08/2021. TRESSES

 

C’est Corinne qui accueille cet après-midi 25 randonneurs sur le parking de la mairie de Tresses. Les lunettes de soleil sont de sortie.Dans le lot c’est Maria qui flash avec ses nouvelles chaussures, bien plus belles que celles détériorées il y a 15 jours.

Tresses (4452 habitants les Tressoises et Tressois) accueille une activité agricole diversifiée et dispose d’une situation idéale : on accède directement à la rocade bordelaise à l’ouest, à la voie rapide qui file vers Libourne au nord, à celle qui part vers Bergerac au sud.

L’urbanisation s’étend le long d’une diagonale urbaine sud-ouest/nord-ouest entre le quartier de Mélac et le bourg tandis qu’une diagonale verte suit un axe nord-sud ; l’essentiel des entreprises se trouvent le long de la route départementale 936.

L’église Saint-Pierre de Tresses

L’église Saint-Pierre se composait, à l’origine, d’une nef unique terminée par un chevet plat. Elle a été agrandie par un bas-côté sur le flanc Nord au XVIe siècle, puis d’un autre au Sud au milieu du XIXe. Elle forme donc un édifice spacieux à trois nefs dominé par un grand clocher construit en 1877-1878.

Le château Palot est une propriété familiale datant du XVIIe siècle qui s’étend sur 20 hectares de bois, de vignes, de prairie.

Situé à côté du bourg, le château est désigné sous le nom de Balguerie dans certains plans cadastraux. Au XVIIe siècle, il appartenait à Gratien Pallot, seigneur de Puch de Gensac. La famille Balguerie, devenue propriétaire au XVIIIe siècle, y est toujours présente depuis cette époque.

Un groupe attentif aux explications de Corinne.Le château de Lisennes

Le nom de «Lisennes» est cité pour la première fois dans un texte de 1758. L’origine viendrait d’une racine LIZE comme «GLAISE» : terre grasse ou boueuse. La vigne y est présente depuis longtemps. Le plus ancien propriétaire connu est Etienne de Baritaud, conseiller du Roy, avocat général de la Cour des Aydes de Guyenne au début du XVIIe siècle.

Le domaine représentait quatre-vingt-quinze hectares dont vingt-trois en vignes et trente et un en terres labourables avec huit hectares de prairies, le reste en bois.

Voilà les bâtiments en bout de l’allée…

Lisennes est actuellement un vignoble de 50 hectares composé de cépages nobles sur ses terres « fortes » et « lizes ».

«Maison de maître avec grande cour d’entrée fermée par une grille en fer, au milieu de laquelle existe un très grand et magnifique portail aussi en fer… La façade du midi est éclairée par six fenêtres et une porte ouvrant sur le jardin dans lequel on descend par un large perron à trois côtés ; elle a le même nombre d’ouvertures dans la cour d’entrée».

Arpentons sur les lieux-dits Bourbon, Joli-Bois, Le landais, La Roche, La Lande.

Arrivons sur la partie boucle de Pompignac.Les lieux- dits : Merle, Caparénie,Fanfan

Puis on y trouve une très belle cascade..

Un moment de détente à l’heure de la pose casse-croûte… près de la cascade.

Et Jacques consulte les nouvelles…..

Les autres taillent la bavette…

Un peu plus loin, c’est Olivier qui retrouve son outil de travail ; une petite photo pour la prospérité. Nous prenons note que nous avons un chauffeur pour une prochaine excursion randonnée.

Nous continuons notre chemin sur le retour, passons à St-Paul, Citon, La Lande, et près du Château La Roche, chartreuse du XVIIIe siècle, dans la famille Roche depuis 1876.

Puis nous retrouvons notre parking de départ. Tout le monde est satisfait.

Une très belle randonnée bien ensoleillée . Merci Corinne

Animateur organisateur : Corinne Villar

Distance : 12,8 km – Peu de dénivellé

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Couprie Marie-Claude

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Garcia Norbert et Josiane

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Martin Marie Jo

Maison Nicole et Patrick

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Peere Laurence

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

Traçé Tresses

Niveau d’effort

 

 

07/2021. BRANNE

Branne…. Petite commune de 254 ha  et de 1133 habitants, blottie sur les bords de la Dordogne à deux pas de Saint-Emilion, Branne fait partie  de l’arrondissement de Libourne. C’est aussi le chef lieu de canton.

« La Dordogne » était un axe important pour le commerce (vins, bois, céréales).
Le commerce fluvial de Branne s’est développé au XVIIIe siècle, les marchands et artisans y étaient en grande majorité avec des bateliers, pêcheurs, commerçants, charpentiers……
Autrefois les gabares chargées de fûts, de céréales, de bois ou de pierres naviguaient sur la Dordogne ; de cette activité il ne reste aujourd’hui que les quais.

« L’église Saint-Etienne »  fut construite de 1859 à 1878. L’intérieur est composé d’une nef à quatre travées couvertes de voûtes et de deux bas-côtés.

« La Halle » qui se trouve au coeur de la ville, était à l’époque le centre vital de Branne où les habitants des communes voisines venaient vendre et acheter nourriture, objets et marchandises diverses. Elle figure au cadastre depuis 1672.La halle. - Branne

Passer le fleuve à Branne remonte au temps des invasions barbares ; on traversait alors sur un pont de bateaux jusqu’au XVIIe siècle, puis sur un pont suspendu en bois construit au XIXe siècle.
Il a été doublé en 1911 par le pont Eiffel, qui sera détruit le 24 août 1944 par l’armée allemande en retraite. Il est reconstruit et élargi après guerre, prenant l’aspect que nous lui connaissons aujourd’hui.
Certains d’entre nous profitent de notre point de rendez-vous pour observer l’ouvrage actuel.Pont du CD936 sur la Dordogne

C’est Bernard tout heureux qui dirige aujourd’hui.

Un groupe de 19 randonneurs s’est réuni. Comme de coutume nous faisons des mini-groupes. En définitive notre chemin de randonnée part du port de Branne mais se trouve en majorité sur la commune de Saint-Sulpice de Faleyrens.

Tout d’abord nous longeons la Dordogne environ 4,5 km sur le chemin bitumineux ; sur notre droite se succèdent d’agréables maisons secondaires, entre vignes, prairies, cultures ou friches.

Au passage un très beau pin à singes.

À gauche, du côté de l’eau, de belles vues des berges opposées s’offrent à nous. On peut voir aussi de nombreux carrelets, pour la plupart hélas désaffectés.

À 2 km environ du départ, entre Grange Neuve et Lacayot sur la rive opposée et sur le haut des coteaux boisés, nous remarquons le Château Montlau situé sur la commune de Moulon.

À cet endroit, anciennement appelé « Mont des lauriers », existent des vestiges gallo-romains sur lesquels fut bâti un château-fort du temps de l’occupation anglaise. Montlau,  remarquablement bien situé au sommet du coteau domine la vallée face à Saint-Emilion. Ce domaine produit de nos jours un excellent vin d’AOP Bordeaux-Supérieur.

Château Montlau - Vins - Moulon | Office de Tourisme du Libournais

Un peu plus loin….. Terre de Grand : les vignobles de Bernard XANS qui est également pêcheur en eau douce et qui commercialise notamment aloses et lamproies.

Quelques points de passage : « le Sourd », « Bernachot », « Lescave », « La Daurade ».

Quittons les bords de la Dordogne au niveau du Château  » Belle Rive  » propriété de 18 Ha de vignes et 15 Ha de prairies.

Après une petite pose, continuons à travers vignes, champs,  prairies,  ruisseaux, pièces d’eau.vers le pas de l’âne, Baillargue, Barrail, Le Rau.

Notre retour par les terres se borne à une promenade tranquille au milieu de la nature, sans obstacles, et où le regard porte loin…

Le temps se gâte quelque peu… les protections sont sorties.Retour vers la Dordogne vers Grange Neuve sur quelques centaines de mètres.

Vers 16h 15 le groupe se sépare. A samedi prochain à Tresses…

Animateur organisateur : Bernard Richez

Reconnaissance : Bernard, Fred

Distance : 11 km – Dénivelé  11 m

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Maison Nicole et Patrick

Michel Jean-Marie

Noël Françoise et Fred

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

06/2021. TIZAC DE CURTON

Tizac de Curton a la particularité d’être un des plus petits villages de France avec une superficie de 4 km2 et ne compte que 296 habitants.

Pas de monuments particuliers si ce n’est l’église et le prieuré. L’église Notre-Dame est de confession catholique et date du début du gothique dans la région. Les ogives reposent sur des butées romanes ; un des plus anciens porches de Gironde ; une nef unique terminée par un chevet plat ; un clocher-mur en pleine restauration.

Le presbytère date de 1752 ; beau bâtiment au décor raffiné. Au-dessus d’une des 2 portes se trouvent 2 angelots rappelant la vocation première de l’édifice. Bâtiment transformé à ce jour en salle municipale.

 page1image42747520 page1image42839840  page1image40673152 page1image40671616 page1image4066508827 randonneurs se retrouvent sur le parking jouxtant le prieuré. Briefing de départ Et c’est parti par un très beau chemin à travers bois et prés direction les lieux-dits Morion, les Artigauts,  Arrau en longeant le ruisseau de Daignac.

Plus haut le lieu-dit Bellevue

Puis une jolie demeure…

Arrivée sur le lieu-dit La Brède

Une surface agricole, totalement remaniée et le reste d’un ancien moulin.

Une petite pose

Un raidillon pour arriver au lieu-dit Bellevue. Vue sur un plan d’eau bien entretenu.

On se fait aussi un peu plaisir avec quelques caresses…

A Balleyrac… un joli coin de nature.

Et une nouvelle petite pause.

Au lieu-dit Le Treytin à côté de nous, les chasseurs tirent le sanglier et Maria perd ses semelles (qualité, qualité où es-tu ??) et il reste encore du chemin à faire !!!


Au Coutreau contournons le poste de distribution électrique.

Attaquons un passage plus que boueux en longeant le ruisseau Le Gindre. Quand on randonne il faut savoir aussi patauger. Diaporama de ce passage.

Marc et Denis ouvrent le passage….

On cherche où mettre les pieds …Attention Pierre tu vas glisser

Patrick décontracté mains dans les poches..

Tout en sourires… pour Francine. Plus craintive pour Valérie.

Françoise tourne le dos à la difficulté …

Serge sceptique…. Jacques s’inquiète… Bernard assure…

Hélène… Comment faire pour ne pas glisser  ?  Monique pas de souci avec 2 bâtons….

 Joëlle elle lève la droite ???

Alexandra à l’aise… Et oui c’est bien notre Laurence en cette position bizarre.. .. Corinne la surveille

Nous allons maintenant être détournés de la trace prévue et une partie du chemin se fera en bordure de route. Ah ces battues !!!

En fin de parcours remontons à travers vignes sur le  le Château Le Tros

La première mise en bouteille de ce Château a eu lieu en 1974, il y a maintenant plus de 40 ans. Le château le Tros est une propriété familiale depuis 4 générations. Les vignes du château le Tros s’étendent sur plus de 65 hectares répartis sur trois communes : Tizac de Curton, Génissac, Naujan et Postiac

Puis le Château Clavier

Retour au parking et dissipation des troupes. A la semaine prochaine à Branne.

Animateur organisateur : Denis THOMAS

Reconnaissance : Marc, Fred, Denis

Photos : Fred

Distance : 11 km – Dénivelé  105 m

Indice d’effort : niveau 2 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Flandé Hélène et Jacques

Lagorce Pierre

Martin Marie Jo

Maison Nicole et Patrick

Noël Françoise et Fred

Peere Laurence

Quérité Marie

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

randonnee-Tizac de Curton

 

05/2021 CARIGNAN DE BORDEAUX

Par un très beau soleil, les mordus de randonnées se réunissent sur le parking de la Mairie de Carignan de Bordeaux. Aux commandes Brigitte et Marc vont piloter la randonnée du jour : 28 randonneurs sont au rendez-vous et seront répartis dans plusieurs sous-groupes.

CARIGNAN de BORDEAUX
Ville de 3881 habitants et de 878 hectares. Le château de Carignan est sans aucun doute le plus beau monument de la commune et aussi le plus emblématique, puisque, grâce à son excellent vin, le nom de « Carignan » fait le tour du monde.

C’est parti…….Dès le départ de la randonnée Marc fait remarquer que dans un espace  aménagé près de la mairie un arbre est planté pour chaque naissance sur la commune (la question posée est de savoir si les prénoms figurent sur les arbustes)

Un début de randonnée très agréable à travers bois et sur chemin bien sec.

Un petit crochet pour passer devant l’église Saint-Martin d’origine romane et du 11e siècle.
Le portail et la corniche de façade sont du 12e siècle, mais considérablement restaurés au 16e siècle. La nef, les chapelles latérales et une abside polygonale ont été refaites au 15e siècle en style gothique. Les meurtrières datent de l’époque des guerres de religion, de la seconde moitié du 16e siècle.
Un tremblement de terre endommage l’édifice en 1759. Des contreforts sont placés le long des murs. Un clocher est construit. En 1791, la foudre le détruit en partie.
Une nouvelle restauration de l’église a lieu entre 1885 et 1886.

Arrivons au domaine de Baritault. Au loin une tour qui est en fait un réservoir d’eau.

Les lunettes de soleil paradent….

Au loin le Château de Carignan. Un petit détour s’avère nécessaire

LE CHATEAU CARIGNAN : L’histoire de ce château remonte au 13e siècle.
Au 16e siècle, après plusieurs changements de propriétaires, d’importants travaux furent entrepris.
En 1814, le château fut acheté par le marquis de Casapalacio. C’est à cette époque que les armoiries du marquis furent ajoutées au-dessus de la porte d’entrée de la tour de la cour intérieure.
En 1892, le château fut acheté par Honoré Picon, fils de Gaëtan Picon, fondateur de la marque «Amer Picon».
Le château fut entièrement rénové et agrandi par l’addition d’une orangerie, d’un nouveau cuvier et des chais.
C’est à cette époque que le château prit définitivement le nom de CHÂTEAU DE CARIGNAN.
Depuis, plusieurs propriétaires se sont succédés.
A noter que le château possédait un moulin à eau sur le ruisseau de la Bouteronde (en ruine) et un pigeonnier toujours en excellent état.

Le domaine possède une superficie de 150 hectares avec un vignoble composé de 30% de vignes de 40 ans d’âge et de 70% entre 8 et 25 ans d’âge. Les vendanges sont manuelles pour les vieilles parcelles et mécaniques pour les plus jeunes.

Faisons marche arrière pour emprunter le chemin de Bouteronde et un peu plus loin suivre le ruisseau du même nom.

Des chemins maintenant un peu boueux…. et qui deviendront au fur et à mesure très boueux…voir de la gadoue..

Arrivons au JARDIN DOURNEAU

L’ÉOLIENNE BOLLÉE
Cette curieuse éolienne était utilisée pour pomper l’eau du ruisseau et la remonter jusqu’au château d’eau du domaine Baritault, situé en haut de la colline.

A la fin du 19e siècle, Honoré Picon, fit édifier une éolienne dans le bas de son domaine pour exploiter une source toute proche. Inventée par Ernest Sylvain Bollée, elle demeure une des seules de cette marque encore en élévation dans notre région. 

Quelques commentaires de Marc concernant l’éolienne Bollée.

Passons devant une ancienne cressonnière puis un ancien lavoirPlus loin une autre vue sur le Château Baritault.

Ce vieux domaine s’appelait à l’origine «Michet» avant d’être racheté par Jean Baritault, garde du Palais de l’Ombrière à Bordeaux, en 1717.

En 1904, une tour carrée de 20 m de hauteur fut construite avec un bassin à son sommet qui se remplissait d’eau et qui permettait ainsi d’obtenir de l’eau sous pression pour tout le domaine.

Une pause casse-croûte près des installations sportives

Dans Carignan:  LE DOMAINE PEYVIDEAU. Ce hameau très ancien était composé dès son origine de plusieurs domaines.
Il s’appela successivement «Puyau de Maderolles», «Codat  puis «Peyvideau» pour Pierre Videau.
Les bâtiments datent du 18e siècle.portail du domaine de Peyvideau, à Carignan-de-Bordeaux

Les lunettes de soleil ne sont toujours pas retournées dans leurs étuis lors de la fin de randonnée, et c’est vers 16h45 que le groupe se sépare. A la semaine prochaine

 

Animateur organisateur : Marc Baron

Distance : 10,5 km – Dénivelé  160m

Indice d’effort : niveau 2 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 2 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 2 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Bouet Francine et Serge

Cantillac Jacques

Cayre Maria et Michel

Clee Marie-France

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Garcia Norbert

Guillerme Marie-Claude

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Lafaye Sylvie

Martin Marie Jo

Mlynarsky Marie-Line

Maison Nicole et Patrick

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Quérité Marie

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

 

04/2021. SAINT CAPRAIS DE BORDEAUX

 

Au vu de la météo printanière de ce samedi, 26 randonneurs se retrouvent sur le parking de la mairie.

C’est Serge qui dirige aujourd’hui. Les groupes de 6 à 7 randonneurs sont formés.

Passons tout d’abord au Château de Gourgue

C’est un ancien rendez-vous de chasse construit au XVIIème par la famille de Gourgue. Ogier de Gourgue fût conseiller du roi Louis XIII, trésorier de France ainsi que général des Finances. Le vignoble est de 5 ha soit environ 25000 bouteilles par an en appellation côtes de bordeaux. Cette propriété a été rachetée en 2010 par la famille Vincent.

Une bonne descente sur bitume puis une balade par champs, bois et forêts mais parfois dans des chemins particulièrement boueux qui nous amènent près du Château du Haut-Peyrat.

Ce château se situe sur la croupe d’une colline en hauteur de Cambes. Le domaine fait 20 ha. Les premières traces de la construction datent de 1571. Les tourelles crénelées et le perron sont des adjonctions du XIXème.

Une petite pause boisson en cours de route près des vignes.

Au lieu-dit Girard : une ancienne chapelleEn arrivant au village de Cambes : La maison Brémontier 

L’ancienne demeure de Nicolas Brémontier est aujourd’hui domaine Dulaurier. L’immense portail entouré de ses deux lions et deux aigles intriguent tout le monde.

Nicolas Brémontier, ingénieur, vécut à Cambes dans la propriété qui porte aujourd’hui son nom. Napoléon 1er le nomma Ingénieur en Chef et lui ordonna d’assainir les Landes qui n’étaient alors que des marécages. BREMONTIER s’attacha donc à cette tache, planta des pins dans les Landes et fit ses premiers semis expérimentaux dans son nouveau domaine de Cambes.

Nous descendons vers l’Estey de Cambes avec une vue en contre-bas de son église. Faisons une petite pause en bordure de Garonne.

La traversée de l’estey pour permet d’apercevoir une propriété et un arbre très agé.

Montons vers le lieu-dit Bellevue, sa grande salle et sa maison de retraite.

Une vue sur La Garonne du point le plus haut de Cambes.

Plus loin le beau domaine de Bellevue

Passons devant Le Château LarocheRésultat de recherche d'images pour "photos chateau la roche baurech"

La superficie du vignoble est de 25 hectares. Les vignes ont 40 ans.
Le Château Laroche est une très belle demeure dont les bâtiments des 17ème et 18ème siècles enserrent une pittoresque tour du seizième.
Jusqu’en 1824, le Château appartenait à la famille de Bire, Seigneur de Baurech.
A la fin du 19ème siècle, la famille prit la décision de vendre la propriété. Monsieur et Madame Palau en sont les propriétaires; ils ont en revanche vendu le vignoble.

Notre fin de trajet passe par les petites routes de Baurech. Une montée assez sérieuse au lieu-dit « des Augustins » avant d’arriver sur notre point de départ à Saint-Caprais.

 

Animateur organisateur : Serge BOUET

Animateurs de groupe : Serge, Denis, Marc, Fred

Photos : Fred

Distance : 10,4 km – Dénivelé positif 143 m

Indice d’effort : niveau 2 –  assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Cantillac  Jacques

Champarnaud Valérie

Clee Marie-France

Dupin Monique

Flandé Hélène et Jacques

Garcia Norbert 

Mlynarsky Marie-Line

Maison Nicole et Patrick

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

 

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02/2021 – Lignan de Bordeaux

Lignan de Bordeaux petit village de 9 km2 et d’un peu moins de 900 habitants.

En début d’après-midi Rando Lignan envahit le parking de la Pimpine.

Un peu d’histoire….

Dés les temps préhistoriques : le village est occupé par les Hommes, comme en témoigne la découverte d’outils du paléolithique dans le bourg, dans la grotte de Carle et sur les lieux-dits de Nadau, Mondet et Avensay. De cette époque, on a mis au jour les vestiges d’un site potier à Cavaillac et trois fours dans le bourg prouvant l’existence d’une production céramique artisanale sur le lieu.

Au Moyen Age des monastères apparaissent : celui du Clos Saint-Jean puis celui de La Ligne. Ce sont les moines qui construisent l’église Sainte-Eulalie aux XIIème et XIIIème siècles. A noter la présence des tombes monolithes et de nombreux sarcophages autour de l’église.

Le  27 décembre 1792  la paroisse Sainte-Eulalie va devenir Lignan-de-Créon lors de la première séance du conseil municipal qui a lieu dans l’église.

En 1847 sont fondés les établissements Saignes : 6 usines de cinquante ouvriers qui fabriquent jusqu’en 1934 des pulvérisateurs, des soufreuses à traction animale.

En 1873 est inauguré le premier tronçon de la ligne de chemin de fer Bordeaux -Eymet pour emmener les pierres des carrières de l’Entre deux mers dont celle de Lignan. A Lignan ces carrières deviendront par la suite des champignonnières.

Vers 1900, la crise de phylloxéra va ruiner les propriétaires des grands domaines viticoles. La ligne de chemin de fer devient alors un atout pour un homme d’affaire nommé Bertrin qui va bouleverser en quelques années la vie de Lignan. Il rachète le Château Seguin, crée un élevage porcin de 300 têtes  un cheptel de 100 vaches laitières, un haras de chevaux et entretient un vignoble de 110 ha.

Dans les années 1930 à Lignan-de-Bordeaux : 9 forgerons, plusieurs charrons, un maréchal ferrant, une scierie, 3 bars-restaurants, une auberge, 3 épiceries et le moulin de Zuera qui emploie 20 ouvriers. L’école fût construite en 1877 et plusieurs fois agrandit.

Outre l’église Sainte-Eulalie et le Château Isle-fort qui bénéficient d’une protection au titre des monuments historiques une vingtaine de lieux et édifices sont recensés à l’inventaire général du patrimoine.

Les dames se sont chapeautées et laissent admirer leur apparats

Du gris côtelé avec pompon rouge pour JoëlleIci un mélange de gris et de blanc…….Très classe et de cérémonie le chapeau d’Annie…Du gris mais agrémenté d’une fleur pour Françoise…..Du noir belphégorien pour Monique…..Un rouge classique pour Francette….Vert côtelé et pompon pour Valérie…..Le bandeau blanc de sportive pour Marie-LineSobre et noir pour Brigitte….

On y va… C’est Jacques le globe-trotter du club qui emmènera une tribu de 32 randonneurs. Comme habituellement plusieurs sous-groupes sont formés.

Nous contournons de suite l’église Sainte-Eulalie, prenons un chemin pentu et boueux pour nous diriger vers le plateau. Passons ensuite les lieux dits « Clos Nadau » « Fazillau » « Bidon » « le Rousseau » pour arriver « Au Basque » la terre de prédilection de notre guide.

Beaucoup de zones très boueuses à travers bois et vignes. Belle nature.

Le groupe DenisLe groupe MarcLe groupe BernardLe groupe Corinne

Notre randonnée se passe en priorité à travers des sous- bois. La majorité des arbres ont perdu leur feuillage et c’est sur un lit de feuilles que nous arpentons. Des zones très boueuses également mais une très belle nature.

Par un petit pont nous passons le ruisseau le Rauzè.

Le groupe est très prudent en arrivant sur le centre de Cénac.

L’église de Cénac est une église de confession catholique se situant au coeur du bourg. Elle fût édifiée au XIème siècle et fortifiée lors de la guerre de religion du XVIIème siècle.

L’arrière du Château Lamothe (construit au XIVème siècle)
Plus loin une belle demeure….

Et toujours bon enfant nous continuons notre chemin avant de descendre vers la piste cyclable aux environs de la gare de Latresne par un chemin très boueux ; une petite pose ; quelques centaines de mètres sur cette piste pour aborder ensuite sur notre droite la contre-allée qui cette fois-ci est en montée sérieuse vers le Château Haut Brignon.

Bizarre cette racine d’arbre qui pousse à côté du tronc et s’y accroche à une dizaine de mètres de hauteur. Encore une particularité de la nature.

Les ruines du château Haut Brignon

Le château était un grand logis de deux niveaux, sous étage de combles. Le bâtiment  d’un style néo-classique, percé de fenêtres à agrafes et de lucarnes avait deux tourelles néo-gothiques de taille inégale. Les édifices agricoles datent du XVIIIe siècle. Ce style éclectique s’est développé à Bordeaux et dans le département au XIXe siècle.

Le Château Brignon devait avoir aussi un très beau jardin.

Un peu plus loin : Le Château de Montignac

Le Basque. Au retour nous sommes une nouvelle fois sur les hauteurs de Lignan  « le plateau » et allons descendre vers notre point de retour en passant à côté de la propriété de Jacques et Marie-Claude.

Animateur organisateur : Jacques Cantillac

Animateurs de groupe : Jacques, Denis, Marc, Bernard, Corinne

Reconnaissance : Jacques, Marc, Brigitte

Distance : 12 km – Dénivelé 143 m

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 2 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

xxxxxxxx xxxxxxxxx

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Champarnaud Valérie

Couprie Marie-Claude

Dupin Monique

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Martin Marie Jo

Mlynarsky Marie-Line

Michel Jean-Marie

Maison Nicole

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Peere Laurence

Quérité Marie

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

202101141002.       Trace lignan

01/2021 St-Quentin de Baron

Notre rendez vous se situe sur le parking des écoles à St-Quentin de Baron. 28 randonneurs « en manque »  sont dans l’attente. Après les mots de bienvenue du Président, Fred, l’animateur de service, forme 5 sous-groupes pour respecter les consignes sanitaires du moment.

Saint-Quentin de Baron

Saint-Quentin de Baron est une commune viticole, d’une superficie de 9 km2 et d’environ 2500 habitants. Ses habitants sont appelés les Saint-Quentinaises et les Saint-Quentinais. Elle fait partie de la Communauté de Communes du Brannais.

Le nom de la commune provient du nom du Saint patron de la paroisse, Saint-Quentin, apôtre romain du IIIe siècle qui évangélisa la Gaule.

La commune conserve un riche patrimoine, vestige des siècles passés. Le territoire de Saint-Quentin de Baron est occupé depuis une époque ancienne. Les sites de l’abri sous roche de Lespaux et les grottes de Jaurias en révèlent des traces.

Le site fortifié de Bysquetan et la construction des églises romanes attestent pleinement de l’occupation humaine autour de la vallée dès la fin du XIe siècle. En outre, les vestiges d’un donjon du XIIe siècle montrent qu’un château existait dès cette époque.

Au cours du XVIIIe siècle, Montesquieu possèdera des biens à Saint-Quentin de Baron.

L’Église Saint-Quentin est fondée au cours du XIIe siècle. Sa construction primitive se compose d’une nef unique terminée par un chœur et une abside en hémicycle.

L’édifice est fortifiée au XIVe siècle avec le rehaussement d’un parapet crénelé et des modifications au XVIe siècle lui apportent des éléments de style gothique flamboyant. 

Nous nous dirigeons  vers l’église et après une centaine de mètres, obliquons sur notre gauche dans un petit chemin en pente.

En chemin un passage très boueux et des travaux de rénovation….

Des gens heureux….  de randonner

Quizz ….. Lequel d’entre nous donne un coup de pouce à notre nature ????

Lieu-dit Ribeyrau … une belle maison sur notre gauche

après la petite pose casse-croûte …..Direction Espiet

L’église du Bourg … Un petit arrêt pour la visiter

le Gîte et les chambres d’hôtes La Lézardière

Le Moulin Neuf :  Situé sur la commune d’Espiet, le Moulin Neuf de construction fortifiée, serait l’œuvre des moines de la Sauve Majeure. Le système de fabrication de la farine comportait deux meules et une roue verticale de 5 mètres de diamètre. Les murs à pignon carré des façades sud et nord s’élèvent au dessus des toitures et leurs faîtes sont décorés chacun de trois croix de pierre, rappelant ainsi son origine ecclésiastique.Espiet Moulin neuf 5.JPG

Le ruisseau qui alimentait le moulin.

La foudre a fait des beaux dégâts sur ce pin.

La belle mairie de Saint-Quentin de Baron

Animateur organisateur : Fred NOEL

Animateurs de groupe : Serge, Denis, Marc, Fred

Reconnaissance : Marc, Fred, Denis, Serge

Photos : Fred

Distance : 10 km – Dénivelé  51 m

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

xxxxxxxx xxxxxxxxx

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Bouet Francine et Serge

Cantillac Jacques

Cayre Maria et Michel

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Garcia Norbert et Josiane

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Martin Marie Jo

Mlynarsky Marie-Line

Michel Jean-Marie

Maison Nicole

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

18/2020 SALLEBOEUF

Sallebœuf est une commune d’une superficie de 1480 hectares située au cœur du territoire de la communauté de communes Les Coteaux Bordelais. 2500 salleboeuvois(es) vivent dans un écrin de verdure entourée de vignobles, bois et forêts.

« Salleboeuf « est un composé formé du mot salle, qui, autrefois, désignait un château.  Généralement, le mot Salle, en composition toponymique est suivi d’un nom de personne, qui est celui du fondateur ou ancien possesseur du lieu . On pense que c’est le nom qu’il faut reconnaître dans (buovo)bœuf de Salleboeuf.

La commune comptait quatre forteresses ou ”Mottes Féodales“, bien antérieures à l’occupation anglaise : ce sont les châteaux de “RETORET”, des “MANDINS”, des “MOUSSES” et “de la TOUR”.

Les trois premiers n’ont pas eu de construction en pierre. Le quatrième était un château du XIe siècle, situé sur un des points culminants de la commune, au Nord-Est du bourg actuel.

Ce château a été abattu puis reconstruit en 1313. Il fut, au Moyen Age, le manoir des Seigneurs de SALLEBOEUF. En 1336, il  fut ruiné de fond en combles. Devenu inhabitable, il fut délaissé par ses propriétaires. On y a souvent, depuis, déterré des débris d’armes, de cuirasses et, notamment, un chandelier du XIIIe siècle aux armes des Chevaliers de l’Ordre de Malte.

Un autre château, celui de la SALLE, beaucoup plus modeste, s’élevait alors sur un éperon rocheux au nord du village actuel. Ce manoir était la propriété d’un sire BUOVO, mais n’avait vraiment rien d’une forteresse. C’était plutôt une belle maison de campagne. Néanmoins, son influence fut importante pour le village, puisque le nom du propriétaire, associé au nom du lieu, devint SALABOVE, puis SALLEBOEUF.

L’église Sainte-Marie de SalleboeufL'église Ste Marie de Salleboeuf vous salue. — Secteur pastoral de Tresses - Diocèse de Bordeaux

est récente, elle a été construite à la fin du XIXe siècle pour remplacer l’ancienne église qui était située au coeur du village, sur la place Carnot; elle est dédiée à Notre-Dame et date de 1860.

On notera l’orientation particulière de l’église : le choeur n’est pas orienté vers l’Est, vers le soleil levant, symbole de la Résurrection, comme la plupart des églises chrétiennes mais vers le Nord, sans doute pour une meilleure disposition par rapport à la route.

Le plan de l’église est le plan typique en forme de croix latine, les deux bras de la croix formant le transept. Elle est de style néo-gothique à voûte sur croisée d’ogives.

On peut y admirer aujourd’hui les 4 lustres dont 2 offerts par Gustave Eiffel à l’occasion du mariage de son fils Edouard.

Une chapelle récupérée lors de la démolition de l’église “Saint-Cyr et Sainte-Juliette” à été réimplantée dans l’église actuelle.

C’est Marc qui, ce jour, guide et commente les points particuliers de cette randonnée. Les 17 randonneurs sont répartis en 3 mini- groupes .

Passons de suite à l’arrière du Château Pey La Tour

Le Château La Tour date du XIIIe siècle ; la culture de la vigne du XVIIIe. Devenu Château Pey La Tour, il fut acheté par la famille Dourthe en 1990.

Les Secrets du Château Pey La Tour accueillent dans un environnement privilégié, préservé et authentique :  30 chambres confortables sont à disposition ainsi que 8 salles de réceptions, pour des évènements jusqu’à 100 personnes. Les Secrets Château Pey La Tour, c’est aussi un restaurant de caractère où il fait bon déguster des produits frais de saison d’une cuisine fine et raffinée.

Nous arpentons le long des  vignes.

Pour arriver à un plan d’eau que nous contournonsUne petite montée à travers bois, quelques centaines de mètres sur le bitume, et nous redescendons toujours à travers bois vers une source.

Passons au lieu-dit Les Pontons

Arrivons au Château Vaquey. Il faut improviser pour ouvrir le portail.

Cette propriété de 200 ha située sur le point culminant fut l’ancienne demeure de Gustave Eiffel (surnommé le « Magicien du fer »). Il y resta de nombreuses années pendant la construction des ponts métalliques de la région. A l’origine une belle chartreuse  à laquelle il a ajouté un étage supplémentaire sur la partie centrale surmonté d’un belvédère où il a installé ses bureaux de dessin.

La résidence est entourée d’un parc constitué de pelouses et d’allées ombragées. Le Château Vaquey est maintenant une résidence pour personnes agées à taille humaine (50 places) qui propose des espaces de vie spacieux et lumineux à la décoration élégante et soignée.

Château Milon. Le Château Milon se trouve à proximité  du château Vaquey. Gustave Eiffel, en grand amateur de vin, ne s’était pas trompé sur le terroir exceptionnel de cette propriété, une qualité qui classe le Château Milon à part dans les exploitations de son appellation. Cette exploitation possède un vignoble de 13 hectares de vignes.

Le Château Labatut (beaucoup moins élégant) est ancré sur un haut plateau argilo-calcaire d’une quarantaine d’hectares. Le Château Lalande Labatut produit des Bordeaux et Bordeaux supérieurs haut de gamme de très grand caractère. Le vignoble de 44 hectares est constitué de deux domaines, Château Les Gauthiers à Bonnetan et Château Lalande Labatut à Salleboeuf. Il produit chaque année 260 000 bouteilles de vin rouge AOC Bordeaux, 20 000 bouteilles de vin rosé AOC Bordeaux et 17 000 bouteilles de vin blanc sec AOC Entre-Deux-Mers.

Nous nous arrêtons sur la Place Carnot : Une prospection réalisée en 2002 sur le site de cette place a révélé une nécropole mérovingienne témoignant d’une occupation du site au cours des VIIe et  VIIIe siècles. Cette nécropole était constituée de neuf sarcophages dont 3 monolithes. On peut aussi trouver sur les murs de la maison qui borde la place quelques traces de l’ancienne église qui elle était dédiée à Saint-Cyr et Sainte- Juliette.

C’est vers 17h que le groupe se quitte. Prochaine randonnée maintenant en 2021.

 

Animateur organisateur : Marc Baron

Animateurs de groupe : Marc, Fred, Denis

Serre-files : Corinne, Jacques, Serge

Reconnaissance : Marc, Fred, Denis,

Photos : Fred

Distance : 10 km – Dénivelé  150 m

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Garcia Norbert et  Josiane

Noël  Françoise et Fred

Noureau Francette

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Trace du circuit:

17/2020 Saint Jean de Blaignac

 

Saint-Jean de Blaignac est un village d’environ 500 habitants. L’église Saint-Jean, ancienne priorale relevant de l’abbaye de La Sauve Majeure date du XIIème siècle. Elle a été fortifiée au XIVème et rehaussée d’un clocher à peigne. Son classement au titre des monuments historiques date de 2002. La Croix du cimetière date du XIX ème et est classée quant à elle depuis 2001.

Par un temps très agréable, 26 randonneurs se retrouvent sur le parking en bordure de Dordogne. Certains ont même les bras dégarnis.

Naturellement avant de démarrer nous faisons 3 groupes. Denis, Jacques, Fred aux avants, Marc et Bernard en sécurité arrière. Denis lance les troupes à 14h.10.

Nous apercevons de suite Le château de Courtebotte, ancienne propriété de la famille Touzet de Vivier. Ce château est sûrement avec l’église l’un des lieux les plus importants de la commune. Aujourd’hui réhabilité en chambres d’hôtes, on y propose une vue imprenable sur la Dordogne.

Vue sur la Dordogne

Un autre Château moins entretenu en bordure de Dordogne.

Pas très loin une maison de caractère.

Nous longeons le fleuve sur quelques centaines de mètres pour obliquer ensuite direction Guillermat en suivant un cours d’eau d’irrigation.

Plus loin une petite pose boisson pour les 3 groupes.

Le groupe 2 en tête au niveau du biberonnage.

Les chevaux nous font la fête.Au loin on peut deviner sur la colline le lieu-dit Verdelle … et oui il faudra monter cette première côte sérieuse.

Au lieu-dit Clos Verdelle comme décoration dans le jardin…. une tombe….

Par un chemin à travers vignes prenons la direction du lieu-dit Bardassoule.

Au loin un château se dressent sur la colline le Château de Pertignas ainsi que l’église  Saint-Vincent.

L’église Saint-Vincent a conservé des traces d’un bâtiment du XIème siècle. La plus grande partie de l’édifice date des VIIème et XIIème siècles avec des décors sculptés romans. Les siècles suivants ont laissé leur empreinte avec la fortification du clocher et un bas-côté gothique du XVIème siècle ainsi que des chapelles du XVIIIème siècle.

Plus à droite se dresse l’arrière imposant d’un autre château que nous retrouverons plus tard.

Arrivons à Saint-Vincent de Pertignas. Une petite pose boisson et une photo de la mairie, cela fait toujours plaisir à nos 3 élus municipaux.Arrivons sur le devant du Château dont nous avions vu l’imposant arrière.

Le Château Isabeau de Nogent est d’époque médiévale ; il est aujourd’hui entièrement restauré et transformé en hôtel de luxe. Il est dédié à la privatisation pour l’organisation des mariages, réceptions, baptêmes, séminaires : 12 chambres sont réparties à l’étage et dans les bâtiments annexes avec vue sur les vignes.

Fidèle à sa tradition viticole, le Château peut proposer de nombreuses activités autour du vin : visites des chais,  dégustations, initiation à la dégustation, conférences sur le vignoble, sur la vinification…

Ses Chais..

Le goûter est sorti du sac près du château. Nous reprenons le chemin en contournant  le long des vignes. Direction le grand Donnezac.

En cours de route quelques petits cèpes. Ah Marie-Claude…

Longeons sur quelques centaines de mètres la départementale mais par un très large chemin en bordure de vigne jusqu’au niveau du Château Bonhoste.

Propriété familiale depuis 5 générations, qui perpétue les traditions du vignoble.

Avec 66 hectares de vignes partagés entre deux Châteaux et 5 appellations (Bordeaux, Bordeaux Supérieur, Crémant de Bordeaux, Bergerac, Côtes de Bergerac), la famille Fournier propose une large gamme de vins !

Le Château de Bonhoste, certifié Haute Valeur Environnementale depuis 2013, conduit sa vigne en mode de culture traditionnelle et en lutte raisonnée. En effet, ils sélectionnent et maîtrisent les rendements, optimisant la maturité afin de préserver l’authenticité durant l’élevage et développer une meilleure expression des qualités du terroir.

Traversons la départementale direction les lieux-dits Baron (encore lui ) et Pinard (il en faut).

Une belle maison ancienne rénovée.

Encore notre Baron…. Il est partout.

Passons au lieu-dit Lieutenant Pinard.

Toujours de belles maisons en pierre blonde.

Un peu plus moderne celle-là mais toujours de très belles pierres.

Moutic et son ChâteauST JEAN DE BLAIGNAC 021

Au XVIIIe siècle, le hameau de Moutic se compose probablement d’un seul domaine comprenant le château, la maison du régisseur, les fours à pain, mais également les écuries, le pigeonnier et les dépendances. Dans celles-ci sont logés plus tard les colons, c’est-à-dire les ouvriers attachés à la propriété viticole. Par la suite le château est occupé par un notaire royal. Au milieu du XIXe siècle, il est probablement détruit puis rebâti au goût du jour et mis en valeur à l’extérieur par un jardin à terrasses qui s’ouvre sur la vallée. Le lierre décore aujourd’hui la façade du rez-de-chaussée conférant à l’ensemble un charme certain.

Il ne nous reste plus qu’à finir la randonnée par une descente bien prononcée sur le bitume pour rejoindre le parking. Il fait toujours aussi beau ; nous nous séparons.

Animateur : Denis THOMAS

Reconnaissance : Denis, Fred

Photos : Fred

Distance : 11,800 km – Dénivelé  104 m

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Champarnaud Valérie

Clee Marie-France

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Garcia Josiane et Norbert

Guillerme Marie-Claude

Lagorce Pierre

Lafaye Sylvie

Lataste Martine

Martin Marie-José

Michel Jean-Marie

Noël Françoise et Fred

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

 

Carte IGN 1/25000

Carte IGN St Jean de Blaignac 12km

IBP = 35 HKG St Jean de Blaignac 11 km

 

16/2020 SAINT-MACAIRE

La commune de Saint-Macaire se situe sur la rive droite de la Garonne au niveau où l’effet des marées s’estompe, à environ 47 km au sud-est de Bordeaux. 

Le territoire communal ne couvre que 179 hectares constitués principalement de vignobles, de champs et de bois. Un peu plus de 2000 Macariens.

La ville est érigée sur un promontoire rocheux qui domine la plaine alluviale. Elle  est constituée de 2 entités : la ville ancienne côté Garonne et la ville neuve qui est plus au Nord. Elle forme une agglomération de communes avec Saint-Maixant et Verdelais.

La ville ancienne est de forme semi-hémisphérique, concentrée autour de l’église Saint-Sauveur, de l’ancien prieuré et de l’emplacement de l’ancien château-fort (aujourd’hui détruit). Entourée de remparts, la ville est encadrée par deux faubourgs apparus au Moyen Age et eux-mêmes protégés par des murailles : le faubourg du Thuron, à l’est et Rendesse, à l’ouest.

Saint-Macaire était une ville riche grâce au commerce. Après la mise à sac des établissements religieux par les huguenots et le démantèlement du château au sortir de la Fronde, c’est au tour de la Garonne de jouer des tours aux Macariens car elle s’éloigne des remparts. Le port est donc déplacé en 1658. Du coup, les marchands quittent la ville pour Bordeaux.

Nous avons rendez-vous sur le parking extérieur aux pieds des remparts de la ville fortifiée. 

Le matin une visite guidée du village de Saint-Macaire est organisée : 23 personnes y participent avec masque. Serge tout d’abord salue et présente quelques nouvelles arrivées.

les Remparts du XIIIe siècle, à l’origine baignés par la Garonne jusqu’au milieu du XVIIe siècle. Lors des inondations, le fleuve vient régulièrement les saluer. La prospérité commerçante est à l’origine de la construction de la première enceinte fortifiée de Saint-Macaire.

Les grottes, anciennes carrières de pierre : l’extraction des pierres a permis de construire les maisons et bâtiments de la cité mais également le Pont de Pierre et le Théâtre de Bordeaux. En 1830, 1200 ouvriers y travaillaient.

De notre point de départ nous pouvons admirer la Maison de Tardes

Cette maison forte médiévale date du XIIIe siècle et comporte 5 niveaux. Les embellissements de la renaissance la transforment en hôtel particulier. Les 2 temps de construction témoignent des époques de prospérité de la cité avant et après la guerre de 100 ans.

Nous longeons sur quelques centaines de mètres la Garonne et prenons le chemin Tivoli qui nous mènera à l’entrée de la ville du côté Thuron.

Tout d’abord s’offre à nous un grand lavoir édifié au XIXe siècle, alimenté par 2 sources et se situant près d’une fontaine voutée.

Passons la porte Thuron 

La porte Thuron précédée d’une barbacane est un ensemble défensif de la fin du XIVe siècle. Il contrôlait la liaison entre le premier port et la place Mercadiou.

Direction la place Mercadiou ou « place du marché ».

Sous forme de bastide médiévale, elle est bordée d’arcades en pierres blondes et de très belles maisons, symbole de la puissance des marchands.

Le relais de poste Henri IV place Mercadiou

Avec sa fausse façade en rez- de- chausséeSaint-Macaire 33 Relais Henri IV 01.jpg

Cet édifice entièrement construit en pierre de taille possède une cour intérieure, lieu privilégié d’échanges commerciaux. En fond de cour les écuries rappellent que le lieu habitait un ancien relais de poste.

Arrivée sur l’arrière de l’église Saint-Sauveur près du prieuré et de son aile de 9 arcades.L’église priorale Saint-Sauveur construite en plusieurs campagnes dès le XIIe siècle possède un porche dont le tympan présente des scènes sculptées.

Par la rue du Canton…..

découvrons la Porte de Benauge qui constitue l’accès principal de la ville. Couronnée de puissants mâchicoulis elle est accolée au premier Hôtel de Ville construit à cette époque.

Passons à  l’extérieur de la ville pour apercevoir « Le Théâtre de la Nature »

Dans un tout autre style de construction ce kiosque est le reflet des activités musicales de la ville de Saint Macaire. Conçu pour des représentations d’opéras lors des fêtes annuelles de la Saint-Jean. A noter qu’en 1913 la ville était la 2ème ville de France pour le nombre de musiciens par rapport au nombre d’habitants.

La porte Rendesse

La porte Rendesse fait partie de la 2ème enceinte de la ville ; elle défendait le faubourg résidentiel à l’ouest qui devint par la suite le quartier du second port fluvial.

Un peu plus loin…

Retournons vers l’église Saint-Sauveur pour redescendre ensuite au parking.Après cette visite le repas est tiré du sac près du parking en bas des remparts.

 

Une dizaine de randonneurs nous rejoignent pour l’après-midi. Nous formerons 3 groupes avec distanciation des randonneurs. Denis, Fred et Serge guideront les groupes et Jacques, Marc et Corinne en assureront la sécurité arrière.

A 14 h prenons le Chemin des palus en direction de la Garonne que nous longeons sur quelques kilomètres. Passons au Lieu-dit Carreyre et ses cultures de plans de vignes bien arrosés.

On passe dans plusieurs hêtraies…

et arrivons près du Port des Arrocs pour la pose boisson.

Un chemin bitumeux nous amène ensuite à Saint-Pierre d’Aurillac que nous allons traverser. L’église de Saint-Pierre d’Aurillac a été reconstruite au XIXe siècle. Seule l’abside reste romane avec une corniche supportée de corbeaux ouvragés. 

Passons la ligne de chemin de fer et prenons des chemins ruraux direction le Pian sur Garonne, village d’environ un millier d’habitants. Quelques montées à travers vignes nous amènent vers le point haut et l’église Notre-Dame.

Cette église de style néo-roman possède un imposant clocher. Quelques centaines de mètres le long de la route principale et direction ensuite vers le Pas d’Ouens.

Arrivons à la Table d’orientation où un très beau panorama s’offre à nous.

Continuons vers le lieu-dit Bel Air qui est un endroit que nous connaissons bien pour y être déjà passés lors d’une randonnée sur Verdelais.

Au loin d’ailleurs nous apercevons le domaine de Verdelais et ses 2 moulins.

Un dernier petit raidillon pour arriver à La Croix et son superbe point de vue, ceci à quelques encablures de Malagar.Il ne nous reste plus maintenant que de la descente pour retourner vers Saint-Macaire et notre point de parking.

Animateur organisateur : Serge BOUET

Animateurs de groupe : Denis, Fred , Serge

Reconnaissance : Serge, Marc, Denis, Fred

Photos : Olivier, Fred

Distance : 11,960 km – Dénivelé  126 m

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

 Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cartulat Jean-Michel

Cayre Maria et Michel

Clee Marie-France

Couprie Marie-Claude

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Flandé Hélène et Jacques

Guillerme Marie-Claude

Lafaye Sylvie

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie-José

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

Carte IGN 1/25000