28/2021 RIONS

Rions
Bâti sur une terrasse dominant la Garonne, Rions petite commune de moins de 300 habitants, remonte à l’époque gallo-romaine. Son développement date surtout du Moyen Age dont elle conserve de nombreux monuments et qui en font sa fierté. Les puissants remparts, la porte du Lhyan, les tours Despujols et du Guet, puis la citadelle, dont le donjon domine l’ancien port et la plaine de la Garonne, sont les principaux vestiges. A l’intérieur de ce périmètre, on découvre l’église Saint-Seurin, avec son chevet roman, l’ancienne maison des marchands, la halle aux pois du XVIIIe siècle. De vieilles maisons bordent les rues comme la maison Bruhat ou le clos des Remparts.
L’église Saint-Seurin

L’édifice, construit à l’origine au XIIe siècle en style roman, a été agrandi par des bas-côtés et a vu sa nef rebâtie au XIVe siècle en style gothique ; au XIXe il a été agrandi sur le flanc nord et un clocher de néo-classique lui a été ajouté ; il est classé au titre des monuments historiques par arrêté du 1er

Notre randonnée : c’est Laurence et Jean-Luc qui ont concocté ce tracé qu’ils vont maintenant piloter. Nous ne sommes que 15 au départ …. et oui le temps est ce jour plus que maussade.

C’est parti ….. en contournant le village…. Quelques photos de tours.

Une ronde 

Une carrée 

Et des remparts.

Au lieu-dit La grange nous passons sur le ruisseau « le Nau » puis arrivons aux Lieux-dits La Mouliasse, et ensuite Baquey.

Traversons prudemment une route et contournons Le domaine Pascaud.  Celui-ci est avant tout un lieu de réception. L’ancien chai a été aménagé en salle de réception,   avec une vue sur le vignoble; la terrasse couverte se prête idéalement à l’organisation d’un cocktail, mais ce n’est pas pour aujourd’hui. Un superbe parc à l’arrière. Un gîte est proposé au sein de cette maison de maître avec 6 couchages.

Lieux-dits : Aux Biarrots, Pougnon, Terrefort, La Grave et Castaing

Traversons la commune de Pujols.

Passons près du Château Carsin. Cest un vignoble familial. Production de vins blancs frais, des vins rouges fruités, de rosés et des liquoreux à partir de 9 cépages différents. Le vignoble a une superficie de 20ha . Le Château Carsin produit du vin depuis le 19ème siècle. En 1990, il a été acheté par la famille Finlandaise Berglund. Le Château Carsin a commencé l’agriculture biologique en 2003 et en 2019, les vignobles ont été convertis en 100% bio.

Dans les vignes découvrons cette tour apparemment en rénovation.

On passe sur le ruisseau de la Bégonne. Attention Jean-Luc çà glisse… Derrière Laurence suit en surbrillance !!!

Derrière on suit tranquillement … mais prudemment.

Joëlle tête baissée … Elle assure !

Et Emmanuelle toujours avec les bâtons et tout sourire …

Arrivons au monastère de Broussey. Le monastère de Broussey abrite une communauté religieuse appartenant à la branche masculine du Carmel Thérésien. L’ordre du Carmel a ses origines en Terre Sainte au temps des Croisades. Il s’est répandu en Occident quand la Palestine fut reconquise par les Musulmans. Ordre tout d’abord masculin, il vît naître en Europe une branche féminine, les Carmélites, actuellement bien plus nombreuses et plus connues du grand public, au moins de nom.

Le couvent du Broussey demeure la maison-mère du Carmel masculin français. Les communautés de Carmes ne sont jamais composées de nombreux membres, à la différence des grandes abbayes bénédictines ou cisterciennes.

Le Carme a pour mission apostolique la promotion, chez les fidèles, d’une relation personnelle avec Dieu. A la bonne distance des agglomérations bruyantes, le Broussey offre un espace de verdure et de silence apprécié de ceux qui y passent. En outre, il dispose de quelques hectares de vignes confiés en fermage à un viticulteur compétent fournissant un blanc moelleux et un vin rouge, détenteurs, l’un et l’autre, d’une honorable appellation contrôlée.

Passons maintenant à travers des bosquets et sur des chemins boueux … facile pour certains avec les bâtons.

Un peu plus hasardeux pour Brigitte, mais elle va assurer.

Denis rêveur ? ou en pleine réflexion ?? mais prudent ferme la marche.

Arrivons au Château Jourdan.  Celui-ci s’élève sur les ruines d’un ancien prieuré bénédictin au sommet d’une colline. C’est là que nous allons faire la pause casse-croûte.

Sur notre droite à un croisement Le Château de Payre. Le domaine du Vic est la partie fondatrice du château de Payre depuis 1881. Ce domaine viticole familial se transmet de mère à fille depuis 5 générations. Le vignoble de Château du Payre se situe sur la commune de Cardan sur l’appellation Cadillac Côtes de Bordeaux : 40 hectares de vignes.

En fin de parcours dans Rions par l’arrière du village… le Château Salins.

                         Rions visorando

LES PARTICIPANTS

Baron Brigitte et Marc

Bouet Serge

Champarnaud Valérie

Deblois Béatrice et Olivier

Duthil Jean-Luc

Marcandella Jean-Christophe

Noël Fred

Peere Laurence

Quérité Marie

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

28/2021 BLESIGNAC

BLESIGNAC est un petit village près de Créon d’environ 320 habitants appelés les Blésignacais et les Blésignacaises. La commune située à 61 mètres d’altitude s’étend sur 2,5 km². Le ruisseau d’Audigey est le principal cours d’eau qui traverse la commune de Blésignac.
Cette commune fait partie de la Communauté de Communes du Créonnais.

L’histoire de la commune de Blésignac est connue en partie à partir du XIIe siècle. En 1196 un procès survient entre les moines de l’Abbaye de La Sauve-Majeure et les chevaliers du Temple de la Commanderie de Montarouch. Les deux seigneuries ne disposaient pas dans leur voisinage immédiat d’un cours d’eau suffisamment puissant pour alimenter un moulin à eau. Or, à cette époque, cette installation hydraulique était plus que nécessaire dans l’économie de ces deux établissements. Dès leur installation les moines de l’Abbaye de La Sauve-Majeure privilégièrent le ruisseau de la Canaudonne. Les chevaliers du Temple de la Commanderie de Montarouch en firent de même et plus précisément se concentrèrent sur un tronçon de la Canaudonne, le ruisseau de Trousse-Paille.

Ce ruisseau au XIIe siècle forme déjà la limite Nord-Ouest de Blésignac.

Ainsi, la commune, sous la tutelle de la Commanderie de Montarouch, se vit dotée de quatre Moulins à eau : le Moulin de Trousse-Paille, le Moulin de Rafarin, le Moulin de Ramafort et le Moulin du Temple. Il subsiste peu de ces édifices, à l’exception du Moulin du Temple en cours de restauration.

D’autres édifices sur la commune de Blésignac datent de l’époque des Templiers comme l’Eglise ou la Chapelle surplombant le Moulin du Temple.

L’église Saint Roch :

Cette église bâtie au XIIe siècle par les Templiers a connu des remaniements aux XVIe et XIXe siècles. Elle est connue sous le nom de Saint-Vivien, puis de Saint-Vincent et enfin de Saint-Roch. La statue du Saint patron est présente à l’entrée de la nef à droite. La nef est d’origine romane et a été fortement remaniée à la fin du XIXe siècle. A cette époque elle fût voûtée et dotée d’ouvertures supplémentaires. D’étroites fenêtres sur la façade Sud ont été remplacées par des ouvertures plus importantes ornées de vitraux. Elle s’achève sur un chœur décoré de peintures murales représentant colonnes et draperies. Elle a été dotée d’un collatéral nord voûté en étoiles, avec une clef d’ogive particulière.

La Maison forte de La Font : Cette maison forte est dite aussi Maison de la Croix ou Maison du Juge. Elle est mentionnée dans un acte de 1564. Elle prend forme en un grand logis rectangulaire de trois niveaux percés de fenêtres à meneaux et croisillons. Ce logis est desservi par un escalier à vis logé dans une tour semi-circulaire plaqué sur le grand côté sud. La partie supérieure est percée de boulins pour des pigeons. Des traces de fortifications se remarquent, comme une échauguette d’angle. A l’arrière de l’édifice un pigeonnier circulaire du XVIIe ou  XVIIIe siècle.

Le Château de Blésignac : Le premier château de Blésignac est construit au XIIIe siècle. Il est remanié à plusieurs reprises jusqu’à devenir le bâtiment actuel, qui date essentiellement de la fin du XVIIIe siècle. Le premier château est une ancienne forteresse érigée  en 1278. La demeure est reconstruite aux XVe et XVIe siècles, puis en grande partie détruite et restaurée au XVIIe siècle.

La randonnée en elle-même: Les 2 parkings de Blésignac suffisent à peine pour nous accueillir : en effet 33 randonneurs (la plus grosse participation de l’année) se retrouvent au départ sur le parking de la mairie de Blésignac. C’est Corinne qui est en charge de cette randonnée.Quelques mots de bienvenue et sur Blésignac et quelques consignes avant le départ.

Nous nous dirigeons tout d’abord sur quelques centaines de mètres de bitume vers  le lieu-dit Landrau. Traversons le hameau et poursuivons un chemin à travers vignes. Après un bosquet , atteignons un chemin herbeux.

Poursuivons entre les vignes puis longeons une haie sauvage de bosquets.

Notre guide Corinne plein de dynamisme.Derrière ils ont l’air faciles…A fond pour Marie-claude et Danielle.Des couleurs flamboyantes..Un pas sérieux et appliqué pour Jacques.On regarde bien où on marche.Marc cherche t-il  son souffle ??Norbert et Bernard très souriants.

Une très belle maison dans la nature. On se croirait en Dordogne.Peu de randonneurs ont vu dans leur dos ce moulin en bordure de bosquet.Passons au dessus du ruisseau d’Audiguey.

Au lieu-dit Montestruc, nous quittons la route pour rejoindre le lieu-dit Mondon. Prenons un chemin étroit. Passons le pont qui passe au-dessus du ruisseau de Faugère et continue jusqu’au lieu-dit  Pegneyre.

Passons dans la commune de Saint Léon et faisons un détour pour aller voir son église Saint Barthélémy.Photo à Saint-Léon (33670) : L'église romane de Saint Léon (IMH). - Saint-Léon, 232903 Communes.com

Eglise du XVIe et XVIIIe siècle avec un clocher pignon percé d’arcades. Magnifique fenêtre gothique.

Ainsi que le Château de la Goëlane

Château d’esprit néo-gothique construit vers 1850. Un corps de logis de 3 niveaux et un étage de combles. Une tour circulaire avec mâchicoulis. Le château est au coeur d’une exploitation de 71 hectares de vignes (appellation Bordeaux Supérieur). Fait partie du patrimoine de « Castel ».

En reprenant notre chemin, nous apercevons sur notre gauche la très grande déchèterie et centre de valorisation des déchets.

Après un bosquet, passons le long des vignes jusqu’à un autre bois. Prenons un chemin empierré et continuons sur 1,3 km environ. C’est le moment de la pause casse-croûte.

Reprenons notre chemin et passons près d’une palombière.Après un courte descente, rejoignons la piste cyclable. Suivons celle-ci sans oublier que les cyclistes sont prioritaires et que les vélos sont silencieux …

Passons l’impressionnant tunnel et continuons sur la piste.

Passons devant le Château Neuf que nous pouvons admirer sur notre droite.

Corinne nous conte l’historique de ce Château.

Périodes de construction : 16e siècle, 17e siècle, puis 19e siècle

Des éléments protégés : Façades et toitures du bâtiment central avec ses deux tours rondes qui flanquent les dépendances ; grille du portail d’entrée Nord. Inscription par arrêté du 1er février 1988.

Poursuivons jusqu’au premier carrefour de routes.

Quittons la piste cyclable et prenons la route à droite. Après une centaine de mètres, bifurquons à gauche par la voie sans issue (Luc Sud). Continuons sur le chemin balisé et passons le petit ruisseau et rejoignons le lieu-dit du Moulin d’Audigey.

Au détour d’un chemin bien herbeux en descente.

 Continuons maintenant par le chemin carrossable. Denis retrouvent des amis.

Il est temps de rentrer, rejoignons le parking du départ.

Trace Blésignac.      

 

Animateur organisateur : VILLAR Corrine

Reconnaissance : Corinne

Distance :  10,2 km- Dénivelé  76m

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 2 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Bernard

Bouet Francine et Serge

Caillaud Christine, Pascal et Maëllys

Cantillac Marie-Claude

Cerdan Coraline

Couprie Marie-Claude

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Flandé Hélène et Jacques

Garcia Norbert

Gaudière Danielle

Maison Nicole et Patrick

Metreau Céline et Eric

Marcandella Jean-Christophe

Noël Françoise et Fred

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

1 couple pour essai

23/2021 WE EN DORDOGNE

 

WE EN DORDOGNE

Les premiers sont arrivés vendredi en fin de matinée ; il fait encore beau.

Et on commence par un joyeux pique-nique sur l’herbe. Le Président lève le verre.

En fin de repas, Bernard et ses excellents cannelés.

RANDONNEE DE FANLAC. Village de JACQUOU LE CROQUANT

Dans le roman d’Eugène Le ROY, Fanlac est le village où Jacquou le Croquant, orphelin errant dans la campagne a été recueilli. Jacquou le Croquant constitue le symbole de la révolte paysanne sous  la restauration.

Extrait de livre d’Eugène Le Roy

…Aussi , lorsque je fus sur la crête du haut du coteau rocailleux où est pinqué le  bourg de Fanlac, j’étais rendu et je m’assis à l’ombre de la vieille église pour me reposer.

Il me sembla en arrivant à cette hauteur que mes chagrins s’apaisaient. C’est qu’à mesure qu’on monte, l’esprit s’élève aussi ; on embrasse mieux l’ensemble des choses en ce bas monde où tant de misères sont semblables ….

https://fanlac.jimdofree.com/

Fanlac village.

La Croix des carrefours

La Borie ... boîte aux lettres.

Belle gouttière bien ouvragée …

Avant le départ de la randonnée ….

Mais oui, ça monte en Dordogne.Quelques explications sur la …    Stèle du Sablou

Le site mémoire du Sablou.Plan de la randonnée.  838_srt_pdf_pdf_FichRandoVV11-BOUCLE-DE-L-ORSINIE

comparaisonLa meilleure présentation de Fanlacfanlac-14940409

 

RANDONNEE DE SAINT-LEON SUR VEZERE

Départ de la randonnée du matin de la mairie de Peyzac Le Moustier.

Passage à la Roque Saint-Christophe

Les Bories

Le couple Présidentiel.

D’autres couples se forment.

A la côte de Jord.... Les parapentes prennent leur envol

Le Château de Saint-Léon

En bordure de Vézère

Repas à Saint-Léon sur Vézère.

Les consignes du Président avant le départ pour l’après-midi.

Retour sur Peyzak.

Les Gorges de la Vézère.

Trace de la randonnée de    saintleon

MONTIGNAC

Visite des monuments de Montignac sous les parapluies. Les commentaires sont faits par Emmanuelle et Jean-Christophe.

La statue d’Eugène Le Roy, écrivain français mort à Montignac en 1907 et qui a écrit le livre sur Jacquou le croquant.

Le repas de midi pris toutefois au sec sous l’abri du kiosque.

 

LES EYZIES

Il pleut aussi sur les Eyzies. Direction le Musée de la Préhistoire.

Visite du Musée de la Préhistoire.

En cours de visite rencontre avec l’homme de Cromagnon.

SARLAT

Les monuments historiques au centre de Sarlat.   Présentation par Marc

La Cathédrale Saint- Sacerdos

La maison du bourreau.

La lanterne des morts aussi appelé la Tour des Maures.

Et le dernier repas à Sarlat au Bistrot de l’octroi avant de repartir.

Diaporama Laurence     Cliquez sur une photo et ensuite défiler avec les flèches

Animateur : BOUET Serge

Participants:

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danielle et Bernard

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Couprie Marie-Claude

Croisille Françoise et Guy

Duthil Jean-Luc

Lacour Danielle

Lataste Martine

Marcandella Jean-Christophe

Michel Catherine et Jean-Marie

Noureau Francette

Peere Laurence

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

 

 

 

27/2021 VERDELAIS

Verdelais, sanctuaire dédié à la Vierge Marie est l’un des grands centres de pèlerinage en Nouvelle-Aquitaine. L’ensemble du bourg , de grande qualité architecturale, comporte la basilique Notre-Dame, élément central du village, modifiée par de nombreux travaux aux XVIIe et XIXe siècles. La façade et son imposant clocher surmontés de la statue de la Vierge domine le parvis réaménagé. A côté, se trouve le couvent des Célestins et ses deux cloîtres. L’un abrite le presbytère, l’autre, construit par les Célestins aujourd’hui est le siège de la mairie, de l’école et du musée d’art sacré. Les allées conçues pour accueillir les fidèles lors des pèlerinages sont bordées de beaux immeubles et d’alignements de tilleuls. Un large escalier mène au cimetière où repose le peintre Toulouse-Lautrec et permet de gravir le mont Cussol par le chemin de croix pour atteindre le calvaire.

La randonnée : 22 randonneurs se retrouvent place du jardin public en contrebas du village. C’est Marc qui va nous guider aujourd’hui et commenter ce riche patrimoine.

Marc dirige le groupe tout d’abord vers le Luc appelé Pas de la Mule.

La tradition orale rapporte qu’au XIVe siècle, la mule qui transportait Isabelle de Foix se serait soudainement arrêtée au Luc devant une grosse pierre et aurait refusé d’aller plus avant. La grosse pierre est soulevée et surgit alors une statue de la vierge, cachée pour échapper aux pillards.

La statue de la vierge

Représentation de la scène commémorative du Pas de la Mule

Direction la basilique. Alexandra tient la corde.En cours de route un ancien lavoir.

La basilique Notre-Dame de Verdelais, édifiée en tant que chapelle au XIIe siècle, pour abriter une statue de la Vierge Marie rapportée de terre sainte, fût ravagée en 1357 et a été restaurée au début du XVIIe siècle. Un transept y a été ensuite ajouté puis, au début du XVIIIe siècle la façade occidentale a été remaniée. Enfin, de 1842 à 1875, l’église a été agrandie avant d’être élevée au rang de basilique en 1924. Elle fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 2010.

A Verdelais, en 1185, le premier malade guéri est un jeune aveugle. Ce miracle est suivi de beaucoup d’autres.
Un ex-voto en témoigne : en 1635, la fille du Procureur de Virelade, après trois visites à Notre-Dame, recouvre la vue dont elle était privée, dans l’église de Verdelais, au moment où le prêtre lit l’Evangile de la Messe célébrée à son intention.

Au XIXe siècle, 133 cas sont recensés entre 1819 et 1883.

La Vierge guérit des paralytiques, des sourds, des muets, des aveugles, protège des épidémies, sauve des marins en détresse, suscite des conversions…

Tombe de Henri de Toulouse-Lautrec, né Henri Marie Raymond de Toulouse-Lautrec-Monfa le 24 novembre 1864 à Albi et mort le 9 septembre 1901 au château Malromé à Saint-André-du-Bois est un peintre et lithographe français.Le chemin de croix À l’entrée du chemin de croix, se trouve la chapelle dite de la Sainte-Agonie construite sur la base d’une chapelle pré-existante. Le chemin s’élève en sinuant dans un sous-bois et est jalonné, de part et d’autre, de quatorze chapelles de style néogothique, toutes identiques quant à leur forme et leur taille, soit environ deux mètres de largeur en façade sur trois mètres de profondeur, chapelles qui représentent les quatorze stations du chemin de croix. Les dites stations font l’objet, dans chaque chapelle, d’un bas-relief sculpté présentant la scène de la station : condamnation, charge de la croix, première chute, rencontre de la mère du Christ… Le parcours se termine par la chapelle du Saint-Sépulcre.Le Calvaire : Au sommet de la colline, un calvaire monumental présente les  croix portant l’une le christ, et de part et d’autres les 2 larrons (le Bon et le Mauvais)

Le calvaire revisité par Marc et ses 2 larrons ( cherchez le bon ???)

 Moulin de Cussol

Moulin tour datant du XVIIIe siècle construit par les moines de l’ordre des Célestins. La commune l’acquiert en 1997, une « Association du Moulin de Cussol » est créée et s’occupe de sa restauration (tour, toit, ailes et mécanisme intérieur) possible grâce à des subventions municipales, départementales, régionales et européennes, ainsi que la participation de tous les membres de l’association à titre bénévole.

En ordre dispersé en approche du domaine de Malagar.

Le domaine de Malagar est une propriété située à Saint-Maixant. L’histoire de Malagar est intimement liée à l’écrivain François Mauriac pour qui Malagar fut une demeure familiale. Donné à la région Nouvelle-Aquitaine en 1985, le domaine accueille depuis 1986 l’association du Centre François-Mauriac de Malagar. Le jardin et son allée de cyprès ont été inscrits au titre des monuments historiques. 

De très belles vues brumeuses sur la Garonne.Direction le village de Saint-Maixant et petite pause casse-croûte au pied de son église.

Sur un chemin boueux et sous une petite pluie nous longeons la Garonne.

Passons sur un pont enjambant le Ruisseau de Galouchey qui se jette devant nous dans la Garonne.

Lieu-dit la Garonnelle: Le port de la Garonnelle a connu l’affluence des pèlerins qui arrivaient par bateau durant tout le XIXe siècle et qui montaient ensuite au chemin de croix.Chapelle Aubiac :  La paroisse d’Aubiac existait déjà avant la venue des Grands Montains qui vinrent s’installer dans le bois du Luc. En 1606 naît la confrérie de Notre-Dame qui s’établit dans l’église Saint-Maurice d’Aubiac. L’église dépend de l’abbaye bénédictine Sainte-Croix de Bordeaux qui exerce sur elle un droit de patronage, repris en 1655 par le couvent de Verdelais. En 1790, les officiers municipaux demandent à ce que le service paroissial soit transféré à Verdelais, l’église était régulièrement inondée et le culte y était impossible quatre mois dans l’année. La requête est acceptée en 1792 et l’utilisation des pierres de l’église pour paver le chemin est envisagée. Mais l’église n’est définitivement abandonnée qu’en 1820 et transformée en étable. L’édifice roman fut en grande partie construit avec les pierres provenant d’une ancienne villa gallo-romaine, détruite lors des invasions barbares. L’abside est voûtée en cul de four.

La dernière montée un peu difficile nous emmène au Château La Mouleyre.

Propriété familiale du XIXe siècle sur les coteaux de Sainte-Croix-du-Mont. Le vignoble du Château La Mouleyre s’étend sur 5 hectares. Ses vins liquoreux sont mis en bouteille au Château La Rame situé à quelques mètres de la propriété.

Le site participe au charme du lieu, avec une vue étendue sur la vallée de la Garonne, une bâtisse entourée de vignes et environnée de chemins de randonnées pédestres ou à vélo.

Il ne nous reste plus maintenant que 2 petits kilomètres vers notre point de départ. Nous apercevons même au loin la vierge dorée.

Un petit ruisseau à franchir pour finir.

Et voilà nous sommes à notre point de départ.

 

Animateur organisateur : Marc BARON

Reconnaissance :  Marc, Denis

Distance :  10,5 km – Dénivelé  134 m

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1- assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Breil Myriam et Bruno

Caillaud Christine, Pascal et Maëllys

Cerdan Coraline

Deblois Olivier et Béatrice

Desmond Alexandra

Dufour Marie

Lagorce Pierre

Martin Marie Jo

Michel Jean-Marie

Noël Fred

Quérité Marie

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Carte IGN Verdelais

Verdelais IBP = 31 HKG Effort 1

26/2021 FRONTENAC

Frontenac : La commune s’étend sur 14,4 km² et compte 750 habitants.
Les ruisseaux de Gourmeron, de l’Engranne et du Gat sont les principaux cours d’eau qui traversent la commune de Frontenac.

L’Église Saint-Paul dite aussi Notre-Dame de Frontenac.Eglise Notre-Dame à Frontenac - PA00083550 - Monumentum

Vers 1145, l’église est donnée au chapitre de Saint-Émilion par Raymond III, évêque de Bazas. L’élément le plus ancien est la nef romane du XIIe siècle. Le portail Ouest, les colonnes à chapiteaux historiés de l’abside et la corniche à modillons en sont les vestiges. Au XVIe siècle, la nef est percée de fenêtres flamboyantes. De même, le mur clocher est restauré et partiellement rebâti. Au XIXe siècle, deux autres baies sont ouvertes côté Nord et trois contreforts identiques à ceux du mur Sud ont été édifiés.

La Commanderie de Sallebruneau, des XIIIe et XVIe siècles.Gironde : découverte de la Commanderie hospitalière de Sallebruneau | Partance - Tourisme | Tourisme Sud-Ouest

La commanderie est fondée en 1214 par les Templiers. À cette époque, seuls existent une église, la chapelle Saint-Jean, un corps de logis et un jardin de plantes médicinales, protégés par des fortifications. En 1296 est construit un modeste hôpital. Au XIVe siècle est construit un petit château.

Les troubles religieux du XVIe siècle laissent la commanderie et le château dévastés. Jusqu’au XVIIIe siècle, les Hospitaliers utilisent les terres, le château et la chapelle, qui devient paroisse locale au XIXe siècle.

À l’Est de la commanderie, un jardin médiéval dit des simples, a été reconstitué. Aromatiques et médicinales oubliées s’y côtoient …

Le départ de la randonnée se fera depuis le parking champêtre du village.

29 randonneurs se retrouvent et c’est Denis qui, après la présentation des nouveaux et futurs adhérents et donné les consignes d’usage, va driver cet après-midi.

Et c’est parti….nous prenons la direction du Chemin des Falaises qui descend vers une esplanade de loisirs, utilisée pour des exercices d’escalade (photo du haut de la falaise).

Longeons en sous-bois jusqu’à la maison isolée du lieu-dit Piquepoche et prenons ensuite sur quelques dizaines de mètres la route. ….Attention voitures

puis à gauche le premier chemin vers « Piquepoche Sud » en sous-bois. puis le long des vignes. Suivons le chemin nommé Bachon.

À la sortie du bois, traversons la vigne pour rejoindre la D119 et vers le carrefour, l’ancienne garde-barrière et la piste cyclable.

Prenons la piste virons à droite au premier carrefour puis à gauche vers le hameau de Martres.

Tournons le long du cimetière vers la Commanderie. Après la descente, remontons et passons le pont sur le ruisseau l’Engranne direction le lieu-dit Guillebot.

Au lieu-dit Maupas un petit domaine et un petit retour sur une cinquantaine de mètres suite à une petite distraction de notre guide.

Tournons dans un chemin au milieu des champs et poursuivons vers un bois.
Puis une petite pause pour se ressourcer.

Arrivons au lieu-dit les Roudiers. Allons emprunter une longue allée privée.

Mais avant tout et comme toujours Danielle et Monique saluent les mignons petits ânes.Qu’ils sont beaux….. et bruyants….

Passons sur le ruisseau de la MoulinasseQui apparemment alimentait un moulin.

Continuons sur cette allée pour trouver le lieu-dit Brugier.

et rejoignons la piste cyclable que nous suivrons jusque Frontenac.

Un petit passage délicat que nous contournons en passant en bordure du ruisseau l’Engranne qui alimente un ancien moulin.

Terminerons par quelques centaines de mètres de route puis en prenant à contresens le chemin des falaises qui nous reconduira au parking.

Randonnée bucolique avec de nombreux sous-bois, des prés, des champs de céréales et quelques vignes… et quelques ânes.

Animateur organisateur : THOMAS Denis

Reconnaissance : Denis

Distance :  11,5 km – Dénivelé  89 m

Indice d’effort : niveau 1 –  moyen (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danielle et Bernard

Breil  Bruno

Caillaud Christine et Pascal + petite fille

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Desmond Alexandra

Garcia Norbert

Michel Jean-Marie

Maison Nicole et Patrick

Moulin Monique et René

Noël Françoise et Fred

Pons Monique

Quérité Marie

Richez Bernard

Sopena Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Vacellier Géraldine

Villar Corinne