Catégorie : Slider

28/2021 BLESIGNAC

BLESIGNAC est un petit village près de Créon d’environ 320 habitants appelés les Blésignacais et les Blésignacaises. La commune située à 61 mètres d’altitude s’étend sur 2,5 km². Le ruisseau d’Audigey est le principal cours d’eau qui traverse la commune de Blésignac.
Cette commune fait partie de la Communauté de Communes du Créonnais.

L’histoire de la commune de Blésignac est connue en partie à partir du XIIe siècle. En 1196 un procès survient entre les moines de l’Abbaye de La Sauve-Majeure et les chevaliers du Temple de la Commanderie de Montarouch. Les deux seigneuries ne disposaient pas dans leur voisinage immédiat d’un cours d’eau suffisamment puissant pour alimenter un moulin à eau. Or, à cette époque, cette installation hydraulique était plus que nécessaire dans l’économie de ces deux établissements. Dès leur installation les moines de l’Abbaye de La Sauve-Majeure privilégièrent le ruisseau de la Canaudonne. Les chevaliers du Temple de la Commanderie de Montarouch en firent de même et plus précisément se concentrèrent sur un tronçon de la Canaudonne, le ruisseau de Trousse-Paille.

Ce ruisseau au XIIe siècle forme déjà la limite Nord-Ouest de Blésignac.

Ainsi, la commune, sous la tutelle de la Commanderie de Montarouch, se vit dotée de quatre Moulins à eau : le Moulin de Trousse-Paille, le Moulin de Rafarin, le Moulin de Ramafort et le Moulin du Temple. Il subsiste peu de ces édifices, à l’exception du Moulin du Temple en cours de restauration.

D’autres édifices sur la commune de Blésignac datent de l’époque des Templiers comme l’Eglise ou la Chapelle surplombant le Moulin du Temple.

L’église Saint Roch :

Cette église bâtie au XIIe siècle par les Templiers a connu des remaniements aux XVIe et XIXe siècles. Elle est connue sous le nom de Saint-Vivien, puis de Saint-Vincent et enfin de Saint-Roch. La statue du Saint patron est présente à l’entrée de la nef à droite. La nef est d’origine romane et a été fortement remaniée à la fin du XIXe siècle. A cette époque elle fût voûtée et dotée d’ouvertures supplémentaires. D’étroites fenêtres sur la façade Sud ont été remplacées par des ouvertures plus importantes ornées de vitraux. Elle s’achève sur un chœur décoré de peintures murales représentant colonnes et draperies. Elle a été dotée d’un collatéral nord voûté en étoiles, avec une clef d’ogive particulière.

La Maison forte de La Font : Cette maison forte est dite aussi Maison de la Croix ou Maison du Juge. Elle est mentionnée dans un acte de 1564. Elle prend forme en un grand logis rectangulaire de trois niveaux percés de fenêtres à meneaux et croisillons. Ce logis est desservi par un escalier à vis logé dans une tour semi-circulaire plaqué sur le grand côté sud. La partie supérieure est percée de boulins pour des pigeons. Des traces de fortifications se remarquent, comme une échauguette d’angle. A l’arrière de l’édifice un pigeonnier circulaire du XVIIe ou  XVIIIe siècle.

Le Château de Blésignac : Le premier château de Blésignac est construit au XIIIe siècle. Il est remanié à plusieurs reprises jusqu’à devenir le bâtiment actuel, qui date essentiellement de la fin du XVIIIe siècle. Le premier château est une ancienne forteresse érigée  en 1278. La demeure est reconstruite aux XVe et XVIe siècles, puis en grande partie détruite et restaurée au XVIIe siècle.

La randonnée en elle-même: Les 2 parkings de Blésignac suffisent à peine pour nous accueillir : en effet 33 randonneurs (la plus grosse participation de l’année) se retrouvent au départ sur le parking de la mairie de Blésignac. C’est Corinne qui est en charge de cette randonnée.Quelques mots de bienvenue et sur Blésignac et quelques consignes avant le départ.

Nous nous dirigeons tout d’abord sur quelques centaines de mètres de bitume vers  le lieu-dit Landrau. Traversons le hameau et poursuivons un chemin à travers vignes. Après un bosquet , atteignons un chemin herbeux.

Poursuivons entre les vignes puis longeons une haie sauvage de bosquets.

Notre guide Corinne plein de dynamisme.Derrière ils ont l’air faciles…A fond pour Marie-claude et Danielle.Des couleurs flamboyantes..Un pas sérieux et appliqué pour Jacques.On regarde bien où on marche.Marc cherche t-il  son souffle ??Norbert et Bernard très souriants.

Une très belle maison dans la nature. On se croirait en Dordogne.Peu de randonneurs ont vu dans leur dos ce moulin en bordure de bosquet.Passons au dessus du ruisseau d’Audiguey.

Au lieu-dit Montestruc, nous quittons la route pour rejoindre le lieu-dit Mondon. Prenons un chemin étroit. Passons le pont qui passe au-dessus du ruisseau de Faugère et continue jusqu’au lieu-dit  Pegneyre.

Passons dans la commune de Saint Léon et faisons un détour pour aller voir son église Saint Barthélémy.Photo à Saint-Léon (33670) : L'église romane de Saint Léon (IMH). - Saint-Léon, 232903 Communes.com

Eglise du XVIe et XVIIIe siècle avec un clocher pignon percé d’arcades. Magnifique fenêtre gothique.

Ainsi que le Château de la Goëlane

Château d’esprit néo-gothique construit vers 1850. Un corps de logis de 3 niveaux et un étage de combles. Une tour circulaire avec mâchicoulis. Le château est au coeur d’une exploitation de 71 hectares de vignes (appellation Bordeaux Supérieur). Fait partie du patrimoine de « Castel ».

En reprenant notre chemin, nous apercevons sur notre gauche la très grande déchèterie et centre de valorisation des déchets.

Après un bosquet, passons le long des vignes jusqu’à un autre bois. Prenons un chemin empierré et continuons sur 1,3 km environ. C’est le moment de la pause casse-croûte.

Reprenons notre chemin et passons près d’une palombière.Après un courte descente, rejoignons la piste cyclable. Suivons celle-ci sans oublier que les cyclistes sont prioritaires et que les vélos sont silencieux …

Passons l’impressionnant tunnel et continuons sur la piste.

Passons devant le Château Neuf que nous pouvons admirer sur notre droite.

Corinne nous conte l’historique de ce Château.

Périodes de construction : 16e siècle, 17e siècle, puis 19e siècle

Des éléments protégés : Façades et toitures du bâtiment central avec ses deux tours rondes qui flanquent les dépendances ; grille du portail d’entrée Nord. Inscription par arrêté du 1er février 1988.

Poursuivons jusqu’au premier carrefour de routes.

Quittons la piste cyclable et prenons la route à droite. Après une centaine de mètres, bifurquons à gauche par la voie sans issue (Luc Sud). Continuons sur le chemin balisé et passons le petit ruisseau et rejoignons le lieu-dit du Moulin d’Audigey.

Au détour d’un chemin bien herbeux en descente.

 Continuons maintenant par le chemin carrossable. Denis retrouvent des amis.

Il est temps de rentrer, rejoignons le parking du départ.

Trace Blésignac.      

 

Animateur organisateur : VILLAR Corrine

Reconnaissance : Corinne

Distance :  10,2 km- Dénivelé  76m

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 2 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

 

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Bernard

Bouet Francine et Serge

Caillaud Christine, Pascal et Maëllys

Cantillac Marie-Claude

Cerdan Coraline

Couprie Marie-Claude

Desmond Alexandra

Dupin Monique

Flandé Hélène et Jacques

Garcia Norbert

Gaudière Danielle

Maison Nicole et Patrick

Metreau Céline et Eric

Marcandella Jean-Christophe

Noël Françoise et Fred

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

1 couple pour essai

23/2021 WE EN DORDOGNE

 

WE EN DORDOGNE

Les premiers sont arrivés vendredi en fin de matinée ; il fait encore beau.

Et on commence par un joyeux pique-nique sur l’herbe. Le Président lève le verre.

En fin de repas, Bernard et ses excellents cannelés.

RANDONNEE DE FANLAC. Village de JACQUOU LE CROQUANT

Dans le roman d’Eugène Le ROY, Fanlac est le village où Jacquou le Croquant, orphelin errant dans la campagne a été recueilli. Jacquou le Croquant constitue le symbole de la révolte paysanne sous  la restauration.

Extrait de livre d’Eugène Le Roy

…Aussi , lorsque je fus sur la crête du haut du coteau rocailleux où est pinqué le  bourg de Fanlac, j’étais rendu et je m’assis à l’ombre de la vieille église pour me reposer.

Il me sembla en arrivant à cette hauteur que mes chagrins s’apaisaient. C’est qu’à mesure qu’on monte, l’esprit s’élève aussi ; on embrasse mieux l’ensemble des choses en ce bas monde où tant de misères sont semblables ….

https://fanlac.jimdofree.com/

Fanlac village.

La Croix des carrefours

La Borie ... boîte aux lettres.

Belle gouttière bien ouvragée …

Avant le départ de la randonnée ….

Mais oui, ça monte en Dordogne.Quelques explications sur la …    Stèle du Sablou

Le site mémoire du Sablou.Plan de la randonnée.  838_srt_pdf_pdf_FichRandoVV11-BOUCLE-DE-L-ORSINIE

comparaisonLa meilleure présentation de Fanlacfanlac-14940409

 

RANDONNEE DE SAINT-LEON SUR VEZERE

Départ de la randonnée du matin de la mairie de Peyzac Le Moustier.

Passage à la Roque Saint-Christophe

Les Bories

Le couple Présidentiel.

D’autres couples se forment.

A la côte de Jord.... Les parapentes prennent leur envol

Le Château de Saint-Léon

En bordure de Vézère

Repas à Saint-Léon sur Vézère.

Les consignes du Président avant le départ pour l’après-midi.

Retour sur Peyzak.

Les Gorges de la Vézère.

Trace de la randonnée de    saintleon

MONTIGNAC

Visite des monuments de Montignac sous les parapluies. Les commentaires sont faits par Emmanuelle et Jean-Christophe.

La statue d’Eugène Le Roy, écrivain français mort à Montignac en 1907 et qui a écrit le livre sur Jacquou le croquant.

Le repas de midi pris toutefois au sec sous l’abri du kiosque.

 

LES EYZIES

Il pleut aussi sur les Eyzies. Direction le Musée de la Préhistoire.

Visite du Musée de la Préhistoire.

En cours de visite rencontre avec l’homme de Cromagnon.

SARLAT

Les monuments historiques au centre de Sarlat.   Présentation par Marc

La Cathédrale Saint- Sacerdos

La maison du bourreau.

La lanterne des morts aussi appelé la Tour des Maures.

Et le dernier repas à Sarlat au Bistrot de l’octroi avant de repartir.

Diaporama Laurence     Cliquez sur une photo et ensuite défiler avec les flèches

Animateur : BOUET Serge

Participants:

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danielle et Bernard

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Couprie Marie-Claude

Croisille Françoise et Guy

Duthil Jean-Luc

Lacour Danielle

Lataste Martine

Marcandella Jean-Christophe

Michel Catherine et Jean-Marie

Noureau Francette

Peere Laurence

Sopéna Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

 

 

 

27/2021 VERDELAIS

Verdelais, sanctuaire dédié à la Vierge Marie est l’un des grands centres de pèlerinage en Nouvelle-Aquitaine. L’ensemble du bourg , de grande qualité architecturale, comporte la basilique Notre-Dame, élément central du village, modifiée par de nombreux travaux aux XVIIe et XIXe siècles. La façade et son imposant clocher surmontés de la statue de la Vierge domine le parvis réaménagé. A côté, se trouve le couvent des Célestins et ses deux cloîtres. L’un abrite le presbytère, l’autre, construit par les Célestins aujourd’hui est le siège de la mairie, de l’école et du musée d’art sacré. Les allées conçues pour accueillir les fidèles lors des pèlerinages sont bordées de beaux immeubles et d’alignements de tilleuls. Un large escalier mène au cimetière où repose le peintre Toulouse-Lautrec et permet de gravir le mont Cussol par le chemin de croix pour atteindre le calvaire.

La randonnée : 22 randonneurs se retrouvent place du jardin public en contrebas du village. C’est Marc qui va nous guider aujourd’hui et commenter ce riche patrimoine.

Marc dirige le groupe tout d’abord vers le Luc appelé Pas de la Mule.

La tradition orale rapporte qu’au XIVe siècle, la mule qui transportait Isabelle de Foix se serait soudainement arrêtée au Luc devant une grosse pierre et aurait refusé d’aller plus avant. La grosse pierre est soulevée et surgit alors une statue de la vierge, cachée pour échapper aux pillards.

La statue de la vierge

Représentation de la scène commémorative du Pas de la Mule

Direction la basilique. Alexandra tient la corde.En cours de route un ancien lavoir.

La basilique Notre-Dame de Verdelais, édifiée en tant que chapelle au XIIe siècle, pour abriter une statue de la Vierge Marie rapportée de terre sainte, fût ravagée en 1357 et a été restaurée au début du XVIIe siècle. Un transept y a été ensuite ajouté puis, au début du XVIIIe siècle la façade occidentale a été remaniée. Enfin, de 1842 à 1875, l’église a été agrandie avant d’être élevée au rang de basilique en 1924. Elle fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 2010.

A Verdelais, en 1185, le premier malade guéri est un jeune aveugle. Ce miracle est suivi de beaucoup d’autres.
Un ex-voto en témoigne : en 1635, la fille du Procureur de Virelade, après trois visites à Notre-Dame, recouvre la vue dont elle était privée, dans l’église de Verdelais, au moment où le prêtre lit l’Evangile de la Messe célébrée à son intention.

Au XIXe siècle, 133 cas sont recensés entre 1819 et 1883.

La Vierge guérit des paralytiques, des sourds, des muets, des aveugles, protège des épidémies, sauve des marins en détresse, suscite des conversions…

Tombe de Henri de Toulouse-Lautrec, né Henri Marie Raymond de Toulouse-Lautrec-Monfa le 24 novembre 1864 à Albi et mort le 9 septembre 1901 au château Malromé à Saint-André-du-Bois est un peintre et lithographe français.Le chemin de croix À l’entrée du chemin de croix, se trouve la chapelle dite de la Sainte-Agonie construite sur la base d’une chapelle pré-existante. Le chemin s’élève en sinuant dans un sous-bois et est jalonné, de part et d’autre, de quatorze chapelles de style néogothique, toutes identiques quant à leur forme et leur taille, soit environ deux mètres de largeur en façade sur trois mètres de profondeur, chapelles qui représentent les quatorze stations du chemin de croix. Les dites stations font l’objet, dans chaque chapelle, d’un bas-relief sculpté présentant la scène de la station : condamnation, charge de la croix, première chute, rencontre de la mère du Christ… Le parcours se termine par la chapelle du Saint-Sépulcre.Le Calvaire : Au sommet de la colline, un calvaire monumental présente les  croix portant l’une le christ, et de part et d’autres les 2 larrons (le Bon et le Mauvais)

Le calvaire revisité par Marc et ses 2 larrons ( cherchez le bon ???)

 Moulin de Cussol

Moulin tour datant du XVIIIe siècle construit par les moines de l’ordre des Célestins. La commune l’acquiert en 1997, une « Association du Moulin de Cussol » est créée et s’occupe de sa restauration (tour, toit, ailes et mécanisme intérieur) possible grâce à des subventions municipales, départementales, régionales et européennes, ainsi que la participation de tous les membres de l’association à titre bénévole.

En ordre dispersé en approche du domaine de Malagar.

Le domaine de Malagar est une propriété située à Saint-Maixant. L’histoire de Malagar est intimement liée à l’écrivain François Mauriac pour qui Malagar fut une demeure familiale. Donné à la région Nouvelle-Aquitaine en 1985, le domaine accueille depuis 1986 l’association du Centre François-Mauriac de Malagar. Le jardin et son allée de cyprès ont été inscrits au titre des monuments historiques. 

De très belles vues brumeuses sur la Garonne.Direction le village de Saint-Maixant et petite pause casse-croûte au pied de son église.

Sur un chemin boueux et sous une petite pluie nous longeons la Garonne.

Passons sur un pont enjambant le Ruisseau de Galouchey qui se jette devant nous dans la Garonne.

Lieu-dit la Garonnelle: Le port de la Garonnelle a connu l’affluence des pèlerins qui arrivaient par bateau durant tout le XIXe siècle et qui montaient ensuite au chemin de croix.Chapelle Aubiac :  La paroisse d’Aubiac existait déjà avant la venue des Grands Montains qui vinrent s’installer dans le bois du Luc. En 1606 naît la confrérie de Notre-Dame qui s’établit dans l’église Saint-Maurice d’Aubiac. L’église dépend de l’abbaye bénédictine Sainte-Croix de Bordeaux qui exerce sur elle un droit de patronage, repris en 1655 par le couvent de Verdelais. En 1790, les officiers municipaux demandent à ce que le service paroissial soit transféré à Verdelais, l’église était régulièrement inondée et le culte y était impossible quatre mois dans l’année. La requête est acceptée en 1792 et l’utilisation des pierres de l’église pour paver le chemin est envisagée. Mais l’église n’est définitivement abandonnée qu’en 1820 et transformée en étable. L’édifice roman fut en grande partie construit avec les pierres provenant d’une ancienne villa gallo-romaine, détruite lors des invasions barbares. L’abside est voûtée en cul de four.

La dernière montée un peu difficile nous emmène au Château La Mouleyre.

Propriété familiale du XIXe siècle sur les coteaux de Sainte-Croix-du-Mont. Le vignoble du Château La Mouleyre s’étend sur 5 hectares. Ses vins liquoreux sont mis en bouteille au Château La Rame situé à quelques mètres de la propriété.

Le site participe au charme du lieu, avec une vue étendue sur la vallée de la Garonne, une bâtisse entourée de vignes et environnée de chemins de randonnées pédestres ou à vélo.

Il ne nous reste plus maintenant que 2 petits kilomètres vers notre point de départ. Nous apercevons même au loin la vierge dorée.

Un petit ruisseau à franchir pour finir.

Et voilà nous sommes à notre point de départ.

 

Animateur organisateur : Marc BARON

Reconnaissance :  Marc, Denis

Distance :  10,5 km – Dénivelé  134 m

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1- assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Breil Myriam et Bruno

Caillaud Christine, Pascal et Maëllys

Cerdan Coraline

Deblois Olivier et Béatrice

Desmond Alexandra

Dufour Marie

Lagorce Pierre

Martin Marie Jo

Michel Jean-Marie

Noël Fred

Quérité Marie

Richez Bernard

Thomas Joëlle et Denis

Carte IGN Verdelais

Verdelais IBP = 31 HKG Effort 1

26/2021 FRONTENAC

Frontenac : La commune s’étend sur 14,4 km² et compte 750 habitants.
Les ruisseaux de Gourmeron, de l’Engranne et du Gat sont les principaux cours d’eau qui traversent la commune de Frontenac.

L’Église Saint-Paul dite aussi Notre-Dame de Frontenac.Eglise Notre-Dame à Frontenac - PA00083550 - Monumentum

Vers 1145, l’église est donnée au chapitre de Saint-Émilion par Raymond III, évêque de Bazas. L’élément le plus ancien est la nef romane du XIIe siècle. Le portail Ouest, les colonnes à chapiteaux historiés de l’abside et la corniche à modillons en sont les vestiges. Au XVIe siècle, la nef est percée de fenêtres flamboyantes. De même, le mur clocher est restauré et partiellement rebâti. Au XIXe siècle, deux autres baies sont ouvertes côté Nord et trois contreforts identiques à ceux du mur Sud ont été édifiés.

La Commanderie de Sallebruneau, des XIIIe et XVIe siècles.Gironde : découverte de la Commanderie hospitalière de Sallebruneau | Partance - Tourisme | Tourisme Sud-Ouest

La commanderie est fondée en 1214 par les Templiers. À cette époque, seuls existent une église, la chapelle Saint-Jean, un corps de logis et un jardin de plantes médicinales, protégés par des fortifications. En 1296 est construit un modeste hôpital. Au XIVe siècle est construit un petit château.

Les troubles religieux du XVIe siècle laissent la commanderie et le château dévastés. Jusqu’au XVIIIe siècle, les Hospitaliers utilisent les terres, le château et la chapelle, qui devient paroisse locale au XIXe siècle.

À l’Est de la commanderie, un jardin médiéval dit des simples, a été reconstitué. Aromatiques et médicinales oubliées s’y côtoient …

Le départ de la randonnée se fera depuis le parking champêtre du village.

29 randonneurs se retrouvent et c’est Denis qui, après la présentation des nouveaux et futurs adhérents et donné les consignes d’usage, va driver cet après-midi.

Et c’est parti….nous prenons la direction du Chemin des Falaises qui descend vers une esplanade de loisirs, utilisée pour des exercices d’escalade (photo du haut de la falaise).

Longeons en sous-bois jusqu’à la maison isolée du lieu-dit Piquepoche et prenons ensuite sur quelques dizaines de mètres la route. ….Attention voitures

puis à gauche le premier chemin vers « Piquepoche Sud » en sous-bois. puis le long des vignes. Suivons le chemin nommé Bachon.

À la sortie du bois, traversons la vigne pour rejoindre la D119 et vers le carrefour, l’ancienne garde-barrière et la piste cyclable.

Prenons la piste virons à droite au premier carrefour puis à gauche vers le hameau de Martres.

Tournons le long du cimetière vers la Commanderie. Après la descente, remontons et passons le pont sur le ruisseau l’Engranne direction le lieu-dit Guillebot.

Au lieu-dit Maupas un petit domaine et un petit retour sur une cinquantaine de mètres suite à une petite distraction de notre guide.

Tournons dans un chemin au milieu des champs et poursuivons vers un bois.
Puis une petite pause pour se ressourcer.

Arrivons au lieu-dit les Roudiers. Allons emprunter une longue allée privée.

Mais avant tout et comme toujours Danielle et Monique saluent les mignons petits ânes.Qu’ils sont beaux….. et bruyants….

Passons sur le ruisseau de la MoulinasseQui apparemment alimentait un moulin.

Continuons sur cette allée pour trouver le lieu-dit Brugier.

et rejoignons la piste cyclable que nous suivrons jusque Frontenac.

Un petit passage délicat que nous contournons en passant en bordure du ruisseau l’Engranne qui alimente un ancien moulin.

Terminerons par quelques centaines de mètres de route puis en prenant à contresens le chemin des falaises qui nous reconduira au parking.

Randonnée bucolique avec de nombreux sous-bois, des prés, des champs de céréales et quelques vignes… et quelques ânes.

Animateur organisateur : THOMAS Denis

Reconnaissance : Denis

Distance :  11,5 km – Dénivelé  89 m

Indice d’effort : niveau 1 –  moyen (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danielle et Bernard

Breil  Bruno

Caillaud Christine et Pascal + petite fille

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Desmond Alexandra

Garcia Norbert

Michel Jean-Marie

Maison Nicole et Patrick

Moulin Monique et René

Noël Françoise et Fred

Pons Monique

Quérité Marie

Richez Bernard

Sopena Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Vacellier Géraldine

Villar Corinne

25/2021 CADARSAC

 

Notre rendez-vous se trouve sur le parking de la très belle base de loisirs de Cadarsac.  Il fait un peu frisquet mais nous sommes 21 randonneurs à nous retrouver. 

Quelques nouveaux adhérents que notre Président salue et présente.

Cadarsac est un petit village d’environ 360 habitants, il fait partie du canton de Libourne. Ses habitants se nomment les Cadarsacais et les Cadarsacaises. Sa superficie est de 2.28 km². 

Le parc de Cadarsac de 17 hectares avec son lac de 15 hectares fait le bonheur des pêcheurs, des promeneurs et autres sportifs en tous genres. Le lac est une ancienne carrière de graves qui a servi à l’élaboration d’une partie de l’autoroute Bordeaux/ Périgueux/Clermont-Ferrand. C’est une réserve naturelle où les chiens sont interdits. Plusieurs espèces séjournent sur le site tant aquatiques que volatiles.

C’est Corinne qui nous emmène pour une randonnée très nature et très verdoyante. Direction le centre du village, mairie et son église.

Au passage Le Château Barthalon 

L’église Sainte-Eulalie est une église romane du 12ème siècle construite par les templiers et remaniée à la fin de la période gothique par les hospitaliers de l’ordre de Malte. Elle se compose d’une nef unique de trois travées voûtées.  A la fin du 15e siècle, les fenêtres du chevet et la porte ouest sont refaites, de même que le clocher-arcade. Ce monumental clocher en pierre est orné d’une cloche en fonte et de trois croix de pierre.

Un peu plus loin une maison de bonne allure.

Lieu-dit Pinson, Cadarsac village et ensuite les lieux-dits Le Puch, Mangot.

Nous prenons le chemin de Plassiment puis passons au Bois du Noble et ensuite au lieu-dit Mathieu Eyraud. L’allure est d’un bon pas. Mais vue la température les mains sont plutôt dans les poches.

Nous allons bifurquer vers la lande.

Allez Corinne une petite pause de réconfort….. Le soleil te gêne t-il ??

Et c’est reparti vers la descente direction le lac. Et toujours une bonne allure….

Le voilà…. Il ne nous reste plus qu’à en faire le tour sur un peu plus de 2km.

Ici des ragondins prennent le soleil entourés de canards et de poules d’eau (plus savamment foulques macroules).

 

Animateur organisateur : VILLAR Corinne

Reconnaissance : Corinne

Distance :  9,6 km – Dénivelé  48m

Indice d’effort : niveau 1 –  facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Bouet Serge

Champarnaud Valérie

Couprie Marie-Claude

Desmond Alexandra

Deblois Béatrice et Olivier

Dufour Marie

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Marcandella Jean-Christophe

Martin Marie Jo

Moulin Monique et René

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Quérité Marie

Richez Bernard

Sopéna Emmanuelle

Vacellier Géraldine

Villar Corinne

Trace de cette randonnée: CCF_000302

24/2021 NAUJAN ET POSTIAC

 

 

 

La commune de Naujan et Postiac est d’une superficie de 11 km2 et de 550 habitants. L’habitat en est en grande partie dispersé, avec de nombreux hameaux, écarts et lieux-dits, dont l’activité est évidemment liée à l’agriculture.

L’Engranne, un petit affluent de la Dordogne est la limite avec la commune de Lugazan.

À la révolution, la paroisse Saint-Pierre de Naujan forme la commune de Naujan et son annexe, Notre-Dame de Postiac, forme la commune de Postiac. Le 27/08/1813  la commune de Postiac est rattachée à celle de Naujan qui devient Naujan-et-Postiac. La viticulture est, comme dans toute la région, très ancienne.

L’église : L’édifice, dont la construction originelle romane remonte au XIIe siècle, a été agrandi au XVIe siècle par l’ajout de deux chapelles formant transept et au XIXe siècle par la transformation des dites chapelles en collatéraux ; il est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du 13 février 2001.Image dans Infobox.

Le rendez-vous a lieu place de l’église. C’est Bernard qui conduira cette randonnée. 28 randonneurs sont présents dont plusieurs nouveaux adhérents.

Et c’est parti à travers vignes, bois et prairies.

Château de Naujan et PostiacFichier:Naujan-et-Postiac Château d'Arpaillan.jpg

Construit à la fin du XVIe siècle pour Jean de Chartres, écuyer et seigneur d’Arpaillan, le château reste dans la famille jusqu’à la fin du XVIIIe siècle. Le château d’Arpaillan ressemble à une maison noble de campagne. Plusieurs bâtiments sont établis au sein d’une cour close par une grande enceinte carrée dont deux angles sont consolidés par de gros contreforts. On voit encore des consoles au sommet, elles sont destinées à supporter des échauguettes. De plus, à l’origine, des tours circulaires flanquent les deux autres angles, une seule subsiste aujourd’hui.

Lieu-dit Barnadas puis direction Beaufresque Chateau Beaufresque, vignobles Cramail vin de Bordeaux

Le vignoble du Château Beaufresque s’étend sur un plateau argilo-calcaire d’une dizaine d’hectares. Le site est particulièrement bien exposé et destiné à cultiver la vigne. «Beaufresque» est le nom du lieu-dit sur la commune de Naujan et Postiac et signifie Beauté et Fraîcheur des lieux …

La production du Château Beaufresque n’excède quasiment jamais les 50hl/ha. Une agriculture raisonnée est menée. La pratique de l’enherbement est une méthode efficace de lutte contre l’érosion et de maîtrise des rendements.

Le hameau du lieu-dit Jacques est traversé puis passage sur le ruisseau près du moulin d’escassefort. 

Direction le Hameau de Bédat. Le groupe longe puis traverse le ruisseau du Prieur.

Un passage délicat et le galant Bernard est là pour ces dames.

En venant du Pistouley, non loin de Blanquine, on trouve le Château du Bédat.Château du Bedat

Ce château du XIVe comporte un logis rectangulaire et une tour de forme carrée avec un escalier à vis. Son nom viendrait du verbe latin « vetare », signifiant « défendre » .

Une petite pose pour se ressourcer.

Et c’est reparti.

Direction Saint-Aubin de Branne et sa place de mairie. Passage devant l’église puis direction  le hameau Labroue ; lieux-dits Prussi puis Escambert.

En cours de route Norbert se passionne pour les biquettes.

  Le Château de Conques à Saint-Aubin de Branne

Ce Château construit au XVIIe siècle fut aussi sous la domination du château de Blaignac. Il appartint longtemps à la famille de notaires royaux, les Lardières, dont l’un des descendants fut Vicaire Perpétuel de St-Aubin.

Près du Château, la Métairie de Conques : Haras, élevage de chevaux, clinique vétérinaire réputée dans toute la France.

Récemment, la Clinique de Conques a reçu  le statut de CHVE (Centre Hospitalier Vétérinaire pour Equidés) par le Conseil Régional de l’ordre des vétérinaires de Gironde.

Animateur : Bernard Richez

Reconnaissance:  Bernard, Denis

Distance 11 km

Dénivellé positif 194 m

LES PARTICIPANTS

Afergan Elie

Barbirato Annie

Baron Brigitte

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Cayre Maria et Michel

Champarnaud Valérie

Dufour Marie

Garcia Norbert

Lagorce Pierre

Marcandella Jean-Christophe

Metreau Céline et Eric

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie-José

 Moulin Monique et  René

Noureau Francette

Peere Laurence

Quérité Marie

Richez Bernard

Sopema Emmanuelle

Thomas Joëlle

Vacellier Géraldine

randonnee-boucle-naujan-et-postiac-par-saint-aubin

IBP = 31 HKG 1XlHxUv4srM.gpx

 

 

22/2021 CESTAS « Les Sources »

 

26 randonneurs sont au rendez-vous au parking des Sources à Cestas. Serge est heureux d’accueillir plusieurs nouveaux et futurs adhérents. Il confie l’animation de la randonnée à Bernard Berkesse nouvel adhérent et local de l’étape qui a un passé d’animateur dans une autre association.

Le groupe avant le départ.

Une des sources en bord de parking.Et c’est parti d’un pas d’échauffement.Un peu plus rapide maintenant.On longe tout d’abord le « ruisseau des sources « que l’on va traverser.De plus en plus vite…… il faudra ralentir.Maintenant un terrain un peu plus gras.Et on arrive au premier plan d’eau dans une forêt de chênes  » L’Estey des Sources »En bout du plan d’eau, il faut longer la route sur quelques centaines de mètres. Attention danger…Il fait chaud…. une petite pause pour se désaltérerEt naturellement pour quelques bavardages.C’est reparti en longeant cette fois le ruisseau des Gleyses vers le lieu-dit Lousteau neuf.

Un peu plus loin ….Le Fort Rainbow.

« Fort rainbow » est une association d’aide humanitaire et culturelle entre la France et les représentants des cultures amérindiennes. Elle organise des reconstitutions historiques sur ce thème, des stages d’initiation aux danses d’Amérique du nord et  des concerts notamment de country et de rock.

Une nouvelle pause ( au centre on a l’impression d’une démonstration de danse) !Après de longues lignes droites en bordure de forêt et accablé par le soleil, le groupe arrive enfin à un havre de fraîcheur en bordure d’un plan d’eau bien aménagé  » le plan d’eau de Monsalut « .Ce sera les derniers échanges de l’après-midi car le groupe va rejoindre le parking de départ.

Retour par les lieux-dits Monsalut et Peymartin.

 

Animateurs : Bouet Serge et Berkesse Bernard

Distance: 10,2 Km

Terrain plat…Pas de difficulté

 

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte

Berkesse Danielle et Bernard

Blanco Françoise et Michel

Bonneau Olivier

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Cantillac Jacques

Cerdan Coraline et Afergan Elie

Desmond Alexandra

Maison Nicole et Patrick

Martin Marie-José et Lagorce Pierre

Noël Françoise

Sopena Emmanuelle

Vacellier Géraldine (essai)

Caillaud Christine et Pascal (essai)

1 autre couple (essai)

Trace de Cestas

 

21/2021 LOUPIAC

Loupiac, anciennement appelé Loupiac de Cadillac, a un territoire très vallonné avec des coteaux offrant de belles vues sur la Garonne et des petits cours d’eau très encaissés. Superficie 957 ha et environ 1200 habitants. Ce qui n’est pas urbanisé est essentiellement couvert de vignes. Loupiac est très connu pour la qualité de son vin liquoreux.

L’église Saint-Pierre du XIIème siècle, et en particulier son portail roman, est classée à l’inventaire des monuments historiques depuis 1840.
C’est Fred qui va nous guider pour cette randonnée : 24 randonneurs se retrouvent sur le parking de l’église, nous accueillons 3 nouveaux adhérents.
Et c’est parti dans le village direction la place de la mairie : un beau bâtiment arboré pour cette mairie.
Et de suite une petite montée pour nous mettre en jambes tôt le matin.
Les premières très belles vues sur l’horizon.
Un premier Clos qui transpire le vin de « Loupiac ».Originale cette plantation de figues de barbarie.
Le Clos Jean :  Domaine de 20 hectares de vignes d’un âge moyen de 37 ans. Les cépages sauvignon, sémillon et muscadelle vendangés par tris successifs en fonction de l’apparition de « la pourriture noble » seront élevés pour faire  un excellent LoupiacAu loin le lieu-dit « Le Couloumet »Des vignes à perte de vue.Après l’avoir suivi sur plusieurs centaines de mètres nous passons sur le ruisseau du Chay. Direction Gabarnac.Prenons la route du Temple de GascogneEt ses belles maisons.
Et ceux qui sont venus de « tout là-haut »… cherchent toujours leur Nord.
Sur notre droite le lieu-dit « La Nère »Apercevons au loin une ancienne éolienne.
Et Marc qui en connaît un rayon sur les pompes …
….. explique comment ça fonctionne… où du moins comment cela fonctionnait.
Nous sommes au domaine du Château du Cros.au passage un très beau weigélia.
Arrivons aux belles ruines du Château Le Cros Lépine que nous contournons. Les ruines sont en cours de consolidation.

Un entourage de porte très travaillé.

Le château du Cros Lépine : Sa construction aurait démarré en 1155. Sa situation sur les hauteurs de Loupiac dominant la Garonne explique sa vocation guerrière. Une partie du château fut habitée jusque la seconde guerre mondiale. Très endommagé le château sera abandonné. Il est inscrit aux monuments historiques pour ses tours et ses vestiges en 1997. En consolidation il ne peut être réhabilité mais restera en état de ruines.

Amorçons une descente douce à travers vignes
avec de très belles vues sur la Garonne et sur les villages environnants.

Arrivons au Château La Yotte : Demeure de la moitié du XIXème siècle. Bâtiments et belle cour rectangulaires.
Vue de l’entrée.Et de l’arrière.
Du côté du Lieu-dit « Lambrot et La Hiotte ».Une impressionnante bambouseraieLe domaine des Rochers se trouve près de notre point de retour.

Le pique-nique est sorti du sac. A votre santé !

Animateur : Fred NOEL

Reconnaissance : Fred, Denis, Marc

Distance : 10,800 km – Dénivelé  171 m

Indice d’effort : niveau 2 – assez facile (distance+dénivelé)

Indice de risque : niveau 1 – assez facile (configuration terrain, météo)

Indice technique : niveau 1 – assez facile (hauteur d’obstacles)

LES PARTICIPANTS

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Berkesse Danièle et Bernard

Bouet Francine et Serge

Breil Myriam et Bruno

Cayre Maria et Michel

Champarnaud Valérie

Couprie Marie-Claude

Desmond Alexandra

Lagorce Pierre

Martin Marie-José

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Peere Laurence

Quérité Marie

Sopena Emmanuelle

Thomas Joëlle et Denis

Trace Loupiac

20/2021 LIGNAN DE BORDEAUX

Pour la Randonnée de reprise et en phase avec le forum des associations, c’est le golden –boy du village qui va piloter le groupe à travers sous-bois, prairies et vignes.

Une quarantaine de personnes dont 20 du club et 20 en découverte se réunissent sur le parking central. Pas besoin de carte IGN ou de plan, Jacques connais trop bien le secteur.

En attendant le départ on recherche déjà l’ombre.

Mais en cours de route le soleil frappe.

Heureusement qu’il y a une partie en sous-bois.
Et de nouveau du soleil au passage des vignes.

Animateur: Jacques

Environ 8 km

Les participants du Club

Barbirato Annie

Baron Brigitte et Marc

Bouet Francine et Serge

Buisseret Sylvie

Cantillac Marie-Claude et Jacques

Couprie Marie-Claude

Dupin Monique

Desmond Alexandra

Lagorce Pierre

Martin Marie-Josée

Noël Françoise et Fred

Noureau Francette

Peere Laurence

Thomas Joëlle et Denis

Villar Corinne

19/2021 Séjour au Pays Basque

 

C’est un superbe séjour de 4 jours que nous a concocté l’ami Denis. Une randonnée à fort dénivelé est prévue pour chaque journée. Nous devrions aussi retrouver et passer du temps avec nos amis basques de Bayonne.

AINHOA

Arrivée des 12 premiers randonneurs pour une randonnée de 8 km. Premières consignes de bienvenue.

Et c’est parti par une première montée tout d’abord sur asphalte. Marie-Claude et Françoise tout sourire.Sur le tapis caillouteux du chemin de croix, elles se détachent mais Joëlle résiste.Un peu plus loin on scrute les cartes ….une hésitation sur le chemin à suivre ….
Et Joëlle les mains sur les hanches s’impatiente…. Allez Denis…De belles vues sur la vallée d’Ainhoa.Arrivons à la grotte dédiée à Sainte-Marie.

Arrivée au belvédère à la fin du chemin de croix.Sa chapelle.

Certains y cherchent l’ombre et le repos.

Son parterre de platanes.La fin du chemin de croix et des tombes.Nous amorçons la descente et certains ont faim, il est temps de se restaurer.

D’un côté les « bétonneux »

De l’autre « les terriens ».

Nous repartons, après ce frugal repas. Nous rencontrons dans les sous-bois 2 potioks au repos à l’écart bien à l’ombre. Que font-ils là ??En fin de descente à l’arrière un trio de touristes se fait attendre.Apercevons au loin l’église située à notre point de départ.En fin de randonnée une terrasse s’impose à Ainhoa.

Puis l’apéritif avant le repas du soir.

Rando Ainhoa 7.86km D+ 354 H431 durée 3h05

Cotation Ainhoa 44 indice 2

LES ALDUDES

De bonne heure les Lignanais sont en place et attendent leurs amis Bayonnais de l’association « Léo Lagrange ». Les voilà, ils sont là et après quelques salutations de retrouvailles on va pouvoir démarrer. Les chefs de file se concertent.

Quelques civilités d’usage.Et c’est parti par une sérieuse montée plus que raide à travers sous-bois et sur un chemin empierré. Ce sera la bonne difficulté du jour.

Dur dur cette montée.

 

On arrive au col de Lepeder.La première pose pour se ressourcer s’impose.

Puis c’est reparti par un chemin découvert à travers les fougères. Cela monte plus doucement. Mais ça monte toujours.


Jean-Luc se maintient aux avant-postes.Denis suivi d’Annie.Marie et Chantal équipées, bâtons et chapeau.
 Régine assure aussi avec ses bâtons..Marc ferme la marche.Une nouvelle pose. Panorama à 360 degrés. On fait le point avant de repartir.Sans oublier bien sûr quelques photos souvenirs.En chemin, des contacts bien chaleureux. Les Marie-Claude, Marie, Chantal.

Corinne tient la forme.

Et oui on vient d’en bas.
Et on va y retourner en descendant.Prudence pour Chantal.Ce midi on va manger en bas chez Pierre Oteiza ses spécialités de cochon Kintoa.

Les cochons Kintoa.

Un repas très convivial.

Nous avons même quelques échanges avec le patron « Pierre »

 

Après le repas pour certains le jeu du béret basque.

Puis direction une bergerie et sa fabrication de fromages. Toutes les explications nous sont fournies par la patronne.Il fait très chaud. L’ombre est recherchée.Les brebis reviennent des alpages.
Et rentrent rapidement dans leur étable.
Un autre menu plus sec les attend. Marc veille.

Après les achats de fromages locaux , nous nous séparons. A dimanche les Basques.

Randonnée Les Aduldes 4km 2h00 D+ 180

IBP = 32 HKG ALDUDES

ITXASSOU

Sur le parking avant le départ.
Et c’est parti dans un décor très verdoyant.

Nous longeons un petit ruisseau qui alimentait autrefois un moulin.Une belle bambouseraie les pieds dans l’eau.Les restes du moulin.Originale cette boîte aux lettres !!Une bonne montée nous amène vers cette maison typique.Une petite pose…En cours de route Marie-Claude nous fait un exposé sur les différents types de vaches. Jacques tu l’as bien formé !!Nous allons attaquer une bonne difficulté sur un chemin empierré.
On transpire quelque peu.Vu la difficulté des haltes sont nécessaires.

Ils sont aussi là les Kintoas …

Nous allons maintenant redescendre vers la vallée.Il est temps maintenant de nous restaurer. Vous pouvez constater l’appétit vorace du président. Apparemment ce n’est pas la grosse chaleur.

Puis Corinne et Jean-Pierre nous guide vers la descente.Suivons une rivière tumultueuse.La photo de groupe au bord du gave.Un peu de divertissement au bord de l’eau.

Et c’est reparti sur la route qui domine le gave ; c’est très beau.

Le pas de Roland

Trace Itxassou 12.18 km D+ 479 H 483 durée 4h35

Itxassou 12,8k….58 indice 3

SAINT-MARTIN-D’ARROSSA

C’est parti pour la dernière randonnée…. en montée mais d’un bon pas.

Un petit arrêt en cours de route. On se ressource.

Jolie cette petite chute d’eauLa vallée est encore bien embrumée.
Nous arrivons près de la montagne, refuge des vautours.

Et ils sont bien là, une quinzaine au dessus de nous.La vallée se dégage quelque peu.Arrivons près des anciennes ruines des mines de LARLA.

Un peu de culture historique des mines.


La réserve d’eau naturelle des mines.Le bâtiment de remontée mécanique a été transformé en bergerie.
Le fond d’une excavation de mine.

Et on amorce la descente.

Un autre abri pour les moutons.Imposant ce chêne déraciné.

Le pique nique du dimanche midi et les bonnes bouteilles de Jean-Marie.

St Martin Arrossa V2 10 km St martin IBP = 44 HKG ou8A9JmFdTA.gpx St Martin Arrossa V2 6km25 V2

SOIREE A LEO LAGRANGE à BAYONNE

Nos amis Bayonnais ont tenu à nous recevoir dans les locaux de leur association. C’est parti pour une soirée festive après avoir fait connaissance avec le Président de l’association.

La table présidentielle. Avec Annie, Charlie, Jean-Paul et Jean-MarcelAvec Audrey et Chantal.

Avec Carmen, Marie, Régine.
Avec Michou, Rose, Corinne, Patrice.
Après une soirée très agréable, il est temps de nous quitter. C’est fini pour notre séjour au Pays Basque; on rentre à l’hôtel et nous reprenons la route lundi matin.

Fenaison oblige, Maître Jacques n’avait pu être des nôtres pour ce séjour mais  Marie-Claude a tenu à lui offrir en souvenir ce magnifique béret local qu’il porte avec élégance. De plus bizarre il habite au lieu-dit « Le Basque » à Lignan.