cette petite maison est remarquable de par son aspect moyenâgeux évoquant les styles troubadour ou néo-gothique.

Des Habitations troglodytes

Depuis l’antiquité la pierre calcaire de l’Entre-deux-Mers est exploitée pour construire des habitations et des monuments. Mais c’est surtout au XIXe siècle que cette activité se développe.

A partir du XXe siècle, l’activité a fortement ralenti. Si certaines carrières ont été réutilisées comme champignonnières, la plupart ont été abandonnées. A Latresne, le sous-sol est en fait truffé de galeries. Ici à la Seleyre, comme beaucoup d’autres endroits le long des coteaux, l’homme a su recycler ces galeries pour les habiter ou les utiliser comme lieux de stockage.

Chemin faisant en bordure de Garonne ….. Les Carrelets

Les carrelets à ponton tels qu’on les connaît aujourd’hui en Gironde sont apparus au XVIIIe siècle pour répondre aux besoins fonctionnels des pêcheurs. Bien que cette méthode de pêche traditionnelle soit très ancienne, les pêcheurs ont mis en place des installations sur pilotis et un mécanisme pour le filet, afin d’améliorer les conditions de pêche.

Passage devant … La Chartreuse Valrose

Comptant parmi les plus belles demeures de Latresne, cette propriété d’agrément de style néo-palladien fût construite sous le règne de Louis XV, aux alentours de 1750.

Au bout d’une allée perpendiculaire au chemin qui borde la Garonne, le bâtiment en pierre de taille s’ouvre en U, entourant une cour devenue jardin.

Elle est inscrite à l’inventaire des monuments historiques. Nous avons la chance de rencontrer la propriétaire des lieux qui nous raconte l’historique de cette propriété et qui nous invite à une visite ultérieure pour le printemps.

La Maison du garde barrière

La création de la ligne Bordeaux-La Sauve en 1873 n’a pas pour autant été synonyme de création de garde-barrières aux passages à niveau sur le territoire de Latresne. Il faudra plusieurs accidents, dont certains mortels, pour que la compagnie d’Orléans mette enfin en place des garde-barrières en 1898, soit 25 ans après la création de la ligne !

L’ancienne voie ferrée

Cette ligne a été rachetée et transformée par le Conseil Général en voie verte, du bourg du Castera à Latresne jusqu’à Sauveterre-de-Guyenne. La portion restante entre Latresne et Bouliac est restée en l’état, les rails et les traverses ayant été retirés.

La Pimpine

La Pimpine est une petite rivière qui prend sa source à Créon et vient se jeter dans la Garonne sur le territoire de Latresne. Avec un bassin versant d’une superficie de 51 km2 dans l’Entre–Deux-Mers, la Pimpine parcourt 18 km au fond de sa petite vallée, traversant le territoire des communes de Créon, Sadirac, Lignan, Cénac, Carignan-de-Bordeaux et Latresne.

 

 l’ancienne gare de Latresne

En 1873 fut inaugurée la première ligne de chemin de fer traversant Latresne et reliant Bordeaux à La Sauve, 27 km empruntant en grande partie la vallée de la Pimpine. Une autre ligne passait à Latresne, celle vers Cadillac. En plus des 5 trains quotidiens, une navette « le train des théâtres »partait le dimanche soir de Bordeaux à 00h30 pour ramener les spectateurs de la rive droite en pleine nuit.

L’ancienne gare de Latresne abrite aujourd’hui un magasin de brocante mais totalement dans la configuration de l’ancienne gare.

L’aéro-campus. Le groupe y passe de suite . A savoir que des ruines d’une villa gallo-romaine ont été retrouvées  sous les bâtiments. A deux reprises (1954 et 1987) des petites fouilles de sauvetage ont permis de mettre en évidence plusieurs salles rectangulaires et un hypocauste semi circulaire.

 

 

Animateur : VILLAR Corinne

Reconnaissance : Corinne

Distance : 13 km

Photos : Jean- Marc + archives JM

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Breil Bruno

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Champarnaud Valérie

Couprie Marie-Claude

Desmond Alexandra

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Soulie Jean Marc

Thomas Joëlle et Denis

Corinne Villar

+ Martine

Carte IGN au 1/25000

03/2020 Gornac

GORNAC est un village de 835 ha et de 400 habitants ; il possède des vestiges préhistoriques antiques et gallo-romains.

Connu sous l’époque de la guerre de 100 ans et de l’occupation de la Guyenne par les Anglais. Au 15ème, Gornac fût le siège d’un couvent-prieuré bénédictin, Commanderie de l’Ordre de Malte d’Arcins. Son église avec son clocher pignon date du 16ème. A noter la présence de 4 moulins dont celui du Haut Benauge construit en 1601 et restauré en 1975 ; cela illustre l’activité agricole des céréales et de la meunerie. Aujourd’hui 65% du territoire est couvert de vignes.

Marc, notre historien aux commentaires (mais que fait Bernard ??)

C’est un groupe de 24 randonneurs qu’emmène Bernard notre guide du jour.

L’EGLISE SAINT-JEAN   15ème de  style roman. Aujourd’hui seul le portail et son clocher pignon à 3 niveaux datent de l’époque. L’église comprend une nef unique, une abside et un transept qui ont fait l’objet d’une rénovation récente. Plus d’une centaine de personnages et d’animaux réalistes ou fantaisistes représentent symboliquement les travaux des différentes saisons… Une chapelle avait été édifiée sous la renaissance mais a disparu lors d’un remaniement en 1867. Son portail est composé de 5 voussures richement sculptées représentant notamment un zodiaque, les travaux des mois, des scènes de chasse et de vie quotidienne.

Passons à proximité du MOULIN DE HAUT-BENAUGE :  date de 1601,  situé  sur un promontoire à 109 m d’altitude. C’est maintenant le symbole national de la commune, la tour et l’escalier sont d’origine. C’est aussi le Musée de la vigne et du vin, des outils agricoles et artisanaux. Des quatre moulins présents sur la commune de Gornac, le Moulin de Haut-Benauge est le seul qui soit en état, au prix d’une profonde restauration entamée à partir de 1975. Il propose des activités lors de la fête des moulins et lors des journées du patrimoine. Il est ouvert le dimanche AM

Au Chatêau Poulit : un chien nous rejoint ; il fera tout le circuit avec nous.

Passons aux Lieux-dits Jenlis et Mahourat, 

Puis sur le Ruisseau Saint-Pierre des Bats 

Au loin, une vue de Mourens et de son église que nous approchons. 

Au passage une très belle demeure récente.

Il est temps maintenant de s’arrêter pour une petite pose ; les chevaux partagent avec nous le casse-croûte tiré du sac. 

Arrivée devant l’ Eglise Saint-Martin à Mourens. Edifice de fondation romane, fortifié au 16e siècle et agrandi au 17e par l’adjonction de deux chapelles latérales non voûtées. Restes d’un décor peint du 18e siècle dans le choeur.

Château Pied d’argent : il n’y a que le nom ; pas de demeure

Ensuite une très belle longère

Château Gaillarteau : A proximité s’y trouve le Vieux Moulin .

Passage aux lieux-dits : Philibert, Pinson, Sourlin, Bricard, Ardoin, 

Et on rentre…

Retour vers Gornac : Arrivée vers les 3 autres anciens moulins.

Animateur : Richez Bernard

Reconnaissance: Richez Bernard , Baron Marc

Distance: 12,6 km

Photos : Jean-Marc

24 participants + 1 chien 

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Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Breil  Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Dupin Monique

Mark Françoise et Alain

Noël Françoise et Jean

Noureau Francette

Richez Bernard

Soulie Jean -Marc

Thomas Joëlle 

 

Carte IGN au 1/25000

  Trace Gornac

02/2020 Randonnée Tabanac et Langoiran sur une journée

Notre point de rendez-vous se situe au parking près de l’église du Tourne. Nous serons 23 randonneurs pour faire  la boucle du matin sur Tabanac ; 24 l’après-midi pour la boucle sur Langoiran, dont 15 des plus courageux pour les 2 boucles. 

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Le village du Tourne : A l’origine implanté sur les hauteurs, sur la route qui mène à Tabanac, autour d’une église romane aujourd’hui détruite et dont il ne reste que le cimetière l’ayant ceint, le village s’est déplacé vers le 17e siècle vers le fleuve, un certain nombre d’habitants ayant une activité liée au transport fluvial dont la construction navale. 

A la Révolution, la paroisse de Saint-Étienne du Tourne forme la commune du Tourne. Au cours du 19e siècle, la reconstruction de l’église Saint-Etienne dans le bas du village acte le déplacement du bourg vers le port.

Avant de partir Denis tient à présenter au groupe plusieurs nouvelles adhérentes : Alexandra, Christine et Nicole qui nous rejoignent.

Le Château Renon : Construit en 1802 sur des douves du 17ème. Acheté en 2002 par un chinois importateur de vins. C’est le 100ème château bordelais acheté par un importateur de vins chinois. Il a été réhabilité récemment. Un très beau parc de 5 ha et 8 ha de vignoble. Il est également tourné vers l’oenotourisme. 

A l’arrière du Château une vue sur l’église de Langoiran

Au loin nous apercevons le magnifique Château Lagarosse flanqué de ses 4 tours symétriques avec une architecture de l’époque napoléonienne.

Juste à côté se trouve Le Château Sentout : Magnifique château du 17e  aménagé pour les mariages, séminaires, anniversaires, possède 23 chambres disposées dans tous les bâtiments du domaine et de différents styles (à voir leur site, ça vaut le coup).

Arrivons au Château Lacaussade : Datant de la fin du 16e sur des vestiges du 13e . Possède 1 tour ronde, 2 pavillons carrés et une aile pour les communs. Vignoble de 60 ha.  Passons  devant le Château Nénine :  Bâtisse datant de 1812, au plus haut point de Tabanac ; vestiges romains trouvés sur place. Vignoble de 13 ha.

Le groupe descend à travers vignes et bois vers les palus avec parfois des passages délicats.

Arrivons au Chantier Tramasset, chantier naval depuis 1877, pour la construction de bateaux en bois (yoles, gabarres, etc…), 40 ouvriers dans les années 30, puis laissé à l’abandon en 1885 ; bâtiments rachetés par la mairie en 1997 pour la restauration de bateaux en bois du patrimoine.

Distance : 10 km Dénivelé 156 m

Animateur : Thomas Denis

Assistant : Soulie Jean-Marc

Photos : Jean-Marc + archives

Photo du groupe le matin

Séance 3 cotation IBP Openrunner pdf Tabanac

Un peu de repos et un repas copieux entre les 2 boucles.

L’après-midi sur Langoiran

Langoiran est une commune de 2255 habitants en bordure de Garonne. Ses habitants, les Langoirannais. Sa surface de 10 km2 se répartit entre le centre bourg et son port, le Pied du Chateau et le Haut Langoiran. …….le quartier du port est constitué de jolies maisons, d’un ancien relais « le Saint Martin », de maisons de pêcheurs construites au XVIe siècle.

Dans le centre bourg, l’Église Saint-Léonce  fut construite au XIXème siècle. Le Haut-Langoiran bénéficie d’un remarquable coup d’œil sur l’ensemble de la vallée de la Garonne et sur la magnifique forteresse médiévale qui date du XIVème.

Le groupe part en  longeant le Grand Estey puis la Garonne.

Un très fonctionnel chemin en bois et surélevé a été récemment aménagé et passe sous le pont Eiffel.

Une très belle demeure avant la bonne grimpette.

Le groupe attaque donc une sérieuse montée à travers bois.

A noter au passage le très beau chapeau d’Annie

Marie-Claude toujours aussi véloce.Au sommet une petite pose pour récupérer auprès d’un calvaire.
Une des super vues sur la Garonne

Le groupe continue vers le village du Haut-LangoiranEn contre-bas le domaine seigneurial du Pied du Château. 

 Et oui…. un lieu historique : la maison RateauArrivée devant l’église Saint-Pierre-ès-liens du Haut-Langoiran

L’édifice, construit au moyen âge en style roman, porte le vocable de Saint-Pierre depuis 1326. Le mur nord de la nef, le coeur et son portail, datent du XIème siècle. Le bas-côté a été construit au sud en 1541. Le clocher, en forme de tour carrée surmontée d’un toit en pavillon est recouvert de tuiles plates.

Maintenant une descente prononcée à travers vignes en direction du moulin.Direction vers le lieu-dit Malbiche. Arrivée sur la route de Créon, enjambement du Pont de la Rose et retour vers le point de départ en longeant le Grand Estey.

Photo du groupe l’après-midi

Animateur : Thomas Denis

Assistant : Soulie Jean-Marc

Photos : Jean-Marc + archives

Participants : Matin et Après-midi (32 randonneurs)

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Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Breil  Bruno

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Champarnaud Valérie

Couprie Marie-Claude

Dabadie Violaine et Dominique

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Lagorce Pierre

Mark Françoise et Alain

Martin Marie Jo

Michel Jean-Marie

Noël Françoise et Jean

Noureau Francette

Quérité Marie

Richez Bernard

Soulie Jean -Marc

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Carte IGN au 1/25000

 

Séance 3 Cotation IBP Openrunner Langoiran



 

01/2020 Bordeaux pour la nouvelle année

BALADE de REMISE EN FORME DE BORDEAUX LE 04/01/2020

Denis nous a donné rendez-vous sur le parking du Point P sur la rive droite pour découvrir ou redécouvrir cette très belle ville de Bordeaux; 16 randonneurs se sont retrouvés et se présentent leurs meilleurs voeux.

Le groupe emboîte le pas de notre futur Breveté Fédéral ; c’est notre historien Marc ainsi que Denis qui commenteront tout au long du parcours les points remarquables du patrimoine de Bordeaux.

Le long des quais en cours d’aménagement, départ vers le pont Chaban-Delmas. 

Ce pont levant est opérationnel depuis 7 ans ; sa construction a duré 3 ans ; il se lève de 55 m au-dessus du niveau du fleuve en 11 mn.

Passage sur ce pont de 575 m de long.

pour se diriger vers la Cité du Vin. Son architecture a la forme d’un cep de vigne noueux ; certains y verront la forme d’une carafe.

Un passage devant les Halles de Bacalan et direction les bassins à flot. Surprise scar le pont écluse se met en mouvement pour s’ouvrir.

Le groupe souhaite attendre le passage d’un petit bateau pour voir le fonctionnement  ouverture et fermeture de ce pont écluse avant de poursuivre.

En attendant une vue sur les bassins à flot et son port

Le périple continue en intra muros dans les petites rues du quartier bourgeois des Chartrons, berceau historique des négociants bordelais.

Tout d’abord l’église Saint-Louis 

Puis le temple des Chartrons

La traversée du majestueux  Jardin Public

mènera au Palais Gallien, arène romaine en forme d’amphithéâtre datant du 2e siècle.

Le groupe continue sur le côté de la place Tourny pour arriver sur la grande place des Quinconces. Sur celle-ci a été érigé le Monument aux Girondins flanqué de 2 bassins-fontaines ornés de chevaux en bronze et surmonté d’une colonne de 54 m où culmine la statue de la Liberté brisant ses chaînes.

Une petite photo de groupe (sans Jean-Marc le photographe)

Sur la place des Quinconces également 2 statues monumentales de Montaigne et Montesquieu et 2 colonnes rostrales. 

Direction maintenant vers le majestueux Grand Théâtre. Lhistorique de ce bâtiment est détaillé et en particulier  celui des 7 muses et des 3 déesses.

Le cours de l’intendance mène maintenant à l’imposante Cathédrale Saint-André qui se trouve place Peyberland.

Allez une petite photo de groupe devant un manège Place Saint Projet. On y voit pour une fois apparaître au centre Jean-Marc notre fidèle photographe.

Arrivée sur la merveilleuse Place de la bourse. Aujourd’hui les bâtiments sont occupés par la Chambre de Commerce et le bureau-musée des Douanes. De nombreux mascarons au-dessus des portes et des fenêtres représentent la vie passée de Bordeaux.  Sur la place se trouve la Fontaine des 3 Grâces.

Attention ce ne sont pas elles les 3 grâces mais bien celles qui se trouvent en haut de la fontaine (voir photo d’archives suivante)

Devant la place de la bourse se trouve le Miroir d’Eau datant de 2006. En fonction du soleil il s’y reflète soit la Garonne soit la Place de la Bourse.

Le Groupe longe maintenant les quais de la Garonne en direction du Pont de Pierre.

le Pont de Pierre construit en 1812 à la demande de Napoléon 1er. La construction des 17 piles a posé de gros problèmes surtout en raison de la profondeur de la Garonne.

Après le Pont de Pierre voici la Gare d’Orléans qui date de 1852. Cette gare a été utilisée jusqu’à la construction de la passerelle Eiffel en 1950, passerelle qui a permis la liaison des trains vers la gare Saint-Jean ( photo d’archives)

Il ne reste plus qu’à remonter les quais côté rive droite,  passer devant l’espace Darwin pour retrouver le  point de départ. Avec un autre point de vue plus lointain sur la place de la Bourse.

Pas question de se quitter sans avoir souhaité la nouvelle année 2020.

2020 se terminant par 20; cela fait pensé bien sûr au vin à boire et Denis avait pris soin d’amener le vin de champagne, 20 cannelés et aussi 20 caramels;le groupe a pu ainsi trinquer à la nouvelle année et à ses 20 futures randonnées. 

 

LES  RANDONNEURS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Champarnaud Valérie

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Michel Jean-Marie

Quérité Marie

Richez Bernard

Rizzotti Maribel

Soulie Jean-Marc

Thomas Denis

Animateur : Denis Thomas

Reconnaissance : Denis, Marc

Commentaires histoire et patrimoine : Marc et Denis

Parcours :  12,4 km

Temps : Soleil agréable toute l’après-midi

Trace randonnée Bordeaux

Séance 2 cartes Openrunner pdf BORDEAUX 1 50000