20/2021 LIGNAN DE BORDEAUX

Pour la Randonnée de reprise et en phase avec le forum des associations, c’est le golden –boy du village qui va piloter le groupe à travers sous-bois, prairies et vignes.

Une quarantaine de personnes dont 20 du club et 20 en découverte se réunissent sur le parking central. Pas besoin de carte IGN ou de plan, Jacques connais trop bien le secteur.

En attendant le départ on recherche déjà l’ombre.

Mais en cours de route le soleil frappe.

Heureusement qu’il y a une partie en sous-bois.
Et de nouveau du soleil au passage des vignes.

Animateur: Jacques

Environ 8 km

Les participants du Club

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Buisseret Sylvie

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Couprie Marie-Claude

Dupin Monique

Desmond Alexandra

Lagorce Pierre

Martin Marie-Josée

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Peere Laurence

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

19/2021 Séjour au Pays Basque

 

C’est un superbe séjour de 4 jours que nous a concocté l’ami Denis. Une randonnée à fort dénivelé est prévue pour chaque journée. Nous devrions aussi retrouver et passer du temps avec nos amis basques de Bayonne.

AINHOA

Arrivée des 12 premiers randonneurs pour une randonnée de 8 km. Premières consignes de bienvenue.

Et c’est parti par une première montée tout d’abord sur asphalte. Marie-Claude et Françoise tout sourire.Sur le tapis caillouteux du chemin de croix, elles se détachent mais Joëlle résiste.Un peu plus loin on scrute les cartes ….une hésitation sur le chemin à suivre ….
Et Joëlle les mains sur les hanches s’impatiente…. Allez Denis…De belles vues sur la vallée d’Ainhoa.Arrivons à la grotte dédiée à Sainte-Marie.

Arrivée au belvédère à la fin du chemin de croix.Sa chapelle.

Certains y cherchent l’ombre et le repos.

Son parterre de platanes.La fin du chemin de croix et des tombes.Nous amorçons la descente et certains ont faim, il est temps de se restaurer.

D’un côté les « bétonneux »

De l’autre « les terriens ».

Nous repartons, après ce frugal repas. Nous rencontrons dans les sous-bois 2 potioks au repos à l’écart bien à l’ombre. Que font-ils là ??En fin de descente à l’arrière un trio de touristes se fait attendre.Apercevons au loin l’église située à notre point de départ.En fin de randonnée une terrasse s’impose à Ainhoa.

Puis l’apéritif avant le repas du soir.

Rando Ainhoa 7.86km D+ 354 H431 durée 3h05

Cotation Ainhoa 44 indice 2

LES ALDUDES

De bonne heure les Lignanais sont en place et attendent leurs amis Bayonnais de l’association « Léo Lagrange ». Les voilà, ils sont là et après quelques salutations de retrouvailles on va pouvoir démarrer. Les chefs de file se concertent.

Quelques civilités d’usage.Et c’est parti par une sérieuse montée plus que raide à travers sous-bois et sur un chemin empierré. Ce sera la bonne difficulté du jour.

Dur dur cette montée.

 

On arrive au col de Lepeder.La première pose pour se ressourcer s’impose.

Puis c’est reparti par un chemin découvert à travers les fougères. Cela monte plus doucement. Mais ça monte toujours.


Jean-Luc se maintient aux avant-postes.Denis suivi d’Annie.Marie et Chantal équipées, bâtons et chapeau.
 Régine assure aussi avec ses bâtons..Marc ferme la marche.Une nouvelle pose. Panorama à 360 degrés. On fait le point avant de repartir.Sans oublier bien sûr quelques photos souvenirs.En chemin, des contacts bien chaleureux. Les Marie-Claude, Marie, Chantal.

Corinne tient la forme.

Et oui on vient d’en bas.
Et on va y retourner en descendant.Prudence pour Chantal.Ce midi on va manger en bas chez Pierre Oteiza ses spécialités de cochon Kintoa.

Les cochons Kintoa.

Un repas très convivial.

Nous avons même quelques échanges avec le patron « Pierre »

 

Après le repas pour certains le jeu du béret basque.

Puis direction une bergerie et sa fabrication de fromages. Toutes les explications nous sont fournies par la patronne.Il fait très chaud. L’ombre est recherchée.Les brebis reviennent des alpages.
Et rentrent rapidement dans leur étable.
Un autre menu plus sec les attend. Marc veille.

Après les achats de fromages locaux , nous nous séparons. A dimanche les Basques.

Randonnée Les Aduldes 4km 2h00 D+ 180

IBP = 32 HKG ALDUDES

ITXASSOU

Sur le parking avant le départ.
Et c’est parti dans un décor très verdoyant.

Nous longeons un petit ruisseau qui alimentait autrefois un moulin.Une belle bambouseraie les pieds dans l’eau.Les restes du moulin.Originale cette boîte aux lettres !!Une bonne montée nous amène vers cette maison typique.Une petite pose…En cours de route Marie-Claude nous fait un exposé sur les différents types de vaches. Jacques tu l’as bien formé !!Nous allons attaquer une bonne difficulté sur un chemin empierré.
On transpire quelque peu.Vu la difficulté des haltes sont nécessaires.

Ils sont aussi là les Kintoas …

Nous allons maintenant redescendre vers la vallée.Il est temps maintenant de nous restaurer. Vous pouvez constater l’appétit vorace du président. Apparemment ce n’est pas la grosse chaleur.

Puis Corinne et Jean-Pierre nous guide vers la descente.Suivons une rivière tumultueuse.La photo de groupe au bord du gave.Un peu de divertissement au bord de l’eau.

Et c’est reparti sur la route qui domine le gave ; c’est très beau.

Le pas de Roland

Trace Itxassou 12.18 km D+ 479 H 483 durée 4h35

Itxassou 12,8k….58 indice 3

SAINT-MARTIN-D’ARROSSA

C’est parti pour la dernière randonnée…. en montée mais d’un bon pas.

Un petit arrêt en cours de route. On se ressource.

Jolie cette petite chute d’eauLa vallée est encore bien embrumée.
Nous arrivons près de la montagne, refuge des vautours.

Et ils sont bien là, une quinzaine au dessus de nous.La vallée se dégage quelque peu.Arrivons près des anciennes ruines des mines de LARLA.

Un peu de culture historique des mines.


La réserve d’eau naturelle des mines.Le bâtiment de remontée mécanique a été transformé en bergerie.
Le fond d’une excavation de mine.

Et on amorce la descente.

Un autre abri pour les moutons.Imposant ce chêne déraciné.

Le pique nique du dimanche midi et les bonnes bouteilles de Jean-Marie.

St Martin Arrossa V2 10 km St martin IBP = 44 HKG ou8A9JmFdTA.gpx St Martin Arrossa V2 6km25 V2

SOIREE A LEO LAGRANGE à BAYONNE

Nos amis Bayonnais ont tenu à nous recevoir dans les locaux de leur association. C’est parti pour une soirée festive après avoir fait connaissance avec le Président de l’association.

La table présidentielle. Avec Annie, Charlie, Jean-Paul et Jean-MarcelAvec Audrey et Chantal.

Avec Carmen, Marie, Régine.
Avec Michou, Rose, Corinne, Patrice.
Après une soirée très agréable, il est temps de nous quitter. C’est fini pour notre séjour au Pays Basque; on rentre à l’hôtel et nous reprenons la route lundi matin.

Fenaison oblige, Maître Jacques n’avait pu être des nôtres pour ce séjour mais  Marie-Claude a tenu à lui offrir en souvenir ce magnifique béret local qu’il porte avec élégance. De plus bizarre il habite au lieu-dit « Le Basque » à Lignan.

18/2021 CREON

Créon a adopté le nom de son fondateur, Amaury de Craon. Amaury de Craon  naquit vers 1280 de parenté illustre puisqu’il était cousin germain du roi d’Angleterre Édouard II. Il fut nommé sénéchal de Gascogne, c’est-à-dire représentant du roi d’Angleterre dans la province.  Par la suite, Craon est devenu Créon.

Créon aurait été créée pour devenir chef-lieu de la Prévôté de l’Entre-deux-Mers car cette région ne possédait aucune ville pouvant servir de résidence au prévôt, aucun chef-lieu administratif appartenant au roi d’Angleterre. De plus, les autorités de Gascogne voulaient mieux contrôler le cœur de l’Entre-deux-Mers et neutraliser l’influence du roi de France autour de l’abbaye de La Sauve-Majeure. Elle est donc établie face à l’abbaye de la Sauve-Majeure, ce qui constitue une véritable provocation. L’emplacement choisi est stratégique puisqu’il permet de contrôler le carrefour des voies conduisant du gué de Fronsac à celui de Langoiran, et de Bordeaux à l’abbaye.

Comme pour toute bastide, une charte de coutumes fut établie, désignant la ville sous le nom de bastide et codifiant les devoirs mais aussi les privilèges et avantages concédés par le roi afin que la ville soit autonome. Chaque semaine, selon la coutume, a lieu le marché et plusieurs foires sont organisées dans l’année.

Nous sommes 15 randonneurs au rendez vous. C’est notre Président Serge qui va mener la randonnée. Léonie et Marius les petits-enfants de notre Président nous accompagneront.

Une visite de la Bastide et de ses différents monuments s’impose.

L’Hôtel de la Prévôté d’Entre-deux-Mers était un édifice royal élevé en 1549. Il fut restauré au XVIIIe siècle puis transformé en mairie au XIXe siècle. Détruit en 1906, il a été remplacé par un hôtel de ville, reconstruit en 1907 grâce au legs d’Antoine Victor Bertal, riche commerçant niçois originaire de Créon, puis en 2007.

Créon (Gironde) — Wikipédia

D’autres bâtiments de la Bastide.Bastide de Créon - Villes et Villages à Créon - Guide Bordeaux Gironde

L’église Saint-Barthélémy.Vivre à Créon : Histoire, commerces et lieux d'intérêt à Créon en Gironde

De très beaux atours de façade.

Nous prenons tout d’abord la direction de Sadirac via les abords de la piste Lapébie.

En cours de chemin l’ami Marc qui verrouillait l’arrière du groupe et toujours à l’affût du moindre cycliste, en se retournant chute et se blesse.Trousse de secours du chef de file et quelques soins lui sont prodigués par Brigitte.

Après cette mésaventure, nous reprenons direction le lieu-dit Calamiac.
Beaucoup de bâtiments en ruines dans les vignes bordent notre passage.Nous traversons prudemment la D671 pour nous diriger à travers bois sur la deuxième partie de la randonnée.En sortie d’un bois arrivons vers le village du Pout.Par cette température l’ombre est bien recherchée.Direction la route de Cursan.Une résidence aménagée dans un ancien moulin.

Il y a quand même un passage humide.

Vers midi nous sommes de retour vers la cave coopérative de Créon et le groupe se sépare. Rendez-vous est pris pour la dernière randonnée samedi prochain à Loupiac.

Animateur organisateur : Serge BOUET

Distance : 11,500 km – Dénivelé 0

Indice d’effort : niveau 1 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude

Lagorce Pierre

Maison Patrick

Martin Marie-José

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Quérité Marie

Thomas Denis

Villar Corinne

creon (1)

17/2021 Saillans

Saillans est un petit village situé près de Fronsac et Saint-Emilion. Ses habitants sont appelés les Saillanais et les Saillanaises.
La commune s’étend sur 6,2 km² et compte moins de 500 habitants. La rivière L’Isle ainsi que le ruisseau de Frayche sont les principaux cours d’eau qui traversent la commune de Saillans. Celle-ci fait partie de la communauté de communes du Fronsadais.

L’église Saint-Seurin, qui date du 14e siècle est inscrite à l’inventaire des monuments historiques. Elle fût détruite par un incendie et reconstruite au 17e. La Chapelle de Carles reste toutefois le lieu de culte de la paroisse.

Situé au confluent de l’Isle et de la Dordogne, il doit son histoire à sa position privilégiée. Les Gaulois y faisaient leur marché, Rome y éleva un autel, Charlemagne un camp fortifié. Le Maréchal de Richelieu y bâtit une « folie », une demeure à l’architecture extravagante, qui fût le théâtre de grandes fêtes galantes dont l’écho propagea le renom des vins de Fronsac à la cour de Versailles. Au 18ème siècle, les noms de Fronsac et de Canon Fronsac jouissent d’une forte réputation. C’est ici qu’apparaît pour la première fois dans le libournais, la notion de « cru ».

Notre randonnée sera dirigée par le globe-trotter Jacques.

Elle passera en fait sur 4 communes : Saillans, Fronsac, Saint-Michel de Fronsac et Saint-Aignan. Les 16 randonneurs se retrouvent sur le parking de l’église.

Ils prennent tout d’abord la direction du port et de l’Isle pour la suivre sur quelques centaines de mètres.

Château La vieille Cure

Vingt hectares d’un seul tenant, le Château La Vieille Cure apparaît déjà sur la fameuse carte de la Guyenne  en 1780. Le vignoble occupe un site privilégié de plateaux et de côtes orientées surtout au Sud Est. Longeant la rivière Isle, sur une élévation de 65 mètres, la propriété bénéficie non seulement d’une exposition solaire favorable mais aussi d’un drainage efficace. Ces données assurent aux raisins une maturité généreuse dans des conditions sanitaires parfaites.

Puis les Châteaux Barbey et Labory

On passe à proximité du château Magonbeau vue arrière

Puis vue avant

Le groupe est toujours animé d’un pas très décidé.

Presque une discipline militaire.

Qu’elle est belle cette randonnée à travers bois et vignes, avec de super paysages.

Château La Fontaine

Le Château La Fontaine est une propriété implantée au coeur des vignes. Il met à disposition ses chambres avec vue magique sur les vignobles vallonnés du Fronsadais.

A proximité le Château Arnauton

D’une superficie de 25 hectares, le Château d’Arnauton bénéficie d’un terroir unique et remarquable, situé sur les pentes sud du tertre du Château, il domine toute l’appellation Fronsac. Le vignoble est planté sur un sol argilo calcaire. L’âge moyen des vignes est de 30 ans. La production de la propriété est de 120 000 bouteilles par an.

Le très beau Château La Coustolle

Par sa dimension et sa très ancienne réputation, Coustolle se place dans le peloton de tête des crus d’Apellation Canon Fronsac. A mi-chemin entre Fronsac et Saillans, la propriété occupe une combe aux terrains de molasse et grès profonds entourés de côteaux à dominante calcaire.

Le petit manoir du 19e siècle est couvert d’ardoises, signe de prospérité bourgeoise au siècle dernier. De nombreux aménagements successifs ont été pratiqués pour une meilleure exploitation vinicole et un plus grand confort du vin dont la production représente, bon an mal an, une centaine de tonneaux.

Au Lieu-dit « Gandineau » : Le château Gagnard

Puis au lieu-dit Caillau.

Sur la colline le Château Gaby

En retrait la cour du Château Caillou

Puis le Château Barrabaque (Famille NOEL)

Le vignoble de 10 hectares, situé sur les coteaux qui dominent la Dordogne, est exposé plein sud. Il bénéficie d’un terroir majoritairement argilo-calcaire. Barrabaque est situé sur les deux appellations d’origine controlée (AOC) Fronsac et Canon Fronsac.

Soucieux de la préservation de la santé et du respect de l’environnement, une culture raisonnée de la vigne est pratiquée. Les méthodes de culture et de vinification allient à la fois la tradition et les techniques modernes : vignes travaillées en fonction du terroir, vendanges manuelles des coteaux, tri soigné de la vendange, fermentation en cuves thermorégulées et élevage en barriques.

De belles vues sur la Dordogne.

Château Le MausseMausse : maison

Le Château Le Mausse, situé sur l’un des points les plus élevés des riches coteaux de Canon-Fronsac, dans la commune de Saint-Michel-de-Fronsac. Il domine un beau vignoble de dix hectares, composé de vignes soigneusement encépagées. Ce vignoble produit, en moyenne, quarante tonneaux d’un des vins les plus fins. Ce Château a obtenu la médaille d’Argent au Concours Agricole pour les millésimes 1979, 1982, 1983, 1985, 1996, 1998 et 2006.

Château Pey Labrie

Château Pey Labrie | Vins Fronsac

Au domaine Chateau Pey Labrie de 9 hectares a été ajouté en 1988 le domaine Château Caillou de 4 hectares. Tous deux, d’appellation Canon Fronsac, sont plantés de cépages nobles. Ils sont exposés pour une grande partie sur le flanc ouest, et bénéficient d’un ensoleillement favorable pour une maturité des raisins.

Cocasse le vigneron…

La plantation d’arbres et de haies, la création  de fontaines contribuent à dynamiser la faune auxiliaire et ainsi une défense naturelle des vignes plus intense.
Les produits fertilisants et les produits phytosanitaires sont utilisés de façon ciblée et raisonnée.
Grâce à toutes ces attentions, les deux domaines ont obtenu la certification « Haute Valeur Environnementale ».

Chateau Haut Mazeris

Le vignoble du Château Haut Mazeris se dessine en appellation Fronsac et Canon-Fronsac. Le plus haut coteau de la région héberge les 11 hectares de la propriété.

Direction ST-AIGNAN

Au loin de Saint-Aignan

Château des  Trois Croix

C’est en raison de la situation particulière de son vignoble implanté sur les trois communes de Fronsac, Saillans et St-Aignan que cette propriété porte le nom « Les Trois Croix » faisant allusion aux clochers des villages. Située sur l’un des points culminants de Fronsac (80m d’altitude), on peut jouir d’un point de vue exceptionnel sur la vallée de l’Isle et découvrir au loin les vignobles de Saint-Emilion et Pomerol. Le Château Les Trois Croix fait partie des très anciennes propriétés de la région comme l’indique la pierre de clef de voûte : 1712.

Le domaine de Pigouil

Les moulins

Retour vers le village de Saillans … en ordre étalé et dispersé. La discipline a disparu.

On se croirait en vacances…. mais non on « randonne » réellement.

Marie-Claude, tout sourire, suivant la saison, elle cherche des cèpes aujourd’hui ce sont des cerises qu’elle déniche..

Une très belle rénovation de grange

Cà se termine … Maria est contente.

Dans Saillans une maison de fière allure.L’ensemble des participants remercie Jacques pour cette excellente randonnée à travers vignes, bois, avec beaucoup de Châteaux et de très beaux paysages.

Rendez-vous samedi prochain pour patrouiller autour de Créon.

Animateur organisateur : Jacques Cantillac

Reconnaissance :

Distance : 11,500 km – Dénivelé  126 m

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

 Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noël Françoise et Fred

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

Saillans carte ign visorando

Saillans IBP = 34 HKG cotation

 

16/2021 BLESIGNAC

Blésignac est un petit village près de Créon, d’environ 320 habitants appelés les Blésignacais et les Blésignacaises. La commune située à 61 mètres d’altitude s’étend sur 2,5 km². Le ruisseau d ‘Audigey est le principal cours d’eau qui traverse la commune de Blésignac.
Cette commune fait partie de la Communauté de Communes du Créonnais.

L’église Saint-Roch serait une ancienne église templière ; elle est inscrite à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques par arrêté du 5 avril 2001.

Photo du Monument Historique Eglise paroissiale Saint-Roch situé à Blésignac

Le premier château de Blésignac a été construit au 13e siècle. Il sera remanié à plusieurs reprises jusqu’à devenir le bâtiment actuel qui date essentiellement de la fin du 18e siècle.

Château Blésignac à Blésignac salle de réception en Gironde

A ce jour le Château de Blésignac, belle bâtisse en pierre blonde typique trônant sur son esplanade à la française au milieu de 4 hectares de parc, est  spécifiquement dédié aux fêtes de famille. Il peut accueillir en résidences 20 personnes.

12 randonneurs se retrouvent au point de rendez-vous près de la mairie.

C’est Corinne qui va mener cette randonnée champêtre.

Direction le lieu-dit Landrau, traversée de ce hameau suivi d’un chemin herbeux qui traverse un petit bois.

Chevauchée entre les vignes puis de nouveau un bois pour passer le hameau de Gardès . Puis le lieu-dit Biraud.

Arrivée au centre de Faleyras et son église Saint-Gervais-Saint-Protais.

Construite au 12e siècle en style roman, elle est bâtie sur un édifice plus ancien. De l’église romane, il ne reste que le mur sud, dans lequel il y a un portail datant du 12e siècle, actuellement muré.

Un peu d’ombre pour boire un petit coup… C’est l’heure de la pose.

Plus loin le  Château Goumin totalement à l’abandon.

Direction la route du Hameau de Biac, puis de nouveau un chemin herbeux qui mène vers le lieu-dit Meireau puis le groupe arrive au village de Dardenac.

Dardenac : les habitants sont appelés les Dardenacais et les Dardenacaises.
La commune s’étend sur 1,5 km² et compte moins de cent habitants. Naturellement petit village ….. petite mairie.

Dardenac

Remarquable par sa nef lambrissée, l’église romane Saint-Clément porte les marques de l’histoire tourmentée de DARDENAC ; endommagée lors de la guerre de Cent Ans, elle est en partie restaurée au 16e siècle. Elle serait construite sur une source, d’où son patronyme.Historique

Le château de Dardenac est lui construit sur le roc ; pas de traces de fossés autour du château ; ses murs sont en partie détruits et il ne reste que deux tours dans lesquelles sont percées des meurtrières horizontales avec mire aux deux extrémités pour les mousquets.

gauffreteau

Une fue ou pigeonnier s’élève à ses côtés.

Corinne annonce que la partie sportive de l’après-midi arrive. Il faut passer des arbres couchés sur le chemin.

Soit en sautant l’obstacle à 2 pieds : quel courage

ou bien on lève la jambe dans un sens.Ou encore dans l’autre sens ..On peut aussi passer par dessous.

Après cette difficulté le groupe rejoint le « Pont de Traoucat » et traverse le ruisseau « La rouille du courant ».

Puis direction Espiet via la piste cyclable Lapébie ; l’ancienne gare d’Espiet et la cave viticole.

photo5.jpg - Photo de Restaurant de la Gare d'Espiet - Tripadvisor

Au niveau de Trousse Paille au moment de quitter la piste cyclable, pas très loin, dans la nature le Château Neuf  au lieu-dit « Le Luc ».

Par la suite le groupe passe sur le petit ruisseau près du lieu-dit « Moulin d’Audigey ».

Un peu plus loin un troupeau d’ânes attire l’attention.

Enfin la Route du Temple ramène le groupe vers le parking de la mairie .

Vers 17h le groupe se disloque. A samedi prochain avec Jacques à Saillans.

Animateur organisateur : Corinne Villar

Photos : Brigitte

Distance :  10,5 km – Peu de dénivellé (44 m)

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Cantillac Marie-Claude

Dupin Monique

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Martin Marie Jo

Maison  Patrick

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

15/2021. BONNETAN

Bonnetan est un petit village d’un peu moins de 5 km2 et d’une population de 1015 habitants (les Bonnetanais/naises). Altitude maximum 100m mais beaucoup de dénivelés. Un ruisseau : Le Canterane.

C’est Bernard qui se chargera aujourd’hui de notre aventure sur ses terres.

18 randonneurs se joignent à lui sur le parking de la mairie. La pluie s’annonce.

  • L’église Saint-Martin a été fondée au VIIe siècle. C’est une petite église romane avec une Tour Clocher Carré. Pendant la Fronde, en 1649, l’église de Bonnetan est saccagée et pillée par des hommes de la garnison du château de Vayres ; elle est remaniée à la suite de l’effondrement des voûtes, à partir de 1664. C’est un édifice qui a également été très restauré en 1890 par l’ajout d’une sacristie, d’un porche et d’une tribune.

  • Nous passons devant le Château Chenut qui date de 1908.
  • Passons au lieu-dit « Les Gachets »Passons une deuxième fois sur le ruisseau Canterane.
  • Ralentissons notre pas pour faire notre première pose boisson.
  • Passons devant un domaine viticole coté du lieu-dit « Le Violon »

Au loin le Château La Loubière. 

Une petite pose d’informations sur ce Château.

Le Château La Loubière est un édifice de la fin du XVe siècle. Le Château présente deux toits à pignons aigus, couverts de tuiles plates et couvrant parallèlement un grand logis rectangulaire de deux niveaux.  Il est flanqué d’une tour carrée.  Cette demeure a servi d’auberge-relais au XIXe siècle. Une propriété de 30 hectares dont 19 exploités.

Puis vient le domaine viticole Maledent et sa horde de chevaux.

  • Suit ensuite Le domaine de Bel air, maison construite dans la première moitié du XIXe siècle ; chai et cuvier de vastes dimensions édifiés dans la seconde moitié du XIXe siècle.

Passons de nouveau sur le ruisseau Canterane en arrivant sur Fargues Saint-Hilaire.

  • Dans le village il y a aussi une ancienne carrière de pierre, maintenant remplie d’eau et une petite forêt appelée par les habitants « Le petit bois ».

Bernard nous donne ses consignes avant l’accès à cette carrière.

Un peu plus loin un passage bien arboré pour y pénétrer.

Cà devient notre partie Koh Lanta de l’après-midi. Refus d’obstacle… on contourne.

  • Après la Carrière très en eau, il ne nous reste plus qu’à emprunter le chemin Couture pour retourner à notre point de départ ; mais avant de retourner à nos voitures tout le monde est OK pour faire en plus le tour du parc (bien entretenu) de Bonnetan.

Vers 16h45 le groupe éclate. A samedi prochain à Blésignac.

Animateur organisateur : Bernard Richez

Distance : 11 km – Dénivelé  117 m

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Maison Patrick

Martin Marie-José

Mlynarsky Marie-Line

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

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13/2021 LATRESNE

LATRESNE : A l’origine comme beaucoup de communes du bord de la Garonne, l’histoire de Latresne et de ses habitants (les Tresnais et Trainaises) se confond avec celle du fleuve. Elle tiendrait d’ailleurs son nom d’une interprétation étymologique de « tréna » qui pourrait signifier « bord » ou « rivage ».

Latresne est reconnue pour la 2ème année consécutive au classement du Top des Villages de 2000 à 5000 habitants où il fait bon vivre.

Nous sommes 20 à nous réunir sous la houlette de Corinne qui va nous guider.

Partons de l’arrière de l’ancienne gare aujourd’hui occupée par un bar à vin et une brocante pour longer l’ancienne voie ferrée reliant Bordeaux à la Sauve Majeure. Tout d’abord la voie verte aménagée par le Conseil général puis un large chemin de terre qui traverse les marais et les palus.

Passons sur le ruisseau de Vergnes.

Il prend sa source près du Château de Pian ; il a la particularité de disparaître sous terre à 2 endroits entre Bouliac et Latresne.

Ici Corinne signale une ancienne route abandonnée depuis des décennies et qui rejoignait à l’époque le chemin du port de l’Homme.

Puis dans une prairie  l’Ancienne Chapelle Saint-Pantaléon dont il reste quelques ruines, qui a dû être bâtie au XIIIe siècle et totalement oubliée depuis quelques siècles.Quelques centaines de mètres sur l’asphalte et nous passons devant le renommé restaurant de l’Auberge du Marais.

Nous allons maintenant franchir la difficulté du jour par une montée bien aménagée en escaliers de pierre et en passerelles métalliques. Certains d’entre nous ont souffert quelque peu.

Pour arriver près du parvis de l’église où une pose boisson d’après-montée est la bienvenue.

Plus bas Le Château Monjouan

le Pian

Selon la légende, il s’agit de l’ancien domaine de Pey Berland, archevêque de Bordeaux. On sait que cette figure majeure de la commune est au XVe siècle le propriétaire d’un site de production viticole proche de l’église. Au cours de son histoire le domaine passe entre les mains de nombreux détenteurs successifs, dont certains sont d’importants négociants. Aujourd’hui, cette jolie bâtisse du XVIIIe siècle produit des Premières Côtes de Bordeaux. Le domaine viticole de Montjouan s’étend sur quatre hectares exposés en espaliers, à flanc de coteaux, et quatre autres se situant en plateau.

Passons au lieu-dit Freychaud puis attaquons une agréable descente en sous-bois.

Passons à l’arrière du centre Macanan. Actuellement le domaine héberge l’Institut Thérapeutique, Educatif et Pédagogique (ITEP) de Macanan.

Puis à La croix d’Ardit     

 La croix d’Ardit est une belle croix de chemin en pierre datant du 17e siècle. Elle est située à un endroit particulier, croisement de plusieurs routes et chemins, et point de rencontre des limites des communes de Carignan, Bouliac et Latresne ! Son positionnement n’est donc pas lié au hasard. Le carrefour, dans de nombreuses symboliques, évoque un choix pour lequel il est facile de se tromper de direction et donc de rencontrer le mal. 

Ce lieu devait être au Moyen Âge un lieu de péage. Il est vraisemblable qu’il fallait s’acquitter d’un « hardi » du côté de la croix du même nom. Cette petite monnaie de cuivre mise en circulation par les rois anglais installés en Guyenne a, par la suite, été remplacée par le liard, ce dernier valant trois deniers. Les sommes collectées devaient servir en principe à l’entretien des routes empruntées, mais elles étaient comme leurs voisines dans un état lamentable.

Plus loin Le Château Malherbes, toujours en rénovation.

Le château Malherbes est créé à la fin du XIVe siècle par Guilhem de Malherbes, chevalier revenant des  croisades. La présence d’une maison noble est attestée depuis le XVIe. Le logis a été reconstruit au XIXe. Les communs sont antérieurs avec des parties du XIVe et la majorité construite au XVIIIe. L’ensemble est entouré d’un beau parc. Actuellement c’est un domaine viticole de  20 hectares, dont 12 hectares de vignes.

Au bout de ce chemin, une superbe vue sur Bordeaux….

Le château Gassies construit à l’origine en 1775 est un superbe domaine de 14 hectares. Devenu lieu de réceptions de haute gamme. Mais nous ne le voyons pas.

Une vue prise  sur InternetChâteau Gassies salle de réunion et séminaire en Gironde

Plus loin, une pose boisson au Moulin à vent de Latresne. Le seul à avoir survécu sur le village ; moulin tour avec une toiture orientable en fonction du vent.

Un quartier où de superbes demeures dominent.

La Chapelle Saint-Joseph du Rocher

Malgré sa situation dominante sur le rocher elle n’est pas l’église principale de Latresne . Elle a été construite au XIXe. Aujourd’hui La Chapelle et les bâtiments ont été réhabilités en logements privés. La vieille église Saint-Aubin quant à elle est située dans le vieux bourg.

Au lieu-dit Castera. A l’emplacement d’une grande bâtisse à trois étages du XIXe siècle, existait autrefois un moulin plus vieux cité dans de nombreux textes historiques. Appelé moulin du Castera ou moulin du Castet, il était installé sur le cours de la Pimpine. On peut encore voir des restes de maçonnerie dans le lit de la rivière, depuis le chemin de l’Estey. C’était un des trois moulins à eau construits sur le territoire de Latresne.

Nous voilà de retour à notre point de départ. Vers 17h le groupe se disloque ; merci Corinne pour cette belle balade.

Animateur organisateur : Corinne Villar

Distance : 10 km – 110m de dénivellé

Indice d’effort : niveau 2-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Desmond Alexandra

Lataste Martine

Maison  Patrick

Mlynarsky Marie-Line

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Peere Laurence

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

IGN Latresne visorando

LATRESNE IBP = 28 HKG Effort 2

 

12/2021 LE POUT

Le Pout environ 650 habitants, les Poutois et Poutoises

Outre l’église paroissiale St-Martin et la croix de son cimetière, une dizaine d’édifices de la commune sont versés à l’inventaire général du patrimoine du Créonnais.

C’est Jacques qui aujourd’hui sera notre chef de file : 22 personnes sont réunies près de l’église puis divisées en 4 groupes.

C’est par un temps agréable que nous partons de l’église St-Martin qui fût construite au 15ème siècle et remodelée aux 16ème et 19ème siècles. Son originalité se trouve être dans son volume intérieur mais qui n’est toutefois pas accessible. Par contre ses 2 belles cloches extérieures sont bien visibles.

Jacques voulant se la faire à l’envers, nous partons donc par l’arrière de l’église en prenant la direction de Cursan par une belle descente à travers bois.

Une pose photos près de Croignon avec le chef du jour.

Au lieu-dit Moulinot, passage au-dessus du Gestas.

Nous passons près d’une belle demeure en pierres blondes.

Arrivée sur l’église Saint-Saturnin de Camarsac qui date du 12ème siècle.

Puis Le château de Camarsac, bâti sur un promontoire au 14ème siècle, appartient à la famille Lurton. L’oenotourisme y est pratiqué à travers son fameux  « Clos du Prince Noir ».

Maintenant le ruisseau de la Hutte.

Le Château RIVALAN

Le château était dédié à l’origine à l’élevage laitier puis à l’élevage de vaches à viande. A ce jour, c’est un domaine viticole de 52 hectares qui fait l’objet d’un traitement raisonné permettant de réduire les produits phytosanitaires. Sa particularité est de disposer d’un chai d’élevage dans les fondations du château avec un élevage en barrique entre 12 et 18 mois.

Quelques centaines de mètres et nous sommes de retour à notre point de départ.

Merci Jacques pour cette belle balade bien arborée. Rendez-vous sur Latresne la semaine prochaine avec Corinne.

 

Animateur organisateur : Jacques Cantillac

Distance : 11 km – Peu de dénivellé

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cartulat Jean-Michel

Cayre Maria et Michel

Couprie Marie-Claude

Champarnaud Valérie

Garcia Norbert et Josiane

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Maison Nicole et Patrick

Mlynarsky Marie-Line

Noël Françoise et Fred

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

 

 

11/2021 MADIRAC

MADIRAC… 1,9 km2 pour 249 habitants

Une dizaine d’édifices de la commune de Madirac sont versés à l’inventaire général du patrimoine culturel. Sont ainsi recencés des maisons et des fermes du XVI et XVIIe édifiées aux lieux-dits les Reynauds, Les Mignons, Le Château Canteloup, le lieu-dit Carpe qui constitue l’actuel village avec la mairie-école construite en 1883 et le pont de la Soye. Il n’y a plus d’église ni de cimetière. L’église Saint-Jean de l’ancien prieuré des bénédictins a été détruite en 1829.

23 randonneurs sont au rendez -vous au lieu-dit Le Carpe ; c’est Serge qui va diriger la randonnée, les mini-groupes de 6 sont formés.

Et c’est parti direction Sadirac à travers prairies et bois.

Pour Francine, distanciation oblige….. elle se détache et prend nettement la tête.

Arrivée en bordure de Pimpine ; le groupe la suit sur quelques centaines de mètres.

Au passage un abri de fortune.

D’agréables chemins boisés et des participants qui semblent heureux.

Puis on s’hydrate…… on ne sait toujours pas ce qu’il y a dans la gourde de Pierre ??

Un moment d’hésitation avant d’y passer !!!

Mais Corinne en ressort…

Lieu-dit le Ressort…….elle est belle cette glycine.

Le groupe ne dérange même pas ce petit chat.

La petite pose casse-croûte.

Lieu-dit « Les Bernards ». On longe maintenant le ruisseau « La Soye ».

Francette semble se demander maintenant si c’est bientôt la fin?

Belle vue dans le bois.

En cours de chemin, la maison qui pourrait appartenir à l’acteur de théâtre Robert Signerolles.

 

Animateur organisateur : Serge BOUET

Photos : Brigitte, Francine

Distance : 11 km – Quelques dénivelés

Indice d’effort : niveau 2 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cartulat Jean-Michel

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Flandé Hélène et Jacques

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Maison Nicole et Patrick

Michel Jean-Marie

Mlynarsky Marie-Line

Noureau Francette

Richez Bernard

Villar Corinne

 

Lien trace Madirac

madirac10