16/2021 BLESIGNAC

Blésignac est un petit village près de Créon, d’environ 320 habitants appelés les Blésignacais et les Blésignacaises. La commune située à 61 mètres d’altitude s’étend sur 2,5 km². Le ruisseau d ‘Audigey est le principal cours d’eau qui traverse la commune de Blésignac.
Cette commune fait partie de la Communauté de Communes du Créonnais.

L’église Saint-Roch serait une ancienne église templière ; elle est inscrite à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques par arrêté du 5 avril 2001.

Photo du Monument Historique Eglise paroissiale Saint-Roch situé à Blésignac

Le premier château de Blésignac a été construit au 13e siècle. Il sera remanié à plusieurs reprises jusqu’à devenir le bâtiment actuel qui date essentiellement de la fin du 18e siècle.

Château Blésignac à Blésignac salle de réception en Gironde

A ce jour le Château de Blésignac, belle bâtisse en pierre blonde typique trônant sur son esplanade à la française au milieu de 4 hectares de parc, est  spécifiquement dédié aux fêtes de famille. Il peut accueillir en résidences 20 personnes.

12 randonneurs se retrouvent au point de rendez-vous près de la mairie.

C’est Corinne qui va mener cette randonnée champêtre.

Direction le lieu-dit Landrau, traversée de ce hameau suivi d’un chemin herbeux qui traverse un petit bois.

Chevauchée entre les vignes puis de nouveau un bois pour passer le hameau de Gardès . Puis le lieu-dit Biraud.

Arrivée au centre de Faleyras et son église Saint-Gervais-Saint-Protais.

Construite au 12e siècle en style roman, elle est bâtie sur un édifice plus ancien. De l’église romane, il ne reste que le mur sud, dans lequel il y a un portail datant du 12e siècle, actuellement muré.

Un peu d’ombre pour boire un petit coup… C’est l’heure de la pose.

Plus loin le  Château Goumin totalement à l’abandon.

Direction la route du Hameau de Biac, puis de nouveau un chemin herbeux qui mène vers le lieu-dit Meireau puis le groupe arrive au village de Dardenac.

Dardenac : les habitants sont appelés les Dardenacais et les Dardenacaises.
La commune s’étend sur 1,5 km² et compte moins de cent habitants. Naturellement petit village ….. petite mairie.

Dardenac

Remarquable par sa nef lambrissée, l’église romane Saint-Clément porte les marques de l’histoire tourmentée de DARDENAC ; endommagée lors de la guerre de Cent Ans, elle est en partie restaurée au 16e siècle. Elle serait construite sur une source, d’où son patronyme.Historique

Le château de Dardenac est lui construit sur le roc ; pas de traces de fossés autour du château ; ses murs sont en partie détruits et il ne reste que deux tours dans lesquelles sont percées des meurtrières horizontales avec mire aux deux extrémités pour les mousquets.

gauffreteau

Une fue ou pigeonnier s’élève à ses côtés.

Corinne annonce que la partie sportive de l’après-midi arrive. Il faut passer des arbres couchés sur le chemin.

Soit en sautant l’obstacle à 2 pieds : quel courage

ou bien on lève la jambe dans un sens.Ou encore dans l’autre sens ..On peut aussi passer par dessous.

Après cette difficulté le groupe rejoint le « Pont de Traoucat » et traverse le ruisseau « La rouille du courant ».

Puis direction Espiet via la piste cyclable Lapébie ; l’ancienne gare d’Espiet et la cave viticole.

photo5.jpg - Photo de Restaurant de la Gare d'Espiet - Tripadvisor

Au niveau de Trousse Paille au moment de quitter la piste cyclable, pas très loin, dans la nature le Château Neuf  au lieu-dit « Le Luc ».

Par la suite le groupe passe sur le petit ruisseau près du lieu-dit « Moulin d’Audigey ».

Un peu plus loin un troupeau d’ânes attire l’attention.

Enfin la Route du Temple ramène le groupe vers le parking de la mairie .

Vers 17h le groupe se disloque. A samedi prochain avec Jacques à Saillans.

Animateur organisateur : Corinne Villar

Photos : Brigitte

Distance :  10,5 km – Peu de dénivellé (44 m)

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Cantillac Marie-Claude

Dupin Monique

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Martin Marie Jo

Maison  Patrick

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

15/2021. BONNETAN

Bonnetan est un petit village d’un peu moins de 5 km2 et d’une population de 1015 habitants (les Bonnetanais/naises). Altitude maximum 100m mais beaucoup de dénivelés. Un ruisseau : Le Canterane.

C’est Bernard qui se chargera aujourd’hui de notre aventure sur ses terres.

18 randonneurs se joignent à lui sur le parking de la mairie. La pluie s’annonce.

  • L’église Saint-Martin a été fondée au VIIe siècle. C’est une petite église romane avec une Tour Clocher Carré. Pendant la Fronde, en 1649, l’église de Bonnetan est saccagée et pillée par des hommes de la garnison du château de Vayres ; elle est remaniée à la suite de l’effondrement des voûtes, à partir de 1664. C’est un édifice qui a également été très restauré en 1890 par l’ajout d’une sacristie, d’un porche et d’une tribune.

  • Nous passons devant le Château Chenut qui date de 1908.
  • Passons au lieu-dit « Les Gachets »Passons une deuxième fois sur le ruisseau Canterane.
  • Ralentissons notre pas pour faire notre première pose boisson.
  • Passons devant un domaine viticole coté du lieu-dit « Le Violon »

Au loin le Château La Loubière. 

Une petite pose d’informations sur ce Château.

Le Château La Loubière est un édifice de la fin du XVe siècle. Le Château présente deux toits à pignons aigus, couverts de tuiles plates et couvrant parallèlement un grand logis rectangulaire de deux niveaux.  Il est flanqué d’une tour carrée.  Cette demeure a servi d’auberge-relais au XIXe siècle. Une propriété de 30 hectares dont 19 exploités.

Puis vient le domaine viticole Maledent et sa horde de chevaux.

  • Suit ensuite Le domaine de Bel air, maison construite dans la première moitié du XIXe siècle ; chai et cuvier de vastes dimensions édifiés dans la seconde moitié du XIXe siècle.

Passons de nouveau sur le ruisseau Canterane en arrivant sur Fargues Saint-Hilaire.

  • Dans le village il y a aussi une ancienne carrière de pierre, maintenant remplie d’eau et une petite forêt appelée par les habitants « Le petit bois ».

Bernard nous donne ses consignes avant l’accès à cette carrière.

Un peu plus loin un passage bien arboré pour y pénétrer.

Cà devient notre partie Koh Lanta de l’après-midi. Refus d’obstacle… on contourne.

  • Après la Carrière très en eau, il ne nous reste plus qu’à emprunter le chemin Couture pour retourner à notre point de départ ; mais avant de retourner à nos voitures tout le monde est OK pour faire en plus le tour du parc (bien entretenu) de Bonnetan.

Vers 16h45 le groupe éclate. A samedi prochain à Blésignac.

Animateur organisateur : Bernard Richez

Distance : 11 km – Dénivelé  117 m

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Maison Patrick

Martin Marie-José

Mlynarsky Marie-Line

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

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13/2021 LATRESNE

LATRESNE : A l’origine comme beaucoup de communes du bord de la Garonne, l’histoire de Latresne et de ses habitants (les Tresnais et Trainaises) se confond avec celle du fleuve. Elle tiendrait d’ailleurs son nom d’une interprétation étymologique de « tréna » qui pourrait signifier « bord » ou « rivage ».

Latresne est reconnue pour la 2ème année consécutive au classement du Top des Villages de 2000 à 5000 habitants où il fait bon vivre.

Nous sommes 20 à nous réunir sous la houlette de Corinne qui va nous guider.

Partons de l’arrière de l’ancienne gare aujourd’hui occupée par un bar à vin et une brocante pour longer l’ancienne voie ferrée reliant Bordeaux à la Sauve Majeure. Tout d’abord la voie verte aménagée par le Conseil général puis un large chemin de terre qui traverse les marais et les palus.

Passons sur le ruisseau de Vergnes.

Il prend sa source près du Château de Pian ; il a la particularité de disparaître sous terre à 2 endroits entre Bouliac et Latresne.

Ici Corinne signale une ancienne route abandonnée depuis des décennies et qui rejoignait à l’époque le chemin du port de l’Homme.

Puis dans une prairie  l’Ancienne Chapelle Saint-Pantaléon dont il reste quelques ruines, qui a dû être bâtie au XIIIe siècle et totalement oubliée depuis quelques siècles.Quelques centaines de mètres sur l’asphalte et nous passons devant le renommé restaurant de l’Auberge du Marais.

Nous allons maintenant franchir la difficulté du jour par une montée bien aménagée en escaliers de pierre et en passerelles métalliques. Certains d’entre nous ont souffert quelque peu.

Pour arriver près du parvis de l’église où une pose boisson d’après-montée est la bienvenue.

Plus bas Le Château Monjouan

le Pian

Selon la légende, il s’agit de l’ancien domaine de Pey Berland, archevêque de Bordeaux. On sait que cette figure majeure de la commune est au XVe siècle le propriétaire d’un site de production viticole proche de l’église. Au cours de son histoire le domaine passe entre les mains de nombreux détenteurs successifs, dont certains sont d’importants négociants. Aujourd’hui, cette jolie bâtisse du XVIIIe siècle produit des Premières Côtes de Bordeaux. Le domaine viticole de Montjouan s’étend sur quatre hectares exposés en espaliers, à flanc de coteaux, et quatre autres se situant en plateau.

Passons au lieu-dit Freychaud puis attaquons une agréable descente en sous-bois.

Passons à l’arrière du centre Macanan. Actuellement le domaine héberge l’Institut Thérapeutique, Educatif et Pédagogique (ITEP) de Macanan.

Puis à La croix d’Ardit     

 La croix d’Ardit est une belle croix de chemin en pierre datant du 17e siècle. Elle est située à un endroit particulier, croisement de plusieurs routes et chemins, et point de rencontre des limites des communes de Carignan, Bouliac et Latresne ! Son positionnement n’est donc pas lié au hasard. Le carrefour, dans de nombreuses symboliques, évoque un choix pour lequel il est facile de se tromper de direction et donc de rencontrer le mal. 

Ce lieu devait être au Moyen Âge un lieu de péage. Il est vraisemblable qu’il fallait s’acquitter d’un « hardi » du côté de la croix du même nom. Cette petite monnaie de cuivre mise en circulation par les rois anglais installés en Guyenne a, par la suite, été remplacée par le liard, ce dernier valant trois deniers. Les sommes collectées devaient servir en principe à l’entretien des routes empruntées, mais elles étaient comme leurs voisines dans un état lamentable.

Plus loin Le Château Malherbes, toujours en rénovation.

Le château Malherbes est créé à la fin du XIVe siècle par Guilhem de Malherbes, chevalier revenant des  croisades. La présence d’une maison noble est attestée depuis le XVIe. Le logis a été reconstruit au XIXe. Les communs sont antérieurs avec des parties du XIVe et la majorité construite au XVIIIe. L’ensemble est entouré d’un beau parc. Actuellement c’est un domaine viticole de  20 hectares, dont 12 hectares de vignes.

Au bout de ce chemin, une superbe vue sur Bordeaux….

Le château Gassies construit à l’origine en 1775 est un superbe domaine de 14 hectares. Devenu lieu de réceptions de haute gamme. Mais nous ne le voyons pas.

Une vue prise  sur InternetChâteau Gassies salle de réunion et séminaire en Gironde

Plus loin, une pose boisson au Moulin à vent de Latresne. Le seul à avoir survécu sur le village ; moulin tour avec une toiture orientable en fonction du vent.

Un quartier où de superbes demeures dominent.

La Chapelle Saint-Joseph du Rocher

Malgré sa situation dominante sur le rocher elle n’est pas l’église principale de Latresne . Elle a été construite au XIXe. Aujourd’hui La Chapelle et les bâtiments ont été réhabilités en logements privés. La vieille église Saint-Aubin quant à elle est située dans le vieux bourg.

Au lieu-dit Castera. A l’emplacement d’une grande bâtisse à trois étages du XIXe siècle, existait autrefois un moulin plus vieux cité dans de nombreux textes historiques. Appelé moulin du Castera ou moulin du Castet, il était installé sur le cours de la Pimpine. On peut encore voir des restes de maçonnerie dans le lit de la rivière, depuis le chemin de l’Estey. C’était un des trois moulins à eau construits sur le territoire de Latresne.

Nous voilà de retour à notre point de départ. Vers 17h le groupe se disloque ; merci Corinne pour cette belle balade.

Animateur organisateur : Corinne Villar

Distance : 10 km – 110m de dénivellé

Indice d’effort : niveau 2-  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Desmond Alexandra

Lataste Martine

Maison  Patrick

Mlynarsky Marie-Line

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Peere Laurence

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

IGN Latresne visorando

LATRESNE IBP = 28 HKG Effort 2

 

12/2021 LE POUT

Le Pout environ 650 habitants, les Poutois et Poutoises

Outre l’église paroissiale St-Martin et la croix de son cimetière, une dizaine d’édifices de la commune sont versés à l’inventaire général du patrimoine du Créonnais.

C’est Jacques qui aujourd’hui sera notre chef de file : 22 personnes sont réunies près de l’église puis divisées en 4 groupes.

C’est par un temps agréable que nous partons de l’église St-Martin qui fût construite au 15ème siècle et remodelée aux 16ème et 19ème siècles. Son originalité se trouve être dans son volume intérieur mais qui n’est toutefois pas accessible. Par contre ses 2 belles cloches extérieures sont bien visibles.

Jacques voulant se la faire à l’envers, nous partons donc par l’arrière de l’église en prenant la direction de Cursan par une belle descente à travers bois.

Une pose photos près de Croignon avec le chef du jour.

Au lieu-dit Moulinot, passage au-dessus du Gestas.

Nous passons près d’une belle demeure en pierres blondes.

Arrivée sur l’église Saint-Saturnin de Camarsac qui date du 12ème siècle.

Puis Le château de Camarsac, bâti sur un promontoire au 14ème siècle, appartient à la famille Lurton. L’oenotourisme y est pratiqué à travers son fameux  « Clos du Prince Noir ».

Maintenant le ruisseau de la Hutte.

Le Château RIVALAN

Le château était dédié à l’origine à l’élevage laitier puis à l’élevage de vaches à viande. A ce jour, c’est un domaine viticole de 52 hectares qui fait l’objet d’un traitement raisonné permettant de réduire les produits phytosanitaires. Sa particularité est de disposer d’un chai d’élevage dans les fondations du château avec un élevage en barrique entre 12 et 18 mois.

Quelques centaines de mètres et nous sommes de retour à notre point de départ.

Merci Jacques pour cette belle balade bien arborée. Rendez-vous sur Latresne la semaine prochaine avec Corinne.

 

Animateur organisateur : Jacques Cantillac

Distance : 11 km – Peu de dénivellé

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cartulat Jean-Michel

Cayre Maria et Michel

Couprie Marie-Claude

Champarnaud Valérie

Garcia Norbert et Josiane

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Maison Nicole et Patrick

Mlynarsky Marie-Line

Noël Françoise et Fred

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

 

 

11/2021 MADIRAC

MADIRAC… 1,9 km2 pour 249 habitants

Une dizaine d’édifices de la commune de Madirac sont versés à l’inventaire général du patrimoine culturel. Sont ainsi recencés des maisons et des fermes du XVI et XVIIe édifiées aux lieux-dits les Reynauds, Les Mignons, Le Château Canteloup, le lieu-dit Carpe qui constitue l’actuel village avec la mairie-école construite en 1883 et le pont de la Soye. Il n’y a plus d’église ni de cimetière. L’église Saint-Jean de l’ancien prieuré des bénédictins a été détruite en 1829.

23 randonneurs sont au rendez -vous au lieu-dit Le Carpe ; c’est Serge qui va diriger la randonnée, les mini-groupes de 6 sont formés.

Et c’est parti direction Sadirac à travers prairies et bois.

Pour Francine, distanciation oblige….. elle se détache et prend nettement la tête.

Arrivée en bordure de Pimpine ; le groupe la suit sur quelques centaines de mètres.

Au passage un abri de fortune.

D’agréables chemins boisés et des participants qui semblent heureux.

Puis on s’hydrate…… on ne sait toujours pas ce qu’il y a dans la gourde de Pierre ??

Un moment d’hésitation avant d’y passer !!!

Mais Corinne en ressort…

Lieu-dit le Ressort…….elle est belle cette glycine.

Le groupe ne dérange même pas ce petit chat.

La petite pose casse-croûte.

Lieu-dit « Les Bernards ». On longe maintenant le ruisseau « La Soye ».

Francette semble se demander maintenant si c’est bientôt la fin?

Belle vue dans le bois.

En cours de chemin, la maison qui pourrait appartenir à l’acteur de théâtre Robert Signerolles.

 

Animateur organisateur : Serge BOUET

Photos : Brigitte, Francine

Distance : 11 km – Quelques dénivelés

Indice d’effort : niveau 2 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cartulat Jean-Michel

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Flandé Hélène et Jacques

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Maison Nicole et Patrick

Michel Jean-Marie

Mlynarsky Marie-Line

Noureau Francette

Richez Bernard

Villar Corinne

 

Lien trace Madirac

madirac10

 

10/2021 SADIRAC

Sadirac est une ville moyenne de plus de 4300 habitants (les Sadiracaises et Sadiracais). Une superficie de 19,2 km2 éclatée dans de nombreux lieux-dits. Elle possède la plus grande superficie des communes du Créonnais.

L’église Saint-Martin : Jadis fortifiée, elle présente encore aujourd’hui une charpente gothique et un clocher datant de 1863. Cette charpente est inscrite aux Monuments Historiques par arrêté du 24 décembre 1925.

eglise saint martin sadirac

Sadirac est reconnu depuis l’antiquité pour son savoir ancestral de la poterie grâce à l’argile du terroir. Ce savoir-faire fût sa renommée et sa puissance au delà de nos frontières. Au 18e siècle, l’industrie potière atteignait son apogée ; on peut dire qu’à l’époque dans chaque famille il y avait un potier. On comptait également plus de 150 fours dans la commune.

Plusieurs entreprises de poterie prospèrent jusque dans les années 60 et ferment dans les années 80.

La Poterie Fouragan construite dans le bourg vers 1830 produisait, dans une quarantaine d’ateliers occupant une centaine d’ouvriers, des moules destinés aux raffineries de sucre, puis la fabrication de pots destinés aux résiniers landais et à la poterie d’usage domestique.

Aujourd’hui, les vestiges restaurés de l’établissement industriel et du four désaffectés accueillent le Musée de la poterie et de la céramique de Sadirac. Celui-ci raconte l’histoire avec une collection d’objets issues de fouilles archéologiques.

Chaque année une manifestation d’envergure internationale a lieu au mois de juin.

La ligne de chemin de fer devenue piste cyclable

Au 19e siècle, Sadirac se trouvait sur une ligne de chemin de fer reliant Bordeaux à Espiet pour alimenter les usines en matériaux. Chacune des villes desservies possédait une gare qui servait de halte pour les marchandises. Cette ligne était aussi empruntée par les voyageurs qui pouvaient se déplacer de ville en ville, ce qui était un privilège pour l’époque. La ligne fût fermée en juin 1940 au moment de l’occupation allemande.

En 1979 cette ligne a été arrêtée après la fermeture de la cimenterie d’Espiet. Elle fût transformée en piste cyclable appelée Roger Lapébie, du nom d’un cycliste renommé de la région.

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L’ancienne gare de Sadirac abrite la maison du patrimoine naturel du Créonnais.
Des activités culturelles, pédagogiques et scientifiques pour tout public y sont proposées à travers les dimanches « découverte de l’environnement » (tous les dimanches entre 14h30 et 18h, entrée libre et gratuite) avec balades, ateliers, films et expositions. Chaque semaine, un nouveau thème est à découvrir. Les jeudis soirs culturels (diaporamas, conférences, sorties nocturnes, …) ont lieu à 18h30 .

C’est parti…..20 randonneurs en attente du prochain confinement se retrouvent sans embrassades. Pour respecter les consignes nous faisons 3 mini-groupes qui respecteront les règles de distanciation. C’est Fred qui anime aidé par les autres animateurs.

Nous passons de suite le bassin aux salamandres pour prendre  à travers bois direction la Pimpine que nous suivons sur 3 km. Des chemins relativement secs mais des racines et des souches nous y attendent.

Une première petite pose pour se rafraîchir

 

Comme il est beau ce petit pont.

Au bout de 3 km, nous traversons la Pimpine à guet, par un passage délicat.

La Pimpine prend sa source à Créon, possède 2 affluents sur la commune Le Gouchebouc et Le Ruzat et  se jette après 16,9 km dans la  Garonne au niveau de l’île d’Arcins.

La Barrière 74    Gare intermédiaire entre Sadirac et Créon au lieu-dit Calamiac à l’origine pour les habitants de Madirac et Saint-Genès de Lombaud. 

Faisons 300 m en bordure de la piste cyclable que nous allons longer ensuite à travers bois.

Puis un raidillon direction le lieu-dit Calamiac.

Une belle maison à Calamiac.

Mais aussi des bâtiments à restaurer.

Une descente de quelques centaines de mètres sur bitume.

Attaquons dans les sous-bois une petite montée en direction de la Maison d’hôtes « Le Vélo Vert « en surplombant la piste cyclable.

Une dernière pose pour se ressourcer.

Et çà repart d’un bon pas.

Arrivons au dessus de la Maison d’hôtes « le Vélo Vert » 
 C’est maintenant plus facile car nous sommes en hauteur dans un chemin très agréable en descente vers notre point de départ. Toutefois quelques arbres couchés nous obligent à les contourner.

Nous avons fait 7,8 km sur des chemins secs et nous décidons de faire la boucle complémentaire de 2 km prévue toujours en bord de piste cyclable et de la Pimpine.

Hélène et Jacques retrouvent la petite maison qui a accueilli leur grande nuit de noces il y a bien longtemps.

Enfin un arbre sérieusement couché sur la chaussée ne nous arrête pas dans l’effort.

Il nous reste 1 km de retour sur la piste cyclable et vers 16h30 nous nous  saluons.

Notre randonnée  : 7,8 km + 2km

Animateur : Fred

Indice d’effort : niveau 1 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 ++ assez facile (configuration terrain, passages boueux)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

Les Participants :

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Flandé Hélène et Jacques

Garcia Norbert et Josiane

Mlynarski Marie-Line

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Thomas Joëlle et Denis

Trace du circuit au 1/25000

Original via openrunner

09/2021. CAPIAN

Capian
La commune s’étend sur 18,2 km² et compte un peu moins de 800 habitants appelés les Capianaises et les Capianais. La commune de Capian fait partie de la CDC du Créonnais. Elle se trouve à 91 m d’altitude

L’église Saint-Saturnin, bâtie à la fin du XIIe siècle, était à l’origine composée d’une nef non-voûtée, s’ouvrant au sud par une porte romane. Au XVIIe siècle celle-ci est protégée par un porche fermé et fortifié.

C’est Serge qui se charge d’emmener par petits groupes la petite troupe de 22 randonneurs par un temps ensoleillé.

Le lieu-dit Macquet….un beau domaine. Le gîte du Domaine de Macquet est classé trois épis aux Gîtes de France.

Plus loin, dans la futée, le moulin Lacroy. Moulin tour datant du XVIIIe siècle comme les autres moulins de la commune. Son toit octogonal le protège des intempéries.

Château de Potiron : Construit sur la roche, ce château du XVIIe siècle offre tout le charme des propriétés girondines.  Histoire de famille et de passion, le château de Potiron est tenu par une propriétaire danoise fière d’avoir su redonner vie à ce cadre exceptionnel ! Situé sur les côteaux de Capian, il bénéficie d’un terroir exceptionnel et d’un ensoleillement important. Aujourd’hui, les 20 hectares de vignes du domaine sont cultivés dans un profond respect pour la nature.

Depuis 2018, gîte avec des superbes chambres et de magnifiques pièces de vie pour l’hébergement, une grande piscine, un patio extérieur et sa terrasse en pierre.

Domaine viticole de Tillac, appellation Côtes de Bordeaux.

Le télégraphe. L’invention des frères Chappe permettait un gain de temps important dans la transmission des messages. Ainsi un message qui aurait mis par diligence 4 jours pour aller de Paris à Strasbourg, ne mettait plus que 2 heures transmis par télégraphe. C’est en fait l’ancêtre de nos téléphones portables.

Ruisseau de patrouilleau.  Les « Marie-Claude » en rose lèvent la jambe de concert.

Lieu-dit Minguet. Un très beau domaine

Le hameau de Minguet est constitué de plusieurs maisons, la plupart en style bordelais de la fin du XIXe siècle.

Passé le hameau de Minguet, au hasard de perspectives propices, d’apaisants paysages s’offrent à nous.

puis lieux-dits Bretagne …..Germain …..

Le Ruisseau Le Gaillardon.. un havre de paix et de quiétude

Au loin le Château Viera

Plus loin une masure particulière et de fière allure

Entre les arbres devinons le Château du Grand Moueys.

le château du Grand Mouëys est situé dans une campagne idéalement calme et préservé. Ce domaine de 170 hectares de bois, prés et jardins, dont 50 hectares de vignes est une propriété viticole depuis l’ancien régime.

En fin de parcours, ce qui peut ressembler à une entrée de grotte.

Retour vers notre point de départ …..une belle randonnée ; tout le monde est content…… à la semaine prochaine.

 

Animateur organisateur : Serge Bouet

Distance : 10,2 km – quelques dénivelés

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cartulat Jean-Michel

Couprie Marie-Claude

Dupin Monique

Lagorce Pierre

Martin Marie-Jo

Maison Nicole et Patrick

Mlynaski Marie-Line

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

Trace Capian.   capian2

08/2021. TRESSES

 

C’est Corinne qui accueille cet après-midi 25 randonneurs sur le parking de la mairie de Tresses. Les lunettes de soleil sont de sortie.Dans le lot c’est Maria qui flash avec ses nouvelles chaussures, bien plus belles que celles détériorées il y a 15 jours.

Tresses (4452 habitants les Tressoises et Tressois) accueille une activité agricole diversifiée et dispose d’une situation idéale : on accède directement à la rocade bordelaise à l’ouest, à la voie rapide qui file vers Libourne au nord, à celle qui part vers Bergerac au sud.

L’urbanisation s’étend le long d’une diagonale urbaine sud-ouest/nord-ouest entre le quartier de Mélac et le bourg tandis qu’une diagonale verte suit un axe nord-sud ; l’essentiel des entreprises se trouvent le long de la route départementale 936.

L’église Saint-Pierre de Tresses

L’église Saint-Pierre se composait, à l’origine, d’une nef unique terminée par un chevet plat. Elle a été agrandie par un bas-côté sur le flanc Nord au XVIe siècle, puis d’un autre au Sud au milieu du XIXe. Elle forme donc un édifice spacieux à trois nefs dominé par un grand clocher construit en 1877-1878.

Le château Palot est une propriété familiale datant du XVIIe siècle qui s’étend sur 20 hectares de bois, de vignes, de prairie.

Situé à côté du bourg, le château est désigné sous le nom de Balguerie dans certains plans cadastraux. Au XVIIe siècle, il appartenait à Gratien Pallot, seigneur de Puch de Gensac. La famille Balguerie, devenue propriétaire au XVIIIe siècle, y est toujours présente depuis cette époque.

Un groupe attentif aux explications de Corinne.Le château de Lisennes

Le nom de «Lisennes» est cité pour la première fois dans un texte de 1758. L’origine viendrait d’une racine LIZE comme «GLAISE» : terre grasse ou boueuse. La vigne y est présente depuis longtemps. Le plus ancien propriétaire connu est Etienne de Baritaud, conseiller du Roy, avocat général de la Cour des Aydes de Guyenne au début du XVIIe siècle.

Le domaine représentait quatre-vingt-quinze hectares dont vingt-trois en vignes et trente et un en terres labourables avec huit hectares de prairies, le reste en bois.

Voilà les bâtiments en bout de l’allée…

Lisennes est actuellement un vignoble de 50 hectares composé de cépages nobles sur ses terres « fortes » et « lizes ».

«Maison de maître avec grande cour d’entrée fermée par une grille en fer, au milieu de laquelle existe un très grand et magnifique portail aussi en fer… La façade du midi est éclairée par six fenêtres et une porte ouvrant sur le jardin dans lequel on descend par un large perron à trois côtés ; elle a le même nombre d’ouvertures dans la cour d’entrée».

Arpentons sur les lieux-dits Bourbon, Joli-Bois, Le landais, La Roche, La Lande.

Arrivons sur la partie boucle de Pompignac.Les lieux- dits : Merle, Caparénie,Fanfan

Puis on y trouve une très belle cascade..

Un moment de détente à l’heure de la pose casse-croûte… près de la cascade.

Et Jacques consulte les nouvelles…..

Les autres taillent la bavette…

Un peu plus loin, c’est Olivier qui retrouve son outil de travail ; une petite photo pour la prospérité. Nous prenons note que nous avons un chauffeur pour une prochaine excursion randonnée.

Nous continuons notre chemin sur le retour, passons à St-Paul, Citon, La Lande, et près du Château La Roche, chartreuse du XVIIIe siècle, dans la famille Roche depuis 1876.

Puis nous retrouvons notre parking de départ. Tout le monde est satisfait.

Une très belle randonnée bien ensoleillée . Merci Corinne

Animateur organisateur : Corinne Villar

Distance : 12,8 km – Peu de dénivellé

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance + dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Couprie Marie-Claude

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Garcia Norbert et Josiane

Lagorce Pierre

Lataste Martine

Martin Marie Jo

Maison Nicole et Patrick

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Peere Laurence

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

 

Traçé Tresses

Niveau d’effort

 

 

07/2021. BRANNE

Branne…. Petite commune de 254 ha  et de 1133 habitants, blottie sur les bords de la Dordogne à deux pas de Saint-Emilion, Branne fait partie  de l’arrondissement de Libourne. C’est aussi le chef lieu de canton.

« La Dordogne » était un axe important pour le commerce (vins, bois, céréales).
Le commerce fluvial de Branne s’est développé au XVIIIe siècle, les marchands et artisans y étaient en grande majorité avec des bateliers, pêcheurs, commerçants, charpentiers……
Autrefois les gabares chargées de fûts, de céréales, de bois ou de pierres naviguaient sur la Dordogne ; de cette activité il ne reste aujourd’hui que les quais.

« L’église Saint-Etienne »  fut construite de 1859 à 1878. L’intérieur est composé d’une nef à quatre travées couvertes de voûtes et de deux bas-côtés.

« La Halle » qui se trouve au coeur de la ville, était à l’époque le centre vital de Branne où les habitants des communes voisines venaient vendre et acheter nourriture, objets et marchandises diverses. Elle figure au cadastre depuis 1672.La halle. - Branne

Passer le fleuve à Branne remonte au temps des invasions barbares ; on traversait alors sur un pont de bateaux jusqu’au XVIIe siècle, puis sur un pont suspendu en bois construit au XIXe siècle.
Il a été doublé en 1911 par le pont Eiffel, qui sera détruit le 24 août 1944 par l’armée allemande en retraite. Il est reconstruit et élargi après guerre, prenant l’aspect que nous lui connaissons aujourd’hui.
Certains d’entre nous profitent de notre point de rendez-vous pour observer l’ouvrage actuel.Pont du CD936 sur la Dordogne

C’est Bernard tout heureux qui dirige aujourd’hui.

Un groupe de 19 randonneurs s’est réuni. Comme de coutume nous faisons des mini-groupes. En définitive notre chemin de randonnée part du port de Branne mais se trouve en majorité sur la commune de Saint-Sulpice de Faleyrens.

Tout d’abord nous longeons la Dordogne environ 4,5 km sur le chemin bitumineux ; sur notre droite se succèdent d’agréables maisons secondaires, entre vignes, prairies, cultures ou friches.

Au passage un très beau pin à singes.

À gauche, du côté de l’eau, de belles vues des berges opposées s’offrent à nous. On peut voir aussi de nombreux carrelets, pour la plupart hélas désaffectés.

À 2 km environ du départ, entre Grange Neuve et Lacayot sur la rive opposée et sur le haut des coteaux boisés, nous remarquons le Château Montlau situé sur la commune de Moulon.

À cet endroit, anciennement appelé « Mont des lauriers », existent des vestiges gallo-romains sur lesquels fut bâti un château-fort du temps de l’occupation anglaise. Montlau,  remarquablement bien situé au sommet du coteau domine la vallée face à Saint-Emilion. Ce domaine produit de nos jours un excellent vin d’AOP Bordeaux-Supérieur.

Château Montlau - Vins - Moulon | Office de Tourisme du Libournais

Un peu plus loin….. Terre de Grand : les vignobles de Bernard XANS qui est également pêcheur en eau douce et qui commercialise notamment aloses et lamproies.

Quelques points de passage : « le Sourd », « Bernachot », « Lescave », « La Daurade ».

Quittons les bords de la Dordogne au niveau du Château  » Belle Rive  » propriété de 18 Ha de vignes et 15 Ha de prairies.

Après une petite pose, continuons à travers vignes, champs,  prairies,  ruisseaux, pièces d’eau.vers le pas de l’âne, Baillargue, Barrail, Le Rau.

Notre retour par les terres se borne à une promenade tranquille au milieu de la nature, sans obstacles, et où le regard porte loin…

Le temps se gâte quelque peu… les protections sont sorties.Retour vers la Dordogne vers Grange Neuve sur quelques centaines de mètres.

Vers 16h 15 le groupe se sépare. A samedi prochain à Tresses…

Animateur organisateur : Bernard Richez

Reconnaissance : Bernard, Fred

Distance : 11 km – Dénivelé  11 m

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bessot Lo Papa Nicole

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Champarnaud Valérie

Desmond Alexandra

Maison Nicole et Patrick

Michel Jean-Marie

Noël Françoise et Fred

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne