06/2021. TIZAC DE CURTON

Tizac de Curton a la particularité d’être un des plus petits villages de France avec une superficie de 4 km2 et ne compte que 296 habitants.

Pas de monuments particuliers si ce n’est l’église et le prieuré. L’église Notre-Dame est de confession catholique et date du début du gothique dans la région. Les ogives reposent sur des butées romanes ; un des plus anciens porches de Gironde ; une nef unique terminée par un chevet plat ; un clocher-mur en pleine restauration.

Le presbytère date de 1752 ; beau bâtiment au décor raffiné. Au-dessus d’une des 2 portes se trouvent 2 angelots rappelant la vocation première de l’édifice. Bâtiment transformé à ce jour en salle municipale.

 page1image42747520 page1image42839840  page1image40673152 page1image40671616 page1image4066508827 randonneurs se retrouvent sur le parking jouxtant le prieuré. Briefing de départ Et c’est parti par un très beau chemin à travers bois et prés direction les lieux-dits Morion, les Artigauts,  Arrau en longeant le ruisseau de Daignac.

Plus haut le lieu-dit Bellevue

Puis une jolie demeure…

Arrivée sur le lieu-dit La Brède

Une surface agricole, totalement remaniée et le reste d’un ancien moulin.

Une petite pose

Un raidillon pour arriver au lieu-dit Bellevue. Vue sur un plan d’eau bien entretenu.

On se fait aussi un peu plaisir avec quelques caresses…

A Balleyrac… un joli coin de nature.

Et une nouvelle petite pause.

Au lieu-dit Le Treytin à côté de nous, les chasseurs tirent le sanglier et Maria perd ses semelles (qualité, qualité où es-tu ??) et il reste encore du chemin à faire !!!


Au Coutreau contournons le poste de distribution électrique.

Attaquons un passage plus que boueux en longeant le ruisseau Le Gindre. Quand on randonne il faut savoir aussi patauger. Diaporama de ce passage.

Marc et Denis ouvrent le passage….

On cherche où mettre les pieds …Attention Pierre tu vas glisser

Patrick décontracté mains dans les poches..

Tout en sourires… pour Francine. Plus craintive pour Valérie.

Françoise tourne le dos à la difficulté …

Serge sceptique…. Jacques s’inquiète… Bernard assure…

Hélène… Comment faire pour ne pas glisser  ?  Monique pas de souci avec 2 bâtons….

 Joëlle elle lève la droite ???

Alexandra à l’aise… Et oui c’est bien notre Laurence en cette position bizarre.. .. Corinne la surveille

Nous allons maintenant être détournés de la trace prévue et une partie du chemin se fera en bordure de route. Ah ces battues !!!

En fin de parcours remontons à travers vignes sur le  le Château Le Tros

La première mise en bouteille de ce Château a eu lieu en 1974, il y a maintenant plus de 40 ans. Le château le Tros est une propriété familiale depuis 4 générations. Les vignes du château le Tros s’étendent sur plus de 65 hectares répartis sur trois communes : Tizac de Curton, Génissac, Naujan et Postiac

Puis le Château Clavier

Retour au parking et dissipation des troupes. A la semaine prochaine à Branne.

Animateur organisateur : Denis THOMAS

Reconnaissance : Marc, Fred, Denis

Photos : Fred

Distance : 11 km – Dénivelé  105 m

Indice d’effort : niveau 2 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Flandé Hélène et Jacques

Lagorce Pierre

Martin Marie Jo

Maison Nicole et Patrick

Noël Françoise et Fred

Peere Laurence

Quérité Marie

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

randonnee-Tizac de Curton

 

05/2021 CARIGNAN DE BORDEAUX

Par un très beau soleil, les mordus de randonnées se réunissent sur le parking de la Mairie de Carignan de Bordeaux. Aux commandes Brigitte et Marc vont piloter la randonnée du jour : 28 randonneurs sont au rendez-vous et seront répartis dans plusieurs sous-groupes.

CARIGNAN de BORDEAUX
Ville de 3881 habitants et de 878 hectares. Le château de Carignan est sans aucun doute le plus beau monument de la commune et aussi le plus emblématique, puisque, grâce à son excellent vin, le nom de « Carignan » fait le tour du monde.

C’est parti…….Dès le départ de la randonnée Marc fait remarquer que dans un espace  aménagé près de la mairie un arbre est planté pour chaque naissance sur la commune (la question posée est de savoir si les prénoms figurent sur les arbustes)

Un début de randonnée très agréable à travers bois et sur chemin bien sec.

Un petit crochet pour passer devant l’église Saint-Martin d’origine romane et du 11e siècle.
Le portail et la corniche de façade sont du 12e siècle, mais considérablement restaurés au 16e siècle. La nef, les chapelles latérales et une abside polygonale ont été refaites au 15e siècle en style gothique. Les meurtrières datent de l’époque des guerres de religion, de la seconde moitié du 16e siècle.
Un tremblement de terre endommage l’édifice en 1759. Des contreforts sont placés le long des murs. Un clocher est construit. En 1791, la foudre le détruit en partie.
Une nouvelle restauration de l’église a lieu entre 1885 et 1886.

Arrivons au domaine de Baritault. Au loin une tour qui est en fait un réservoir d’eau.

Les lunettes de soleil paradent….

Au loin le Château de Carignan. Un petit détour s’avère nécessaire

LE CHATEAU CARIGNAN : L’histoire de ce château remonte au 13e siècle.
Au 16e siècle, après plusieurs changements de propriétaires, d’importants travaux furent entrepris.
En 1814, le château fut acheté par le marquis de Casapalacio. C’est à cette époque que les armoiries du marquis furent ajoutées au-dessus de la porte d’entrée de la tour de la cour intérieure.
En 1892, le château fut acheté par Honoré Picon, fils de Gaëtan Picon, fondateur de la marque «Amer Picon».
Le château fut entièrement rénové et agrandi par l’addition d’une orangerie, d’un nouveau cuvier et des chais.
C’est à cette époque que le château prit définitivement le nom de CHÂTEAU DE CARIGNAN.
Depuis, plusieurs propriétaires se sont succédés.
A noter que le château possédait un moulin à eau sur le ruisseau de la Bouteronde (en ruine) et un pigeonnier toujours en excellent état.

Le domaine possède une superficie de 150 hectares avec un vignoble composé de 30% de vignes de 40 ans d’âge et de 70% entre 8 et 25 ans d’âge. Les vendanges sont manuelles pour les vieilles parcelles et mécaniques pour les plus jeunes.

Faisons marche arrière pour emprunter le chemin de Bouteronde et un peu plus loin suivre le ruisseau du même nom.

Des chemins maintenant un peu boueux…. et qui deviendront au fur et à mesure très boueux…voir de la gadoue..

Arrivons au JARDIN DOURNEAU

L’ÉOLIENNE BOLLÉE
Cette curieuse éolienne était utilisée pour pomper l’eau du ruisseau et la remonter jusqu’au château d’eau du domaine Baritault, situé en haut de la colline.

A la fin du 19e siècle, Honoré Picon, fit édifier une éolienne dans le bas de son domaine pour exploiter une source toute proche. Inventée par Ernest Sylvain Bollée, elle demeure une des seules de cette marque encore en élévation dans notre région. 

Quelques commentaires de Marc concernant l’éolienne Bollée.

Passons devant une ancienne cressonnière puis un ancien lavoirPlus loin une autre vue sur le Château Baritault.

Ce vieux domaine s’appelait à l’origine «Michet» avant d’être racheté par Jean Baritault, garde du Palais de l’Ombrière à Bordeaux, en 1717.

En 1904, une tour carrée de 20 m de hauteur fut construite avec un bassin à son sommet qui se remplissait d’eau et qui permettait ainsi d’obtenir de l’eau sous pression pour tout le domaine.

Une pause casse-croûte près des installations sportives

Dans Carignan:  LE DOMAINE PEYVIDEAU. Ce hameau très ancien était composé dès son origine de plusieurs domaines.
Il s’appela successivement «Puyau de Maderolles», «Codat  puis «Peyvideau» pour Pierre Videau.
Les bâtiments datent du 18e siècle.portail du domaine de Peyvideau, à Carignan-de-Bordeaux

Les lunettes de soleil ne sont toujours pas retournées dans leurs étuis lors de la fin de randonnée, et c’est vers 16h45 que le groupe se sépare. A la semaine prochaine

 

Animateur organisateur : Marc Baron

Distance : 10,5 km – Dénivelé  160m

Indice d’effort : niveau 2 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 2 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 2 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Bouet Francine et Serge

Cantillac Jacques

Cayre Maria et Michel

Clee Marie-France

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Garcia Norbert

Guillerme Marie-Claude

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Lafaye Sylvie

Martin Marie Jo

Mlynarsky Marie-Line

Maison Nicole et Patrick

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Quérité Marie

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

 

04/2021. SAINT CAPRAIS DE BORDEAUX

 

Au vu de la météo printanière de ce samedi, 26 randonneurs se retrouvent sur le parking de la mairie.

C’est Serge qui dirige aujourd’hui. Les groupes de 6 à 7 randonneurs sont formés.

Passons tout d’abord au Château de Gourgue

C’est un ancien rendez-vous de chasse construit au XVIIème par la famille de Gourgue. Ogier de Gourgue fût conseiller du roi Louis XIII, trésorier de France ainsi que général des Finances. Le vignoble est de 5 ha soit environ 25000 bouteilles par an en appellation côtes de bordeaux. Cette propriété a été rachetée en 2010 par la famille Vincent.

Une bonne descente sur bitume puis une balade par champs, bois et forêts mais parfois dans des chemins particulièrement boueux qui nous amènent près du Château du Haut-Peyrat.

Ce château se situe sur la croupe d’une colline en hauteur de Cambes. Le domaine fait 20 ha. Les premières traces de la construction datent de 1571. Les tourelles crénelées et le perron sont des adjonctions du XIXème.

Une petite pause boisson en cours de route près des vignes.

Au lieu-dit Girard : une ancienne chapelleEn arrivant au village de Cambes : La maison Brémontier 

L’ancienne demeure de Nicolas Brémontier est aujourd’hui domaine Dulaurier. L’immense portail entouré de ses deux lions et deux aigles intriguent tout le monde.

Nicolas Brémontier, ingénieur, vécut à Cambes dans la propriété qui porte aujourd’hui son nom. Napoléon 1er le nomma Ingénieur en Chef et lui ordonna d’assainir les Landes qui n’étaient alors que des marécages. BREMONTIER s’attacha donc à cette tache, planta des pins dans les Landes et fit ses premiers semis expérimentaux dans son nouveau domaine de Cambes.

Nous descendons vers l’Estey de Cambes avec une vue en contre-bas de son église. Faisons une petite pause en bordure de Garonne.

La traversée de l’estey pour permet d’apercevoir une propriété et un arbre très agé.

Montons vers le lieu-dit Bellevue, sa grande salle et sa maison de retraite.

Une vue sur La Garonne du point le plus haut de Cambes.

Plus loin le beau domaine de Bellevue

Passons devant Le Château LarocheRésultat de recherche d'images pour "photos chateau la roche baurech"

La superficie du vignoble est de 25 hectares. Les vignes ont 40 ans.
Le Château Laroche est une très belle demeure dont les bâtiments des 17ème et 18ème siècles enserrent une pittoresque tour du seizième.
Jusqu’en 1824, le Château appartenait à la famille de Bire, Seigneur de Baurech.
A la fin du 19ème siècle, la famille prit la décision de vendre la propriété. Monsieur et Madame Palau en sont les propriétaires; ils ont en revanche vendu le vignoble.

Notre fin de trajet passe par les petites routes de Baurech. Une montée assez sérieuse au lieu-dit « des Augustins » avant d’arriver sur notre point de départ à Saint-Caprais.

 

Animateur organisateur : Serge BOUET

Animateurs de groupe : Serge, Denis, Marc, Fred

Photos : Fred

Distance : 10,4 km – Dénivelé positif 143 m

Indice d’effort : niveau 2 –  assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Cantillac  Jacques

Champarnaud Valérie

Clee Marie-France

Dupin Monique

Flandé Hélène et Jacques

Garcia Norbert 

Mlynarsky Marie-Line

Maison Nicole et Patrick

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

 

randonnee-5159495

02/2021 – Lignan de Bordeaux

Lignan de Bordeaux petit village de 9 km2 et d’un peu moins de 900 habitants.

En début d’après-midi Rando Lignan envahit le parking de la Pimpine.

Un peu d’histoire….

Dés les temps préhistoriques : le village est occupé par les Hommes, comme en témoigne la découverte d’outils du paléolithique dans le bourg, dans la grotte de Carle et sur les lieux-dits de Nadau, Mondet et Avensay. De cette époque, on a mis au jour les vestiges d’un site potier à Cavaillac et trois fours dans le bourg prouvant l’existence d’une production céramique artisanale sur le lieu.

Au Moyen Age des monastères apparaissent : celui du Clos Saint-Jean puis celui de La Ligne. Ce sont les moines qui construisent l’église Sainte-Eulalie aux XIIème et XIIIème siècles. A noter la présence des tombes monolithes et de nombreux sarcophages autour de l’église.

Le  27 décembre 1792  la paroisse Sainte-Eulalie va devenir Lignan-de-Créon lors de la première séance du conseil municipal qui a lieu dans l’église.

En 1847 sont fondés les établissements Saignes : 6 usines de cinquante ouvriers qui fabriquent jusqu’en 1934 des pulvérisateurs, des soufreuses à traction animale.

En 1873 est inauguré le premier tronçon de la ligne de chemin de fer Bordeaux -Eymet pour emmener les pierres des carrières de l’Entre deux mers dont celle de Lignan. A Lignan ces carrières deviendront par la suite des champignonnières.

Vers 1900, la crise de phylloxéra va ruiner les propriétaires des grands domaines viticoles. La ligne de chemin de fer devient alors un atout pour un homme d’affaire nommé Bertrin qui va bouleverser en quelques années la vie de Lignan. Il rachète le Château Seguin, crée un élevage porcin de 300 têtes  un cheptel de 100 vaches laitières, un haras de chevaux et entretient un vignoble de 110 ha.

Dans les années 1930 à Lignan-de-Bordeaux : 9 forgerons, plusieurs charrons, un maréchal ferrant, une scierie, 3 bars-restaurants, une auberge, 3 épiceries et le moulin de Zuera qui emploie 20 ouvriers. L’école fût construite en 1877 et plusieurs fois agrandit.

Outre l’église Sainte-Eulalie et le Château Isle-fort qui bénéficient d’une protection au titre des monuments historiques une vingtaine de lieux et édifices sont recensés à l’inventaire général du patrimoine.

Les dames se sont chapeautées et laissent admirer leur apparats

Du gris côtelé avec pompon rouge pour JoëlleIci un mélange de gris et de blanc…….Très classe et de cérémonie le chapeau d’Annie…Du gris mais agrémenté d’une fleur pour Françoise…..Du noir belphégorien pour Monique…..Un rouge classique pour Francette….Vert côtelé et pompon pour Valérie…..Le bandeau blanc de sportive pour Marie-LineSobre et noir pour Brigitte….

On y va… C’est Jacques le globe-trotter du club qui emmènera une tribu de 32 randonneurs. Comme habituellement plusieurs sous-groupes sont formés.

Nous contournons de suite l’église Sainte-Eulalie, prenons un chemin pentu et boueux pour nous diriger vers le plateau. Passons ensuite les lieux dits « Clos Nadau » « Fazillau » « Bidon » « le Rousseau » pour arriver « Au Basque » la terre de prédilection de notre guide.

Beaucoup de zones très boueuses à travers bois et vignes. Belle nature.

Le groupe DenisLe groupe MarcLe groupe BernardLe groupe Corinne

Notre randonnée se passe en priorité à travers des sous- bois. La majorité des arbres ont perdu leur feuillage et c’est sur un lit de feuilles que nous arpentons. Des zones très boueuses également mais une très belle nature.

Par un petit pont nous passons le ruisseau le Rauzè.

Le groupe est très prudent en arrivant sur le centre de Cénac.

L’église de Cénac est une église de confession catholique se situant au coeur du bourg. Elle fût édifiée au XIème siècle et fortifiée lors de la guerre de religion du XVIIème siècle.

L’arrière du Château Lamothe (construit au XIVème siècle)
Plus loin une belle demeure….

Et toujours bon enfant nous continuons notre chemin avant de descendre vers la piste cyclable aux environs de la gare de Latresne par un chemin très boueux ; une petite pose ; quelques centaines de mètres sur cette piste pour aborder ensuite sur notre droite la contre-allée qui cette fois-ci est en montée sérieuse vers le Château Haut Brignon.

Bizarre cette racine d’arbre qui pousse à côté du tronc et s’y accroche à une dizaine de mètres de hauteur. Encore une particularité de la nature.

Les ruines du château Haut Brignon

Le château était un grand logis de deux niveaux, sous étage de combles. Le bâtiment  d’un style néo-classique, percé de fenêtres à agrafes et de lucarnes avait deux tourelles néo-gothiques de taille inégale. Les édifices agricoles datent du XVIIIe siècle. Ce style éclectique s’est développé à Bordeaux et dans le département au XIXe siècle.

Le Château Brignon devait avoir aussi un très beau jardin.

Un peu plus loin : Le Château de Montignac

Le Basque. Au retour nous sommes une nouvelle fois sur les hauteurs de Lignan  « le plateau » et allons descendre vers notre point de retour en passant à côté de la propriété de Jacques et Marie-Claude.

Animateur organisateur : Jacques Cantillac

Animateurs de groupe : Jacques, Denis, Marc, Bernard, Corinne

Reconnaissance : Jacques, Marc, Brigitte

Distance : 12 km – Dénivelé 143 m

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 2 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

xxxxxxxx xxxxxxxxx

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Champarnaud Valérie

Couprie Marie-Claude

Dupin Monique

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Martin Marie Jo

Mlynarsky Marie-Line

Michel Jean-Marie

Maison Nicole

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Peere Laurence

Quérité Marie

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

202101141002.       Trace lignan

01/2021 St-Quentin de Baron

Notre rendez vous se situe sur le parking des écoles à St-Quentin de Baron. 28 randonneurs « en manque »  sont dans l’attente. Après les mots de bienvenue du Président, Fred, l’animateur de service, forme 5 sous-groupes pour respecter les consignes sanitaires du moment.

Saint-Quentin de Baron

Saint-Quentin de Baron est une commune viticole, d’une superficie de 9 km2 et d’environ 2500 habitants. Ses habitants sont appelés les Saint-Quentinaises et les Saint-Quentinais. Elle fait partie de la Communauté de Communes du Brannais.

Le nom de la commune provient du nom du Saint patron de la paroisse, Saint-Quentin, apôtre romain du IIIe siècle qui évangélisa la Gaule.

La commune conserve un riche patrimoine, vestige des siècles passés. Le territoire de Saint-Quentin de Baron est occupé depuis une époque ancienne. Les sites de l’abri sous roche de Lespaux et les grottes de Jaurias en révèlent des traces.

Le site fortifié de Bysquetan et la construction des églises romanes attestent pleinement de l’occupation humaine autour de la vallée dès la fin du XIe siècle. En outre, les vestiges d’un donjon du XIIe siècle montrent qu’un château existait dès cette époque.

Au cours du XVIIIe siècle, Montesquieu possèdera des biens à Saint-Quentin de Baron.

L’Église Saint-Quentin est fondée au cours du XIIe siècle. Sa construction primitive se compose d’une nef unique terminée par un chœur et une abside en hémicycle.

L’édifice est fortifiée au XIVe siècle avec le rehaussement d’un parapet crénelé et des modifications au XVIe siècle lui apportent des éléments de style gothique flamboyant. 

Nous nous dirigeons  vers l’église et après une centaine de mètres, obliquons sur notre gauche dans un petit chemin en pente.

En chemin un passage très boueux et des travaux de rénovation….

Des gens heureux….  de randonner

Quizz ….. Lequel d’entre nous donne un coup de pouce à notre nature ????

Lieu-dit Ribeyrau … une belle maison sur notre gauche

après la petite pose casse-croûte …..Direction Espiet

L’église du Bourg … Un petit arrêt pour la visiter

le Gîte et les chambres d’hôtes La Lézardière

Le Moulin Neuf :  Situé sur la commune d’Espiet, le Moulin Neuf de construction fortifiée, serait l’œuvre des moines de la Sauve Majeure. Le système de fabrication de la farine comportait deux meules et une roue verticale de 5 mètres de diamètre. Les murs à pignon carré des façades sud et nord s’élèvent au dessus des toitures et leurs faîtes sont décorés chacun de trois croix de pierre, rappelant ainsi son origine ecclésiastique.Espiet Moulin neuf 5.JPG

Le ruisseau qui alimentait le moulin.

La foudre a fait des beaux dégâts sur ce pin.

La belle mairie de Saint-Quentin de Baron

Animateur organisateur : Fred NOEL

Animateurs de groupe : Serge, Denis, Marc, Fred

Reconnaissance : Marc, Fred, Denis, Serge

Photos : Fred

Distance : 10 km – Dénivelé  51 m

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

xxxxxxxx xxxxxxxxx

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Bouet Francine et Serge

Cantillac Jacques

Cayre Maria et Michel

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Garcia Norbert et Josiane

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Martin Marie Jo

Mlynarsky Marie-Line

Michel Jean-Marie

Maison Nicole

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

18/2020 SALLEBOEUF

Sallebœuf est une commune d’une superficie de 1480 hectares située au cœur du territoire de la communauté de communes Les Coteaux Bordelais. 2500 salleboeuvois(es) vivent dans un écrin de verdure entourée de vignobles, bois et forêts.

« Salleboeuf « est un composé formé du mot salle, qui, autrefois, désignait un château.  Généralement, le mot Salle, en composition toponymique est suivi d’un nom de personne, qui est celui du fondateur ou ancien possesseur du lieu . On pense que c’est le nom qu’il faut reconnaître dans (buovo)bœuf de Salleboeuf.

La commune comptait quatre forteresses ou ”Mottes Féodales“, bien antérieures à l’occupation anglaise : ce sont les châteaux de “RETORET”, des “MANDINS”, des “MOUSSES” et “de la TOUR”.

Les trois premiers n’ont pas eu de construction en pierre. Le quatrième était un château du XIe siècle, situé sur un des points culminants de la commune, au Nord-Est du bourg actuel.

Ce château a été abattu puis reconstruit en 1313. Il fut, au Moyen Age, le manoir des Seigneurs de SALLEBOEUF. En 1336, il  fut ruiné de fond en combles. Devenu inhabitable, il fut délaissé par ses propriétaires. On y a souvent, depuis, déterré des débris d’armes, de cuirasses et, notamment, un chandelier du XIIIe siècle aux armes des Chevaliers de l’Ordre de Malte.

Un autre château, celui de la SALLE, beaucoup plus modeste, s’élevait alors sur un éperon rocheux au nord du village actuel. Ce manoir était la propriété d’un sire BUOVO, mais n’avait vraiment rien d’une forteresse. C’était plutôt une belle maison de campagne. Néanmoins, son influence fut importante pour le village, puisque le nom du propriétaire, associé au nom du lieu, devint SALABOVE, puis SALLEBOEUF.

L’église Sainte-Marie de SalleboeufL'église Ste Marie de Salleboeuf vous salue. — Secteur pastoral de Tresses - Diocèse de Bordeaux

est récente, elle a été construite à la fin du XIXe siècle pour remplacer l’ancienne église qui était située au coeur du village, sur la place Carnot; elle est dédiée à Notre-Dame et date de 1860.

On notera l’orientation particulière de l’église : le choeur n’est pas orienté vers l’Est, vers le soleil levant, symbole de la Résurrection, comme la plupart des églises chrétiennes mais vers le Nord, sans doute pour une meilleure disposition par rapport à la route.

Le plan de l’église est le plan typique en forme de croix latine, les deux bras de la croix formant le transept. Elle est de style néo-gothique à voûte sur croisée d’ogives.

On peut y admirer aujourd’hui les 4 lustres dont 2 offerts par Gustave Eiffel à l’occasion du mariage de son fils Edouard.

Une chapelle récupérée lors de la démolition de l’église “Saint-Cyr et Sainte-Juliette” à été réimplantée dans l’église actuelle.

C’est Marc qui, ce jour, guide et commente les points particuliers de cette randonnée. Les 17 randonneurs sont répartis en 3 mini- groupes .

Passons de suite à l’arrière du Château Pey La Tour

Le Château La Tour date du XIIIe siècle ; la culture de la vigne du XVIIIe. Devenu Château Pey La Tour, il fut acheté par la famille Dourthe en 1990.

Les Secrets du Château Pey La Tour accueillent dans un environnement privilégié, préservé et authentique :  30 chambres confortables sont à disposition ainsi que 8 salles de réceptions, pour des évènements jusqu’à 100 personnes. Les Secrets Château Pey La Tour, c’est aussi un restaurant de caractère où il fait bon déguster des produits frais de saison d’une cuisine fine et raffinée.

Nous arpentons le long des  vignes.

Pour arriver à un plan d’eau que nous contournonsUne petite montée à travers bois, quelques centaines de mètres sur le bitume, et nous redescendons toujours à travers bois vers une source.

Passons au lieu-dit Les Pontons

Arrivons au Château Vaquey. Il faut improviser pour ouvrir le portail.

Cette propriété de 200 ha située sur le point culminant fut l’ancienne demeure de Gustave Eiffel (surnommé le « Magicien du fer »). Il y resta de nombreuses années pendant la construction des ponts métalliques de la région. A l’origine une belle chartreuse  à laquelle il a ajouté un étage supplémentaire sur la partie centrale surmonté d’un belvédère où il a installé ses bureaux de dessin.

La résidence est entourée d’un parc constitué de pelouses et d’allées ombragées. Le Château Vaquey est maintenant une résidence pour personnes agées à taille humaine (50 places) qui propose des espaces de vie spacieux et lumineux à la décoration élégante et soignée.

Château Milon. Le Château Milon se trouve à proximité  du château Vaquey. Gustave Eiffel, en grand amateur de vin, ne s’était pas trompé sur le terroir exceptionnel de cette propriété, une qualité qui classe le Château Milon à part dans les exploitations de son appellation. Cette exploitation possède un vignoble de 13 hectares de vignes.

Le Château Labatut (beaucoup moins élégant) est ancré sur un haut plateau argilo-calcaire d’une quarantaine d’hectares. Le Château Lalande Labatut produit des Bordeaux et Bordeaux supérieurs haut de gamme de très grand caractère. Le vignoble de 44 hectares est constitué de deux domaines, Château Les Gauthiers à Bonnetan et Château Lalande Labatut à Salleboeuf. Il produit chaque année 260 000 bouteilles de vin rouge AOC Bordeaux, 20 000 bouteilles de vin rosé AOC Bordeaux et 17 000 bouteilles de vin blanc sec AOC Entre-Deux-Mers.

Nous nous arrêtons sur la Place Carnot : Une prospection réalisée en 2002 sur le site de cette place a révélé une nécropole mérovingienne témoignant d’une occupation du site au cours des VIIe et  VIIIe siècles. Cette nécropole était constituée de neuf sarcophages dont 3 monolithes. On peut aussi trouver sur les murs de la maison qui borde la place quelques traces de l’ancienne église qui elle était dédiée à Saint-Cyr et Sainte- Juliette.

C’est vers 17h que le groupe se quitte. Prochaine randonnée maintenant en 2021.

 

Animateur organisateur : Marc Baron

Animateurs de groupe : Marc, Fred, Denis

Serre-files : Corinne, Jacques, Serge

Reconnaissance : Marc, Fred, Denis,

Photos : Fred

Distance : 10 km – Dénivelé  150 m

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Garcia Norbert et  Josiane

Noël  Françoise et Fred

Noureau Francette

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Trace du circuit:

17/2020 Saint Jean de Blaignac

 

Saint-Jean de Blaignac est un village d’environ 500 habitants. L’église Saint-Jean, ancienne priorale relevant de l’abbaye de La Sauve Majeure date du XIIème siècle. Elle a été fortifiée au XIVème et rehaussée d’un clocher à peigne. Son classement au titre des monuments historiques date de 2002. La Croix du cimetière date du XIX ème et est classée quant à elle depuis 2001.

Par un temps très agréable, 26 randonneurs se retrouvent sur le parking en bordure de Dordogne. Certains ont même les bras dégarnis.

Naturellement avant de démarrer nous faisons 3 groupes. Denis, Jacques, Fred aux avants, Marc et Bernard en sécurité arrière. Denis lance les troupes à 14h.10.

Nous apercevons de suite Le château de Courtebotte, ancienne propriété de la famille Touzet de Vivier. Ce château est sûrement avec l’église l’un des lieux les plus importants de la commune. Aujourd’hui réhabilité en chambres d’hôtes, on y propose une vue imprenable sur la Dordogne.

Vue sur la Dordogne

Un autre Château moins entretenu en bordure de Dordogne.

Pas très loin une maison de caractère.

Nous longeons le fleuve sur quelques centaines de mètres pour obliquer ensuite direction Guillermat en suivant un cours d’eau d’irrigation.

Plus loin une petite pose boisson pour les 3 groupes.

Le groupe 2 en tête au niveau du biberonnage.

Les chevaux nous font la fête.Au loin on peut deviner sur la colline le lieu-dit Verdelle … et oui il faudra monter cette première côte sérieuse.

Au lieu-dit Clos Verdelle comme décoration dans le jardin…. une tombe….

Par un chemin à travers vignes prenons la direction du lieu-dit Bardassoule.

Au loin un château se dressent sur la colline le Château de Pertignas ainsi que l’église  Saint-Vincent.

L’église Saint-Vincent a conservé des traces d’un bâtiment du XIème siècle. La plus grande partie de l’édifice date des VIIème et XIIème siècles avec des décors sculptés romans. Les siècles suivants ont laissé leur empreinte avec la fortification du clocher et un bas-côté gothique du XVIème siècle ainsi que des chapelles du XVIIIème siècle.

Plus à droite se dresse l’arrière imposant d’un autre château que nous retrouverons plus tard.

Arrivons à Saint-Vincent de Pertignas. Une petite pose boisson et une photo de la mairie, cela fait toujours plaisir à nos 3 élus municipaux.Arrivons sur le devant du Château dont nous avions vu l’imposant arrière.

Le Château Isabeau de Nogent est d’époque médiévale ; il est aujourd’hui entièrement restauré et transformé en hôtel de luxe. Il est dédié à la privatisation pour l’organisation des mariages, réceptions, baptêmes, séminaires : 12 chambres sont réparties à l’étage et dans les bâtiments annexes avec vue sur les vignes.

Fidèle à sa tradition viticole, le Château peut proposer de nombreuses activités autour du vin : visites des chais,  dégustations, initiation à la dégustation, conférences sur le vignoble, sur la vinification…

Ses Chais..

Le goûter est sorti du sac près du château. Nous reprenons le chemin en contournant  le long des vignes. Direction le grand Donnezac.

En cours de route quelques petits cèpes. Ah Marie-Claude…

Longeons sur quelques centaines de mètres la départementale mais par un très large chemin en bordure de vigne jusqu’au niveau du Château Bonhoste.

Propriété familiale depuis 5 générations, qui perpétue les traditions du vignoble.

Avec 66 hectares de vignes partagés entre deux Châteaux et 5 appellations (Bordeaux, Bordeaux Supérieur, Crémant de Bordeaux, Bergerac, Côtes de Bergerac), la famille Fournier propose une large gamme de vins !

Le Château de Bonhoste, certifié Haute Valeur Environnementale depuis 2013, conduit sa vigne en mode de culture traditionnelle et en lutte raisonnée. En effet, ils sélectionnent et maîtrisent les rendements, optimisant la maturité afin de préserver l’authenticité durant l’élevage et développer une meilleure expression des qualités du terroir.

Traversons la départementale direction les lieux-dits Baron (encore lui ) et Pinard (il en faut).

Une belle maison ancienne rénovée.

Encore notre Baron…. Il est partout.

Passons au lieu-dit Lieutenant Pinard.

Toujours de belles maisons en pierre blonde.

Un peu plus moderne celle-là mais toujours de très belles pierres.

Moutic et son ChâteauST JEAN DE BLAIGNAC 021

Au XVIIIe siècle, le hameau de Moutic se compose probablement d’un seul domaine comprenant le château, la maison du régisseur, les fours à pain, mais également les écuries, le pigeonnier et les dépendances. Dans celles-ci sont logés plus tard les colons, c’est-à-dire les ouvriers attachés à la propriété viticole. Par la suite le château est occupé par un notaire royal. Au milieu du XIXe siècle, il est probablement détruit puis rebâti au goût du jour et mis en valeur à l’extérieur par un jardin à terrasses qui s’ouvre sur la vallée. Le lierre décore aujourd’hui la façade du rez-de-chaussée conférant à l’ensemble un charme certain.

Il ne nous reste plus qu’à finir la randonnée par une descente bien prononcée sur le bitume pour rejoindre le parking. Il fait toujours aussi beau ; nous nous séparons.

Animateur : Denis THOMAS

Reconnaissance : Denis, Fred

Photos : Fred

Distance : 11,800 km – Dénivelé  104 m

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Champarnaud Valérie

Clee Marie-France

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Garcia Josiane et Norbert

Guillerme Marie-Claude

Lagorce Pierre

Lafaye Sylvie

Lataste Martine

Martin Marie-José

Michel Jean-Marie

Noël Françoise et Fred

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

 

Carte IGN 1/25000

Carte IGN St Jean de Blaignac 12km

IBP = 35 HKG St Jean de Blaignac 11 km

 

16/2020 SAINT-MACAIRE

La commune de Saint-Macaire se situe sur la rive droite de la Garonne au niveau où l’effet des marées s’estompe, à environ 47 km au sud-est de Bordeaux. 

Le territoire communal ne couvre que 179 hectares constitués principalement de vignobles, de champs et de bois. Un peu plus de 2000 Macariens.

La ville est érigée sur un promontoire rocheux qui domine la plaine alluviale. Elle  est constituée de 2 entités : la ville ancienne côté Garonne et la ville neuve qui est plus au Nord. Elle forme une agglomération de communes avec Saint-Maixant et Verdelais.

La ville ancienne est de forme semi-hémisphérique, concentrée autour de l’église Saint-Sauveur, de l’ancien prieuré et de l’emplacement de l’ancien château-fort (aujourd’hui détruit). Entourée de remparts, la ville est encadrée par deux faubourgs apparus au Moyen Age et eux-mêmes protégés par des murailles : le faubourg du Thuron, à l’est et Rendesse, à l’ouest.

Saint-Macaire était une ville riche grâce au commerce. Après la mise à sac des établissements religieux par les huguenots et le démantèlement du château au sortir de la Fronde, c’est au tour de la Garonne de jouer des tours aux Macariens car elle s’éloigne des remparts. Le port est donc déplacé en 1658. Du coup, les marchands quittent la ville pour Bordeaux.

Nous avons rendez-vous sur le parking extérieur aux pieds des remparts de la ville fortifiée. 

Le matin une visite guidée du village de Saint-Macaire est organisée : 23 personnes y participent avec masque. Serge tout d’abord salue et présente quelques nouvelles arrivées.

les Remparts du XIIIe siècle, à l’origine baignés par la Garonne jusqu’au milieu du XVIIe siècle. Lors des inondations, le fleuve vient régulièrement les saluer. La prospérité commerçante est à l’origine de la construction de la première enceinte fortifiée de Saint-Macaire.

Les grottes, anciennes carrières de pierre : l’extraction des pierres a permis de construire les maisons et bâtiments de la cité mais également le Pont de Pierre et le Théâtre de Bordeaux. En 1830, 1200 ouvriers y travaillaient.

De notre point de départ nous pouvons admirer la Maison de Tardes

Cette maison forte médiévale date du XIIIe siècle et comporte 5 niveaux. Les embellissements de la renaissance la transforment en hôtel particulier. Les 2 temps de construction témoignent des époques de prospérité de la cité avant et après la guerre de 100 ans.

Nous longeons sur quelques centaines de mètres la Garonne et prenons le chemin Tivoli qui nous mènera à l’entrée de la ville du côté Thuron.

Tout d’abord s’offre à nous un grand lavoir édifié au XIXe siècle, alimenté par 2 sources et se situant près d’une fontaine voutée.

Passons la porte Thuron 

La porte Thuron précédée d’une barbacane est un ensemble défensif de la fin du XIVe siècle. Il contrôlait la liaison entre le premier port et la place Mercadiou.

Direction la place Mercadiou ou « place du marché ».

Sous forme de bastide médiévale, elle est bordée d’arcades en pierres blondes et de très belles maisons, symbole de la puissance des marchands.

Le relais de poste Henri IV place Mercadiou

Avec sa fausse façade en rez- de- chausséeSaint-Macaire 33 Relais Henri IV 01.jpg

Cet édifice entièrement construit en pierre de taille possède une cour intérieure, lieu privilégié d’échanges commerciaux. En fond de cour les écuries rappellent que le lieu habitait un ancien relais de poste.

Arrivée sur l’arrière de l’église Saint-Sauveur près du prieuré et de son aile de 9 arcades.L’église priorale Saint-Sauveur construite en plusieurs campagnes dès le XIIe siècle possède un porche dont le tympan présente des scènes sculptées.

Par la rue du Canton…..

découvrons la Porte de Benauge qui constitue l’accès principal de la ville. Couronnée de puissants mâchicoulis elle est accolée au premier Hôtel de Ville construit à cette époque.

Passons à  l’extérieur de la ville pour apercevoir « Le Théâtre de la Nature »

Dans un tout autre style de construction ce kiosque est le reflet des activités musicales de la ville de Saint Macaire. Conçu pour des représentations d’opéras lors des fêtes annuelles de la Saint-Jean. A noter qu’en 1913 la ville était la 2ème ville de France pour le nombre de musiciens par rapport au nombre d’habitants.

La porte Rendesse

La porte Rendesse fait partie de la 2ème enceinte de la ville ; elle défendait le faubourg résidentiel à l’ouest qui devint par la suite le quartier du second port fluvial.

Un peu plus loin…

Retournons vers l’église Saint-Sauveur pour redescendre ensuite au parking.Après cette visite le repas est tiré du sac près du parking en bas des remparts.

 

Une dizaine de randonneurs nous rejoignent pour l’après-midi. Nous formerons 3 groupes avec distanciation des randonneurs. Denis, Fred et Serge guideront les groupes et Jacques, Marc et Corinne en assureront la sécurité arrière.

A 14 h prenons le Chemin des palus en direction de la Garonne que nous longeons sur quelques kilomètres. Passons au Lieu-dit Carreyre et ses cultures de plans de vignes bien arrosés.

On passe dans plusieurs hêtraies…

et arrivons près du Port des Arrocs pour la pose boisson.

Un chemin bitumeux nous amène ensuite à Saint-Pierre d’Aurillac que nous allons traverser. L’église de Saint-Pierre d’Aurillac a été reconstruite au XIXe siècle. Seule l’abside reste romane avec une corniche supportée de corbeaux ouvragés. 

Passons la ligne de chemin de fer et prenons des chemins ruraux direction le Pian sur Garonne, village d’environ un millier d’habitants. Quelques montées à travers vignes nous amènent vers le point haut et l’église Notre-Dame.

Cette église de style néo-roman possède un imposant clocher. Quelques centaines de mètres le long de la route principale et direction ensuite vers le Pas d’Ouens.

Arrivons à la Table d’orientation où un très beau panorama s’offre à nous.

Continuons vers le lieu-dit Bel Air qui est un endroit que nous connaissons bien pour y être déjà passés lors d’une randonnée sur Verdelais.

Au loin d’ailleurs nous apercevons le domaine de Verdelais et ses 2 moulins.

Un dernier petit raidillon pour arriver à La Croix et son superbe point de vue, ceci à quelques encablures de Malagar.Il ne nous reste plus maintenant que de la descente pour retourner vers Saint-Macaire et notre point de parking.

Animateur organisateur : Serge BOUET

Animateurs de groupe : Denis, Fred , Serge

Reconnaissance : Serge, Marc, Denis, Fred

Photos : Olivier, Fred

Distance : 11,960 km – Dénivelé  126 m

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

 Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cartulat Jean-Michel

Cayre Maria et Michel

Clee Marie-France

Couprie Marie-Claude

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Flandé Hélène et Jacques

Guillerme Marie-Claude

Lafaye Sylvie

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie-José

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

Carte IGN 1/25000

15/2020 TALMONT

Talmont s’étend sur 4 km2  où vivent une centaine de Talmonais(es).
Ancienne bastide fondée en 1284 par le roi d’Angleterre et duc d’Aquitaine Édouard 1er.
Les rues du bourg sont bordées de maisons anciennes volontairement basses afin de limiter la prise au vent, couvertes de tuiles roses et presque toutes blanchies à la chaux.

Le point de rendez-vous est sur le parking du Port des Monards. Nous sommes 17  pour passer la journée ensemble. C’est Denis qui pilotera. Il salue le retour de l’ami Norbert et accueille nos 3 nouveaux : Sylvie, Martine et Olivier.

Le port des Monards est un port de pêche, de plaisance et de commerce, partagé entre les communes de Barzan et de Chenac Saint-Seurin d’Uset. Établi au point de confluence de deux modestes cours d’eau tributaires de l’estuaire de la Gironde, le Rambaud et la Rivière de Chauvignac, qui en se rejoignant forment le chenal des Monards ; il a une capacité de 80 places.

« Monard » est un mot saintongeais désignant un cours d’eau alimentant un moulin.

Une entreprise d’extraction et de vente de sable et de granulats y est basée depuis 1950. Il s’agit de la dernière des environs.

Jusqu’à fin des années 1970, on y  pêche l’esturgeon «poisson-roi» qui donnait un caviar très estimé. La surpêche a eu raison de cette activité. De nos jours, le port des Monards est un havre discret, prisé des plaisanciers désireux de s’éloigner des centres urbains de la côte de Beauté et en quête d’espaces préservés. Ses pontons de bois, typiques des ports estuairiens des environs, sont aménagés au débouché des deux cours d’eau.

Nous partons vers la rue du Port en direction de Barzan et continuons jusqu’à l’église. Cet édifice fut construit entre 1875 et 1879, afin de remplacer une ancienne église datant du XIIe siècle, déjà remaniée au XVIIe siècle, dont le conseil municipal vota la démolition pour cause de vétusté. Lors de la démolition de l’édifice, des sarcophages furent mis au jour. Datant du Moyen Âge, ils révélèrent deux lames de poignard en fer et des fragments de vases, mêlés aux ossements.

Cet édifice de style néo-gothique, reprenant un plan en forme de croix latine, est constitué d’une nef unique de trois travées, entièrement voûtée d’ogives, éclairée par six larges baies ogivales ornées de vitraux.  Six contreforts en pierre de taille épaulent la nef.

Le clocher-porche, à trois niveaux, est surmonté d’une flèche de pierre de forme octogonale dominant le bourg.

La commune de Barzan abrite le site Gallo-Romain, site archéologique majeur, faisant l’objet de fouilles structurées depuis 1994. Les photographies aériennes et les premières fouilles archéologiques ont révélé la présence d’une ville portuaire gallo-romaine de grande importance (temple gallo-romain monumental, thermes, forum, théâtre…). D’autres vestiges font l’objet de fouilles annuelles. Nous en prenons la direction.

Une petite pause boisson bien méritée en cours de route.

Nous quittons la route direction La pyramide de la Garde.
Au loin cette tour massive, bâtie en pierre de taille sur un socle et une colonne qui le surmonte a la forme d’un tronc de pyramide ; au sommet elle supporte une girouette. Elle servait de balise aux marins qui passaient en Gironde, c’est dire que le sommet de la colline domine entièrement le fleuve et les environs.
Barzan - pyramide de La Garde
Pour aboutir au Moulin du Fâ et au Site Gallo-Romain de la Côte de Saintonge.
Nous faisons le tour du sanctuaire..temple
le temple en Restitution 3 D
Visite par le groupe des thermes gallo-romains
Chemin faisant, plus loin nous arrivons à des lavoirs un peu spéciaux : au lieu-dit « le Caillaud » se trouve ce remarquable ensemble d’une fontaine sur puits et de 7 « timbres ». Pour les uns ce sont des bacs à laver, pour les autres des abreuvoirs.

Le tout est posé sur une dalle qui paraît cimentée avec rebord. On peut penser que l’eau était tirée dans des seaux puis vidée dans les bacs car il n’y a aucune autre arrivée. L’évacuation devait se faire dans un fossé.
Cette fontaine fut très longtemps le seul point d’eau potable de la commune.

Le bord des bacs de lavages est échancré à l’angle ou sur le coté afin de mieux se pencher pour laver…… enfin on s’y ressource.

Maintenant c’est le manoir de La Fond, construit en 1905 avec les restes d’un ancien château, c’est un ensemble assez composite mais fort original. Le corps de bâtiment principal est rectangulaire et flanqué sur une aile d’une tour cylindrique et sur l’autre d’un pavillon rectangulaire. L’arrière de la demeure est doté d’une tourelle. L’ensemble est entouré d’un beau jardin protégé par un muret de pierre donnant à la propriété un caractère très particulier d’où se dégage un charme indéniable.

Nous suivons la route de l’estuaire pour rejoindre le Port de Talmont-sur-Gironde

que nous contournons  pour aboutir à l’entrée du village, lieu touristique que nous visiterons plus tard. Mais pensons tout d’abord au pique-nique. Certains recherchent l’ombre, les plus courageux le soleil.

L’après-midi une petite visite s’impose dans les ruelles de Talmont, lieu très touristique….

Plus loin, édifiée sur une falaise surplombant l’estuaire L’EGLISE SAINTE-RADEGONDE du XIe siècle et de style gothique.
A l’initiative des Bénédictins, ils auraient fait du sanctuaire une étape sur l’un des chemins de St-Jacques de Compostelle. Édouard  1er a fortifié une partie de l’église (un chemin de ronde est édifié au dessus de l’abside). Une violente tempête cause l’effondrement d’une partie de la falaise servant d’assise à  l’édifice. Les 2 premières travées de la nef et une partie de la crypte sont emportées par les flots. L’église est classée monument historique.

Elle doit son sauvetage à ANDRÉ MALRAUX qui déclara un jour devant une affiche : « VOYEZ CES PIERRES SUBLIMES, INDIFFÉRENTES AUX RUMEURS DES ÂGES »

Nous recontournons le port pour prendre la direction des falaises puis le chemin qui longe la D145 pour se diriger vers Barzan-plage.

Un groupe heureux…

Passons près de la corniche et remontons près d’un lotissement. Passons aux bâtiments de la ferme de la Roche Batard dont les bâtiments datent de 1700.

Longeons les vignes et rejoignons le chemin de la falaise et avons une nouvelle vue sur des carrelets.

Le chemin vire à gauche en s’éloignant de la falaise et rejoint la route que nous avons quittée précédemment.

Nous rejoignons le Port des Monards et notre point de départ pour faire une petite terrasse-pression avant de repartir.

Animateur : Denis THOMAS

Commentaires : Marc

Photos : Sylvie, Fred

Distance : 13 km ++++- Dénivelé  114 m

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Cotation IBP Talmont Effort 2 Technicité 1 Risque 1

LES PARTICIPANTS

BARON Brigitte et Marc

BONNEAU Martine et Olivier

BOUET Francine et Serge

BUISSERET Sylvie

CANTILLAC Marie-Claude et Jacques

DESMOND Alexandra

GARCIA Josiane et Norbert

GUILLERME Marie-Claude

NOEL Françoise et Fred

THOMAS Joëlle et Denis

14/2020 MARTRES


Le village de Martres appartient à l’arrondissement de Langon et au canton de Targon. La commune s’étend sur 3 km² et compte 204 habitants. Les ruisseaux de Gourmeron et l’Engranne traversent la commune.

C’est sur le parking de l’église que nous nous sommes donnés rendez-vous : 16 habitués accueillent Sylvie et Marie-Claude pour un galop d’essai.

L’église Saint-Pierre qui date du milieu du XVIIe siècle, se présente sous la forme d’un édifice à nef unique, terminée  par un choeur carré et une abside semi-circulaire. L’église est éclairée par une minuscule fenêtre. Le clocher-mur est percé de deux baies. L’ensemble de l’édifice est fait en pierres de taille. L’église possède une série de contreforts plats. Les seuls remaniements extérieurs datent du XVIe siècle et sont liés aux guerres de religion. MARTRES : Eglise Saint-Pierre

De suite Le Château de la Commanderie

Le château fût d’abord propriété de la famille de Crépelaine, puis de celle de De Carles. Il est en partie détruit pendant la guerre de Cent Ans puis remanié au XVe siècle. La demeure est reconstruite au XVIIe siècle et restaurée au siècle suivant. L’édifice se constitue d’un corps de logis rectangulaire, encadré de deux tours. Le bâtiment est en moellons et présente des ouvertures de dimensions réduites. Il est placé sur une terrasse à laquelle on accède par un bel escalier, ce qui met en valeur la demeure.

Le groupe passe sur le ruisseau l’Engranne 
Et sa retenue…
MARTRES : L'Engranne
Le ruisseau qui traverse la commune sur 1km500 est situé en contrebas du moulin de Maupas construit au XIIe et remanié au XVIe siècle.
 
MARTRES : Moulin de Maupas
 
Direction le lieu-dit Guillebot
puis…

Le village de SAINT-GENIS-DU-BOIS : la population de la commune de Saint-Genis-du-Bois est composée de 91 habitants (appelés Saint-Génissois, Saint-Génissoises) vivant sur une superficie de 2,33 km² : 47 logements sur la commune.

Son église Saint-Jean de style roman date du XIIe siècle. De belles habitations de caractère

 

Et un joli lavoir….

Sa petite mairie…

Passons à proximité de l’ex-propriété de Jean-Michel et Marie qui faisaient partie du  club il y a quelques années.

Arrivons à proximité du Château Barit

Le groupe à l’écoute des explications de  Corinne.

Edifice construit au XIXe siècle, cette demeure est du style néo-classique, dotée d’un étage et de combles. Le corps du logis central rectangulaire est encadré de 2 pavillons. Le château est aussi une exploitation agricole axée sur la culture du maïs et du blé.

En cours de route passons le ruisseau des Près puis de nouveau l’Engranne

Arrivée vers le village de COIRAC qui s’étend sur 5,8 km² et compte 204 coiracais (es). Ce village s’était implanté à l’origine sur les ruines d’une villa gallo-romaine. Un prieuré existait au XIe siècle puis fut donné à l’abbaye de La sauve Majeure.

 L’église Saint-Martin présente une nef et un portail d’architecture romane, elle est surmontée d’un clocher de style néogothique construit en 1875.

Dans le cimetière, devant la façade de l’église se trouve une croix en pierre. Le mot Procession, deux mots indéchiffrables et la date 1897 y sont gravés. Il s’agit assurément de ce qu’on appelle une croix de mission.

L’édifice est inscrit en totalité au titre des monuments historiques par arrêté du 10 décembre 1925.

Passons la piste cyclable et retrouvons une ancienne gare transformée en maison d’habitation.

Arrivée au village de SAINT-BRICE :  322 habitants au 1er janvier 2019 pour une superficie de 576 hectares.

Cette superficie est composée en majorité de vignes (environ 350 hectares), de terres labourables et prairies (environ 198 hectares) et 28 hectares de bois.

Son église St-Brice possède une porte romane et un clocher octogonal (17m de haut) de la fin du XIVe siècle. Elle est percée de meurtrières sur cinq faces, la base rectangulaire est soutenue par d’imposants contreforts. De nombreux impacts de mousquets témoignent de la violence des guerres de religion. 

Photo de l'Église Saint-Brice

La rue du moulin de La Garosse
Poursuivons notre chemin entre vignes et bois jusqu’au moulin de Saquet dont il ne subsiste plus que quelques pierres sur une butte.
Il est environ midi et c’est la fin de notre randonnée…. Bravo Corinne
Rendez-vous est donné pour la prochaine randonnée à Talmont le 20 septembre.
 
 
 

 

MARTRES cotation

Distance : 12 km – Dénivelé  57 m

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

Animateur : Villar Corinne

Reconnaissance : Corinne

Photos : Fred + internet

Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Lagorce Pierre

Martin Marie-jo

Noël Françoise et Jean

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Sylvie et Marie-Claude