Bordeaux est bien une ville portuaire située sur la Garonne. Elle est réputée pour la cathédrale gothique St ANDRE, ses manoirs construits au XIIIe et XIXe siècles ainsi que par ses musées d’Art.
C’est bien la forme de croissant que dessine la Garonne qui vaut à la ville le surnom de « Port de la lune ».
Une population intra-muros de 261000 habitants(2019) pour une superficie de 49 kms. 986879 habitants pour l’agglomération (2019). L’unité urbaine comprend 275 communes (2020).
Sur Bordeaux la Garonne est traversée par 7 ponts et bientôt un 8ème qui est en construction ; sa largeur moyenne est de 450 m.
Le rendez-vous se trouve sur la rive droite. Marc aura en charge ce jour 23 randonneurs pour une virée à travers la ville. Certains arborent le bonnet du Père Noël, chapeau traditionnel.
Et c’est parti direction le pont Chaban-Delmas.
Le Pont CHABAN : Longueur 545m, hauteur 77m, largeur entre 32 et 45m. C’est le plus grand pont levant d’Europe. A la nuit tombée son éclairage sublime le Port de la Lune, la partie centrale se lève de 11m.
En ordre dispersé.
La Cité du vin
La structure a la forme d’un cep de vigne noueux. Cet édifice de 9000 m3 de béton repose sur 300 pieux descendant à 30 m de profondeur.
Cette halle gourmande réunit une vingtaine d’artisans et producteurs du Sud-Ouest.
Le vaisseau spatial : Oeuvre de Suzanne Treister en 2018
L’entrée du Musée Mer-Marine
Un abri anti-aérien
Construit avant la seconde guerre mondiale, il permettait d’accueillir une trentaine de personnes. Il en existe de nombreux à différents endroits de la ville.
La Distillerie Moon Harbour
Installée dans un ancien bunker. Premier whisky bordelais. Il a la particularité d’être vieilli dans des barriques de grands crus bordelais.
Elle est une des 5 bases construites par les allemands sur la façade atlantique. Elle accueillait des sous-marins allemands et italiens. Longueur 245m, largeur 162m, hauteur 20m. Un bloc de 6000 m3 de béton.
Les Chartrons : Ce quartier évoque la période florissante du grand négoce bordelais, construit sur le domaine d’un ancien couvent des Chartreux. Ce quartier abrita une population de commerçants. Tous édifièrent de belles demeures de pierre tenant lieu d’entrepots et de résidences principales.
L’église Saint-Louis des Chartrons : Achevée en 1879, elle possède le plus important orgue symphonique d’aquitaine. Ses 2 clochers néo-gothiques culminent à 58m.
La halle du marché des Chartrons : Architecture métallique bâtie en 1869.
L’église Saint-Martial
L’église vue opposée.
Edifiée entre 1839 et 1841 à l’extrémité du faubourg des Chartrons, l’église paroissiale Saint-Martial est édifiée à la demande du chanoine Rigagnon. L’édifice est consacré à Saint Martial, apôtre de Limoges et fondateur légendaire de la Cathédrale Saint-André. Quelques années plus tard un clocher à l’antique est construit contre la façade ouest pour pallier à la simplicité de l’édifice. L’église abrite entre autre un orgue composé d’un buffet à deux corps rappelant le style de l’Ancien Régime.
C’est au cours d’une pose aux Chartrons que Sylvie et Philippe proposent une petite dégustation de chocolats. Chacun apprécie cette initiative.
Le Temple des Chartrons : Edifié entre 1832 et 1835 pour le consistoire protestant (assemblée des ministres du culte protestant)
Une boutique bien sympathique
Tout le monde le sait qu’il est merveilleux ce Fred ; à déguster toutefois avec modération.
La place des Quinconces : aménagée entre 1810 et 1828, sur l’emplacement du Château Trompette. Les 2 colonnes rostrales célèbrent le commerce et la navigation.
Le Monument aux Girondins : réalisé à la mémoire des députés girondins victimes de la terreur et célébrant la république. La colonne mesure 41 m.
Retour par les quais
Un magnifique coucher de soleil pris du pont Chaban.
En fin de parcours Marc offre les chocolats en guise de préparation aux agapes de fin d’année ; une initiative très appréciée des randonneurs.
C’est la fin pour 2022. Retrouvons-nous pour la première randonnée 2023 le matin du 14 janvier et lors de l’assemblée générale de 16 h l’après-midi.
La randonnée : 14 km Pas de Dénivelé
Animateurs : Baron Marc
Indice d’effort : niveau 1 – assez facile (distance+dénivelé)
Indice de risque : niveau 1 assez facile (configuration terrain, passages boueux, racines)
Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)
Les Participants :
Assémat Olivier
Barbirato Annie
Baron Brigitte et Marc
Berkesse Danielle et Bernard
Bouet Francine et Serge
Bouvier Francine
Breil Bruno
Dignac Françoise
Estebe Joël
Laffargue Patricia
Laffargue Evelyne et Michel
Lataste Martine
Maison Nicole et Patrick
Noël Françoise
Rischard Sylvie et Philippe
Thomas Joëlle et Denis
A l’époque sur le Haut-Lormont de nombreuses et très belles demeures avaient été construites. Parmi eux les Châteaux Raoul, Carriet et l’Hermitage qui furent détruits au milieu du 20e siècle avant le début de l’exploitation de la carrière par une cimenterie.
Nous descendons par une petite route piétonnière pittoresque, d’agréables petites maisons avec petits jardins et avec toujours de très belles vues sur le pont d’Aquitaine.
Dans le jardin c’est la pause casse-croûte et Nicole admire et veut garder un souvenir de son passage.
Un bel escalier nous amène au Lavoir 
Le lavoir Banchereau est le plus ancien. Ses origines remontent au 14e ou 15e siècle. Situé en contrebas de la rue du Général de Gaulle, il a été en activité jusqu’en 1975. 
Il nous faut remonter direction la ballastière.
Qu’est-ce ?? en fait c’est un banc
Le « nuage » est un habitat aménagé au calme que tout un chacun peut louer.
Par des escaliers métalliques nous accédons à un belvédère avec ce qui aurait pu être une très belle vue sur Bordeaux, le Pont d’aquitaine, la Cité des Vins et tous les édifices religieux … mais c’est soleil couchant.
De retour au parking des Iris après avoir traversé la ferme pédagogique.
C’est Marc qui sera notre guide aidé par son épouse Brigitte, dite la bottée !
Nous prenons tout d’abord un chemin de terre à travers vignes. 
En cours de chemin l’oeuvre d’un sculpteur de souches.
Dans les sous-bois des passages parfois délicats.
Nous longeons le ruisseau du Gestas.
Arrivons au lieu-dit Fonvideau et trouvons un ancien petit lavoir.
Trouvons une maison avec son four à pain et un cadran solaire.
Continuons direction …
Une autre pose.
Et maintenant dans les bois à Brigitte de mettre de l’ambiance au son du sifflet, les bras en l’air et tout le monde suit.
Des anciennes carrières.
Arrivons au Château JONQUEYRE. Ici le sol est préparé à la charrue et le feuillage de la vigne n’est traité qu’en cas d’impérieuse nécessité. Pour le reste, les soins apportés aux ceps sont essentiellement manuels. De la taille à l’effeuillage, de l’épamprage au relevage et jusqu’aux vendanges, pas moins de douze passages autour des quelques 60.000 pieds de vignes !!!
Certains trouveront dans cette souche une tête d’animal ??
Nous sommes maintenant autour du Château du PETIT PUCH.
Contournons ce beau Château restauré récemment et continuons dans son vignoble.
Joël va parfaire ses techniques d’orientation sous la houlette d’Elie. 
C’est parti tout d’abord en passant devant le Palais Cardinal.
Ne sont encore visibles à ce jour que les ruines de la façade de cette habitation médiévale qui faisait partie à l’époque du mur d’enceinte de la cité au XIIème siècle. Cet édifice affichait une certaine richesse de la ville aux yeux des marchands et des pèlerins.
Puis devant le Château Villemaurine
Une vue sur ses chais modernes.
Pendant toute cette randonnée ce sera toujours des chemins bien agréables au milieu des vignes mais parfois quelque peu boueux.
Le Château « La Serre » 1er Cru Classé, en cours de ravalement
Puis nous traversons les vignes du Château Le Prieuré
Le vignoble de Pavie Macquin est depuis 1887 d’environ 26 hectares ; il s’étage entre 75 mètres et 100m de hauteur, les vignes ont une moyenne d’âge de 40 ans. La production annuelle moyenne est de 65000 bouteilles.
Le Château de Candale
Passons près du Château La Grangère
Le Château de Barde Le Haut
Petite exploitation de 4 hectares mais aussi Gîte Logis de France.
Puis côté direction le Sud.
L’église de Saint-Aignan
D’une superficie de 13 ha 50, avec un âge moyen du vignoble de 45 ans et une production moyenne de 89 700 bouteilles.
Passons devant le Château Barrabaque.
Le Château Laguë
Ce sera l’endroit de la pause casse-croûte.
Sur la colline : Le Château du Fort-Pontus
Par sa dimension et sa très ancienne réputation, Coustolle se place dans le peloton de tête des crus d’Appellation Canon Fronsac. A mi-chemin entre Fronsac et Saillans, la propriété occupe une combe aux terrains de molasse et grès profonds entourés de coteaux à dominante calcaire.
Un petit quizz sorti du chapeau : Bravo Brigitte nous avons rencontré 12 châteaux en bordure de notre randonnée.
Et tout le monde essaie d’évaluer la hauteur et le volume du Château d’Eau.
La hauteur du Château d’Eau est bien de 42 m et son volume d’environ 500 m3. Bravo Michel proche avec 750 m3.
Trouvons en bord de route un magnifique micocoulier plus que centenaire.
et de remettre en place ses lacets chaussures.
Regroupement au Château Ramonet.
Passage au lieu-dit La Mariotte puis à celui de Couillabeau.
Michel se détache.
Un point de regroupement.
Marie-Claude toujours aussi tonique.
Ainsi que les autres dames.
Idem pour les maillots jaunes.
Arrivons à notre coin goûter. Le Horse Bar
Nous avons de quoi poser nos fesses pour croquer la pomme.
Dans la prairie… Capucine Fred et Denis (erreur entre le E et le A sur la pancarte)
Et voici les Denis.
Un couple en noir mais souriant les suit.
Fabien en short fait un galop d’essais.
Une ancienne carrière.
La petite pause rafraichissements.
Originale cette pancarte … Tout le monde essaie de siffler.
Nous attaquons une partie dans les bois avec quelques difficultés pour retrouver notre trace mais après quelques vicissitudes nous la retrouvons.
En sortie de bois le ruisseau « la Dognonne »
Le lieu-dit des « Faures »
Et son lavoir !
En cours de route, une autre palombière.
Le Château de Monbadon
Après quelques km une autre vue du château
Avec un environnement un peu douteux.
Mais de jolis petits ânes.
Une autre pause.
Adossée au mur du presbytère la fontaine Sainte-Catherine présente la particularité de laisser couler à flots le vin de Clairet le 25 novembre, jour de la célébration de la Sainte. La « fontaine du Clairet », qui représente « Jean qui rit , Jean qui pleure » est devenue le centre des festivités.
La pluie a créé une hécatombe du nombre de participants prévu au départ.
Quelques mots d’Elie. Et à noter, quelque chose de bizarre entre les jambes d’Olivier : non ce n’est que sa gourde.
Puis vers le Château de Peconnet, en empruntant le chemin de Bichoulin.
Édifice représentant l’un des rares exemples de demeure de la première moitié du XVIIe siècle conservé en Bordelais. Le décor sculpté architectural, d’inspiration maniériste, a été puisé dans les recueils d’ornemanistes. Une pierre portant la date de 1577 indique l’ancienneté de l’occupation du site, bien que la bâtisse actuelle n’ait été construite qu’au milieu du XVIIe siècle, comme l’indiquent la date de 1642 portée sur la porte de la chapelle. Le château est acheté au XVIIIe siècle par un riche américain, Mr Peconnet, qui lui donne son nom. C’est un bâtiment rectangulaire à deux niveaux, dont un étage sous combles uniquement éclairé par des lucarnes, flanqué de deux pavillons aux hautes toitures. Une aile de communs en retour d’équerre est le dernier vestige de l’ancienne cour. À son extrémité se trouve la chapelle. Les éléments protégés aux monuments historiques en sont les façades et les toitures et l’entrée de la citerne : inscription par arrêté du 14 février 2005.
Il ne pleut plus ; les sourires sont de retour.
Après une petite montée, arrivée au calvaire, le groupe est sur le point haut de la randonnée.
Un moment de récupération, de repos et d’admiration du paysage.
Sur les berges de la Garonne, des carrelets bien confortables. Les maisons situées à quelques mètres de la Garonne sont exposées aux inondations par fortes marées. Elles disposent toutes d’un « batardeau » qui fait barrage à l’eau.
Pour une autre vue.
Passage au-dessus d’un Estey.
Direction par le chemin de Campéranis vers les lieux-dits « La Boulbenne » et le Château Bellevue.
Sommes de suite obligés de nous mettre à l’abri des arbres car la pluie est beaucoup plus forte. Joël quant à lui avait prévu le soleil pour l’après-midi.
Francine elle, a changé de coiffure.
Et si l’on faisait la première pose boisson ; la pluie s’est temporairement arrêtée.
En milieu de parcours, au loin l’église qui va marquer le départ de la 2ème boucle.
Passons sur le ruisseau Machique qui traverse la commune sur 2,6 km.
Il fait meilleur maintenant les protections sont tombées et on en profite pour la pause casse-croûte.
