12/2022 LE POUT

Le Pout environ 650 habitants, les Poutois et les Poutoises.

Outre l’église paroissiale St-Martin et la croix de son cimetière, une dizaine d’édifices de la commune sont versés à l’inventaire général du patrimoine du Créonnais.

C’est Elie qui aujourd’hui sera notre chef de file : 23 personnes sont réunies près de l’église.

C’est par un temps agréable que nous partons de l’église St-Martin qui fut construite au 15ème siècle et remodelée aux 16ème et 19ème siècles. Son originalité se trouve être dans son volume intérieur mais qui n’est toutefois pas accessible. Par contre ses 2 belles cloches extérieures sont bien visibles.

Départ de la mairie. Et c’est parti … On longe tout d’abord sur quelques centaines de mètres la route.

Le Château RIVALAN

Le château était dédié à l’origine à l’élevage laitier puis à l’élevage de vaches à viande. A ce jour, c’est un domaine viticole de 52 hectares qui fait l’objet d’un traitement raisonné permettant de réduire les produits phytosanitaires. Sa particularité est de disposer d’un chai d’élevage dans les fondations du château avec un élevage en barrique entre 12 et 18 mois.

Au lieu-dit Marches, nous obliquons sur notre gauche pour partir à travers bois.

Passons le ruisseau La Rivière.

Dans les bois…Puis Le château de Camarsac, bâti sur un promontoire au 14ème siècle, appartient à la famille Lurton. L’oenotourisme y est pratiqué à travers son fameux     « Clos du Prince Noir « .
Pas très beau, le nouveau chai couvert de panneaux photovoltaïques.

C’est mieux comme cela.Et encore ainsi.En cours de route les oies nous accueillent avec leurs petits.

Prenons le chemin ….

Une petite pose boissons toujours en futée.Puis le chemin de …

Dans les bois, des passages délicats.

Les poules et le coq sont aussi là pour nous accueillir.Que c’est bon à l’ombre des arbres. Elie aide pour les passages délicats.Et on continue…

Une maison de pierres appelée la Ruine ???
Ruisseau de la Hutte. Annie hésite à y passer.

Traversée du Grand Bois. Puis arrivée au lieu-dit …Arrivons sur le village de…Dans les arbres une palombière.Arrivons au lieu-dit…Amorçons une belle descente dans un chemin bien agréable.

Passons de nouveau sur La rivière, puis encore.Prenons la route de…

Longeons maintenant le ruisseau La rivièreQue nous allons une nouvelle fois passer.

En fin de randonnée un Elie bien radieux.

C’est vers 17h que nous retrouvons le parking. Jacques nous y attend la bouteille à la main pour nous servir le pot de l’amitié. Félicitations à Mamy-Claude et Papy Jacques qui arrose la naissance de leur petit-fils Lenny.

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1ibp stage 1

Animateur organisateur : AFERGAN Elie

Reconnaissance: Elie, Denis

Distance :  11,2 km –  Dénivelé: 118 m

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 2 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude

Champarnaud Valérie

Cerdan Coraline

Desmond Alexandra

Gaudière Danielle

Laffargue Patricia

Noël Françoise et Fred

Rischard Sylvie et Philippe

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

 Nathalie en essai

 

11/ 2022 FARGUES SAINT-HILAIRE

25 randonneurs se retrouvent parking des écoles à Fargues Saint-Hilaire dont Patricia venue faire un galop d’essai.C’est Corinne qui a en charge le groupe et Marc fera les commentaires adéquats.Ce grand circuit de 12,8 km nous fera faire le tour de Fargues Saint-Hilaire en passant par Cénac et Carignan-de-Bordeaux, la plupart du temps sur de beaux chemins ombragés. Nous y découvrirons entre autres : le vieux bourg de Fargues, des arbres remarquables, des lavoirs, des châteaux, une ancienne voie ferrée, des grottes et bien d’autres surprises !

Tout d’abord l’ancienne mairie-école.

La situation globale de l’enseignement primaire en France apparaît médiocre à la chute de l’Empire (abdication de Napoléon 1er en 1815), qui ne s’en est guère préoccupé. Beaucoup de ces bâtiments utilisés pour la classe sont inadaptés et dépourvus de cour, de préau ou encore de toilettes.

Après la défaite de 1870 (guerre contre la Prusse) que l’opinion générale attribue à la supériorité de l’éducation primaire prussienne, l’École fait l’objet d’efforts particuliers afin d’être en mesure de préparer les futurs citoyens. La grande loi en matière de construction scolaire est promulguée le 1er juin 1878 et oblige les communes à construire des maisons d’écoles.

L’école type de la 3ème République est constituée de la mairie au centre, en légère avancée de façade surmontée de la devise républicaine, des écoles de garçons et de filles de part et d’autre et du logement du maître à l’étage.

C’est ainsi que la commune de Fargues Saint-Hilaire se dote en 1874 d’un ensemble mairie-école.

Il existait trois moulins sur la commune de Fargues Saint-Hilaire, un à eau sur le ruisseau de la Canterane, et deux à vent. Ces moulins permettaient à la population essentiellement rurale de moudre leur production locale de blé pour produire de la farine.

Le moulin des écoles ou moulin rouge est le seul des deux moulins à vent à être visible et encore en élévation, bien qu’il soit difficile pour celui qui n’est pas au courant de se rendre compte que cette tour est bien un ancien moulin à vent.

Situé en hauteur, sur une ligne de crête, pour profiter au maximum des vents, ce moulin est un moulin tour : constitué d’une tour maçonnée en moellons, il était surmonté d’une toiture orientable dans le sens du vent, qui supportait des ailes fixées à un axe horizontal.

En 1865, Jean Richet, charpentier de moulins, vend le moulin et un lopin de terre à Jean Cassignard, tailleur de pierre. C’est certainement à cette époque que le moulin cessa son activité et que le nouveau propriétaire transforma le moulin en tour à créneaux et y accola une maison construite en pierres de tailles.

L’église Saint-Hilaire

L’église actuelle n’a été construite qu’en 1846 à quelques centaines de mètres de l’ancienne église romane, sur un terrain donné par les propriétaires du Château Beauséjour. Cette première église qui présentait fissures et lézardes suite au tremblement de terre de 1759 fut rasée et remplacée par le nouvel édifice.

Malgré sa date de construction relativement récente, la nouvelle église a subi plusieurs rénovations nécessaires suite aux nombreuses lézardes apparues sur les murs des bas-côtés et au plafond. En 1985, 60 micro-pieux sont enfoncés à 10 mètres de profondeur pour renforcer les fondations.

L’ancien presbytère

Nous sommes ici au coeur de l’ancien village de Fargues Saint-Hilaire. En effet l’ancienne église romane se situait au milieu du cimetière actuel au bout de la rue, à quelques dizaines de mètres de là.

C’est une belle bâtisse construite au 18e siècle en moellons comprenant plusieurs parties formant un “L” autour d’un jardin et d’une petite cour. Vu son emplacement et sa fonction, c’est surement l’un des plus vieux bâtiments de la commune encore debout.

Et oui, prudence, on respecte les consignes.Direction le…Passons devant un surprenant mur réalisé en de plusieurs centaines de tuiles canal empilées les unes sur les autres ; c’est le dernier témoin de l’ancienne tuilerie de Fargues.Le lavoir de la tuilerie

Le lavoir de la tuilerie est un des deux lavoirs publics encore visibles à Fargues Saint-Hilaire. Il a été construit en 1927 près d’une source en bordure du chemin de Musset. Les habitants alentours, principalement ceux de la Tuilière et de Marron, venaient rincer leur linge au lavoir. C’était un lieu éminemment social dans chaque village. Les femmes s’y retrouvaient une fois par semaine ou plus, et échangeaient les toutes dernières nouvelles du village et des parages.

Le nom “de la tuilerie” vient du fait qu’il existait ici une ancienne tuilerie qui a perduré jusqu’en 1920. En exploitant un gisement d’argile, elle fournissait les matériaux indispensables aux constructions locales : tuiles creuses qui recouvrent la majorité des toits alentours, ainsi que briques et carreaux utilisés pour les souches de cheminées et les sols.

Une petite montée par un chemin bien agréable.

Une bien belle glycine et
Un arbre portail.En arrivant sur Escorgeboeuf, Corinne joue du sécateur pour nous faciliter le passage.La vallée de la Canterane

Au fond du vallon, le cours du ruisseau de Canterane vient se jeter dans la Pimpine un peu plus en aval. L’endroit est bucolique avec ses pentes couvertes de prairies.

Le nom du lieu “Escorgeboeuf” est pour le moins surprenant et reste un mystère encore aujourd’hui. L’explication la plus logique serait de penser à un endroit où on égorgeait les boeufs, une sorte d’abattoir … ou bien un incident où un boeuf aurait été égorgé par une bête sauvage et qui aurait marqué les esprits ? 

Maison du garde-barrière.

La garde de la barrière était souvent confiée à une femme, épouse ou veuve d’un cheminot de la voie. Le confort de ces maisonnettes était réduit à leur plus simple expression : quatre petite pièces, pas de sanitaire ni d’eau courante ou d’électricité (parfois jusqu’en dans les années 60). Seul un petit poêle à charbon assurait le chauffage de l’ensemble. Souvent ces maisons “jouet” possédaient un jardinet pour améliorer l’ordinaire par quelques légumes, et en élevant poules et lapins…

Nous suivons pendant quelques kilomètres la piste cyclable encombrée de chutes d’arbres.Et Marc de faire des commentaires sur l’origine de cette piste cyclable.

Ancienne voie ferrée. Cette longue piste cyclable qui serpente en fond de vallée est en fait un ancien chemin de fer.

Après la première guerre mondiale, et face au développement du trafic routier, la ligne amorce un déclin inexorable. En 1951, l’unique train de voyageur disparaît définitivement, et en 1979 la ligne cesse complètement son activité. En 1996 le Conseil Général de la Gironde rachète l’emprise ferroviaire entre Latresne et Sauveterre et crée la piste cyclable Roger Lapébie sur un tracé de 54km.

Les Anciennes carrières.Et Denis fait le pitre.

Les nombreuses carrières que l’on peut voir ici le long de la piste cyclable étaient, à partir de 1873, desservies par la voie ferrée Bordeaux-La Sauve qui passait à l’emplacement de la voie verte. On peut encore voir ça et là, le long de cet ancien chemin de fer, les restes de quais aménagés pour faciliter le chargement des pierres, aujourd’hui en partie envahis par la végétation.

A partir du 20e siècle, l’activité a fortement ralenti. Si certaines carrières ont été réutilisées comme champignonnières, la plupart ont été abandonnées.

La bambouseraie.

Coraline et Elie en pause photo.

Le Château Léon.Une petite pose et quelques commentaires.

Ce domaine, dont le nom à l’origine était Camelon, faisait partie intégrante du château Carignan et s’en est détaché à la suite de deux ventes successives peu avant la Révolution.

Le domaine d’origine, appelé communément « la ferme du château Léon », est composé de plusieurs bâtiments édifiés à diverses périodes du 18e siècle, organisés autour du logis du fermier : logement de domestiques, chai, cuvier, écurie, cour, puits …

Le vin produit grâce à l’exposition et à son terroir était de grande qualité. En 1874, le vignoble était au maximum de sa production et on y récoltait 300 hectolitres de vin majorité de vin rouge. Les propriétaires, trop à l’étroit dans leur demeure campagnarde, firent construire tout à côté, un château dans le style de l’époque. Terminé en 1890, il est maintenant appelé « château Léon ».

Après plusieurs années d’abandon, il a été réhabilité en résidence composée de plusieurs appartements.

Le Château Carignan.

Situé pratiquement en face de l’église, de l’autre côté du petit vallon creusé par un affluent de la Pimpine, ce château dont l’histoire remonte au moins au 13e siècle est sans doute à l’origine de la paroisse de Carignan. La situation du vieux bourg de Carignan et plus particulièrement de l’église est intimement liée à l’histoire du premier château de Carignan.

Au 16e siècle, après plusieurs changements de propriétaires, d’importants travaux furent entrepris sur le château actuel, notamment pour agrandir le côté est. En 1814, le château fut acheté par le marquis de Casapalacio et subit une réfection complète car il était en piteux état. C’est à cette époque que les armoiries du marquis furent ajoutées au dessus de la porte d’entrée de la tour de la cour intérieure.

En 1892 le château fut acheté par Honoré Picon, fils de Gaëtan Picon, fondateur de la marque « Amer Picon ». Le château fut entièrement rénové et agrandi par l’addition d’une orangerie, un nouveau cuvier et des chais. A cette époque, le château prit définitivement le nom de Château Carignan. Depuis plusieurs propriétaires se sont succédés.

Le château est sans aucun doute le plus beau monument de Carignan-de-Bordeaux et aussi le plus emblématique, puisque que grâce à son excellent vin, le nom « Carignan » fait le tour du monde.

On descend maintenant vers le fond d’un vallon.

Et c’est là que le magnanime « Bruno » porte secours à un vététiste en perdition.

L’éolienne Bollée.

A la fin du 19e siècle, Honoré Picon, fils du fondateur de la marque « Amer Picon », fait édifier une éolienne dans le bas de son domaine Baritault pour exploiter une source toute proche.

Cette curieuse et magnifique éolienne était donc utilisée pour pomper l’eau du ruisseau et la remonter jusqu’au château d’eau du domaine Baritaud situé dans la tour « donjon », en contre-haut de la colline.

Construite en 1896 par Ernest-Sylvain Bollée, industriel au Mans, elle demeure une des seules éoliennes Bollée encore en élévation dans notre région. Formidable témoin du patrimoine industriel de cette époque, elle mériterait d’être sauvegardée et restaurée comme par exemple celle du château de Beauval à Bassens.

Une ancienne cressonnière en désuétude.

Nous nous retrouvons au parking où Joelle nous offre le « pot de l’amitié » en ce jour d’anniversaire.

Animateur organisateur : VILLAR Corinne

Reconnaissance : Corinne , Marc et Brigitte

Distance :  12,8 km – dénivelé 129 m

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Trace.    Randonnée de Fargues St.Hilaire

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Marc

Bouet Francine

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude

Cerdan Coraline

Champarnaud Valérie

Garcia Norbert

Gaudière Danielle

Lagorce Pierre

Maison Nicole et Patrick

Marcandella Jean-Christophe

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred

Rischard Sylvie et Philippe

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Patricia (en essai)

10/2022 AUDENGE Le domaine de Certes

L’Histoire : Le domaine de Certes et Graveyron, propriété du Conservatoire du littoral, est un espace naturel unique de 530 hectares au cœur du Bassin d’Arcachon, sur les communes d’Audenge et de Lanton.

Ce domaine, façonné par la main de l’homme, a connu des vocations agricoles, salicoles, piscicoles et forestières. Il offre un paysage exceptionnel de domaines endigués, des bassins piscicoles et de prairies humides.

Cet espace abrite de nombreuses populations d’oiseaux tout au long de l’année, dont certaines espèces rares et protégées.

 Ce n’est qu’un petit groupe de 12 randonneurs qui se retrouve sous la houlette de Serge par un temps bien frisqué et avec beaucoup de vent. Nous allons longer le domaine de Certes sur plus de 13 km.

C’est parti et voilà ce qui nous attend.On passe devant le château de la propriété.

Ce château a été construit au XVIIIe siècle par le marquis de Civrac. Il fut reconstruit vers 1840 par Ernest Valeton de Boissière et partiellement restauré en 2004.

Puis les dépendances construites pour l’exploitation du sel.En début de rencontre les biches nous saluent au loin dans la prairie.Sous de beaux pins parasols.Les différents plans d’eau du domaine sont régulés par des écluses.

Les eaux peu profondes des bassins sont favorables au développement d’algues et de plantes aquatiques. Une flore mixte, adaptée soit à l’eau salée du Bassin d’Arcachon, soit à l’eau douce amenée par les pluies, favorise une belle biodiversité. Les plantes aquatiques, vers, petits coquillages, crustacés forment le début d’une chaîne alimentaire où s’insèrent les poissons, proies à leur tour des hérons, cormorans, aigrettes… Certaines espèces comme la gorge bleue à miroir blanc y nichent. Milieu tranquille situé sur une des voies principales de migration, Certes et Graveyron forment aussi un site d’hivernage très apprécié des oiseaux migrateurs, comme la spatule blanche.Au dérivé, au loin la dune du Pyla.Hormis les aigrettes et les cygnes, les hérons cendrés, les cormorans, les spatules ne sont pas ce jour au rendez-vous. Toutefois un beau cygne : le cygne tête levée.Le cygne tête baissée et envasée.Une cabane de saunier ??Les huttes des chasseurs de canards. Au fond on aperçoit Arcachon.Plus loin le Cap Ferret.La pause photo devant le bassin. Tout le monde est bien couvert.Des plans d’eau à perte de vue.Quelques passages boueux. Attention.Un couple d’heureux ils sont passés.Le beau chapeau de Myriam.Quelqu’un va t’il chuter ??Une petite pose boisson.Un autre passage délicat pour la famille Page.

La très belle église d’Audenge.

Quelques kilomètres difficiles pour finir sur la piste cyclable, mais le réconfort arrive.

Les professionnels ouvrent tout d’abord les huîtres pendant que Marc prépare l’apéro.Et on lève le verre à l’attention de Brigitte…

En fin de repas les très bons cannelés faits maison par Bernard. A découvrir  plus loin sa recette. Au début du café il y en avait 103 sur le plateau.

En fin de café … Pour qui le dernier ??  Au fait qui l’a pris ??

La recette de Bernard : Cannelés (108 petits)

Plan de la randonnée

Animateur organisateur : BOUET Serge

Distance : 13 km –  Pas de dénivellé

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Baron Marc

Berkesse Bernard

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Dury Edith

Lataste Martine

Noël Françoise et Fred

Page Francis

09/2022 MONTUSSAN

Montussan est un village de l’Entre-deux-Mers, d’une superficie de 8,3 km2 pour 3042 habitants. Un environnement de 850 ha pour une dizaine de châteaux viticoles. A noter un tissu artisanal très développé. Montussan est traversé par la rivière La Laurence.

Tout d’abord le point de rendez-vous : L’église Saint-Martin, édifice religieux de confession catholique.

Une nouvelle fois 31 randonneurs se sont donnés rendez-vous place de l’église. C’est Bernard qui guidera le groupe pour ce circuit champêtre à travers vignes, prairies et sous-bois.Et c’est parti comme toujours d’un pas décidé.De temps en temps quelques passages délicats entre buissons. Mais on s’y fait.C’est passé pour Françoise.Allez Marie-Claude tu y arriveras.Danièle à l’aise..Michel bloques-tu ??A l’aise aussi pour Norbert.Passement de jambes pour Marie.Françoise est passée, Joëlle assure.Facile avec les bâtons pour Maria.Et le président hésite ??Marie courbée peine ??  Véronique la nouvelle essaie de lancer la jambe droite.De belles vues sur la campagne environnante.Une prairie pleine de fleurs. On est vraiment au printemps.Allez on va se reposer quelque peu. On peut aussi se désaltérer.

Mais à qui sont ces mollets???

Sur le retour un très beau chêne envahit la route. Qu’il est beau !Passons sur le…

Sur la colline, le Château Puymiran

C’est une belle demeure du XVIIe siècle située sur un promontoire délimité par le vallon de Courneau au sud, les plaines de Saint-Loubès et de la Dordogne au nord. Le site rural qui l’entoure se compose de vignobles, d’une garenne, de prairies et de bosquets.
Le château, maison noble remaniée à différentes époques, se compose d’un corps de logis surmonté d’un belvédère, précédé d’un perron à double escalier. L’une des façades est flanquée d’une tourelle encapuchonnée et de longues rangées de servitudes entourent une vaste cour.
Actuellement c’est une écurie pour chevaux de compétition (pension, entraînement, valorisation des chevaux de sport).

Avant la fin de notre périple, passons devant la très belle mairie.

Et avant de se disperser une haie d’honneur est faite en l’honneur de Marie-Jo pour son anniversaire, plein de bises à toi.

Trace randonnée Montussan

Montussan carte IGN 10 km

Cotation IBP = 28 HKG niveau 2

Animateur organisateur : RICHEZ Bernard

Distance : 10 km –   28 m

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Blanco Françoise et Michel

Bouet Serge

Bonneau Olivier

Breil Bruno

Cantillac Marie-Claude

Couprie Marie-Claude

Cayre Maria et Michel

Deblois Béatrice et Olivier

Dufour Marie

Garcia Norbert

Gaudière Danielle

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie-Jo

Michel Jean-Marie

Noël Françoise et Fred

Pons Monique

Quérité Marie

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Véronique (en essai)

08/2022 FRONSAC

Au IVe siècle, Fronsac connut les vicissitudes des pillages des vikings qui remontaient la Dordogne. Les différents occupants du château développèrent l’édifice qui devint conséquent au cours des années.

Partagés entre le royaume de France et le royaume d’Angleterre, Fronsac fut soumis à diverses fortunes suivant les allégeances de ses seigneurs jusqu’en 1453 où le roi de France devint maître de l’Aquitaine. Fronsac devint comté en 1551, marquisat en 1555 et duché pairie en 1608. Un chef de garnison trop zélé provoqua par ses actions la destruction du château en 1623.

Le duché devint propriété de la famille Richelieu en 1634. Une demeure extravagante, une folie à l’italienne, fut bâtie à l’emplacement du château-fort. Elle fut le théâtre de fêtes galantes dont le renom propagea la connaissance des vins de Fronsac à la cour de Versailles. C’est ici qu’apparut pour la première fois en Libournais la notion de « cru ».

La Révolution Française passant par là, la seigneurie cessa d’exister en 1795.

Puis Fronsac connut le déroulement de l’histoire  de toutes les communes françaises. Son école publique fut bâtie à partir de 1890. Actuellement sa population est de moins de 1200 habitants.

Le Tertre de Fronsac.

Le tertre de Fronsac était déjà utilisé par les Gaulois, qui y ont installé un oppidum, car surplomblant stratégiquement la plaine de lʼIsle et de la Dordogne. Les Romains y construisirent un puissant camp fortifié et implantèrent la vigne sur les coteaux, mais lʼensemble fut rasé par les invasions barbares. Des carrières dʼargiles locales servirent à lʻélaboration dʼamphores. Charlemagne y élèvera une forteresse en 769 qui sera anéantie par les Normands. Un autre château se dressera sur le tertre pendant toute la période anglaise. Louis XIII le fera raser. Richelieu, possesseur du domaine, le transmettra à ses héritiers avec le titre de Duc de Fronsac.

31 randonneurs se retrouvent à l’arrière de la maison des vins de Fronsac.

Ce sont Denis et Elie qui vont nous guider à travers vignes avec des vues sur de nombreux châteaux……De suite nous passons devant le Château Richelieu.

Château Richelieu : Au pied du Tertre, Richelieu se dessine en vallons et coteaux autour de la bâtisse historique du XVIIe siècle. Fronsac fut le berceau gallo-romain de la vigne en bordelais. Au XVIIIe siècle ses vins rayonnent à la cour du Roi, une reconnaissance qui participe à sa notoriété. Mais aussi aujourd’hui maison d’hôtes. Le nouveau chai fut installé au cœur du vignoble pour ne pas «déranger» la chartreuse du Maréchal.Au loin un autre château sur un tertre : Le Château Laguë, domaine au nom inspiré par l’empereur Charlemagne, qui serait passé par Fronsac où il aurait fait construire une forteresse. Maison de vacances actuellement.

D’un pas assuré à travers vignes…De temps en temps, il faut savoir s’arrêter pour boire et regarder le paysage. Pour papoter aussi …

Arrivons au lieu-dit :Sur la colline le Château du Fort-Pontus.

Dernière demeure du peintre animalier français René Princeteau, qui fut le maître du non moins célèbre Henri de Toulouse-Lautrec, le Château du Fort-Pontus dresse son imposante silhouette sur les collines du vignoble de Fronsac.

Puis le lieu-dit :

Les vignobles DORNEAU se composent de plusieurs petites propriétés acquises au fil du temps par plusieurs générations de la même famille.

Aujourd’hui ce domaine de 45 ha s’est développé en diversifiant ses activités, notamment dans la production trufficole, l’oenotourisme et le consulting.

Le Château Coustolle

A mi-chemin entre Fronsac et Saillans, la propriété occupe une combe aux terrains de molasse et grès profonds entourés de côteaux à dominante calcaire.

Le petit manoir du XIXe siècle est couvert d’ardoises, signe de prospérité bourgeoise au siècle dernier. De nombreux aménagements successifs ont été pratiqués pour une meilleure exploitation vinicole et un plus grand confort du vin dont la production représente, bon an mal an, une centaine de tonneaux.

Un plan d’eau bien agréable.

Un autre château non identifié ?????

Le Chateau Franc Capet. Une très petite propriété de 2 hectares.

Photo of Franc Capet - Fronsac, Gironde, France

Un autre plan d’eau près du lieu-dit Malganit

Et arrivons en bordure de l’Isle et ses filets de pêcheEn profitons pour faire la pose casse-croûte.Et arrivons au …2 gîtes et 4 chambres d’hôtesPuis au lieu-dit…Et le «Château» Vieux-Mouleyre qui est un petit bâtiment de l’époque du célèbre Maréchal Duc de Richelieu et de Fronsac, au XVIIIe siècle. L’ensemble du domaine, comportant des vignes de plus de trente ans, fait deux hectares et demi.

Toujours à travers vignes….Lieu-dit :Et son château.

De bien belles vues …Le Château Gaby

Niché à flanc de coteau, Château Gaby se révèle comme un bijou dans un écrin.
Un véritable tableau impressionniste  !

Perchée sur le haut du coteau, l’élégante bâtisse du 18ème siècle, autrefois relais de poste de Fronsac, jouit d’une position dominante et d’une vue exceptionnelle. A ses pieds, les vignes déroulent leurs lignes en suivant les moindres variations du relief.

Nous venons de passer le château Barrabaque pour une petite grimpette.Avec de très belles vues sur La Dordogne.En contre bas Le Château Dauphine

Le château est construit entre les années 1744 et 1750. Peu de temps après la construction du château, Marie-Josèphe DE SAXE, la Dauphine de France mère des derniers rois de France dont Louis XVI, y séjourne quelques jours. Cet événement contribuera au développement de la notoriété de la propriété qui fut nommée ainsi en souvenir du séjour de cette princesse.

Retrouvons le parking de départ. Le groupe éclate… toutefois quelques apprentis oenologues vont aller faire une dégustation de vins au Château Pey-Labrie. Ce château tient son nom d’un vieux moulin élevé sur le lieu-dit où se situe le vignoble, « Pey » signifiant  « le haut du coteau ». Ce petit vignoble de 6,75 ha bénéficie d’une bonne exposition et d’un terroir implanté sur des côtes argilo-calcaires.En cours de dégustation.

Trace Fronsac:   IGN FRONSAC 11km D+110

Cotation Fronsac: IBP = 34 HKG Hqvd57groIUfACzh8d3-Xw.gpx

 

Animateur organisateur : THOMAS Denis

Reconnaissance : Denis, Elie

Distance : 11 km –   118 m de dénivelé

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danièle et Bernard

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Cayre Maria et Michel

Cerdan Coraline

Couprie Marie-Claude

Deblois Béatrice et Olivier

Delignette Dominique

Dufour Marie

Dupin Monique

Lagorce Pierre

Lenouy Karine

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred

Peere Laurence

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

07/2022 LUGAIGNAC

Branne… Notre point de départ. Petite commune de 254 ha et de 1133 habitants, blottie sur les bords de la Dordogne à deux pas de Saint-Emilion, Branne fait partie de l’arrondissement de Libourne. C’est aussi le chef lieu de canton.

« La Dordogne » était un axe important pour le commerce (vins, bois, céréales).
Le commerce fluvial de Branne s’est développé au XVIIIe siècle, les marchands et artisans y étaient en grande majorité avec des bateliers, pêcheurs, commerçants, charpentiers……
Autrefois les gabares chargées de fûts, de céréales, de bois ou de pierres naviguaient sur la Dordogne ; de cette activité il ne reste aujourd’hui que les quais.

« L’église Saint-Etienne »  fut construite de 1859 à 1878. L’intérieur est composé d’une nef à quatre travées couvertes de voûtes et de deux bas-côtés.

« La Halle » qui se trouve au coeur de la ville était à l’époque le centre vital de Branne où les habitants des communes voisines venaient vendre et acheter nourriture, objets et marchandises diverses. Elle figure au cadastre depuis 1672.

25 randonneurs sont au rendez-vous. Une randonnée d’un peu plus de 10 km est prévue avec 2 boucles en forme de 8.

On attend quelque peu. Il faut toujours un dernier.Et c’est parti… C’est Fred qui pilote aujourd’hui.

Passage au lieu-dit le Maine.Cà monte… une vue sur Branne et son église.Une montée délicate et boueuse.
Bien vu… les bâtons.Un homme heureux dans la boue.C’est toujours dur ???Au loin l’église de Lugaignac que nous reverrons plus tard.Un beau jasmin non odorant déjà fleuri.Sur St-Aubin de Branne le moulin Lescours.
Arrivons au lieu-dit…Puis au joli hameau de la Hâge Julianet ses belles maisons en pierres.Une petite pause boisson au point le plus haut de la randonnée.
Passons près du moulin de Lagut.

Une sérieuse descente sur enrobé nous ramène sur Branne.

Nous attaquons maintenant notre 2ème boucle et arrivons près du village de Lugaignac.

Lugaignac est une petite commune rurale de 3,7 km2 peuplée de 485 Lugaignacais.Nous sommes dans une descente avant la dernière sérieuse montée vers l’église.Personne ne souffre.
Près de l’église.La voici…

L église Saint-Martin de Lugaignac que nous n’avons malheureusement pas pu visiter.

La construction de cette petite église (20 m sur 6 m) date de la fin du XIIe siècle. Elle se compose d’une nef unique de trois travées, couverte d’une voûte en berceau brisé. L’édifice est terminé par un chœur carré et une abside à pans, couverte d’une voûte.

Les murs de la nef ont été renforcés par des contreforts au XVIIe siècle et deux chapelles sur le flanc nord et un porche ont été construits. L’église a un clocher-mur. Le portail aligne douze colonnes avec chapiteaux.

Après l’église, nous amorçons notre descente sur le chemin boueux que nous avions emprunté au départ. Heureusement nous n’avons pas de chute à enregistrer !!!

Nous entrons de nouveau dans Branne pour passer place de la mairie qui  dans la tradition du XIXe siècle « Justice de Paix » est flanquée de l’École Communale des Filles et des Garçons. Un monument aux morts commémore les guerres de 1870-71, 1914-18, 1939-45 et Indochine.

Passons sur la passerelle enjambant le ruisseau Lyssandre et vers 16h45 nous sommes de retour à notre point de départ.

Samedi prochain on se retrouve à Fronsac.

Lugaignac carte IGN CC10km42 D+ 142

IBP = 33 HKG cI0Hy1pzBg0fACzh8d3-Xw.gpx

 

Animateur organisateur : NOEL Fred

Reconnaissance: Fred, Denis

Distance : 10,4 km –  187 m de dénivellé

Indice d’effort : niveau 2-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Lagorce Pierre

Maison Nicole et Patrick

Marcandella Jean-Christophe

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred

Quérité Marie

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Vacellier Géraldine

Villar Corinne

 

06/2022 SAINT-LOUBES

 

Bordé au nord par la Dordogne, Saint-Loubès se situe à la périphérie de l’agglomération bordelaise et à proximité des autoroutes Bordeaux-Paris , Bordeaux-Genève et de la voie ferrée Bordeaux-Paris.

À la fois rurale et urbaine, Saint-Loubès a su se doter dès les années 1970 d’une zone d’activité économique dynamique. Elle poursuit aujourd’hui son développement.

L’activité rurale est encore importante et contribue à l’aspect des paysages. De nombreux producteurs proposent un vin classé dans l’appellation d’origine contrôlée Bordeaux supérieur. Près d’un tiers de la surface communale est dédié à l’agriculture et la viticulture.

Environ 10000 habitants, les Loubésiens et Loubésiennes.

Quelques monuments remarquables:

L’église Saint-Pierre. Détruite en 1855, l’église est reconstruite ; le chantier dure jusqu’en 1869 avec l’édification du clocher porche. De style néo-roman, l’église présente une nef centrale de cinq travées voûtée d’ogives et de bas-côtés.

La Chapelle Saint-Loup. ( non vu). La chapelle du prieuré de Saint-Loubès est le seul témoin d’un établissement bénédictin fondé par les moines de l’abbaye de la Sauve Majeure à la fin du XIe siècle. L’église du prieuré est le plus ancien bâtiment de la commune.Chapelle Saint-Loup à Saint-Loubès - PA00088390 - Monumentum

La chapelle était un élément d’un ensemble qui comprenait un cloître, des dortoirs et un réfectoire dont il ne reste rien. Le prieuré était un lieu de passage pour les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle qui traversaient la Dordogne.

Château Saint-Aignan. C’est un château-Hôtel qui dispose d’un parcours de golf, d’un court de tennis et d’un casino. Avec son architecture du XVIIIe siècle et son parc arboré, le Château Saint-Aignan offre un cadre intime et enchanteur. Après sa restauration, qui lui a redonné éclat et élégance, le Château Saint-Aignan valorise une pure architecture viticole du XVIIIe siècle.

1

Notre rendez- vous se situe place de l’église. C’est Marc qui nous accueille pour le circuit des Lavoirs. Nous sommes 24 randonneurs. Quelques mots de Marc sur Saint Loubes.
C’est un groupe de 24 randonneurs qui arpente tout d’abord le centre de Saint- Loubès pour passer sur le ruisseau Canterane.
Pour passer devant l’entrée principale du château de Saint Aignan.
Nous prenons le …….
Puis le chemin…..
Pour passer devant un lavoir totalement désaffecté.
D’un bon pas sous un beau soleil.
Pour arriver au …..
Que nous parcourons d’une fière allure.
Allez, une pause boisson…..
Originale cette boîte aux lettres …Arrivons au…Passons devant un Château viticole ….Et en zigzagant à travers vigne arrivons à un autre lavoir tout aussi désaffecté.Marc nous conte alors l’historique de la machine à laver le linge.Retrouvons le …….Au loin le Château Labatut se dévoile quelque peu……..Puis une jolie demeure aux abords de Saint-Loubès.
C’est vers 16h30 que le groupe éclate. Peu de lavoirs en fait.
RV samedi 5 mars au Domaine de Certes.

Animateur organisateur : BARON Marc

Distance : 10 km environ – 100 m de dénivelé

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

SAINT-LOUBES# – Carte Ign et topographique de la trace gps pour cette randonnée

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Breil Myriam et Bruno

Champarnaud Valérie

Cerdan Coraline

Delignette Dominique

Desmond Alexandra

Lagorce Pierre

Dupin Monique

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie-Jo

Metreau Céline et Eric

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Thomas Joëlle et Denis

Vacellier Géraldine

Villar Corinne

05/2022. PORTETS

La commune tire son nom de l’ancienne activité de son port sur la Garonne aujourd’hui transformée en halte nautique à vocation touristique grâce à un ponton-passerelle. Le nom de la commune est Portèth en gascon. Ses habitants sont appelés les Portésiens. L’occupation des sols de la commune est marquée par l’importance des territoires agricoles (50%).

Notre point de rendez-vous se situe sur le parking des installations sportives. 30 randonneurs  se retrouvent. C’est Fred l’animateur de cette randonnée.

Et c’est parti comme toujours d’un pas décidé. Elie et Denis aux avants postes.
Et ça suit…

Direction le chemin Pommarède vers le Lieu-dit Ségalier qui n’est autre qu’une gravière.

On passe Les landes de la Conteau, zone envahie par les gens du voyage dans un environnement pas très « clean ».Arrivée sur Castres de Gironde : On longe la piste cyclable sur quelques centaines de mètres.Prenons la direction du lieu-dit « la Conteau » puis arrivons à travers vignes à celui des Lucques.

Toujours à travers vignes arrivons vers « Les Boudoubans » et après regroupement traversons prudemment la D113.

Le Château de Mongenan est un château du XVIIIe siècle inscrit monument historique en 2003. Il accueille toute l’année de nombreuses conférences et manifestations culturelles. Son Musée du XVIIIe siècle, son Temple Maçonnique et ses jardins historiques classés «Jardins Remarquables» sont ouverts à la visite.Son pavillon, de dimension restreinte, constitue un fief en miniature, enclos de murs, avec ses vignes, sa ferme, son puits, son colombier, son four. Situé sur une colline dominant la Garonne, Mongenan a exactement conservé son apparence du XVIIIe siècle, car il est habité par la même famille depuis sa construction. C’est là que naquit en 1741 le dernier Ministre des Affaires étrangères de Louis XVI, Valdec de Lessart, dont les souvenirs et collections constituent l’essentiel du musée du XVIIIe siècle offert à la visite.

Le Château de Portets  est un bâtiment implanté sur le site d’une ancienne forteresse, il est le point central d’un domaine viticole de 30 ha situé dans l’appellation d’origine contrôlée des graves. Le château de Portets est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 29 avril 2013.
Vue arrière du Château de Portets

Le 31 janvier 1808, avant d’arriver à Bordeaux, Napoléon et Joséphine ainsi que leur suite font une halte au château de Portets. Au grand désappointent de l’Empereur les bateaux avancent trop lentement sur la Garonne, victimes de la marée et des vents contraires ; les souverains décident de faire une halte à Portets.

Une plaque de bronze, installée dans la cour d’honneur du Château commémore son passage à Portets.

La tour du Port du Roy : Cette ancienne tour de péage est située au bord de l’ancien port, nommé port du Roy en souvenir d’une visite du roi Henri IV. Elle comporte des ouvertures en plein cintre surmontées de mascarons.

La Garonne

Un ancien lavoir

L’église Saint-Vincent datant de 1861 est une construction dominée par un haut clocher sommé d’une flèche de pierre qui est caractéristique de l’architecture de la seconde moitié du XIXe siècle. Elle comporte une nef centrale élevée, éclairée par des fenêtres hautes et prolongée d’un chœur à abside polygonale. Ce vaisseau est bordé par deux bas-côtés aux toitures en appentis.

L’Espace la Forge situé près la gare est une salle de réception située dans une ancienne chaudronnerie. La salle de réception appelée « Le foyer » de 450 m², accueille 200 invités assis et 300 personnes en disposition cocktail. Aussi, la salle dispose d’une scène de 12 m², d’un terminal traiteur avec accès extérieur et d’un coin bar.

Espace culturel La Forge à Portets

 

Hôtel Restaurant Rapin : très ancien restaurant local avec comme particularité de servir les fruits de mer à volonté.

Le château des Gravières (Vignobles Labuzan) : C’est une exploitation familiale de 60 hectares avec un statut de viticulteurs indépendants.

 

Vue arrière du Château Cabanieux

Le Château Crabitey

Ancien prieuré qui a longtemps accueilli un orphelinat qui fut converti par les religieuses en exploitation viticole en 1882. On aperçoit une chapelle aujourd’hui transformée en chai.

Animateur organisateur : NOEL Fred

Reconnaissance : Fred, Denis, Joëlle

Distance : 9,6 km – 26 m de dénivelé

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Trace portets

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Berkesse Bernard

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Breil Bruno

Delignette Dominique

Cantillac Marie-Claude

Champarnaud Valérie

Cerdan Coraline

Dufour Marie

Estèbe Joël

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Maison Nicole et Patrick

Marcandella Jean-Christophe

Martin Marie Jo 

Noël Fred

Perthuis Frédéric

Pons Monique

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Vacellier Géraldine

Villar Corinne

Et Nathalie en essai

04/2022 SAINT-AUBIN DE BRANNE

 

La commune de Saint-Aubin de Branne, anciennement Saint-Aubin de Blaignac, compte environ 400 habitants répartis sur le bourg et une dizaine de hameaux. Elle fait partie du canton des Coteaux de Dordogne et de la Communauté de communes  de Castillon-Pujols. Le village, fondé en 985, détient, outre de nombreux éléments de petit patrimoine (lavoirs, fontaines, puits, maisons de vigne…), quelques richesses intéressantes :

L’église Notre-Dame construite au 11ème siècle est de style roman. Elle se  situe au milieu du cimetière et à proximité d’un ruisseau qui rejoint l’Engranne. Inscrite aux Monuments Historiques en 1925, elle abrite un imposant retable et une vierge  du 18ème. Sous le badigeon des murs de la nef, on a récemment découvert un ensemble important de fresques datant du 16ème siècle.

26 randonneurs se retrouvent sur la place de l’église. C’est Danielle qui a en charge cette randonnée.

Et c’est parti, bien emmitouflés et d’un bon pas.Un petit point de regroupement

Lieu-dit le Prieuré puis sur quelques centaines de mètres le groupe longe le ruisseau du Prieur.

Arrivée au lieu-dit Bardos

Près du lieu-dit Bardos se trouve Le Château du Bédat du 16ème siècle. Une tour carrée, adossée au corps de logis, renferme un large escalier à vis. Son nom viendrait du verbe latin «vetare», signifiant «défendre» (non vu).

Au lieu-dit Blanquine vue sur Saint-Jean de Blaignac

Isolée dans la nature..
Arrivée sur la commune de Cabara.C’est l’heure de la pose. On reprend des forcesEt c’est reparti.Belle maison du côté du lieu-dit Cobeyre.Le Moulin de Lescours. Beau moulin à vent construit vers 1810 et qui vient de bénéficier d’une soigneuse restauration de la part des propriétaires. Ce beau moulin tour a retrouvé une toiture et des ailes neuves.

Du côté de La croix Meynard

Les biquettes accompagnent le groupe….Une robe différente pour chacune d’entre elles.Puis des moutons….

Passage au Hameau de Peyssan puis retour vers le point de départ.

Trace de    ST Aubin de Branne (29-1-22)

Animateur organisatrice : GAUDIERE Danielle

Distance : 11,5 km –

Indice d’effort : niveau 2-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

PARTICIPANTS:

Afergan Elie 

Barbirato Annie

Baron Brigitte

Blanco Françoise et Michel

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Champarnaud Valérie

Couprie Marie-Claude

Desmond Alexandra

Dufour Marie

Gaudière Danielle

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie Jo

Noël Françoise 

Rischard Sylvie et Philippe

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle 

1 personne en essai

03/2022 BLASIMON

Blasimon est un petit village de 29,8 km² qui compte un peu plus de 900 habitants. Entouré par les communes de Mauriac,  Mérignas et Ruch, Blasimon est situé à 23 km  de Libourne la plus grande ville aux alentours. C’est aussi la plus petite bastide de la Gironde, qui a conservé de beaux éléments de ses origines.

Un traité de paréage, rédigé vers 1317/1322, entre l’abbé de Blasimon et le sénéchal du roi d’Angleterre Edouard II, créa une bastide à côté du vieux château de Blasimon, aujourd’hui en ruines, construit sur l’éperon rocheux qui domine la vallée.

Le patrimoine naturel et culturel  de Blasimon, forêt, abbaye, vieux moulin à eau, bastide, est mis en valeur à travers les sentiers de randonnée le long de la Gamage et du Treynem.

28 randonneurs se retrouvent sur le parking  de l’abbaye  Saint-Nicolas, merveille de l’art roman.L’ancienne église abbatiale bénédictine Saint-Nicolas, classée Monument Historique, a été bâtie aux XIIème, XIIIème, XIVème et XVIème siècles. Le portail de Saint-Nicolas de Blasimon est l’un des plus remarquable ensemble sculpté du bordelais roman. L’église et les bâtiments annexes de l’ancienne abbaye – ces derniers en ruine – s’intègrent harmonieusement au paysage de la vallée de la Gamage.  Le chemin de randonnée conduit depuis l’église jusqu’au moulin de La Borie qui relevait du fief de l’abbaye jusqu’à la Révolution.

Abandonnée par les moines au XVIIIe siècle, il ne reste que peu de chose des bâtiments claustraux envahis par les marécages, sinon une tour et quelques éléments du cloître.

Après quelques explications sur Blasimon et son abbaye…

….c’est parti, Denis emmène le groupe.

Quelques centaines de mètres sur l’asphalte et une petite montée vers la village pour démarrer.

Passons aux lieux-dit la Tuilerie, puis Petit ; un tombeau dans les vignes ; prenons un chemin entre sous-bois et prairie pour arriver au hameau « La Rosé ».

Une petite pose boisson.

Un point d’arrêt et d’intérêt près des vestiges religieux de la chapelle « Notre-Dame de Bonne Nouvelle »

Au lieu-dit Grand Homme une réserve ou élevage de sangliers. Impressionnant.

Certaines de ces dames étaient au départ craintives mais n’ont maintenant plus peur. Ils sont gentils ces cochons.

Passons à travers une très belle forêt en franchissant quelques obstacles.

Lieux-dits « Aux Fosses » et « Lionet » ; après un petit pont une montée.

Un nouveau tombeau à « Fillenarde »

Longeons la route le long d’une vigne, passons à Lousteau Neuf et arrivons à la base de loisir de Volny Favory et son plan d’eau que nous allons contourner.

Ce domaine de loisirs offre un environnement vallonné et boisé pour les amoureux de la nature. Cet espace naturel de 50 hectares comprend un lac de 7 hectares dont une partie est réservée à la baignade, l’autre à la pêche et aux activités nautiques.

Il est classé Espace Naturel Sensible depuis 2012 et il est possible d’y observer des espèces d’insectes endémiques, des petits rongeurs caractéristiques de ce type d’écosystème ainsi que des oiseaux migrateurs dans un environnement préservé.

Le sentier longe d’abord le lac alimenté par la Gamage (affluent de la Dordogne).

Le moulin de La Borie est situé en contrebas dans le thalweg de la Gamage 

Les chapiteaux des colonnettes des fenêtres géminées permettent de le dater du XIIIe siècle.Moulin à eau de La Borie (XIIIe siècle) : jusqu’à la Révolution il relevait du fief de l’abbaye bénédictine de Blasimon. Il a été restauré au cours des années 1990.

Quelques centaines de mètres sur l’asphalte et nous sommes de retour à notre point de départ.

Les armes de Blasimon se blasonnent ainsi : D’azur aux trois besants d’or.  (Marc)

Samedi prochain: Randonnée à Saint-Aubin de Branne

 

BLASIMON indice IBP dist 11 km

 

BLASIMON carte IGN Distance 11km D+ 84 Niveau 1

 

Animateur organisateur : THOMAS Denis

Reconnaissance: Denis, Fred

Distance : 11 km –   138m de dénivellé

Indice d’effort : niveau 1-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie et Coraline

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouet Serge

Bonneau Olivier

Breil Bruno

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Garcia Norbert

Le Nouy Karine

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie-Jo

Noël Françoise et Fred

Pertuis Frédéric

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Vacellier Géraldine

Villar Corinne

2 personnes à l’essai