20/2023 Villegouge

Villegouge est une petite commune rurale du centre du Fronsadais. Environ 1300 habitants (les villegougeois ..es) sur 14 km2
L’église Saint-Pierre est d’origine romane, dépendant de l’abbaye de Saint Sauveur de Blaye, puis du couvent des pères minimes de Bordeaux.  Elle a été remaniée au 18ème et 19ème. La nef voûtée en berceau comporte quatre travées. Les bras du transept sont formés par deux chapelles. L’abside forme un demi cylindre surmonté d’un toit en demi cône. Le clocher est placé sur la façade nord de la nef. Le portail, encadré de deux contreforts, datant du 15e siècle, présente cinq voussures en arc brisé qui retombent sur de courtes colonnes surmontées de chapiteaux. 
Nous sommes 15 à nous retrouver. Accueillons Axelle venue faire un galop familial avec Coraline et Elie. C’est Marc qui nous emmène.
C’est parti…
Descendons le chemin le long du cimetière
Prenons à gauche la route des Genévriers puis attaquons à travers vignes.Le temps est clément.
Passons dans un bois puis longeons un bosquet.D’un pas franc.Un peu plus mesuré.De loin ce qui est un gîte de haut niveau.Le voilà côté pile.Et oui….. 5 étoiles.Une pose pour se ressourcer.Près d’une très belle lignée de peupliers.
Et oui Axelle cette petite montée sera la difficulté de l’après-midi.Au loin une ruine domine dans les vignes.C’est en fait la ruine de l’église de Queynac sur la commune de Galgon.Plusieurs autres vues.Marc, où allons-nous ??? à droite ou à gauche.
Allez c’est l’heure de la pose casse- croûte sauf pour Marie-Claude qui reste à jeun.En cours de route une belle demeure..
Prenons la direction du hameau de Chiquet, suivons le chemin des Perdrix puis le chemin de Labattut et continuons sur le chemin qui va nous ramener au centre de  Villegouge.
Une randonnée bien agréable de 9,6 km, sans difficultés et par un temps idéal.

Les Participants :

Afergan Elie et Coraline et Axelle

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Couprie Marie-Claude

Maison Patrick

Michel Jean-Marie

Noël Françoise et Fred

Sopéna Emmanuelle

 

Au nord de Villegouge – Randonnée

19/2023. Lignan de Bordeaux

Lignan de Bordeaux petit village de 9 km2 et d’un peu moins de 900 habitants.

Un peu d’histoire….

Dés les temps préhistoriques : le village est occupé par les Hommes, comme en témoigne la découverte d’outils du paléolithique dans le bourg, dans la grotte de Carle et sur les lieux-dits de Nadau, Mondet et Avensay. De cette époque, on a mis au jour les vestiges d’un site potier à Cavaillac et trois fours dans le bourg prouvant l’existence d’une production céramique artisanale sur le lieu.

Au Moyen Age des monastères apparaissent : celui du Clos Saint-Jean puis celui de La Ligne. Ce sont les moines qui construisent l’église Sainte-Eulalie aux XIIème et XIIIème siècles. A noter la présence des tombes monolithes et de nombreux sarcophages autour de l’église.

Le  27 décembre 1792  la paroisse Sainte-Eulalie va devenir Lignan-de-Créon lors de la première séance du conseil municipal qui a lieu dans l’église.

En 1847 sont fondés les établissements Saignes : 6 usines de cinquante ouvriers qui fabriquent jusqu’en 1934 des pulvérisateurs, des soufreuses à traction animale.

En 1873 est inauguré le premier tronçon de la ligne de chemin de fer Bordeaux -Eymet pour emmener les pierres des carrières de l’Entre-deux-mers dont celle de Lignan. A Lignan ces carrières deviendront par la suite des champignonières.

Vers 1900, la crise de phylloxéra va ruiner les propriétaires des grands domaines viticoles. La ligne de chemin de fer devient alors un atout pour un homme d’affaire nommé Bertrin qui va bouleverser en quelques années la vie de Lignan. Il rachète le Château Seguin, crée un élevage porcin de 300 têtes, un cheptel de 100 vaches laitières, un haras de chevaux et entretient un vignoble de 110 ha.

Dans les années 1930 à Lignan-de-Bordeaux : 9 forgerons, plusieurs charrons, un maréchal ferrant, une scierie, 3 bars-restaurants, une auberge, 3 épiceries et le moulin de Zuera qui emploie 20 ouvriers. L’école fût construite en 1877 et plusieurs fois agrandie.

Outre l’église Sainte-Eulalie et le Château Isle-fort qui bénéficient d’une protection au titre des monuments historiques une vingtaine de lieux et édifices sont recensés à l’inventaire général du patrimoine.

Pendant la randonnée de ce jour le club a en charge de vérifier le balisage mis en place par la communauté de communes  dans le cadre du circuit des 11 clochers et de repérer les anomalies éventuelles.

L’affluence est conséquente aujourd’hui car nous sommes 38 randonneurs. C’est Elie qui prend en charge le groupe.

Nous contournons de suite l’église Sainte-Eulalie, prenons un chemin pentu un peu boueux pour nous diriger vers le plateau. Passons les lieux dits « Clos Nadau » « Fazillau » « Bidon » « le Rousseau » pour arriver « Au Basque »  la terre de prédilection de Jacques l’un de nos animateurs.

Notre randonnée se passe en priorité à travers sous- bois. Les arbres commencent à perdre leur feuillage. Quelques zones boueuses. Mais on apprécie une très belle nature.

Notre première balise  … anomalie ou pas ????

Une petite pose pour s’ hydrater.

Et c’est reparti direction Cénac.Regroupement avant de traverser la route.

Agréable sous bois.

Par un petit pont nous passons le ruisseau le Rauzé, puis  le groupe très prudent arrive sur le centre de Cénac.

L’église de Cénac est une église de confession catholique se situant au coeur du bourg. Elle fût édifiée au XIème siècle et fortifiée lors de la guerre de religion du XVIIème siècle.

C’est maintenant la pose casse-croûte ….

Et toujours bon enfant nous continuons notre chemin avant de descendre vers la piste cyclable ; quelques centaines de mètres sur cette piste pour aborder ensuite sur notre droite la contre-allée qui cette fois-ci est en montée.

Passons près de la bambouseraie.Un peu de pub pour la champignonnière.

En fin de randonnée nous nous réunissons à notre point de départ pour un moment convivial et prendre le pot de l’amitié offert Francine et Serge.

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Les Participants :

Afergan Elie et Coraline

Assémat Olivier

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danielle et Bernard

Blanco Françoise et Michel

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Bouvier Francine

Caillaud Christine et Alice

Cayre Maria et Michel

Couprie Marie-Claude

Ducrocq Nathalie

Estebe Joël

Gaudière Danielle

Laffargue Patricia

Laffargue Evelyne et Michel

Lagorce Pierre

Martin Marie Jo

Maison Patrick

Mlynarsky Marie-Line

Noël  Marie Françoise, Fred et Thomas

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Vacellier Géraldine

Pascale et Sylvain

Marie G

Ariane

17/2023 SAINTE FLORENCE

 

 

 

Sainte-Florence, petit village en bordure de la rive gauche de la Garonne se trouve à 7 km de Castillon la Bataille. Au nord la vallée de la Dordogne et à gauche du ruisseau la Gamage.

Un circuit vallonné tout au long de la vallée de la Dordogne. Des vignes, des moulins, des lavoirs, 2 petites églises romanes et de très beaux points de vue défileront pendant cette randonnée
L’église du village de Sainte-Florence.
se situe près d’une source, objet d’un pèlerinage. Elle a conservé sa structure romane La nef unique rectangulaire terminée à l’est par une abside en hémicycle plus étroite est prolongée par une courte travée droite. La nef n’est pas voûtée. Elle termine à l’ouest par un clocher-mur. Un portail roman percé dans un avant corps présente quelques restes de sculpture.  Elle est sculptée de deux anges présentant un écu. Le portail est protégé par un porche qui a conservé sa charpente d’origine. L’édifice a été inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 16 avril 2002.
C’est Joël  qui emmène le petit groupe de 5 randonneurs.
Et c’est parti tout d’abord par une petite côte
Très au loin l’église de Saint-Pey de Castets
Une belle vue sur la Dordogne. De l’autre côté Saint-Magne de Castillon
Arrivée au très joli Moulin de Tuscat réaménagé en gîte de luxe.
Puis on le quitte direction un chemin ombragé.
Saint Pey des Castet et son église
U
Une beau panorama.Oh les beaux hortensias.Maintenant au lieu-dit Cablanc  le Château Cablanc.
Et enfin une sérieuse montée sur le chemin de retour.
Au retour l’arrière de l église de Saint-Florence…

La fontaine à côté de la mairie.

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Carte IGN au 1/25000

La randonnée  : 9,7 km ; 110 m de dénivelé

Animateur : Estèbe Joël

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 ++ assez facile (configuration terrain, passages boueux, racines)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Les Participants :

Baron Brigitte et Marc

Estebe Joël

Laffargue Patricia

Maison Patrick

 

18/2023 LIGNAN DE BORDEAUX

 

C’est Jacques notre vétéran lignanais qui va diriger un groupe de 28 randonneurs.En attendant les derniers.Le groupe est maintenant prêt, Emmanuelle vient d’arriver.Départ vers l’arrière de la mairie.Direction la propriété de Jacques.Marie-Claude et Coraline prennent la pose devant les hortensias.De beaux paysages sur les prairies.Une petite pose boisson, bien à l’ombre.Petit arrêt avant une traversée de route. Jacques compte ses ouailles.Une sérieuse montée.Au passage une belle propriété.Dans les vignes au retour.

Animateur: Cantillac Jacques

Les Participants :

Afergan Elie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Bouvier Francine

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cerdan Coraline

Couprie Marie-Claude

Garcia Norbert

Laffargue Patricia

Maison Nicole et Patrick

Mlynarsky Marie-Line

Noël  Fred

Sopéna Emmanuelle

 

15/2023. LA SAUVE

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  La commune de la Sauve Majeure est bien connue pour son abbaye qui domine le bourg. Autour de l’abbaye une agglomération monastique s’est développée du XIe au XIVe siècle, marquée par une croissance continue. La fondation du monastère bénédictin s’est accompagnée de la création d’une sauveté, double seigneurie foncière.Vers 1090, on voit la création d’un premier bourg autour de l’église Saint- Pierre. A côté, plus tard un bourg neuf est créé avec sa paroisse, c’est le bourg Saint- Jean. La population atteignait déjà 1200 habitants au milieu du XIIIe siècle.

20 randonneurs se sont réunis pour faire cette boucle. Quelques consignes de Serge avant de prendre le départ.

La direction du centre bourg est prise pour faire le tour de l’Abbaye. Edifiée au Moyen âge, cette abbaye bénédictine se déploie hors du temps. Située sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle elle présente de célèbres chapiteaux et décors sculptés.

Le groupe se dirige vers la très belle église Saint-Pierre qui n’est habituellement ouverte que le dimanche après-midi. Elle fût fondée par Saint-Gérard en 1803 et reconstruite au XIIème siècle. De style gothique elle est classée aux Monuments Historiques depuis 1920 puis au Patrimoine Mondial de l’Unesco en 1998.

Et l’on traverse la ville.

La halle bâtie au milieu du XIXe siècle. A l’origine constituée de piliers soutenant une toiture, aujourd’hui modifiée par l’édification de murs entre les piliers périphériques.

En redescendant la rue de l’église l’ancienne prison communale qui est considérée comme la plus petite prison de France. Deux seules cellules dans ce bâtiment très petit (il y a 2 clients à la porte). En partie supérieure des créneaux surplombent une corniche.

A proximité quelques belles réalisations d’un artiste ferronnier local.

Une photo ancienne de la Sauve.Une pose s’impose.
La traditionnelle photo de groupe.
Passage au niveau de la piste cyclable. Quelques commentaires de Serge sur un ouvrage souterrain.Et on attend le passage du train.Le réaménagement de l’ancienne gare de La Sauve et son musée ferroviaire.Un couple bien fatigué reprend des forces.
Quelques explications techniques sur le matériel.    page1image54017056 page1image54017264  page1image54017680

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Randonnée: 9,8 km 149m de dénivelé

Animateur : Bouet Serge

Les Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Bouvier Francine

Caillau Christine, Maellys, Arthur

Estebe Joël

Laffargue Patricia

Laffargue Evelyne et Michel

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Vacellier Géraldine

 

16/2023 SADIRAC

Sadirac est une ville moyenne de plus de 4300 habitants (les Sadiracaises et Sadiracais). Une superficie de 19,2 km2 éclatée dans de nombreux lieux-dits. Elle possède la plus grande superficie des communes du Créonnais.

L’église Saint-Martin : Jadis fortifiée, elle présente encore aujourd’hui une charpente gothique et un clocher datant de 1863. Cette charpente est inscrite aux Monuments Historiques par arrêté du 24 décembre 1925.

Sadirac est reconnu depuis l’antiquité pour son savoir ancestral de la poterie grâce à l’argile du terroir. Ce savoir-faire fût sa renommée et sa puissance au-delà de nos frontières. Au 18ème siècle, l’industrie potière atteignait son apogée ; on peut dire qu’à l’époque dans chaque famille il y avait un potier. On comptait également plus de 150 fours dans la commune.

Plusieurs entreprises de poterie prospèrent jusque dans les années 1960 et ferment dans les années 1980.

La Poterie Fouragan construite dans le bourg vers 1830 produisait, dans une quarantaine d’ateliers occupant une centaine d’ouvriers, des moules destinés aux raffineries de sucre, puis la fabrication de pots destinés aux résiniers landais et à la poterie d’usage domestique.

Aujourd’hui, les vestiges restaurés de l’établissement industriel et du four désaffectés accueillent le Musée de la poterie et de la céramique de Sadirac. Celui-ci raconte l’histoire avec une collection d’objets issues de fouilles archéologiques.

Chaque année une manifestation d’envergure internationale a lieu au mois de juin.

La ligne de chemin de fer devenue piste cyclable

Au 19ème siècle, Sadirac se trouvait sur une ligne de chemin de fer reliant Bordeaux à Espiet pour alimenter les usines en matériaux. Chacune des villes desservies possédait une gare qui servait de halte pour les marchandises. Cette ligne était aussi empruntée par les voyageurs qui pouvaient se déplacer de ville en ville, ce qui était un privilège pour l’époque. La ligne fut fermée en juin 1940 au moment de l’occupation allemande.

En 1979, cette ligne a été arrêtée après la fermeture de la cimenterie d’Espiet. Elle fut transformée en piste cyclable appelée Roger Lapébie, du nom d’un cycliste renommé de la région.

L’ancienne gare de Sadirac abrite la maison du patrimoine naturel du Créonnais.
Des activités culturelles, pédagogiques et scientifiques pour tout public y sont proposées à travers les dimanches « découverte de l’environnement » (tous les dimanches entre 14h30 et 18h, entrée libre et gratuite) avec balades, ateliers, films et expositions. Chaque semaine, un nouveau thème est à découvrir. Les jeudis soirs culturels (diaporamas, conférences, sorties nocturnes, …) ont lieu à 18h30 .

C’est Fred qui va mener le groupe de 17 randonneurs qui sont au rendez-vous sur le parking de la maison du patrimoine.

C’est parti … le groupe démarre en arpentant une centaine de mètres de trottoir pour passer de suite au bassin aux salamandres.

Pour prendre à travers bois direction la Pimpine. Des chemins relativement secs mais aussi quelques zones boueuses ainsi que des racines.

Une petite pose et quelques commentaires de Fred.

Un passage boueux délicat !

Une autre pose pas loin d’un pont.Puis on va longer la Pimpine sur quelques kms.

La Pimpine prend sa source à Créon, possède 2 affluents sur la commune Le Gouchebouc et Le Ruzat et se jette après 16,9 km dans la  Garonne au niveau de l’île d’Arcins.
Puis un passage délicat. Mais tout le monde est passé sans encombre.

Nous attaquons une petite montée tranquille vers le lieu-dit Calamiac. Plus loin Francine et Fred se rappellent de leur point de rencontre il y a un an sous un beau chêne.

Puis on descend un peu sur le bitûme vers la barrière 74.

La Barrière 74 :  Gare intermédiaire entre Sadirac et Créon au lieu-dit Calamiac, à l’origine pour les habitants de Madirac et Saint-Genès de Lombaud.

Prenons un chemin de traverse empierré puis attaquons dans les sous-bois une petite montée en direction du lieu-dit Chazelle. Redescendons vers la Maison d’hôtes « le Vélo Vert ». Puis une petite grimpette après une attente d’un couple de retardataires.

C’est maintenant plus facile car nous sommes en hauteur en surplomb de la piste cyclable dans un chemin très agréable en descente vers notre point de départ.

En fin de parcours une photo de groupe sur le joli pont au dessus de la Pimpine.

En définitive, nous aurons fait 9,5 kms au lieu des 10,5 prévus sur des chemins bien ombragés ; satisfait le groupe se disloque vers 12 h.

Animateur : Noël Fred

Les Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Bouvier Francine

Debrie Sylvie

Estebe Joël

Frisach Julie

Laffargue Patricia

Laffargue Evelyne et Michel

Lasserre Sandra

Noël  Françoise et Fred

 

14/2023 PAYS BASQUE

La région du Pays Basque s’est formée il y a plusieurs millions d’années. La Rhune date de 220 millions d’années. Il y a 180 millions d’années une mer peu profonde recouvre la région et dépose des calcaires.

Il y a 100 millions d’années les blocs ibériques et européens se séparent creusant des sillons et provoquant des avalanches sous-marines. Elles ont déposé des sédiments appelés « flyshs ». Ce sont les beaux plis de la route des corniches.

75 millions d’années plus tard ces blocs se rapprochent à nouveau pour donner naissance aux Pyrénées.

Puis vient le temps des grandes glaciations entraînant des variations de climat, du niveau de la mer et les séismes qui ont sculpté le littoral et les reliefs du Pays Basque.

Apparaît alors un mammifère du genre Homo, notre ancêtre.

 

L’IBANTELLI : Roche conglomérante ou « pudding »

Les cailloux ou petits galets sont appelés des Clastes ; les blocs sont généralement sphériques, ronds. Ces pierres sont « assemblées » par une matrice composée de sédiments par un matériau chimiquement cimenté (silice, carbone, fer et gypse).

Ces blocs de pierres peuvent servir à la construction de maisons, routes voire fondations de barrages.

IBANTELI 9,9 Km D+ 646

Ibanteli groupe 1 profil altimétrique

IBP = 67 HKG IBANTELI

 

AINHOA

Fondé au XIIème siècle comme un relais de la route de Saint-Jacques de Compostelle. La rue principale est bordée de maisons au style LABOURDIN.

AINHOA veut dire Marie prénom donné en référence à la Vierge qui est apparue à un jeune berger dans un buisson d’aubépines du village.

La chapelle a été détruite 2 fois pendant les guerres napoléoniennes.

Entre le XIIIème et le XIVème siècle ce village fut disputé entre la Navarre et l’Angleterre même divisé en 2 parties.

Pendant la guerre des 30 ans, la ville fut détruite sauf l’église et une maison.

A la révolution française, certains habitants ont été déportés suite à la désertion de 47 jeunes d’ITXASSOU. Cette mesure fut étendue à d’autres communes proches. Ces personnes ont été envoyées dans les départements du Lot, du Gers, des Landes et des Pyrénées. Internés par mesure de sûreté, ces habitants sont revenus 8 mois plus tard mais on leur avait tout pris (meubles, biens etc). Certains ont pu récupérer leurs terres, seule ressource pour vivre.

Ainhoa 13,11Km D+ 552

Profil altimétrique Ainhoa

IBP = 66 HKG randonnee-Ainhoa

ZUGARRAMURDI

1200 habitants. Le mythe s’est façonné en 1610 lorsque le tribunal de l’inquisition a enquêté sur 40 femmes accusées de sorcellerie par leurs voisins ; 11 ont été condamnées au bûcher et les noms sont inscrits à l’entrée de la grotte. Les autres se sont repenties en voulant retrouver la foi chrétienne et d’autres ont été exilées avec confiscation de leurs biens.

randonnee-Zugarramurdi

IBP = 32 HKG randonnee-3118151-zugarramurdi-depuis-les-grottes-de-sare.gpx

SARRE

Rando Grottes Sare Groupe 1 4,71 km D+ 342

Grottes Sare Profil altimétrique

IBP = 47 HKG Grottes Sare

 

SAN SEBASTIANBelle vue sur la côteUn ancien lavoir
La plage de San SébastienLa place de de la Constitution à San SébastienLes artistes exposent sur la plage

San Sébastion 8,29Km D+ 314

Profil altimétrique San Sébastien

Les Martinades du séjour: Un oubli de vêtement sur une aire d’autoroute et un oubli de téléphone à l’hôtel. Mais où ont ils la tête??

PARTICIPANTS

Assémat Olivier

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danielle et Bernard

Bouet Francine et Serge

Bonneau Olivier

Couprie Marie-Claude

Lataste Martine

Ariane Larisse

Thomas Joëlle et Denis

13/2023. ASQUES

Dominant un méandre de la Dordogne, Asques est un charmant petit village, inscrit à l’inventaire des sites pittoresques de la Gironde, qui tient son nom du latin aqua (eau) ou du français asquette (abri dans la roche).

ASQUES faisait partie à l’origine de la paroisse de SAINT-ROMAIN LA VIRVEE. Elle est devenue paroisse indépendante en 1820.

A partir du XIIème siècle, bénéficiant de l’assèchement des marais et du développement de la navigation fluviale, la rivière devient une source de richesses et un lieu d’échanges pour les produits venus de l’arrière-pays. Le port d’Asques s’enrichit et fait vivre de nombreux artisans et commerçants.

L’activité fluviale décline peu à peu après les années 1870. Aujourd’hui, elle attire les plaisanciers et le port retrouve, l’été, un peu de l’animation du temps des gabares …

Rendez vous sur le parking surplombant la Dordogne où l’on jouit d’un beau point de vue sur les toits du village et sur le fleuve.

Aujourd’hui un groupe de 10 randonneurs se retrouve pour une randonnée de 12 kms ; le soleil est au rendez vous. C’est Marie-Claude qui va se charger d’emmener le groupe.

 

Et c’est parti pour quelques petites montées et descentes en priorité à travers vignes et bois.

Passage aux lieux-dits Grugey, Le grand Matat, La Gargone puis

Lieu-dit le Bourdieu.

Le Château de Cadillac en FronsadaisConstruit au XIIe siècle, c’est avant tout un château résistant, profondément remanié à partir du XVIe siècle. De nos jours, il se présente comme une demeure de forme rectangulaire, flanqué de tourelles au nord et de tours plus importantes au sud. La cour est fermée par une muraille qui a remplacé les larges fossés entourant le château. Au sud une terrasse domine l’ensemble des terres et des vignobles et offre un point de vue panoramique sur la vallée de la Dordogne. Entourés de murailles, le jardin et le parc possèdent des grottes où jaillissent des sources abondantes.

Vues sur la Dordogne.En descente …. Attention où tu mets les pieds, il y a des racines.Une autre vue de loin du Château Cadillac-en-Fronsadais.

Retour vers Asques avec la traversée du village. Si la commune s’étend pour sa plus grande partie sur des terrains alluvionnaires , toutefois, le bourg est situé sur un promontoire qui correspond à l’affleurement de calcaire. De belles demeures en pierres de Gironde du 18e et du 19e siècles. joliment restaurées s’alignent le long des ruelles.

Léglise Saint-Jean, construite en bordure du plateau qui domine la Dordogne,  était à l’origine la chapelle d’une commanderie hospitalière.  Placée sous l’invocation de Saint-Jean, elle a été restaurée au XVIIIe siècle, mais des vestiges romans indiquent qu’elle est ancienne. Probablement construite par les Templiers qui avaient là un petit territoire destiné vraisemblablement à héberger les pèlerins allant à Saint-Jacques de Compostelle.

Direction le petit port de Asques. De beaux sourires à la table d’orientation.

Descente vers le port.Sur le ponton.Bassin semi-circulaire en pierre.
Lavoir-Fontaine de 1878

« En 1875, Monsieur Signac, propriétaire à Saint-Martin, propose que ce lavoir fontaine et abreuvoir, placé à l’intérieur de sa propriété, soit transplanté, à ses frais, au bord du chemin ; il souhaite ainsi supprimer la servitude liée à la présence de ses équipements sur son terrain. Ce lavoir fontaine est utilisé jusqu’au milieu du XXe siècle. Deux autres lavoirs subsistent encore dans le village »

Les ancres marines

Animatrice : Marie-Claude Couprie

Les Participants :

Assémat Olivier

Barbirato Annie

Bouet Serge

Couprie Marie-Claude

Estebe Joël

Laffargue Patricia

Laffargue Evelyne

Maison Nicole et Patrick

Noël  Françoise

 

12/2023 FRONTENAC

Village de plus de 700 habitants, commune rurale d’une superficie de 14,4km2, on peut y découvrir le Domaine de La Lirette, classé site naturel remarquable. Situé dans un espace boisé de 20 hectares, il est reconnu comme un lieu de loisirs et de pratique sportive dont l’escalade sur son fameux mur de 15 mètres de hauteur.

Son église : Vers 1145, l’église est donnée au chapitre de Saint-Émilion par Raymond III, évêque de Bazas. L’élément le plus ancien est la nef romane du XIIe siècle. Le portail Ouest, les colonnes à chapiteaux historiés de l’abside et la corniche à modillons en sont les vestiges. Au XVIe siècle, la nef est percée de fenêtres flamboyantes. De même, le mur clocher est restauré et partiellement rebâti. Au XIXe siècle, deux autres baies sont ouvertes côté Nord et trois contreforts identiques à ceux du mur Sud ont été édifiés.

Le départ de la randonnée se fera depuis le parking champêtre du village. 14 randonneurs s’y retrouvent sur le parking du mur d’escalade et c’est Marc qui, après avoir fait quelques commentaires sur Frontenac et donné les consignes d’usage, va driver cet après-midi.

Nous sommes à côté de la mairie.Arrivons sur le lieu-dit Sauviolle.
Une belle bâtisse et une belle glycine blanche.Prenons la direction du lieu-dit Berthoumieux.Un bon pas de ces dames malgré la chaleur.Allez c’est l’heure d’une pose boisson et casse-croûte.En fin de randonnée au mur d’escalade.Passage à un ancien lavoir remanié en abri repas.

Randonnée bucolique avec du sous-bois, des prés, des champs de céréales quelques vignes et un peu de route.…

Animateur : Baron Marc

Les Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Blanco Françoise et Michel

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam 

Champarnaud Valérie

Lagorce Pierre

Martin Marie Jo

Maison Patrick

Noël  Françoise et Fred

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