18/2023 LIGNAN DE BORDEAUX

 

C’est Jacques notre vétéran lignanais qui va diriger un groupe de 28 randonneurs.En attendant les derniers.Le groupe est maintenant prêt, Emmanuelle vient d’arriver.Départ vers l’arrière de la mairie.Direction la propriété de Jacques.Marie-Claude et Coraline prennent la pose devant les hortensias.De beaux paysages sur les prairies.Une petite pose boisson, bien à l’ombre.Petit arrêt avant une traversée de route. Jacques compte ses ouailles.Une sérieuse montée.Au passage une belle propriété.Dans les vignes au retour.

Animateur: Cantillac Jacques

Les Participants :

Afergan Elie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Bouvier Francine

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cerdan Coraline

Couprie Marie-Claude

Garcia Norbert

Laffargue Patricia

Maison Nicole et Patrick

Mlynarsky Marie-Line

Noël  Fred

Sopéna Emmanuelle

 

15/2023. LA SAUVE

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  La commune de la Sauve Majeure est bien connue pour son abbaye qui domine le bourg. Autour de l’abbaye une agglomération monastique s’est développée du XIe au XIVe siècle, marquée par une croissance continue. La fondation du monastère bénédictin s’est accompagnée de la création d’une sauveté, double seigneurie foncière.Vers 1090, on voit la création d’un premier bourg autour de l’église Saint- Pierre. A côté, plus tard un bourg neuf est créé avec sa paroisse, c’est le bourg Saint- Jean. La population atteignait déjà 1200 habitants au milieu du XIIIe siècle.

20 randonneurs se sont réunis pour faire cette boucle. Quelques consignes de Serge avant de prendre le départ.

La direction du centre bourg est prise pour faire le tour de l’Abbaye. Edifiée au Moyen âge, cette abbaye bénédictine se déploie hors du temps. Située sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle elle présente de célèbres chapiteaux et décors sculptés.

Le groupe se dirige vers la très belle église Saint-Pierre qui n’est habituellement ouverte que le dimanche après-midi. Elle fût fondée par Saint-Gérard en 1803 et reconstruite au XIIème siècle. De style gothique elle est classée aux Monuments Historiques depuis 1920 puis au Patrimoine Mondial de l’Unesco en 1998.

Et l’on traverse la ville.

La halle bâtie au milieu du XIXe siècle. A l’origine constituée de piliers soutenant une toiture, aujourd’hui modifiée par l’édification de murs entre les piliers périphériques.

En redescendant la rue de l’église l’ancienne prison communale qui est considérée comme la plus petite prison de France. Deux seules cellules dans ce bâtiment très petit (il y a 2 clients à la porte). En partie supérieure des créneaux surplombent une corniche.

A proximité quelques belles réalisations d’un artiste ferronnier local.

Une photo ancienne de la Sauve.Une pose s’impose.
La traditionnelle photo de groupe.
Passage au niveau de la piste cyclable. Quelques commentaires de Serge sur un ouvrage souterrain.Et on attend le passage du train.Le réaménagement de l’ancienne gare de La Sauve et son musée ferroviaire.Un couple bien fatigué reprend des forces.
Quelques explications techniques sur le matériel.    page1image54017056 page1image54017264  page1image54017680

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Randonnée: 9,8 km 149m de dénivelé

Animateur : Bouet Serge

Les Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Bouvier Francine

Caillau Christine, Maellys, Arthur

Estebe Joël

Laffargue Patricia

Laffargue Evelyne et Michel

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Vacellier Géraldine

 

16/2023 SADIRAC

Sadirac est une ville moyenne de plus de 4300 habitants (les Sadiracaises et Sadiracais). Une superficie de 19,2 km2 éclatée dans de nombreux lieux-dits. Elle possède la plus grande superficie des communes du Créonnais.

L’église Saint-Martin : Jadis fortifiée, elle présente encore aujourd’hui une charpente gothique et un clocher datant de 1863. Cette charpente est inscrite aux Monuments Historiques par arrêté du 24 décembre 1925.

Sadirac est reconnu depuis l’antiquité pour son savoir ancestral de la poterie grâce à l’argile du terroir. Ce savoir-faire fût sa renommée et sa puissance au-delà de nos frontières. Au 18ème siècle, l’industrie potière atteignait son apogée ; on peut dire qu’à l’époque dans chaque famille il y avait un potier. On comptait également plus de 150 fours dans la commune.

Plusieurs entreprises de poterie prospèrent jusque dans les années 1960 et ferment dans les années 1980.

La Poterie Fouragan construite dans le bourg vers 1830 produisait, dans une quarantaine d’ateliers occupant une centaine d’ouvriers, des moules destinés aux raffineries de sucre, puis la fabrication de pots destinés aux résiniers landais et à la poterie d’usage domestique.

Aujourd’hui, les vestiges restaurés de l’établissement industriel et du four désaffectés accueillent le Musée de la poterie et de la céramique de Sadirac. Celui-ci raconte l’histoire avec une collection d’objets issues de fouilles archéologiques.

Chaque année une manifestation d’envergure internationale a lieu au mois de juin.

La ligne de chemin de fer devenue piste cyclable

Au 19ème siècle, Sadirac se trouvait sur une ligne de chemin de fer reliant Bordeaux à Espiet pour alimenter les usines en matériaux. Chacune des villes desservies possédait une gare qui servait de halte pour les marchandises. Cette ligne était aussi empruntée par les voyageurs qui pouvaient se déplacer de ville en ville, ce qui était un privilège pour l’époque. La ligne fut fermée en juin 1940 au moment de l’occupation allemande.

En 1979, cette ligne a été arrêtée après la fermeture de la cimenterie d’Espiet. Elle fut transformée en piste cyclable appelée Roger Lapébie, du nom d’un cycliste renommé de la région.

L’ancienne gare de Sadirac abrite la maison du patrimoine naturel du Créonnais.
Des activités culturelles, pédagogiques et scientifiques pour tout public y sont proposées à travers les dimanches « découverte de l’environnement » (tous les dimanches entre 14h30 et 18h, entrée libre et gratuite) avec balades, ateliers, films et expositions. Chaque semaine, un nouveau thème est à découvrir. Les jeudis soirs culturels (diaporamas, conférences, sorties nocturnes, …) ont lieu à 18h30 .

C’est Fred qui va mener le groupe de 17 randonneurs qui sont au rendez-vous sur le parking de la maison du patrimoine.

C’est parti … le groupe démarre en arpentant une centaine de mètres de trottoir pour passer de suite au bassin aux salamandres.

Pour prendre à travers bois direction la Pimpine. Des chemins relativement secs mais aussi quelques zones boueuses ainsi que des racines.

Une petite pose et quelques commentaires de Fred.

Un passage boueux délicat !

Une autre pose pas loin d’un pont.Puis on va longer la Pimpine sur quelques kms.

La Pimpine prend sa source à Créon, possède 2 affluents sur la commune Le Gouchebouc et Le Ruzat et se jette après 16,9 km dans la  Garonne au niveau de l’île d’Arcins.
Puis un passage délicat. Mais tout le monde est passé sans encombre.

Nous attaquons une petite montée tranquille vers le lieu-dit Calamiac. Plus loin Francine et Fred se rappellent de leur point de rencontre il y a un an sous un beau chêne.

Puis on descend un peu sur le bitûme vers la barrière 74.

La Barrière 74 :  Gare intermédiaire entre Sadirac et Créon au lieu-dit Calamiac, à l’origine pour les habitants de Madirac et Saint-Genès de Lombaud.

Prenons un chemin de traverse empierré puis attaquons dans les sous-bois une petite montée en direction du lieu-dit Chazelle. Redescendons vers la Maison d’hôtes « le Vélo Vert ». Puis une petite grimpette après une attente d’un couple de retardataires.

C’est maintenant plus facile car nous sommes en hauteur en surplomb de la piste cyclable dans un chemin très agréable en descente vers notre point de départ.

En fin de parcours une photo de groupe sur le joli pont au dessus de la Pimpine.

En définitive, nous aurons fait 9,5 kms au lieu des 10,5 prévus sur des chemins bien ombragés ; satisfait le groupe se disloque vers 12 h.

Animateur : Noël Fred

Les Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Bouvier Francine

Debrie Sylvie

Estebe Joël

Frisach Julie

Laffargue Patricia

Laffargue Evelyne et Michel

Lasserre Sandra

Noël  Françoise et Fred

 

14/2023 PAYS BASQUE

La région du Pays Basque s’est formée il y a plusieurs millions d’années. La Rhune date de 220 millions d’années. Il y a 180 millions d’années une mer peu profonde recouvre la région et dépose des calcaires.

Il y a 100 millions d’années les blocs ibériques et européens se séparent creusant des sillons et provoquant des avalanches sous-marines. Elles ont déposé des sédiments appelés « flyshs ». Ce sont les beaux plis de la route des corniches.

75 millions d’années plus tard ces blocs se rapprochent à nouveau pour donner naissance aux Pyrénées.

Puis vient le temps des grandes glaciations entraînant des variations de climat, du niveau de la mer et les séismes qui ont sculpté le littoral et les reliefs du Pays Basque.

Apparaît alors un mammifère du genre Homo, notre ancêtre.

 

L’IBANTELLI : Roche conglomérante ou « pudding »

Les cailloux ou petits galets sont appelés des Clastes ; les blocs sont généralement sphériques, ronds. Ces pierres sont « assemblées » par une matrice composée de sédiments par un matériau chimiquement cimenté (silice, carbone, fer et gypse).

Ces blocs de pierres peuvent servir à la construction de maisons, routes voire fondations de barrages.

IBANTELI 9,9 Km D+ 646

Ibanteli groupe 1 profil altimétrique

IBP = 67 HKG IBANTELI

 

AINHOA

Fondé au XIIème siècle comme un relais de la route de Saint-Jacques de Compostelle. La rue principale est bordée de maisons au style LABOURDIN.

AINHOA veut dire Marie prénom donné en référence à la Vierge qui est apparue à un jeune berger dans un buisson d’aubépines du village.

La chapelle a été détruite 2 fois pendant les guerres napoléoniennes.

Entre le XIIIème et le XIVème siècle ce village fut disputé entre la Navarre et l’Angleterre même divisé en 2 parties.

Pendant la guerre des 30 ans, la ville fut détruite sauf l’église et une maison.

A la révolution française, certains habitants ont été déportés suite à la désertion de 47 jeunes d’ITXASSOU. Cette mesure fut étendue à d’autres communes proches. Ces personnes ont été envoyées dans les départements du Lot, du Gers, des Landes et des Pyrénées. Internés par mesure de sûreté, ces habitants sont revenus 8 mois plus tard mais on leur avait tout pris (meubles, biens etc). Certains ont pu récupérer leurs terres, seule ressource pour vivre.

Ainhoa 13,11Km D+ 552

Profil altimétrique Ainhoa

IBP = 66 HKG randonnee-Ainhoa

ZUGARRAMURDI

1200 habitants. Le mythe s’est façonné en 1610 lorsque le tribunal de l’inquisition a enquêté sur 40 femmes accusées de sorcellerie par leurs voisins ; 11 ont été condamnées au bûcher et les noms sont inscrits à l’entrée de la grotte. Les autres se sont repenties en voulant retrouver la foi chrétienne et d’autres ont été exilées avec confiscation de leurs biens.

randonnee-Zugarramurdi

IBP = 32 HKG randonnee-3118151-zugarramurdi-depuis-les-grottes-de-sare.gpx

SARRE

Rando Grottes Sare Groupe 1 4,71 km D+ 342

Grottes Sare Profil altimétrique

IBP = 47 HKG Grottes Sare

 

SAN SEBASTIANBelle vue sur la côteUn ancien lavoir
La plage de San SébastienLa place de de la Constitution à San SébastienLes artistes exposent sur la plage

San Sébastion 8,29Km D+ 314

Profil altimétrique San Sébastien

Les Martinades du séjour: Un oubli de vêtement sur une aire d’autoroute et un oubli de téléphone à l’hôtel. Mais où ont ils la tête??

PARTICIPANTS

Assémat Olivier

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danielle et Bernard

Bouet Francine et Serge

Bonneau Olivier

Couprie Marie-Claude

Lataste Martine

Ariane Larisse

Thomas Joëlle et Denis

13/2023. ASQUES

Dominant un méandre de la Dordogne, Asques est un charmant petit village, inscrit à l’inventaire des sites pittoresques de la Gironde, qui tient son nom du latin aqua (eau) ou du français asquette (abri dans la roche).

ASQUES faisait partie à l’origine de la paroisse de SAINT-ROMAIN LA VIRVEE. Elle est devenue paroisse indépendante en 1820.

A partir du XIIème siècle, bénéficiant de l’assèchement des marais et du développement de la navigation fluviale, la rivière devient une source de richesses et un lieu d’échanges pour les produits venus de l’arrière-pays. Le port d’Asques s’enrichit et fait vivre de nombreux artisans et commerçants.

L’activité fluviale décline peu à peu après les années 1870. Aujourd’hui, elle attire les plaisanciers et le port retrouve, l’été, un peu de l’animation du temps des gabares …

Rendez vous sur le parking surplombant la Dordogne où l’on jouit d’un beau point de vue sur les toits du village et sur le fleuve.

Aujourd’hui un groupe de 10 randonneurs se retrouve pour une randonnée de 12 kms ; le soleil est au rendez vous. C’est Marie-Claude qui va se charger d’emmener le groupe.

 

Et c’est parti pour quelques petites montées et descentes en priorité à travers vignes et bois.

Passage aux lieux-dits Grugey, Le grand Matat, La Gargone puis

Lieu-dit le Bourdieu.

Le Château de Cadillac en FronsadaisConstruit au XIIe siècle, c’est avant tout un château résistant, profondément remanié à partir du XVIe siècle. De nos jours, il se présente comme une demeure de forme rectangulaire, flanqué de tourelles au nord et de tours plus importantes au sud. La cour est fermée par une muraille qui a remplacé les larges fossés entourant le château. Au sud une terrasse domine l’ensemble des terres et des vignobles et offre un point de vue panoramique sur la vallée de la Dordogne. Entourés de murailles, le jardin et le parc possèdent des grottes où jaillissent des sources abondantes.

Vues sur la Dordogne.En descente …. Attention où tu mets les pieds, il y a des racines.Une autre vue de loin du Château Cadillac-en-Fronsadais.

Retour vers Asques avec la traversée du village. Si la commune s’étend pour sa plus grande partie sur des terrains alluvionnaires , toutefois, le bourg est situé sur un promontoire qui correspond à l’affleurement de calcaire. De belles demeures en pierres de Gironde du 18e et du 19e siècles. joliment restaurées s’alignent le long des ruelles.

Léglise Saint-Jean, construite en bordure du plateau qui domine la Dordogne,  était à l’origine la chapelle d’une commanderie hospitalière.  Placée sous l’invocation de Saint-Jean, elle a été restaurée au XVIIIe siècle, mais des vestiges romans indiquent qu’elle est ancienne. Probablement construite par les Templiers qui avaient là un petit territoire destiné vraisemblablement à héberger les pèlerins allant à Saint-Jacques de Compostelle.

Direction le petit port de Asques. De beaux sourires à la table d’orientation.

Descente vers le port.Sur le ponton.Bassin semi-circulaire en pierre.
Lavoir-Fontaine de 1878

« En 1875, Monsieur Signac, propriétaire à Saint-Martin, propose que ce lavoir fontaine et abreuvoir, placé à l’intérieur de sa propriété, soit transplanté, à ses frais, au bord du chemin ; il souhaite ainsi supprimer la servitude liée à la présence de ses équipements sur son terrain. Ce lavoir fontaine est utilisé jusqu’au milieu du XXe siècle. Deux autres lavoirs subsistent encore dans le village »

Les ancres marines

Animatrice : Marie-Claude Couprie

Les Participants :

Assémat Olivier

Barbirato Annie

Bouet Serge

Couprie Marie-Claude

Estebe Joël

Laffargue Patricia

Laffargue Evelyne

Maison Nicole et Patrick

Noël  Françoise

 

12/2023 FRONTENAC

Village de plus de 700 habitants, commune rurale d’une superficie de 14,4km2, on peut y découvrir le Domaine de La Lirette, classé site naturel remarquable. Situé dans un espace boisé de 20 hectares, il est reconnu comme un lieu de loisirs et de pratique sportive dont l’escalade sur son fameux mur de 15 mètres de hauteur.

Son église : Vers 1145, l’église est donnée au chapitre de Saint-Émilion par Raymond III, évêque de Bazas. L’élément le plus ancien est la nef romane du XIIe siècle. Le portail Ouest, les colonnes à chapiteaux historiés de l’abside et la corniche à modillons en sont les vestiges. Au XVIe siècle, la nef est percée de fenêtres flamboyantes. De même, le mur clocher est restauré et partiellement rebâti. Au XIXe siècle, deux autres baies sont ouvertes côté Nord et trois contreforts identiques à ceux du mur Sud ont été édifiés.

Le départ de la randonnée se fera depuis le parking champêtre du village. 14 randonneurs s’y retrouvent sur le parking du mur d’escalade et c’est Marc qui, après avoir fait quelques commentaires sur Frontenac et donné les consignes d’usage, va driver cet après-midi.

Nous sommes à côté de la mairie.Arrivons sur le lieu-dit Sauviolle.
Une belle bâtisse et une belle glycine blanche.Prenons la direction du lieu-dit Berthoumieux.Un bon pas de ces dames malgré la chaleur.Allez c’est l’heure d’une pose boisson et casse-croûte.En fin de randonnée au mur d’escalade.Passage à un ancien lavoir remanié en abri repas.

Randonnée bucolique avec du sous-bois, des prés, des champs de céréales quelques vignes et un peu de route.…

Animateur : Baron Marc

Les Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam 

Champarnaud Valérie

Lagorce Pierre

Martin Marie Jo

Maison Patrick

Noël  Françoise et Fred

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11/2023 CAPIAN

CAPIAN
La commune s’étend sur 18,2 km² et compte un peu moins de 800 habitants appelés les Capianaises et les Capianais. La commune de Capian fait partie de la CDC du Créonnais. Elle se trouve à 91 m d’altitude

L’église Saint-Saturnin, bâtie à la fin du XIIe siècle, était à l’origine composée d’une nef non-voûtée, s’ouvrant au sud par une porte romane. Au XVIIe siècle celle-ci est protégée par un porche fermé et fortifié.

C’est Marie-Claude qui se charge d’emmener la petite troupe de 15 randonneurs par un temps mitigé.Et c’est parti comme d’habitude d’un bon pas. Chemins parfois boueux en bordure de vignes et de bois.Quelques palombières en attente.Passons au lieu-dit :Un petit pont au-dessus du ruisseau le Gaillardon.Ce qui peut ressembler à une entrée de grotte.Plus loin une masure particulière et de fière allure.Un petite pose boisson. Il fait beau, les bras sont découverts.
Lieu-dit :Un beau puits et …De belles tours.Un passage délicat à gué au-dessus du ruisseau du Bouchon.Entre les arbres devinons le château Vieira qui possède un vignoble de 100 hectares qui s’étend dans l’aire d’appellation 1ères côtes de Bordeaux et Bordeaux supérieur.

Lieu-dit Minguet. Le hameau de Minguet est constitué de plusieurs maisons, la plupart en style bordelais de la fin du XIXe siècle.

Passé le hameau de Minguet, au hasard de perspectives propices, d’apaisants paysages s’offrent à nous.

Allez on s’arrête un peu … le temps est plus clément.Le télégraphe. L’invention des frères Chappe permettait un gain de temps important dans la transmission des messages. Ainsi un message qui aurait mis par diligence 4 jours pour aller de Paris à Strasbourg, ne mettait plus que 2 heures transmis par télégraphe. C’est en fait l’ancêtre de nos téléphones portables.

Carte postale d’un beau troupeau de moutons.

Le Château de Potiron : Construit sur la roche, ce château du XVIIe siècle offre tout le charme des propriétés girondines.  Histoire de famille et de passion, le château de Potiron est tenu par une propriétaire danoise fière d’avoir su redonner vie à ce cadre exceptionnel ! Situé sur les côteaux de Capian, il bénéficie d’un terroir exceptionnel et d’un ensoleillement important. Aujourd’hui, les 20 hectares de vignes du domaine sont cultivés dans un profond respect pour la nature.

Depuis 2018, gîte avec des superbes chambres et de magnifiques pièces de vie pour l’hébergement, une grande piscine, un patio extérieur et sa terrasse en pierre.Lors de la dernière pose, plus loin, dans la futée, le moulin Lacroy. Moulin tour datant du XVIIIe siècle comme les autres moulins de la commune. Son toit octogonal le protège des intempéries.Le domaine de Macquet.Le lieu-dit Macquet : un beau domaine. Le gîte du Domaine de Macquet est classé trois épis aux Gîtes de France.

Retour vers notre point de départ … une belle randonnée en bordure de vignes et dans les bois, beaucoup de montées et de descentes dans des chemins boueux mais tout le monde est content … à la semaine prochaine.

Animatrice :  Couprie Marie-Claude

Les Participants :

Assémat Olivier

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouvier Francine

Couprie Marie-Claude

Estebe Joël

Laffargue Patricia

Lagorce Pierre

Martin Marie Jo

Maison Nicole et Patrick

Noël Françoise et Fred

Vacellier Géraldine

Trace Capian.   capian2

10/2023. SAUVETERRE

La petite ville de Sauveterre présente encore aujourd’hui l’aspect caractéristique des bastides avec son plan géométrique, sa place carrée bordée d’arcades et ses quatre portes rectangulaires (portes Lafon, Saint-Léger, Saint-Romain et Saubotte) bien conservées, classées Monuments Historiques (1892), vestiges des anciennes fortifications médiévales démantelées au début du XIXe siècle. Fondée en 1281 par Édouard Ier, roi d’Angleterre et duc d’Aquitaine, Sauveterre resta anglaise jusqu’en 1320. Elle changea plusieurs fois de mains avant de devenir définitivement française en 1451. L’église Notre-Dame, bâtie à l’emplacement d’un ancien prieuré bénédictin, date du XIVe siècle. De l’édifice primitif ne subsiste que l’abside de la fin du XIIIe siècle, à pans coupés et contreforts saillants, classée Monument Historique (1925).

Cette bastide changea 10 fois de camp, française, anglaise, et devient française définitivement en 1421, deux ans avant la fin de la guerre de cent ans. Elle fut administrée par une jurade jusqu’à la Révolution française.

En 1896, la commune de Sauveterre devient Sauveterre-de-Guyenne.

Un groupe de 11 randonneurs se réunit ; c’est Joël qui animera aujourd’hui.

C’est parti en passant par le lieu dit Sambah.

Au lieu-dit Sandha un beau Château. belle maison bourgeoise.

Ensuite le groupe passe par différents lieux-dits: Lamelette, Le petit bois, Peyret, puis en bordure du plan d’eau de Claveau et ensuite  Lieu-dit Le Mayne

Eglise en ruines de Sallebruneau
Les jardins exotiques de Sallebruno.La commanderie en ruines de Sallebruno.Le penseur.Autour de la commanderie.Tombeau du lieu-dit Le Gros.

Au lieu-dit Le Gay

Un ancien moulinRetour vers Sauveterre.

Une petite pluie en fin de parcours.

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Animateur:  Estèbe Joël

Les Participants :

Barbirato Annie

Blanco Françoise

Bouet Serge

Bouvier Francine

Estebe Joël

Laffargue Patricia

Lagorce Pierre

Martin Marie Jo

Maison Nicole et Patrick

Villar Corinne

 

09/2023 DAIGNAC

Daignac est un petit village français situé à 13 kms de Libourne. Ses habitants sont appelés les Daignacais et les Daignacaises.
La commune s’étend sur 5,7 km² et compte environ 500 habitants.
Daignac est entouré par les communes de Camiac Saint-Denis, Espiet et Dardenac.
L’église Saint-Christophe de Daignac et ses cadrans canoniaux.
Un point de rendez-vous bien agréable.

C’est Serge qui va diriger le groupe de 16 randonneurs.

Quelques centaines de mètres sur dur pour commencer ; l’ambiance est bonne.
Direction le magnifique et très romantique Château de Pressac. La vie à Pressac a sans doute commencé à l’époque paléolithique, comme dans toute la région, du fait de la présence de multiples grottes et à coup sûr à l’époque romaine entre le 1er et le 4ème siècle après JC. En effet, des fouilles réalisées en 1993 ont permis de découvrir au point le plus haut de l’exploitation les vestiges d’une villa gallo-romaine. Le lieu choisi permet de penser à une présence toute proche de la vigne, alors exclusivement cultivée sur les points hauts.

Thibaud et Bernard-Arnaud de Pressac édifièrent une maison-forte, soit au sens strict une exploitation agricole fortifiée, dont la construction fut autorisée le 1er avril 1305 par Edouard 1er, roi d’Angleterre.

Arrêt au chais…. Marc intéressé par le Rosé, Serge par le Rouge, Olivier par le blanc.Une belle collection de tracteurs pour le travail de la vigne.Vers 1430, la famille de Ségur propriétaire du domaine obtint du roi le privilège d’édifier un colombier, appelé aussi fuie.
Qu’il est beau ce paysage.

Une petite grimpette dans les bois.

Le Château Milord est une élégante demeure datant du XVIIIe siècle. Le portail d’entrée, encadré de deux petites portes, s’ouvre entre deux pavillons. Autour de la grande cour centrale s’organisent plusieurs bâtiments, dont le corps de logis principal à un niveau. Que ce passe t’il donc la-dessous ??Un agneau coincé entre un mur et un grillage. Norbert essaie d’y accéder.Mais c’est Julie qui va le dégager.Le Château de Curton.

C’est un château médiéval inscrit au titre des monuments historiques, aujourd’hui un château viticole. Son origine date du XIème siècle.

Le long du ruisseau Canedonne.Un passage délicat.Passage en sous-bois.Serge veille sur ses ouailles.

Quelques petites caresses.Et c’est fini, on va rentrer à la maison.

La randonnée  : 9,2 km

Animateur : Bouet Serge

Indice d’effort : niveau 1 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 ++ assez facile (configuration terrain, passages boueux, racines)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Les Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Bouvier Francine

Frisach Julie

Garcia Norbert

Laffargue Patricia

Lassere Sandra

Lataste Martine

Lopes Laura

Maison Nicole et Patrick

Turbak Josianne

 

08/2023 SAINT QUENTIN DE BARON

Saint-Quentin de Baron

Saint-Quentin de Baron est une commune viticole, d’une superficie de 9 km2 et d’environ 2500 habitants. Ses habitants sont appelés les Saint-Quentinaises et les Saint-Quentinais. Elle fait partie de la Communauté de Communes du Brannais.

Le nom de la commune provient du nom du Saint patron de la paroisse, Saint-Quentin, apôtre romain du IIIe siècle qui évangélisa la Gaule.

La commune conserve un riche patrimoine, vestige des siècles passés. Le territoire de Saint-Quentin de Baron est occupé depuis une époque ancienne. Les sites de l’abri sous roche de Lespaux et les grottes de Jaurias en révèlent des traces.

Le site fortifié de Bysquetan et la construction des églises romanes attestent pleinement de l’occupation humaine autour de la vallée dès la fin du XIe siècle. En outre, les vestiges d’un donjon du XIIe siècle montrent qu’un château existait dès cette époque.

Au cours du XVIIIe siècle, Montesquieu possèdera des biens à Saint-Quentin de Baron.

Notre rendez vous se situe à la plaine sportive de St-Quentin de Baron. Nous serons 21 randonneurs pour cet après-midi venteux. C’est Fred l’animateur de service aujourd’hui.

􏰊􏰄􏰂􏰌􏰃􏰍Démarrons en direction du Château de Sours. Les origines du Château de Sours remontent au XIVème siècle. A l’époque il constituait une halte sur la route du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle. Les bâtiments actuels ont été construits en 1792 par les Comtes de Richemont, qui également ont planté les premières vignes sur la propriété. Les propriétaires actuels ont entièrement rénové le château et la propriété viticole, et ont acquis aujourd’hui une renommée mondiale.

Prenons la Route de Naudin qui descend puis continuons Rue de la Combe, et ensuite suivons un chemin se situant entre les vignes et le bois.

Descendons dans le sous-bois en direction du Ruisseau du Peyrat que nous ne pourrons pas traverser, le débit étant trop important lors de la reconnaissance. Le ruisseau Ruisseau de Peyrat est un cours d’eau naturel non navigable de 4 km. Il prend sa source dans la commune de Camiac-et-Saint-Denis et se jette dans le ruisseau Canaudonne.

Prenons donc un chemin de traverse le long des vignes. Remontons la Route du Tardinet direction le Plantier de la Taste et passons au Lieu-dit Normandin.

Arrivons au Lieu-dit Peut.

Enchainons sur la Rue Monteille qui est en pente légère pour terminer sur la route Couillabeau. Arrivons au Lieu-dit  Montenan puis au bourg de S- Quentin.

L’Église Saint-Quentin est fondée au cours du XIIe siècle. Sa construction primitive se composait d’une nef unique terminée par un chœur et une abside en hémicycle.

L’édifice est fortifiée au XIVe siècle avec le rehaussement d’un parapet crénelé et des modifications au XVIe siècle lui apportent des éléments de style gothique flamboyant.

Suivons la route qui monte vers le centre village. Passons devant la Mairie.

Plus loin une vue sur le moulin. Du haut de la colline le moulin domine le village. Ce moulin à vent datant du milieu du 18ème siècle, dans le périmètre du château de Bisqueytant, est propriété de la commune de Saint-Quentin-de-Baron. L’Association
« Moulin Saint-Quentinais » » a pour but la reconstruction de l’édifice (dégradé par les intempéries, à l’intérieur et à l’extérieur, il n’a plus sa toiture…) mais tous les mécanismes fonctionnent.MOULIN SAINT QUENTENAIS (SAINT QUENTIN DE BARON ...

Rejoignons le Chemin de Bysqueytan. Le Château de Bisqueytan occupe un site protégé à l’intérieur d’une vallée. Cette forteresse médiévale est plus précisément située sur une pointe rocheuse du plateau calcaire dominant le ruisseau de Bisqueytan qui coule à ses pieds. Enjambons le Ruisseau de Bisqueytan et continuons le long du château.

En 1313, la présence d’une fortification est attestée lorsque Guillaume-Raymond de Gensac, seigneur de Rauzan et de Pujols prend la « tour de Bisqueytan », alors propriété d’Arnaud Cailhau, bourgeois de Bordeaux. Le lieu est toutefois déjà fortifié deux siècles auparavant comme l’attestent la chapelle et les restes du donjon du XIIe siècle.

Endommagé par la guerre de Cent Ans le château fut rénové. Puis au XVIIIe siècle, celui-ci appartient à Montesquieu.

Le château épouse la forme triangulaire de celui-ci. Les courtines du XVe siècle, dont il reste par endroit les mâchicoulis et le chemin de ronde, entourent une basse-cour bordée de bâtiments composites. Une terrasse haute offre une vue sur le soubassement du donjon.

Les murailles du château de Bisqueytan sont encore présentes aujourd’hui. Par ailleurs, la demeure fait l’objet d’une inscription aux Monuments historiques.

Le château de Bisqueytan conserve un colombier, caractéristique de la région,  petit bâtiment dans lequel on élève des pigeons destinés à l’alimentation au Moyen-Âge. Il est inscrit aux Monuments historiques.Habité et en rénovation, il a une belle cour intérieure.

Reprenons le chemin en sens inverse le long du château.

Puis le Chemin de la Picharotte et rejoignons notre point de départ.􏰄 􏰦􏰉 􏰧􏰌􏰄􏰈􏰉􏰃􏰈 􏰊􏰄 􏰜􏰚􏰎􏰁􏰈 􏰵􏰂􏰁􏰍􏰍􏰃􏰒􏰃􏰢􏰃􏰉􏰣 􏰊􏰄 􏰍􏰄 􏰤􏰚􏰎􏰄􏰎 􏰍􏰌􏰎 􏰢􏰄 􏰟􏰡􏰉􏰣 􏰍􏰉􏰚􏰊􏰄􏰷􏰫
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La randonnée  : 11,7 km

Animateur : Noël Fred

Indice d’effort : niveau 1 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 ++ assez facile (configuration terrain, passages boueux, racines)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Les Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Bouvier Francine

Breil  Bruno

Estebe Joël

Lagorce Pierre

Lopes Laura

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie-Jo

Mlynarski Marie Line

Noël  Françoise et Fred

Sandra et Julie

Villar Corinne