Bordé au nord par la Dordogne, Saint-Loubès se situe à la périphérie de l’agglomération bordelaise et à proximité des autoroutes Bordeaux-Paris , Bordeaux-Genève et de la voie ferrée Bordeaux-Paris.
À la fois rurale et urbaine, Saint-Loubès a su se doter dès les années 1970 d’une zone d’activité économique dynamique. Elle poursuit aujourd’hui son développement.
L’activité rurale est encore importante et contribue à l’aspect des paysages. De nombreux producteurs proposent un vin classé dans l’appellation d’origine contrôlée Bordeaux supérieur. Près d’un tiers de la surface communale est dédié à l’agriculture et la viticulture.
Environ 10000 habitants, les Loubésiens et Loubésiennes.
Quelques monuments remarquables:
L’église Saint-Pierre. Détruite en 1855, l’église est reconstruite ; le chantier dure jusqu’en 1869 avec l’édification du clocher porche. De style néo-roman, l’église présente une nef centrale de cinq travées voûtée d’ogives et de bas-côtés.
La Chapelle Saint-Loup. ( non vu). La chapelle du prieuré de Saint-Loubès est le seul témoin d’un établissement bénédictin fondé par les moines de l’abbaye de la Sauve Majeure à la fin du XIe siècle. L’église du prieuré est le plus ancien bâtiment de la commune.
La chapelle était un élément d’un ensemble qui comprenait un cloître, des dortoirs et un réfectoire dont il ne reste rien. Le prieuré était un lieu de passage pour les pèlerins de Saint-Jacques de Compostelle qui traversaient la Dordogne.
Château Saint-Aignan. C’est un château-Hôtel qui dispose d’un parcours de golf, d’un court de tennis et d’un casino. Avec son architecture du XVIIIe siècle et son parc arboré, le Château Saint-Aignan offre un cadre intime et enchanteur. Après sa restauration, qui lui a redonné éclat et élégance, le Château Saint-Aignan valorise une pure architecture viticole du XVIIIe siècle.
Pour arriver au …..
Que nous parcourons d’une fière allure.
Arrivons au…
Passons devant un Château viticole ….
Et en zigzagant à travers vigne arrivons à un autre lavoir tout aussi désaffecté.
Marc nous conte alors l’historique de la machine à laver le linge.
Retrouvons le …….
Au loin le Château Labatut se dévoile quelque peu……..
Puis une jolie demeure aux abords de Saint-Loubès.
Animateur organisateur : BARON Marc
Distance : 10 km environ – 100 m de dénivelé
Indice d’effort : niveau 1- facile (distance + dénivelé)
Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)
Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)
SAINT-LOUBES# – Carte Ign et topographique de la trace gps pour cette randonnée
LES PARTICIPANTS
Afergan Elie
Barbirato Annie
Baron Brigitte et Marc
Breil Myriam et Bruno
Champarnaud Valérie
Cerdan Coraline
Delignette Dominique
Desmond Alexandra
Lagorce Pierre
Dupin Monique
Maison Nicole et Patrick
Martin Marie-Jo
Metreau Céline et Eric
Noël Françoise et Fred
Noureau Francette
Thomas Joëlle et Denis
Vacellier Géraldine
Villar Corinne
Et ça suit…
Arrivée sur Castres de Gironde : On longe la piste cyclable sur quelques centaines de mètres.
Prenons la direction du lieu-dit « la Conteau » puis arrivons à travers vignes à celui des Lucques.
Son pavillon, de dimension restreinte, constitue un fief en miniature, enclos de murs, avec ses vignes, sa ferme, son puits, son colombier, son four. Situé sur une colline dominant la Garonne, Mongenan a exactement conservé son apparence du XVIIIe siècle, car il est habité par la même famille depuis sa construction. C’est là que naquit en 1741 le dernier Ministre des Affaires étrangères de Louis XVI, Valdec de Lessart, dont les souvenirs et collections constituent l’essentiel du musée du XVIIIe siècle offert à la visite.
Vue arrière du Château de Portets
Un petit point de regroupement
Arrivée sur la commune de Cabara.
C’est l’heure de la pose. On reprend des forces
Et c’est reparti.
Belle maison du côté du lieu-dit Cobeyre.
Le Moulin de Lescours. Beau moulin à vent construit vers 1810 et qui vient de bénéficier d’une soigneuse restauration de la part des propriétaires. Ce beau moulin tour a retrouvé une toiture et des ailes neuves.
Une robe différente pour chacune d’entre elles.
Puis des moutons….
L’ancienne église abbatiale bénédictine Saint-Nicolas, classée Monument Historique, a été bâtie aux XIIème, XIIIème, XIVème et XVIème siècles. 
Le portail de Saint-Nicolas de Blasimon est l’un des plus remarquable ensemble sculpté du bordelais roman. L’église et les bâtiments annexes de l’ancienne abbaye – ces derniers en ruine – s’intègrent harmonieusement au paysage de la vallée de la Gamage. Le chemin de randonnée conduit depuis l’église jusqu’au moulin de La Borie qui relevait du fief de l’abbaye jusqu’à la Révolution.
Moulin à eau de La Borie (XIIIe siècle) : jusqu’à la Révolution il relevait du fief de l’abbaye bénédictine de Blasimon. Il a été restauré au cours des années 1990.
Puis il nous parle de l’église. L’église de Saint-Caprais est édifiée sur le flanc nord d’une petite colline, le chevet tourné vers l’est… et la vigne n’est pas très éloignée. Edifice roman du XIème siècle, maintes fois remanié depuis, l’église est le plus ancien bâtiment de la commune. La cloche en place provient du démantèlement de l’église de Madirac.
C’est tout d’abord parti d’un pas rapide sur asphalte direction le lieu-dit Sens et l’exploitation viticole qui en porte le même nom.
Passons sur un chemin très boueux en descente. Mais heureusement aucune chute..
Arrivons au lieu-dit « Tambourins »
Un regroupement pour traverser la route et prendre la direction du Pasquier.
Prenons à gauche le chemin de Bourbon.
Et sur le dur amorçons une petite descente.
Encore une belle maison en pierre.
Arrivons au domaine de la Branda.
Le domaine de La Branda et son parc de 9 ha. C’est une typique girondine ; ancienne maison de repos des évêques de Bordeaux, puis propriété viticole, maison de vacances, logement de maître et depuis 2010 gîte de charme, chambres d’hôtes et location de salles évènementielles.
Prenons le chemin de Beauchamps
Encore un passage bien gras.
Un très bel édifice sur notre gauche au niveau du lieu-dit « Hugons »
Un lavoir récemment rénové.
Un peu plus loin sur le sommet de la colline le Château Haut-Bardens, nous sommes sur le village de Cambes.
Notre balade par vignes, champs, bois et forêts et dans des chemins particulièrement boueux nous amène près du Château du Haut-Peyrat.
Par une descente boueuse en prairie le long des bosquets et en direction du vignoble. Les tenues de pluie sont de sortie.
A travers bois.
Bien emmitouflés …
Difficile de reconnaitre nos randonneurs…
Une petite pose boisson … Et Norbert se repeigne.
Puis savoure.
Après un passage en bordure de route apercevons au loin …
Un peu plus tard la pose casse-croûte est nécessaire pour se revigorer.
Plus loin à travers les vignes du Château Crain un ancien moulin à vent.
Une allée bordée de noyers en direction … du Château de Crain.
Elle est l’une des 6 portes de Bordeaux, avec la porte Cailhau, la porte de la Monnaie, la porte d’Aquitaine, la Grosse Cloche et la Porte Dijeaux.
De style gothique flamboyant, église puis basilique, elle fut bâtie entre les 14e et 16e siècles. Avec ses 75m de long, 38m de large, 23m de haut, elle est l’un des plus grands lieux de culte de la ville et une étape importante pour les pèlerins. Tout comme la cathédrale Saint-André, la basilique a la particularité d’être dotée d’un clocher indépendant : la flèche Saint Michel.
C’est la plus petite porte de Bordeaux. Elle fut construite en 1758-1759. Elle se trouve à mi-distance entre le pont de Pierre et le pont St-Jean. La rue de la monnaie débouche sur l’élégant ancien hôtel de la monnaie, où été frappée la monnaie de Bordeaux.
Construite en 1753 et située sur la place de la Victoire, elle constitue l’un des passages principaux pour accéder à la rue Sainte-Catherine. Véritable Arc de Triomphe, elle s’appelait auparavant la « porte Saint-Julien » tout comme la place sur laquelle elle est implantée qui n’a été baptisée « place de la Victoire » qu’en 1918. En 2005, un obélisque de 16m de haut et des tortues ont été implantées. C’est le premier monument bordelais conçu comme un hommage à la vigne et au vin. L’obélisque de forme hélicoïdale symbolise la vigne s’élevant comme une liane vers le soleil.
Ce bâtiment date du 19e siècle. Ce très bel ensemble comporte deux grands amphithéâtres d’époque et une superbe bibliothèque ancienne. Les 2 imposantes statues qui ornent son parvis forme une dyade (groupe de 2 personnes) symbolique représentant la Nature se dévoilant devant la Science. Le premier étage de la façade est orné de 5 bustes représentants 5 personnalités du monde de la médecine. Jussieu (botanique) , Laënnec (médecine), Bichat (anatomie), Dupuytren (chirurgie), Lavoisier (chimie).
Quelques mots de bienvenue et sur Blésignac et quelques consignes avant le départ.
Derrière ils ont l’air faciles…
A fond pour Marie-claude et Danielle.
Des couleurs flamboyantes..
Un pas sérieux et appliqué pour Jacques.
On regarde bien où on marche.
Marc cherche t-il son souffle ??
Norbert et Bernard très souriants.
Peu de randonneurs ont vu dans leur dos ce moulin en bordure de bosquet.
Passons au dessus du ruisseau d’Audiguey.
Après un courte descente, rejoignons la piste cyclable. Suivons celle-ci sans oublier que les cyclistes sont prioritaires et que les vélos sont silencieux …
Au détour d’un chemin bien herbeux en descente.
Quelques explications sur la … 
Plan de la randonnée. 
